Bonjour,
J’ai en effet chargé des cartes gratuites, c’est simple à utiliser. Sur Ipad, pas de problème, par contre sur iphone c’est assez difficile de voir les croisements…!
J’avais eu l’info très intéressante de demander ma route .
Car le conseilleur est parti du principe que tout le monde parle évidemment espagnol.
J’avais réussi à demander ma route entre Terrasses et Vinialès, et voulant vérifier ce que m’avait décrit la personne au bord de la route, je stoppe 300 m plus loin et ai eu une autre version largement différente à la première et la bonne cette fois.
Je parle 5 langues, mais pas l’espagnol. Ou du moins, les quelques mots de survie.
La simple sortie de La Havane avec 2 ou 3 panneaux indicateurs, et encore …! c’est assez rocambolesque. J’ ai même vu des belges qui avaient une boussole, pourquoi pas.
Il y a 40 ans, pour traverser Porto au Portugal, seule une boussole afin d’aller Nord-Sud m’avait bien servi.
A Portos à l’époque, AUCUN panneau indicateur, mais aucune carte… des amis m’ont dit que c’était totalement changé.
Si les gens avaient vu les cartes faites au crayon de bois afin de pouvoir effectuer des modifications, et que ces cartes étaient photocopiées, avec la qualité de ces copies à l’époque des premiers photocopieurs…! Il est plus rapide de dire qu’on n’y voyait rien.
OsmAnd ( je pense que c’est de cette appli que Jimini voulait parler, car elle est plus connue pour les cartes bâteau )en effet est précise, comme bien d’autres d’ailleurs, sur le site Novela ils en conseillent des bonnes tout aussi précises.
Elle ne coute que 3 € pour Cuba en passant par l’option Amérique Centrale.
Avant d’aller à Cuba, un membre m’avait dit " attention, les routes sont très mauvaises. Après coup, j’ ai souvent pensé que ce dernier n’était jamais allé en Afrique , en Turkménistan et autres contrées par toujours isolées.
A Cuba, j’ai bien évidemment vu des routes non asphaltées, des pistes de cailloux, parfois avec des flaques après pluies tropicales…
Par contre des ornières dues aux charettes qui font 30 à 40 cm de profondeur de boue, j’ai pas vu. Pas de gués à traverser, pas nécessaire de s’attacher à un arbre avec une corde d’acier et de se faire tracter.
Donc c’est sûr que si on sort de la Suisse, on est un peu déboussoler.
L’aspect négatif de l’état des routes cubaines est à minimiser.
C’est largement compensé par des cubains fantastiques. Quand ils me demandaient de quel pays j’étais et que je répondais, français. Ils portaient tous la main sur le coeur en évoquant la tuerie de Paris et quelques mots d’Espagnol qu’il n’était pas nécessaire de parler la langue pour en comprendre la teneur.
Je n’ai pas 16 ans de Cuba, certes, mais voyage depuis 1967, j’étais allé à l’époque à Vursac, à l’Est de la Yougoslavie, et les ornières avaient 10 cm de plus de profondeur, et difficile d’évaluer la profondeur car elles étaient pleines d’eau de pluie.
En Australie, ceuc qui connaissent confirmeront, dès que l’on sort des villes, c’set une seule route, et ensuite, dès que l’on sort à droite ou à gauche, c’est après la pluie, soit des routes avec une règle sur le bord qui vous indique si l’eau de al falque va passer par votre portière de 4 X 4 …car la voiture il faut oublier, et l’idéal est ed descendre avec les bottes et un bâton et de mesurer si la voiture passe ou pas.
Pour terminer, à Cuba l’état des routes est acceptable. Quans il y ura des panneaux indicateurs, ce sera mieux.
A Viazul, ils m’ont dit que le jour où il y aura des panneaux et des GPS, ils perdront 30 % de leurs cients étrangers. Compte etnu de la masse des touristes que j’i vus dans les salles d’attente, je pense qu’ils sont probablement dans le vrai. Mais il faudra que des voitures soient importées…
Il y a 8 ans, un français expatrié à Cuba m’avait dit " Des importations françaises à Cuba, il n’ y en aura jamais.
J’y ai tellement vu de Peugeot que ce doit être de la contrefaçon chinoise ??? Avec à La Havane un concession chinoise ?
Les affirmations telles sont toujours limitées dans le temps.
Un poête disait “ne jamais dire jamais”.
Ben voila, j’ai ramené des cigares pour des potes, vu que je fume pas. A roissy, à la douane , personne, ce devait être l’heure de l’apéro. Depuis bien des années, ayant été conseillé par un douanier, il me disait regarder les étiquettes des bagages qui maintenant sont des bandeaux collants. Il voit la destination du vol, et si c’est l’Europe, on est moins anclin à être fouillé qu’au retour de Naples, ou de Singapour…
Je défait toujours ce bandeau dès la récupération des bagages.
En Australie, les chiens renifleurs étaient perturbés par un peu de poivre sur les bagages; Maintenant c’est connu, dommage.
Ce n’est pas pour ce que vous pensez, car entre chacun des Etats, certains fruits sont interdits !
Même un mini gateau du plat servi à bord le chien détecte.
Cordialement,
Christi@n