Visiter Île de Syros, Voyage Cyclades
Activités à faire, lieux à voir - Tourisme Île de Syros
Syros, à mi-chemin entre Kythnos et Mykonos, est le chef-lieu des Cyclades. Avec une superficie de 96 km2 c’est la plus peuplée de l’archipel mais pas la plus touristique. Île au riche passé, comme en témoignent les monuments, elle offre aux visiteurs plusieurs facettes qui font qu’elle mérite vraiment qu’on s’y arrête.
Consultez le dossier Cyclades, quelle ile choisir ?
FORMALITÉS
- passeport
- carte d'identité
DÉCALAGE HORAIRE
DURÉE DE VOL DIRECT
- Papiers : passeport ou carte nationale d’identité en cours de validité.
- Meilleures saisons :
le printemps, de mi-avril à fin juin ;
le début de l'automne (septembre-octobre).
- Durée de vol direct depuis Paris : 3h15 pour Mykonos et 3h20 pour Santorin (vols directs en été seulement).
- Décalage horaire : + 1h.
Infos pratiques Cyclades
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Que visiter à Syros ?
Il y a tant à découvrir sur l'île, inspirez-vous de nos coups de coeur lors de votre prochain voyage :
Le quartier Vaporia : surnommé aussi la « Venise de Syros », en raison de ses fondations sous-marines. Dans le secteur nord, après le port. Remarquable pour ses belles demeures néoclassiques. C’était autrefois le quartier des armateurs.
Ano Syros : Séparé de la ville basse par 400 marches ! Et ce ne sont pas de petites marches d’escalier... On peut aussi y monter en voiture ou en bus. C’est le quartier le plus ancien de la ville. Construit en 1207 sous les Vénitiens, il se développe en amphithéâtre sur les versants de la colline Saint-Georges, au sommet de laquelle est perchée l’imposante église catholique de Saint-Georges et, non loin de là, le monastère des Capucines (clarisses). Il s’en dégage une ambiance très romantique, créée par son enchevêtrement de passages voûtés secrets, ses escaliers, ses placettes ombragées, ses petites maisons cubiques éclatantes de blancheur. Un peu plus bas, la petite église du Mont-Carmel, du XVIIe s plus simple, mais très jolie à l’intérieur. Sur une petite place, une statue rappelle que Markos Vamvakaris (1905-1972), un des plus grands chanteurs et compositeurs de rébétiko, né à Ano Syros, y a vécu jusqu’en 1920. Dans le coin des boutiques, un petit musée lui est consacré.
Chalandriani (Χαλανδριανη) : Les fouilles ont permis de mettre au jour un important complexe de plus de 500 tombes datant du bronze ancien (environ 3000 av. J.-C.). Les découvertes sont exposées au Musée archéologique d’Ermoupolis. Les tombes, un peu cachées sous les herbes, ne sont pas faciles à trouver.
Possidonia (Ποσειδωνια) : station estivale élégante, remarquable là aussi pour ses très belles demeures néoclassiques, qui appartenaient à des armateurs et de riches industriels, dont certaines croulent sous une végétation luxuriante. Quelques hôtels, locations et chambres à louer
L’impressionnante place Miaoulis, toute dallée et bordée de magnifiques palmiers, fut conçue par l’architecte autrichien Ziller. Parmi les édifices, on y remarquera la statue de l’amiral Miaoulis, le très imposant hôtel de ville. Très animée avec ses cafés, c’est le grand lieu de rendez-vous. Le centre culturel, à gauche de la mairie, abrite le Musée archéologique. Quelques pièces de la période cycladique (mais les plus intéressantes parmi les œuvres trouvées à Syros sont parties à Athènes). Sur la place Vardaka, en allant vers Vaporia, voir le théâtre municipal Apollon, réplique en miniature de la Scala de Milan. Belle programmation de spectacles.
Le Musée industriel : Musée qui fait revivre le passé industriel de la « ville des réfugiés » (qui marque toujours Ermoupolis, si l’on en juge par le nombre d’usines en ruine qui occupent le sud de la ville), en particulier les chantiers navals : on a construit des bateaux à vapeur dès 1857. Également un aperçu des autres activités industrielles à Syros à partir de la 2de moitié du XIXe s (jusqu’à ce modèle de voiture... électrique – ! – lancé en grande pompe par le grand armateur Goulandris en 1970).