Où dormir, hôtels et hébergements Estonie

À Tallinn, l’offre, naguère pléthorique, a été fortement réduite par la crise de la Covid et il faudra sans doute un peu de temps pour que de nouvelles adresses rouvrent.

Celles qui subsistent sont assez inégales et présentent des personnalités très différentes : certaines très animées (bruyantes !) et conviviales à outrance, d’autres, au contraire, calmes et discrètes pour les amateurs de tranquillité. On y trouve presque toujours à la fois des dortoirs (4-8 lits en général, parfois plus) et des chambres privées, partageant le plus souvent les mêmes sanitaires. La plupart disposent d’une cuisine et d’un salon communs (mais pas toutes). Elles sont en général ouvertes toute l’année. Les prix oscillent entre 8 et 20 € pour une place en dortoir selon le nombre de lits et la saison.

Les Bed & Breakfast (kodumajutus) ont normalement moins de 5 chambres, les pensions (külalisternaja) davantage.

Les conditions de confort varient largement, de la piaule un poil vieillotte à la chambre confortable avec salle de bains.

Les prix demeurent intéressants (40-70 € selon confort).

À Tallinn, les sommeils légers choisiront plutôt les rues et ruelles les moins festives (là aussi, c’est signalé !).

L’époque des vieux machins soviétiques à l’air de blockhaus est révolue : on n’en trouve presque plus. Les hôtels sont désormais modernes, l’accueil pro, avec sur le haut du panier, bien sûr, les grandes chaînes.

Dans les petits hôtels (15-20 chambres), on trouve d’excellents rapports qualité-prix. Et certaines adresses de charme qui ont investi des édifices historiques ont vraiment du cachet.

Difficile de trouver une double à moins de 50 €.

Le petit déjeuner est presque toujours inclus dans le tarif.