la route alternative du MP par Abra Malaga, Santa Maria, Santa Teresa, … est toujours risquée
https://larazon.pe/cusco-cuatro-turistas-mueren-tras-despiste-de-minivan-de-transporte-turistico/
rappel des différentes voies d’accès au MP
source : http://www.andeantravelweb.com/peru/destinations/machupicchu/getting-to-machu-picchu.html
l’accès par le chemin inca
source : https://www.boletomachupicchu.com/tres-rutas-para-llegar-machu-picchu-viene-por-su-cuenta/
la voie classique : bus (ou collectivo) depuis Cusco + train Ollanta > MP
source : https://www.boletomachupicchu.com/tres-rutas-para-llegar-machu-picchu-viene-por-su-cuenta/
Bonjour
Mon épouse et moi même désirons aller au Macchu Picchu début Fevrier 2023
Je vois qu’il y a plein de données à intégrer et cela me semble diificile à tout assimiler
J’aimerai recevoir ton fichier d’informations s’il te plait
Merci
Patrick
dassmaison@gmail.com
Bonjour Joice
Nous aurions aimé mon épouse et mois même se rendre au Machu Picchu mais cela me parait très compliqué:
- Pourriez vous m’envoyer ce texte qui me permettrai d’organiser cette visite?
- pensez vous que le lieu en vaille le cout?
Merci et à très bientôt
Jean Marie
Merci de m’envoyer ton texte à l’adresse suivant:
jeanmarie.calabrese@gmail.com
Merci pour ta disponibilité
Jean Marie
Pour ceux qui voudraient des informations détaillés et pratiques sur la visite du Machu Picchu j’ai un dossier détaillé sur mon blog Pérou préhispanique
Vous trouverez également des information sur la route alternative par Santa Teresa !
Thomas
Suite a l’empêchement et l’arrestation du président Pedro Castillo, il y a une véritable insurrection dans le Sud du Pérou. L’accès au MP est fermé, et la région de Cusco est complètement paralysée. A suivre. Suivez les infos dans les médias péruviens.
Bonjour,
en complément des infos de Willempsie, ci-dessous copie d’article du “Parisien” qui reprend une source de l’AFP confirmant la situation chaotique au sud du pays et la suspension de l’accès au MP.
Cordialement , Alain.
Pérou - Le Ranquet en vadrouille
Pérou : cinq morts dans de nouvelles manifestations, des autoroutes fermées, le train du Macchu Picchu suspendu
La présidente désignée après l’arrestation du président Castillo veut avancer les élections législatives de deux ans, en avril 2024. Les manifestations promettent de s’intensifier, malgré l’état d’urgence décrété pour 60 jours dans les régions qui soutiennent le président détenu.
Deux femmes qui manifestaient lundi à Lima pour exiger la dissolution du Congrès péruvien aux prises avec un policier anti-émeutes. REUTERS/Sebastian Castaneda
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Par Julie Cloris
Le 13 décembre 2022 à 08h59
Cinq personnes sont mortes lundi lors des manifestations contre la nouvelle présidente Dina Boluarte. Deux ont été tuées à Chincheros, deux à Andahuayla, des localités de la région d’Apurimac, lieu de naissance de Boluarte, et la cinquième à Arequipa, la deuxième ville du Pérou, lorsque la police est intervenue pour chasser de l’aéroport des centaines de manifestants qui avaient installé des barricades en feu sur la piste.
Deux personnes avaient déjà trouvé la mort la veille à Andahuaylas, ce qui porte à 7 le bilan total de morts depuis dimanche. Toutes ces personnes ont été mortellement blessées par balle, selon la Médiatrice de la République du Pérou, Eliana Revollar. « Ce sont vraiment des morts inutiles », a-t-elle déploré lundi soir sur la chaîne de télévision locale Epicentro, ajoutant qu’au moins 32 civils et 24 policiers avaient été blessés.
« Ni la police ni les états d’urgence ne résolvent les crises ou les conflits sociaux », a défendu la Médiatrice, ancienne avocate spécialisée dans la défense des droits humains. « Le Congrès se sent victorieux, mais derrière lui il y a une population qui lui en veut », a-t-elle ajouté.
Il y a six jours, le Parlement péruvien a destitué le président Pedro Castillo, pour avoir tenté de dissoudre le Congrès, de manière à empêcher un vote de destitution à son encontre pour « incapacité morale ». L’ancien enseignant de 53 ans a été arrêté quelques heures plus tard par son garde du corps alors qu’il se rendait à l’ambassade du Mexique pour demander l’asile politique. La vice-présidente Dina Boluarte a prêté serment dans la foulée, devenant la sixième présidente du pays en seulement cinq ans.
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Des milliers de partisans de Castillo sont descendus dans la rue pour exiger sa libération. Les mêmes et d’autres manifestants exigent de nouvelles élections pour répondre à la crise institutionnelle.
Pedro Castillo veut une Constituante
Lundi, la nouvelle présidente a proposé d’avancer les élections de deux ans, en avril 2024 au lieu de 2026. « Dans les prochains jours, je déposerai un projet de loi pour anticiper les élections à convenir avec les forces politiques représentées au Parlement », a-t-elle annoncé dans une adresse à la Nation. Dans une lettre manuscrite publiée sur sa page Twitter dans la foulée, Pedro Castillo a qualifié la promesse d’élection anticipée de sa remplaçante de « jeu déloyal » et l’a qualifiée d’« usurpatrice », appelant à la tenue immédiate d’une assemblée chargée de réécrire la constitution du pays.
Détenu dans un centre pénitentiaire de Lima alors qu’il fait l’objet d’une enquête des procureurs pour les crimes présumés de rébellion et de conspiration, il a réaffirmé qu’il ne démissionnerait pas. Une centaine de ses partisans campe devant la prison, la Caserne Marco Puente Llanos à Ate, en périphérie est de Lima, face à des policiers antiémeute casqués, munis de boucliers en plastique transparents posés sur le sol. « Cela fait quatre nuits qu’on dort ici et on continuera jusqu’à obtenir que le président retourne au Palais » présidentiel, a expliqué Ana Karina Ramos à l’AFP. Elle accuse le pouvoir actuel d’avoir incarcéré Castillo sans raison, parce que c’est « un homme de la campagne, un agriculteur, un instituteur, un homme honnête. Ça ne plaît pas ! Il est séquestré, soumis, humilié, et nous le peuple ressentons la même chose. On ne l’a jamais laissé gouverner. Depuis le premier jour. La droite n’a jamais accepté sa victoire », assure-t-elle.
Les gouvernements de gauche d’Argentine, de Bolivie, du Mexique et de Colombie ont publié lundi une déclaration commune appelant à la protection des droits de l’homme et des droits judiciaires de Castillo, ajoutant que les « agents » de la destitution de Castillo devraient donner la priorité à « la volonté des citoyens qui a été déclarée dans les urnes ».
Dans la soirée de lundi, les bureaux de la Panamericana Televisión, d’América Televisión et de Canal N ont été attaqués par quelques manifestants déterminés.
Des blocages sont prévus ou craints. Certains groupes civils et autochtones du deuxième producteur mondial de cuivre ont annoncé, lundi, une grève à Apurimac, où se trouvent d’importants projets miniers, dont Las Bambas, une importante mine de cuivre appartenant à la société chinoise MMG. Les autorités ont ordonné la fermeture de l’aéroport d’Apurimac après une manifestation, et certaines parties de la principale autoroute côtière du Pérou ont été bloquées lundi à Ica et Arequipa. LATAM Airlines a annulé ses vols à destination et en provenance de la ville d’Arequipa après que des manifestants ont envahi une piste d’atterrissage et que la police a fait un mort.
À lire aussiPérou : 5 minutes pour comprendre la crise politique après la destitution du président Castillo
Le train pendulaire qui permet, au départ de Cusco, d’atteindre la citadelle inca du Machu Picchu, joyau touristique du pays, est suspendu ce mardi. « Compte tenu de l’appel à manifester (…) lancé par différentes organisations sociales à Cusco, nous sommes contraints de suspendre les opérations de nos services de train à destination et en provenance du Machu Picchu ce mardi », a déclaré la compagnie PeruRail dans un communiqué.
À Lima et dans toute la métropole, la fermeture des écoles a été prolongée ce mardi en raison de l’intensification attendue des manifestations.
Lundi, le gouvernement a décrété l’état d’urgence pour 60 jours dans les zones de « conflit élevé », les provinces d’Abancay, Andahuaylas, Chincheros, Grau, Cotabambas, Antabamba et Aymaraes, les régions agricoles et minières qui soutiennent Castillo. Dans ce contexte, « la police nationale du Pérou maintient le contrôle de l’ordre intérieur, avec le soutien des forces armées », annonce le décret paru au journal officiel. « J’ai donné les instructions pour que le contrôle de l’ordre interne puisse être récupéré pacifiquement, sans affecter les droits fondamentaux de la population », a voulu rassurer Dina Boluarte.
Bonjour,
Nous partons le 19 juin pour passer 2 mois avec nos trois enfants. Nous sommes interressés par vos infos pour visiter le Matchu Picchu.
quereolivia@yahoo.fr
Merci
olivia
Bonjour,
J’aimerais bien de l’aide pour accéder au machu picchu. Nous sommes 4 adultes et pensons partir au d’août.
Merci, cordialement.
Aline