Air Méditerranée

Forum Avion

bonjour

c’est une catastrophe

nous sommes rentrés de zante le vendredi 18 juillet, vol bien passé, si on ne prend pas en compte le retard au départ de lyon (11 juillet) et ce jour au départ de zankinthos. sauf qu’ils n’ont pas embarqué nos bagages. et oui, en arrivant à st exupéry rien!!! à lyon on nous dis dans 3 jours, lundi rien mardi rien et aujourd’hui mercredi , on nous dis qu’ils viennent a peine d’arriver à paris donc pas avant jeudi , vendredi voir samedi prochain, on ne les croit plus.

au tel , la personne pas gêné du tout , nous dit qu’il n’y a aucun recours donc pas inquiète pour un sous. nous devions repartir , et bien annulé et toujours rien à faire au niveau compagnie aérienne.

c’est vraiment une catastrophe.

ils s’en faoute

je reviens pour préciser que la personne au tel me fait comprendre que parfois ils préfèrent mettre du kérozène que d’embarquer les bagages.
c’est une honte
personne ne nous a dis quoi que se soit avant le décollage et l’équipage devait surement être informé

Le retard ou la perte de babage est une chose qui existe, pas trop fréquente, mais elle existe.

Dans votre cas, c’est un retard de bagages.
Quand ils sont repérés et identifiés, ils partent généralement sur le vol suivant, sauf en cas de charge maximale de ce vol et il peut parfois attendre un peu, surtout en haute saison avant de partir. Parfois cela peut-être un wagonnet complet qui a été oublié sur l’aéroport de départ et là le tout cela fait du poids !

Il n’est pas nécessaire d’annuler ses déplacements suivants quand on a un bagage retardé: celui-ci est alors acheminé là où vous vous trouvez … mais il faut en avertir la compagnie !

Il y a des indemnités prévues en cas de retard (= achat des objets de premières nécessité) ou de perte de bagage, n’hésitez pas à les réclamer auprès de la compagnie.
Si vous avez une assurance personnelle pour les bagages, contactez-les aussi.
Et tant que les babages ne sont pas en votre possession, c’est vrai qu’ils pourraient aussi être définitivement perdus dans leur cheminement.

Il ne faut donc JAMAIS mettre des choses de valeur ou importantes dans ses bagages de soute, ni des choses périssables car quand la valise arrive avec des jours ou semaines de retard, c’est pas triste quand on ouvrre !

non je ne pouvais pas repartir car 3/4 des vêtements dans les valises, de plus si je les avait fait livrer sur le lieux de ma destination suivante, et bééé encore raté car les délais ne sont pas respectés et je serais arrivé avant les valises a mon domicile et ces dernières seraient arrivées sur ma prochaine destination.
c’est un fiasco complet et air méditerranée est coutumière des faits. après plusieurs coup de tel, une personne me fait comprendre qu’ils ont préféré mettre du kérozène donc ce n’est pas un oubli!!!
aucun recours et même si on rachète certain produits, le remboursement est plus que minime.
c’est une honte de procéder ainsi

Remarquez que pour la sécurité du vol, il vaut mieux privilégier le kérosène aux bagages !

Il y a en effet un poids limite à ne pas dépasser pour le décollage de l’appareil en fonction d’une série de facteurs; et ajouter des sièges dans certaines configurations “charter” augmentent aussi le poids (et ne facilite pas l’emport de bagages non accompagnés suite à une perte antérieure).

C’est bel et bien le souci en haute saison (le plaisir de voyager en HS !) car on ne peut pas charger exagérément un appareil avec des bagages excédentaires (devant être acheminés sans le passager par exemple suite à une “perte” du/des bagages). Il ne faut pas croire être un cas “isolé” et il faut imaginer qu’il y a un certain nombre de bagages à transporter, à tel point que certaines compagnies décident parfois de les transférer sur un vol cargo à certaines périodes de l’année.

Heureusement que la compagnie et le pilote pensent “sécurité d’abord” … car si on écoutait certains passagers, il y aurait quelques “crash” en plus !!!

Quant aux indemnités des objets de première nécessité, elle est relativement faible en effet, et c’est pour cela que pas mal d’agents de voyages consciencieux conseillent une assurance bagage à part du billet d’avion …

Et quand on enchaîne des voyages, il vaut mieux en effet avoir la garde robe qui va avec car une perte, momentanée ou définitive, d’un bagage est toujours possible: il y en a 90.000 perdus chaque jour à travers le monde ! (http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2009/07/30/1639525_90-000-bagages-perdus-chaque-jour-en-avion-conseils-solutions.html).

Le suivi des bagages une fois retrouvé (pour ceux qu’on retrouve) se passe relativement bien et sont orientés vers la destination que vous communiquez au fur et à mesure de vos déplacement à condition de rester quelques jours à l’endroit communiqué bien entendu et de garder le contact avec la compagnie ou le service ad-hoc.

Voyager confortablement n’est pas toujours à la porté de tout à chacun et quelques explications permettent de comprendre les grandes lignes de certaines systèmes.

Bons voyages à tous !

On sait fort bien, à quelques kilos près, combien pèse un ensemble “passager/bagages” alors on n’ajoute de sièges à un avion (dont on sait quel poids il peut transporter en fonction de la distance qu’il effectuera) que si c’est possible!

Ce n’est pas “la sécurité” qui est en cause là, mais bel et bien l’appât du gain, en vendant plus de billets que possible.

En revanche (ça arrive) il y a trop de passagers qui partent avec des bagages dont le poids dépasse le maximum autorisé, et effectivement ça peut créer une surcharge (sur les vols Antilles-Guyane, il y a une vingtaine d’années ans, c’était ahurissant: par exemple 4 gros barils de lessive en plus des valises elles mêmes trop lourdes; ça c’est calmé)

Les compagnies seraient alors fondées à faire respecter les termes du contrat, à savoir refuser (et pas seulement faire payer une surtaxe) ce qui dépasse la limite autorisée. Sinon, les 200 premiers embarquants (par exemple), chargent chacun 50kg au lieu de 23, et on est alors amené à ne pas prendre les bagages “réglos” de la dernière centaine.

Un billet, c’est un contrat qui doit être respecté, d’abord par les passagers bien sûr, mais aussi et surtout par la compagnie qui se fait de la thune avec ces derniers.

Si la législation était faite de telle manière que l’indemnité “perte de bagages ou bagages en retard” soit réellement dissuasive d’une part, que les innombrables manœuvres dilatoires mises en œuvre par certaines compagnies pour ne pas payer ou payer le plus tard possible (entre temps bcp, découragés, laissent tomber le contentieux, toujours ça de gagné pour la compagnie) soient interdites sous peine d’amende énorme**, on ajouterait moins de sièges quand c’est impossible, et on emmènerait tous les bagages. (à quand l’amputation d’une jambe pour alléger le passager, cela afin d’en emmener davantage?)

D’accord en revanche pour être impitoyable vis à vis du poids des bagages. Si le billet-contrat prévoit 23kg, ce n’est pas 25 (parce que 2kg en trop multiplié par 50 passagers, c’est l’équivalent de l’emport d’un voyageur et ses bagages…) sauf accord préalable de la compagnie.

** exemple: le bagage n’est pas à l’arrivée? 20 dollars le kilo versés à l’arrivée. pas le lendemain, non, dans l’aérogare, une heure après le débarquement.
Il n’est pas retrouvé et rendu 72h après? 20 dollars le kilo en plus virés dans la semaine, faute de quoi pénalités supplémentaires et condamnation au pénal de la compagnie pour recel.
Charge à elle (si c’est le cas) de se retourner contre l’aéroport d’embarquement et ses services, si ces derniers se sont montrés défaillants pour se faire indemniser). Je ne doute pas que dans ces conditions, il y aurait très vite infiniment moins de bagages retardés ou pire, perdus.

La sécurité impose bel et bien un poids maximum comme vous le reconnaissez et remarquez que plus on ajoute des sièges dans un même avion, plus le poids “bagages” autorisé pour chaque passager est réduit ou encore plus les clients sont incités à ne pas emporter de bagage de soute car payant en extra … une belle preuve cela !
Un kg à transporter coûte en kérosène et certaines compagnies privilégient un bas prix pour tout le monde et font payer les bagages: c’est un choix commercial, qu’on accepte ou pas mais que je respecte. Par contre, ce qui est un peu vexant, c’est de voir un lutteur de sumo avec sa valise de 15kg qui passe sans souci et ensuite un mannequin avec 16kg de bagage qui se fait taxe pou un kg d’excédent … au final c’est quand même bel et bien le premier passager qui va consommer le plus de kérosène … mais il faut bien accepter les règles qui se veulent, et se doivent, non discriminantes envers le physiologie de chacun.

Pour le surpoids bagages de pas mal de passagers sur les vols Dom Tom particulièrement, c’est tout à fait exact. Idem sur les vols “ethniques” où les bagages de certains arrivent avec quelques semaines de retard parfois du à un surpoids invraisemblable placé au final en cargo dès qu’il y a assez: impressionnant ! C’était le cas de LOT avant sur le Pékin-Varsovie.

J’ai déjà vu certaines compagnies mettre les “overweight” (surpoids bagages) de côté et ne les embarquer sur le même vol que quand cela est possible, sinon ils attendent un vol avec une capacité suffisante. C’est en effet vexant d’avoir respecter une franchise de 15kg et de ne pas avoir son bagage à destination pour surpoids de l’appareil alors que d’autres on leurs bagages pour 50 ou 60kg ! A l’heure de l’informatisation du traitement des bagages, cela devrait pourtant être possible d’emporter prioritairement les bagages réglo d’abord, non ?

L’idée d’une indemnité au poids est déjà applicable pour la perte définitive d’un bagage, mais la même idée pour les retards est séduisante aussi. Depuis 1999, la nouvelle convention de Montréal prévoit une indemnité maximale par passager de 1.100€ en cas de perte de bagages. Admettons que ce soit basé sur 25kg, cela nous donne 44€ le kg; mais si c’est basé sur 30kg, cela redescend alors à 36€ le kg, et on parle ici de perte totale et non de retard. Donc en tenant compte de cela, en révisant un peu les chiffres proposés pour les retards, et en imposant un minimum aussi, je trouve que cela tiendrais bien la route … tout en tenant compte qu’en cas de perte définitive, ces indemnités seront déduites des 1.100€ maximum cités.
Cela ne forcera pas la main des compagnies à emporter trop de poids mais peut-être d’emporter en priorité le poids “autorisé” pour chaque passager comme pour les surpoids, il est toujours possible de prévoir des clauses de réserve de disponibilité de place/poids à bord pour être transporter sur le même vol et excluant des indemnités en cas de retard.
Bonne idée à suivre …

toutes ces explications sont très bonnes, et je sais très bien que nous ne sommes pas un cas isolé, malheureusement.
mais les personnes lèsées, se sont bien les usagers et ce que je veux dire, c’est que les compagnies aériennes doivent prendre leur responsabilités. pour cela il faut peut être que chaque personne aille jusqu’au bout de leur démarche et que les compagnies soient sanctionées.
je viens d’avoir une personne que nous avions rencontré en vacance. cette dernière a reçu une valise 8 jours après et l’autre , introuvable!!!

26 millions de bagages sont égarés chaque année dans l’aérien, c’est impressionnant mais c’est ainsi et cela représente fort pas par rapport au nombre total de bagages transportés.

Pour réduire les risques, il vaut mieux privilégier les aéroports régionaux et les vols directs. Ryanair a d’ailleurs le taux le plus bas e perte ou retard de bagages en pourcentage de bagages transporté et la seconde compagnie derrière lui en perd 10 fois plus ! C’est dire l’avantage des petits aéroports et des vols directs !

Ne jamais donc mettre de choses auxquelles on tient dans les bagages de soute: les chances de les perdre ne sont pas nulles !

Les compagnies sont responsables suivant des règles fixées qu’il suffit de lire et si on veut une couverture supplémentaire, il reste les assurances bagages bien entendu: pour avoir une garantir financière meilleure, il FAUT payer et acheter une assurance à part, ou on prend le risque soi-même en se contentant des indemnités publiées de la compagnie. C’est cela voyager !

Se plaindre ou se lamenter après, cela ne sert à rien: il fallait agir avant et s’informer avant.

Et si on veut rester maître de ses bagages, il reste la voiture, l’autocar ou encore le train :wink:

“”""""“Les compagnies sont responsables suivant des règles fixées qu’il suffit de lire et si on veut une couverture supplémentaire, il reste les assurances bagages bien entendu: pour avoir une garantir financière meilleure, il FAUT payer et acheter une assurance à part, ou on prend le risque soi-même en se contentant des indemnités publiées de la compagnie. C’est cela voyager !”""""

J’ai toujours une assurance qui inclut “bagages perdus” mais à partir du moment où la compagnie en est responsable et DOIT payer en cas de perte ou de retard, je devrais pouvoir m’en passer.
Si je suis pris en charge à 100% par mon assurance maladie, je ne vais pas par plaisir payer une mutuelle!

Bis repetita, un billet est un contrat qui doit être respecté par les deux parties, évidemment (pas de bagage excessif) mais avant tout par la compagnie qui vend le billet et vit du produit de cette vente.
Nous ne sommes justement pas des “usagers”, mais des “clients” Ce que les compagnies oublient.

Ce sont ces manœuvres dilatoires que je déplore, pour écœurer le client victime d’une perte ou d’un retard, et ainsi l’encourager à renoncer à réclamer son dû. Quand une compagnie (ça m’est arrivé) me somme de prouver que mon avion est arrivé en retard avant de m’indemniser alors qu’il est évident que dans ses données, elle connaît à l’heure et à la minute près les temps et moments de vol de chacun de ses avions, elle se fout du monde.

Si je vais voir mon épicier avec une boîte de conserve qu’il m’a vendue et dont le contenu est avarié, il ne me demande pas (s’il est honnête et commerçant) une analyse biologique faite à mes frais avant de me l’échanger!

Pas trop d’accord sur votre argumentation concernant le poids de la personne (je précise que je ne suis pas concerné): parce que si on considère cet aspect comme pénalisant, on va aussi pénaliser les infirmes, les aveugles, les sourds, les angoissés, bref tous ceux qui demandent une attention un peu spéciale, donc du temps, donc de l’argent. Le kilo de passager n’est pas le kilo de bagages! Être lourd, 99 fois sur 100 on ne l’a pas plus choisi qu’être squelettique.
En plus sur un pool de 200 passagers, ça doit s’équilibrer entre le lourd et le maigrichon. En outre je doute que la compagnie qui imposera un supplément ou une restriction au “sumo” fera un rabais à l’anorexique. Un gosse de 13 ans, ça pèse en général 50kg tout mouillé, et ça paye plein pot…

En revanche je le comprends pour les tout petits avions (j’ai volé sur air guyane aux temps héroïques): on nous pesait, on prenait le bagage de 10kg maxi et du supplément si et seulement si le poids maximal décrété par le pilote (souverain en la matière et ça je respecte totalement) n’était pas dépassé… sur 18 places de l’avion, si une équipe de rugbymen grimpait, elle explosait évidemment les stats habituelles.
Cela parce qu’il devait parfois tourner 20 ou 30 mn dans les nuages avant de trouver l’entrée de la piste de Saül ou de Maripasoula (et des fois même renoncer et retourner à Cayenne), et bien entendu il voulait avoir dans ses réservoirs de quoi le faire en toute sécurité. Mais on savait à l’avance que seuls 10 kg étaient garantis. Que si on en avait 20 ou 30, le supplément était susceptible de ne partir qu’avec l’avion hebdomadaire de fret, et encore, une fois que celui ci était chargé de l’essentiel (les produits médicaux du dispensaire avant tout).
En saison sèche, quand c’était grand beau temps assuré sans cumulo nimbus sur la Guyane, on pouvait embarquer sans problème 20 ou 25 kg (en payant le supplément bagages)
Autre chose: ces billets étaient à l’époque subventionnés à 75% (mission de service public) donc nous étions des usagers au moins autant que des clients. Et pourtant nous étions traités avec courtoisie

Bonjour PhilipAvez vous récupéré vos bagages ? Et en bon état ?

bonjour

marc je ne comprends pas votre argumentation, a vous écouter se serait presque de ma faute, enfin !!!
(vous travaillez dans une compagnie aérienne?)
benj , tout a fait d’accord avec vous!

fkojt, j’ai récupéré enfin mes bagages, ça peut aller les valises ont été mal mené mais bon, par contre une autre personne a récupéré une valise sur les deux.
la seconde, disparue pou le moment lui ont ils dis.

ce qui certain certain en écoutant marc c’est que nous sommes pas pret à faire dimuner ce genre d’incident, qui n’en ai pas un puisque c’est volontaire de la part de la compagnie!

Bonjour Philip !

Voilà une bonne nouvelle !

En effet, si un avion est trop chargé, le commandant peut décider de débarquer des passagers et/ou des bagages, car priorité est donnée à la sécurité

La compagnie a ensuite obligation d’acheminer les bagages jusque chez vous ou de vous indemniser si elle les a égarés

Bonne continuation !

Bien sûr qu’on ne va pas faire voler un avion en surcharge!

Mais s’il est trop chargé, c’est soit que la compagnie a vendu trop de billets, soit qu’à l’enregistrement, elle a été laxiste en tolérant trop de bagages dépassant la limite, pour les premiers embarquants
Si vous êtes camionneur avec un 38t, vous ne prenez pas, en principe, un marché de 45t pour en laisser 8 à pourrir sur le terre plein
Et si vous traversez les Pyrénées, compte tenu des difficultés de freinage, vous ne chargez que 30t.
Je suis sûr qu’à certains moment, les compagnies sérieuses qui font du long courrier et qui doivent traverser la ZIC prévoient de moins charger le zinc pour tenir compte des détours possibles autour des cumulo-nimbus

Ce n’est pas aussi simple

C’est au moment où on lui remet ce qu’on appelle la load-sheet que le commandant de bord dispose des informations utiles concernant les paramètres du vol

La load-sheet lui est remis par le personnel au sol (opérations) quelques instants avant la fermeture des portes de l’avion

Si sur ce document il apparaît que l’avion sera en surcharge en raison du poids cumulé des passagers, des bagages et du carburant, alors le commandant peut prendre des décisions radicales

Cela arrive tous les jours et sur toute forme de compagnie. J’ai été débarqué d’un vol Bruxelles-Dakar il y a 10 ans pour ces raisons

C’est parce que, par appât du gain, la compagnie ne prévoit pas une marge suffisante.
Vous ne me ferez jamais changer d’avis sur ce point!
Plein de vols Rio-Paris ont en fait un plan de vol déposé pour Toulouse, pour prévoir une consommation hors norme. C’est en cours de vol, dans la quasi totalité des cas, si les vents n’ont pas été trop contraires, s’il n’y a pas eu trop de contournements à faire, que le PV est modifié.
Dans le cas contraire le zinc se poserait à Toulouse et complèterait le carburant manquant

Cela arrive tous les jours sur toutes les grandes compagnies (y compris Air France), surtout en plein départ de vacances, que des bagages soient débarqués et mis sur un autre avion Pas par appât du gain mais par sécurité
D’ailleurs comment pourrait-ce être par appât du gain vu le coût de rapatriement d’un bagage par avion + taxi ou de logement et de reprotection d’un passager sur un autre vol ?

PS : le PV n’existe pas en aérien, on le trouve surtout sur le parebrise des voitures :slight_smile:

Prendre Air-France comme exemple de compagnie respectueuse de ses clients est quelque peu abusif.

Ensuite relisez le point de départ: on ne parle pas de passager plus ses bagages pris en charge par la compagnie, mais de passager parti sans ses bagages, qu’il ne peut pas récupérer, et en plus qui n’est pas indemnisé.

philip a bien récupéré ses bagages, et c’est le principal ! :slight_smile:

[quote]
philip a bien récupéré ses bagages, et c’est le principal ! :](/citation]

Après combien de temps et combien de démarches? Vacances gâchées en partie, en plus!

Encore un défenseur inconditionnel des compagnies truandes, laxistes et j’en passe…

Ce n’est certainement pas comme ça qu’on fera progresser le respect du client qui, dans une société marchande, fait vivre toutes les compagnies, leurs employés et leurs actionnaires.

il les a récupérés après 72 heures à son retour à Lyon, il suffit de lire :slight_smile:

heureusement pour lui, ce n’était pas à l’aller :slight_smile:

vive les compagnies sérieuses en effet

Pour ma part, Air-Méditerranée rejoint ma “liste noire” personnelle. Ça fait la huitième. Si chaque acte de désinvolture d’une compagnie, quelle qu’elle soit, lui faisait perdre quelques centaines de clients potentiels, il y en aurait beaucoup moins! (je parle bien de désinvolture, pas de l’impondérable: un vol retardé au départ parce qu’on a découvert une panne, je le comprends parfaitement si je suis pris en charge selon les termes du contrat que représente un billet)

on veut la liste, on veut la liste !

Y-a-t’il dedans Air France, une des compagnies les plus dangereuses du monde ?

Air Med n’est plus ce qu’elle était, avions vieux, équipages grecs, c’est pour ces raisons très factuelles que je ne la prend plus

serait selon la loi du “dénigrement” et passible de poursuites (récemment, pour avoir dit du mal d’un restaurant sur son blog, une dame a été condamnée à 2.500 euros d’amende). Que chacun se fasse sa propre expérience ou son opinion au vu de ce qu’il lit sur les forums. Sinon, j’en parle à mes proches.

AF pour moi, est sur “liste grise” pas tant pour la sécurité (même si elle est mal placée, le risque demeure infime) que pour son manque d’esprit commercial et ses prix… sauf pour le Brésil où étonnamment, parmi les compagnies qui proposent un vol sans escale, elle est souvent la mieux placée.

Je n’ai pas spécialement peur des “vieux avions” parce qu’un avion est souvent comme un couteau dont on on a changé trois fois la lame, deux fois le manche et six fois la virole: c’est malgré tout toujours le même couteau avec des pièces sinon neuves, du moins vérifiées. J’ai voyagé il y a cinq ans sur un Boeing de 35 ans d’âge, recyclé dans une compagnie régionale brésilienne, sans la moindre crainte.
Paradoxalement on est souvent plus emm… sur les avions tout neufs, avec les “fausses pannes” (un voyant s’allume, il faut vérifier avant de partir et au final il n’y a rien)

Sauf bien sûr pour les compagnies placée officiellement sur liste noire, le critère sécurité m’importe peu.
Mais je veux:

  • que le contrat soit clair (pas de ces prix à 20 euros au départ, et quand on a ajouté le paiement, la valise, etc. on arrive à 150 euros)
  • qu’il soit strictement respecté, sans démarches dilatoires.
  • que l’équipage, si son activité principale s’exerce en France ou avec des Français, soit au moins en partie composé de gens francophones.

Je reconnais bien entendu à chacun le droit d’avoir d’autres critères.

Donner une liste de ses compagnies, entreprises, restaurants préférés ou bannis n’a rien de répréhensible

En l’espèce, dans l’affaire que vous mentionnez, (et je sais de quoi je parle pour avoir vécu une situation de diffamation début 2000 qui avait eu un fort retentissement), la cliente en question avait chargé le restaurant de manière violente, avec des propos démesurés voir injurieux

Dire : je ne prends plus Air France n’a rien de diffamatoire, c’est un choix personnel et assumé

Donc du moment que vous ne tenez pas de propos diffamatoires, tout va bien

Pour ma part, j’utilise Air France le moins possible, sauf quand je ne peux pas faire autrement (exemple sur les lignes intérieures ou européennes). Il en est de même pour Ryanair (mais je suis en train de revoir mon point de vue puisque la compagnie tente d’améliorer son attitude vis à vis de ses clients et de ses pilotes) et pour les compagnies-poubelle d’Afrique ou d’Asie qui présentent des problèmes de sécurité. J’évite aussi les américaines American et Delta tant que faire se peut, pour des raisons de service à bord et de confort.
J’apprécie les compagnies Etihad, Lufthansa, Easyjet, Emirates, Singapore, KLM, British Airways, Ethiopian, TAM, LAN, Thaï, Qantas, pour leur ponctualité, leur sérieux, leur service et leur sécurité

… que la compagnie ait une attitude socialement responsable vis à vis de son personnel, qu’il soit convenablement payé, bénéficie de garanties acceptables et du droit syndical.
Parce que si j’ai les moyens de prendre l’avion, c’est que j’ai eu peu ou prou ces garanties, et je ne veux pas contribuer à créer une nouvelle vague de gens surexploités.

TAM oui, c’est ma préférée, mais hélas souvent très chère en long courrier.

Bonjour,
Mauvaise expérience avec cette compagnie au départ de Ténérife le 16 janvier 2016. Il était prévu le vol suivant Ténérife - Lyon via NANTES, et l’arrivée à Lyon était prévue le 17 janvier à 3h55. Or une avarie de l’avion à Nantes - à 1h30 du matin - nous a obligé à squatter l’avion durant 3 heures, dans le froid car le personnel naviguant n’a pas eu l’idée de fermer la porte. Puis transfert dans une salle transit durant 6 heures entrecoupé d’un ptit déj offert par la cie. Finalement départ pour Lyon à 11h. Je me suis renseigné auprès de QUE CHOISIR qui me répond que la cie AIR MEDITERRANEE est en REDRESSEMENT JUDICIAIRE depuis JANVIER 2015, donc aucun recours possible pour obtenir une indemnité prévue par le règlement européen n° 261/2004 du 11-02-2004.
J’ai envoyé pour l’instant un courrier à l’agence de voyages ; sinon demande auprès de la DGAC.

Excellente nouvelle:
A lire le commentaire précédent, on peut se rendre compte que Air Méditerranée ne lésine pas avec la sécurité !
Mieux vaut attendre le temps qu’il faut que de vouloir décoller de suite avec des risques.
D’autant que la compagnie a donné un petit-déjeuner.
Mais chacun son choix et son avis.

Bonjour,

Le problème est surtout pour les créances antérieures à la mise en redressement judiciaire.
Les nouvelles créances sont prioritaires par rapport aux anciennes.

En conséquence, à votre place, je ne me gênerais pas pour réclamer ce qui m’est dû, surtout que la procédure est entièrement gratuite !

Allez voir là :

Cordialement

Vous avez pris ça où, que les nouvelles créances sont prioritaires ?

Et depuis quand une demande d’indemnisation d’un particulier constitue une créance ?

Alors quelques petits rappels :

Les créances sont classées par ordre de priorité : les salaires, les charges sociales, le Trésor Public, en dernier les fournisseurs. Un particulier ne peut pas émettre de facture, ni de bon de commande, et donc ne peut faire valoir sa créance.

Les créanciers ont 2 mois après la parution au BODACC pour déclarer leur créances (sauf cas très spécifiques) auprès du mandataire judiciaire.

Autant dire qu’une personne physique, qui a acheté après la mise en redressement, savait les risques qu’elle prenait, et n’a strictement aucun recours pour être indemnisée pour le motif qu’elle invoque.

La seule possibilité (mais je n’y crois guère) serait de se tourner vers la compagnie d’assurance qui a accordé sa garantie.

Je crains que vous ne deviez renoncer à une indemnisation, n’en déplaise à Gillorayondo qui donne souvent de bons conseils, mais qui dans ce cas de figure montre qu’il ne connait pas grand chose au droit des entreprises quand il s’agit de mise en sauvegarde, redressement ou liquidation.

Je ne pense pas que vous donner de faux espoirs soit judicieux. Pensez aussi aux salariés qui vont perdre leur job, par rapport à votre petite demande d’indemnisation. La prochaine fois vous vous renseignerez sur la santé financière de l’entreprise avant d’acheter n’importe quoi sur le net. Infogreffe et le BODACC sont accessibles à tous, qu’on se le dise.

Bonjour,

Allez voir là :
https://www.pernaud.fr/info/info/60479/la-procedure-de-redressement-judiciaire

Vous confondez manifestement les créances antérieures à la mise en redressement judiciaire, couramment appelées “créances de l’article 50”, avec les créances nées postérieurement à la mise en redressement judiciaire.

Il est vrai qu’une simple demande d’indemnisation n’est pas une créance.

Mais un jugement définitif condamnant une compagnie aérienne à payer une indemnisation à un passager est une créance. Et si le jugement est postérieur à la mise en redressement judiciaire, ce n’est pas une “créance de l’article 50”

Cordialement

Rebonjour,

J’ajoute que vous semblez vous placer d’office dans une situation d’échec de la procédure de redressement judiciaire.

Pour ma part, je suis d’une nature optimiste tandis que j’observe que le résultat de cette entreprise était de - 18.947 keuros au 30/09/2013 pour un CA de 411.238 keuros.
Un an plus tard, au 30/09/2014 on observe une forte réduction du CA à 172.529 keuros, tandis que le résultat s’améliorait à

  • 12.234 keuros.

La principale charge des compagnies aérienne est le coût du carburant, tandis qu’il n’a échappé à personne que celui ci est en forte chute…

Par ailleurs, l’effectif qui était de 403 salariés au 31/12/2011 était de 311 au 30/09/2014 et est encore descendu au dessous de 200 salariés (chiffre début 2016).

Bien que mise en redressement judiciaire ( à sa propre demande en vue de faciliter les négociations avec des repreneurs potentiels) le 14 janvier 2015, et même si ça ne peut pas encore être complètement exclu, il n’est pas du tout dit que cette compagnie soit vouée à la liquidation.

Cordialement

ou l’art de comparer des choux et des carottes :

  • l’exercice 2013 portait sur 21 mois

J’ajoute, de mon côté, qu’à fin 2014 les fonds propres étaient négatifs, moins 29 M€. Ce n’est pas rien. Et ce n’est pas avec un résultat négatif de moins 12 M qu’elle risque de reconstituer ses fonds propres…

La période d’observation a encore été reportée et la reprise n’est pas en bonne voie. Je doute qu’un repreneur s’intéresse aux demandes d’indemnisation de quelques centaines d’euros. Courage à Mulo67, :slight_smile: l’espoir fait vivre.

Le 1er objectif d’une entreprise en redressement judiciaire n’est pas de reconstituer ses fonds propres mais simplement de fonctionner normalement, abstraction faite des “créances de l’article 50” (antérieures à la mise en redressement judiciaire). En effet, le redressement judiciaire a mis les créances de l’article 50 en sommeil.
Le poids de ces créances de l’article 50 est largement à relativiser, car non seulement elles sont mises en sommeil, mais encore, en cas de redressement réussi, leur paiement pourra être étalé sur une durée pouvant aller jusqu’à …10 ans!!!

Les nouvelles créances, nées après la mise en redressement judiciaire ne subissent pas ce sort.

C’est plutôt une bonne nouvelle ! Si la situation financière de l’entreprise était compromise de façon irrémédiable, elle aurait été mise en liquidation.

Pour revenir au sujet, je ne vois rien qui soit rédhibitoire à l’envoi d’un courrier recommandé (peut être deux) réclamant l’indemnisation due. Où est le risque ? Je n’en vois guère qu’un: comme presque toujours, la compagnie répondra qu’il est arrivé telle ou telle “circonstance extraordinaire” et, qu’en conséquence, elle n’a pas à indemniser.

Il faudra donc un second courrier recommandé, lui rappelant les textes qui contraignent à prouver les circonstances extraordinaires alléguées pour être exonérée de l’obligation d’indemniser, ou bien contester tout simplement le caractère de “circonstances extraordinaire” de ce qui est allégué, car le réponses sont souvent fantaisistes.
Par exemple, on m’a répondu que le retard de mon avion a été du à la nécesité d’attendre l’autorisation de décoller !!! Bien sûr, un tel motif n’est pas exonératoire, et la compagnie a du me payer l’indemnisation due.

Par contre, il y a une certitude : si on ne réclame pas l’indemnisation due, on n’aura rien !!!

Alors, ça vaut de “risquer” (si on peut dire ça !!!) le coût d’affranchissement d’un ou de deux courriers recommandés, avant d’aller plus loin, si besoin est.

Voir là : http://retardimportantavion.unblog.fr

Cordialement

Bonjour,

Le premier objectif d’une société en redressement judiciaire n’est pas de reconstituer ses fonds propres mais tout simplement de fonctionner normalement, les créance de l’article 50 (créances nées avant la mise en redressement judiciaire) étant mises en sommeil.

Le poids des créances de l’article 50 est d’ailleurs sérieusement à relativiser car si le redressement est positif, leur paiement pourra être étalé jusqu’à …10 ans !!!

Les créances nées postérieurement à lamise en redressement judiciaire ne subissent pas du tout le même sort…

Voilà plutôt une bonne nouvelle ! Si la situation financière de l’entreprise était irrémédiablement compromise elle aurait été plaçée en liquidation !

Pour revenir au sujet, je ne vois rien de redhibitoire à “risquer” (si on peut dire cela…) les frais d’affranchissement d’un courrier recommandé avec AR, voire deux, pour réclamer l’indemnisation due, avant, d’éventuellement, aller plus loin.

Voir là : http://retardimportantavion.unblog.fr

Une seule chose est sure : si on réclame pas, on est sûr de ne rien avoir !

Cordialement

Cordialement

Air Méditerranée est en liquidation, il n’y a pas de repreneur.

Bravo à la Gilloraymondo pour sa fine analyse financière, qui disait que le but d’un redressement n’était pas de reconstituer ses fonds propres. Perso je n’ai jamais vu une entreprise se redresser avec 29 millions en négatif, ni être reprise en injectant 5 millions…

Même sans boule de cristal la fin était prévisible. L’optimisme béat de ceux qui se présentent comme des spécialistes de la gestion d’entreprise me fera toujours marrer.
^^

Analyse plutôt péremptoire.

Si 29 millions de négatif est non redressable, que dire du déficit d’Air France alors … ?

Bonjour,
je confirme : une entreprise en redressement judiciaire n’a pas pour 1er objectif de reconstituer ses fonds propres. Le but d’un redressement judiciaire est de faire en sorte qu’une entreprise en difficulté fonctionne normalement, en mettant en sommeil les crénces de l’article 50, c’est à dire celles nées avant la mise en redressement judiciaire.

Si l’entreprise peut fonctionner normalement dans ces conditions, les créances de l’article 50 peuvent alors êtres étalées jusqu’à …10 ans!!!

Si l’entreprise ne peut pas fonctionner normalement dans ces conditions, le tribunal décidera alors de la liquidation judiciaire, situation radicalement différente de celle du redressement judiciaire, l’objectif étant complètement différent. Dans uncas, comme le dit la dénomination même, le redressement judiciaire a pour but de tenter le maintien de l’entreprise, si sa situation financière n’apparait pas déjà irrémédiablement compromise. Dans l’autre cas, comme le dit la dénomination même, il s’agit de liquider l’entreprise, sa situation financière ne laissant pas espérer la possibilité de redressement, même en mettant en sommeil les créances de l’article 50.

Les Juges des Tribunaux de Commerce aimeraient avoir, soit votre perspicacité, soit une boule de cristal : le redressement judiciaire est destiné aux entreprises dont la situation financière n’est pas irrémédiablement compromise, tandis que la liquidation judiciaire est destinée aux entreprises dont la situatuion financière est irrémédiablement compromise.

Donc, selon vous, les Juges du Tribunal de Commerce concerné, ont fait preuve d’optimisme béat en acceptant de placer cette entreprise en redressement judiciaire, au lieu de placer cette entreprise en liquidation judiciaire dès le début… Pourtant, ce sont les spécialistes mêmes de la gestion d’entreprises en difficulté…En plaçant cette entreprise en redressement judiciaire, les Juges ont donc présumé que la situation financière de l’entreprise n’était pas irrémédiablement compromise. Mais il est vrai que les Juges ont un gigantesque défaut à vos yeux : ils n’ont pas de boule de cristal qui aurait pu leur permettre de voir qu’il était inutile d’espérer un possible redressement.
En ce qui me concerne je n’ai jamais prétendu être Juge au Tribunal de Commerce, ni posseder une boule de cristal, et encre moins être un spécialiste de la gestion des entreprises : connaître la différence entre liquidation judiciaire et redressement judiciaire est particulièrement basique et donc à la portée de toute personne s’interessant un tant soit peu au droit…

Cordialement

Certes la dette et le déficit d’AF sont plus que conséquents, mais quand on fait un bilan on les met face aux actifs
capital avions,
capital immobilier,
possession de droits,
clientèle habituée voire captive, etc

Certes capital avion, immobilier, possession de droits, clientèle, etc, bien plus gros pour AF … mais déficit aussi bien plus gros !

Qui aurait prédit la faillite de PanAm, Sabena ou encore Swissair à l’époque ?

Et maintenant Dominique Gobert a publié un article qui laisse planer un sacré doute … : http://www.tourmag.com/La-Case-de-l-Oncle-Dom-le-pavillon-noir-flotte-sur-la-marmite-de-l-aerien-francais_a78815.html

Et l’énorme différence de la charge salariale d’AF par rapport à ses concurrents (salaires nets individuels élevés du PNC et charge horaire mensuel plus faible) ajoute un risque évident.
S’accrocher syndicalement aux avantages acquis n’est pas toujours salvateur de l’emploi, surtout quand la pénibilité et la dangerosité liées à celui-ci antérieurement s’est nettement améliorée et devrait justifier une révision salariale en conséquence déjà en vigueur chez les concurrents.

L’avenir nous dira jusqu’où cela tiendra face à la concurrence …

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