Au retour de notre voyage en famille dans le sud du Maroc

Forum Maroc

Cette vallée va vraiment nous surprendre et même nous époustoufler par la taille de ses oueds.


Parfois,ils se rejoignent…Et on n’ose pas imaginer ce qui se passe quand des torrents dévalent les pentes de la montagne. Ce doit être effrayant. Ici encore,on se sent infiniment petit.

Des villages sont bâtis de part et d’autre des oueds. Toujours en parfaite harmonie avec la montagne qui les entoure.


Les villages sont superbes mais très modestes dans ce décor gigantesque. C’est assez fascinant.

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Cette vallée va vraiment nous surprendre et même nous époustoufler par la taille de ses oueds.


Parfois,ils se rejoignent…Et on n’ose pas imaginer ce qui se passe quand des torrents dévalent les pentes de la montagne. Ce doit être effrayant. Ici encore,on se sent infiniment petit.

Des villages sont bâtis de part et d’autre des oueds. Toujours en parfaite harmonie avec la montagne qui les entoure.


Les villages sont superbes mais très modestes dans ce décor gigantesque. C’est assez fascinant.

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Et les villages sont nombreux, la plupart du temps bâtis de façon à profiter du soleil, parce que en altitude les hivers sont certainement rigoureux.
La vie n’y est sûrement pas facile. Les femmes lavent leur linge dans le peu d’eau qu’il y a dans l’oued.

A la belle saison,ça passe encore,mais l’hiver,ça doit pincer …

Et le linge sèche à même le sol.

Et le soir,à notre retour à la kasbah,Mohamed qui à un frère enseignant dans l’un de ces villages,nous explique que beaucoup d’hommes de cette vallée ont dû partir travailler dans le nord du Maroc, dans le bâtiment ou encore pour creuser des puits. La vie n’est pas toujours facile dans ces vallées reculées. Mais c’est exceptionnellement beau.

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Quelques images de notre promenade à pied dans ces petits villages de la vallée des amandiers.

Les enfants ont fait un petit bout de chemin avec nous et nous ont accompagnés quand on a demandé où on pouvait acheter des amandes.


Les ânes se restaurent après avoir rempli leurs tâches quotidiennes.

L’oued à sec est une vraie autoroute pour les gens de la vallée.


Les femmes sont souvent chargées de trouver à manger pour les animaux et de récupérer du bois sec pour faire du feu pour faire cuire le pain ou pour la lessive.

Et sur ces dernières images, je vous dis "à l’année prochaine ".

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Magnifiques photos ! Quel beau pays !
Excellente soirée de fin d’année à vous aussi.

Très bonne année à vous tous et plein de voyages !

Notre dernière journée à Skoura va encore être bien remplie.
Matinée le long du Dadès pour voir les gorges de Sidi Flah, puis à Afra pour voir les jardins.


Sidi Flah est à 7km de Skoura. Donc pas très loin,mais on a préféré y aller en voiture. En arrivant, vous avez les gorges et les jardins sur votre droite,et le village,un peu plus loin sur votre gauche.

C’est vraiment très joli et vraiment très calme. Les seules personnes qu’on y a croisé,c’était des villageois qui allaient au x jardins.

On a réussi à voir les petits écureuils mais on n’a pas été assez rapides pour les photographier.

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Merveilleuse année à tous, remplie d’émerveillement !

Autre village sur les rives de l’oued Dadès, Afra.
Petit village où les gens vivent de ce qu’ils produisent dans leurs jardins.
L’eau court partout dans cette oasis,un vrai jardin d’Eden.

C’est luxuriant…Et pas un bruit…seulement celui de l’eau qui court!


C’est un vrai bonheur de se promener au milieu de ces jardins.


Et dans l’après-midi, on s’offre une promenade dans la palmeraie de Skoura, maintenant on y a nos repères. C’est grand,mais on se repère déjà mieux que le 1er jour.

Et en soirée, Mohamed a pris rendez-vous avec le potier de la palmeraie. On y a en voiture,il faut traverser toute la palmeraie, à 7 ou 8 km du gîte.

Le potier nous explique son travail et nous donne un petit échantillon de tout son talent avec beaucoup de gentillesse et d’humour. Il propose même aux enfants de mettre la main à la pâte. Pédagogue et chaleureux. Un homme charmant !

Et les poteries sont vendues chaque lundi au souk de Skoura.


Avant de nous laisser repartir, Mohamed, le potier,nous offre le thé que nous partageons avec sa femme et ses enfants.
Un grand souvenir que ce moment partagé avec le potier de Skoura.

Il fait déjà nuit quand nous reprenons le chemin de la kasbah. Heureusement que Mohamed nous accompagnés chez son ami le potier. Retrouver son chemin dans la nuit,ce serait une autre histoire !

Merci Kélyah pour ces lumières et ces couleurs qui nous réchauffent en ce début janvier.
J’attends de voir la suite.

Je vous remercie.
La suite viendra mais j’ai moins de temps maintenant que le travail a repris. Alors, je vais essayer d’y consacrer un peu de temps le week-end.

On va prendre notre mal en patience alors !

Dernière soirée à Skoura dans cette famille tellement chaleureuse où nos enfants se seront fait des amis . Quelle chance pour eux d’avoir partagé les jeux d’Abdessamad et de sa petite soeur!
Dîner couscous ,un couscous savoureux préparé par Ghislane, un vrai cordon bleu. Un grand merci à tous les 4 pour votre accueil.


Et c’est à Tinghir qu’on s’en va poser nos valises, les palmeraies nous fascinent.
L’auberge Todra Panorama à des chambres disponibles. Donc,on s’y installé avec grand plaisir, juste au-dessus des la palmeraie.


L’accueil est chaleureux et la vue exceptionnelle.

La soirée sera douce…
Et le petit déjeuner du lendemain sera un plaisir pour les yeux et pour les papilles.

Matinée dédiée à la découverte de la palmeraie, à pied,parce que c’est plus petit que Skoura…




C’est très vert,l’eau est abondante.

Et ensuite,on prend la voiture pour aller jusqu’aux gorges. On déjeune à l’entrée du site et puis on s’enfonce dans les gorges.


Quelques promeneurs mais peu de touristes.
On est surpris par la fraîcheur qui règne ici.
Les parois abruptes ne laissent pas beaucoup de place au soleil.

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C’est un plaisir de voir et de revoir tout ça ! Que de bon souvenirs !

Merci de nous faire replonger dans ces paysages fabuleux. A Tinghir en 2015 pour un mariage (éprouvant quant à la durée ) que de bons souvenirs ! Il nous tarde aussi …

Et oui, il me tarde de retrouver la lumière du Maroc, les odeurs du Maroc, les couleurs du Maroc. Ras le bol de la grisaille !

On se prend à espérer nous aussi…On espère voir enfin le bout du tunnel.

Après ces deux nuits passées à Tineghir, les enfants sont impatients de partir pour découvrir le désert de sable.
Et dès la sortie de la ville de Tineghir on croise une caravane de dromadaires… Une mise en bouche avant Merzouga.


Ils transportent des marchandises. Ce sont sûrement des nomades.

Sur les bas côtés, on voit de nombreux puits alignés et très proches les uns des autres. On s’arrête en voir un, mais il est en partie en sablé.
A Skoura, on avait eu l’occasion d’en voir lors de notre promenade dans la palmeraie avec Mohamed. Il nous avait expliqué cet ingénieux sys qui permettait d’approvisionner toute la région en eau.


On traverse d’immenses déserts de rocailles.On voit que parfois, on a essayé de faire un peu de culture avec plus ou moins de réussite.

Et puis on s’approche de Merzouga.
C’est beau. Les couleurs sont surprenantes.

merci pour la suite de votre périple et vos commentaires toujours très vivants ! On aime !
(je me permet de dire “on”, parce que je sais qu’on est plusieurs ici à vivre ainsi la lecture de vos posts :slight_smile: )

Pour votre 3e photo, avec les sortes de roseaux secs, je ne sais pas si le cas ici, mais il pourrait s’agir d’une méthode de lutte contre l’ensablement de certains coins soumis aux vents. Il s’agit de mettre en place une barrière qui limite (sans empêcher) la formation d’ensablement trop conséquent, pour protéger des cultures, puits ou autres. ça aide à fixer le sable.
Il y en a pas mal autour de Merzouga, mais ce sont souvent des roseaux tressés de façon plus ou moins serrés, sur plisuers mètres/dizaines de mètres de longueur… et que j’ai vus être eux-mêmes de plus en plus ensablés au fil des ans.

J’attends avec impatience vos prochains commentaires et photos :slight_smile:

“On” est parfaitement approprié en ce qui me concerne…belles photos et vos commentaires simples reflètent bien votre ressenti à la vue de ces paysages ou lors de vos rencontres

Dès en arrivant, on laisse nos bagages à la maison d’Hassan tellement bien placée devant les dunes. Et l’accueil est très agréable.
Les enfants ont besoin de bouger et de se dépenser. Ça tombe bien, il y a de la place.


Pendant que les enfants font le tour du propriétaire, on organise notre journée du lendemain.
D’abord une excursion en 4x4 dans les vieux villages autour de Merzouga. Et en soirée, départ à dos de la pour rejoindre le bivouac et passer une nuit sous la tente. Beau programme !

Et comme on est tous impatients de fouler le sable du désert, on ne tarde pas à s’échapper dans les dunes.


Le sable est d’une finesse incroyable, comme de la poudre ! On ne s’attendait pas du tout à ça.
Quelle découverte !

Notre 1ère nuit, on va la passer dans une chambre bien douillette. Et on va rêver de caravanes dans le désert ! Mais ça ce sera pour demain !

Tout le monde est debout de bonne heure !
Tout est encore plus ou moins endormi au village.
On doit être les 1ers au petit déjeuner…

Et puis c’est le départ !
Des espaces immenses, des cailloux à perte vue.
Et plus de bitume ! Des pistes ! Et parfois des dromadaires au milieu de nulle part.


Arrivée dans un village. De toutes petites maisons de terre qui parviennent à garder un peu de fraîcheur à l’intérieur.


Avec de toutes petites fenêtres qui laisse à peine passer la lumière. Et le couscous qui nous attend, cuit à même la terre, à l’intérieur de la pièce. Et franchement délicieux !

Recherche de fossiles avec les enfants, une vraie chasse aux trésors…

Jolie découverte que ce carnet sur le sud marocain ! Merci de le partager !

Et ce couscous dans le désert, c’est génial !

C’est toujours un plaisir de lire les commentaires sur la première découverte de Merzouga , ce site ne laisse personne insensible , même s’il a beaucoup changé .

A 17h30, on rassemble un minimum d’affaires pour partir bivouaquer et on rejoint nos dromadaires.
L’accompagnateur nos donne quelques conseils et nous aide à nous installer sur nos montures. Tant qu’elles sont assises, ça va. Mais quand elles soulèvent l’arrière-train pour se mettre debout, on a intérêt à bien se tenir parce qu’on bascule rapidement vers l’avant. C’est impressionnant ! Et quand le dromadaire est debout, on se sent tout petit, parce que c’est haut sur pattes ces bêtes là !

Mais une fois ces surprises passées on est prêts à partir ! Impressionnés mais contents !

On s’éloigne du village pour s’avancer tranquillement dans les dunes. On n’est pas les seuls à quitter le village à cette heure là…


C’est fabuleux ces paysages !
On aperçoit d’autres caravanes qui avancent elles aussi d’un pas tranquille. On a vraiment l’ impression d’avoir changé de monde ! On est vraiment ailleurs !

Les accompagnateurs sont les seuls à marcher dans le sable. Ils vont à pied !
A notre arrivée au campement on laisse nos dromadaires un peu à l’écart et on retrouve le contact avec le sable et pas avec le plancher des vaches. Mais on marche difficilement au début. Plus d’une heure de dromadaires, c’est plutôt inconfortable quand même ! Alors on a besoin de de se dégourdir les jambes !
Et pour cela, rien de mieux que d’escalader la colline de sable pour aller profiter du coucher de soleil. C’est somptueux ! Magique ! Mais ça se mérite !

Merci de nous faire voyager et raviver nos souvenirs. Découvrir les dunes une première fois c’est tout simplement magique et les fouler toujours et encore un grand plaisir.

Oui,le désert c’est magique!
On en profite jusqu’à la nuit noire.
On n’a pas froid.
On dîne dehors sous le ciel merveilleusement étoilé.
Après le repas ,la soirée se prolonge en musique et en chants.
Mais les enfants tombent de fatigue. C’est normal. Grosse charge émotionnelle aujourd’hui.
Une bonne nuit de sommeil va remettre tout le monde d’aplomb.
Et le lendemain, petits et grands sont prêts pour voir se lever le soleil, avant de retourner au village, perchés sur nos dromadaires.

Le vent laisse de jolies réalisations dans le sable…On se demande comment ça tient…le sable est si fin!

On se rend compte qu’on n’est pas tout seul. Des petits animaux vivent dans le désert. De nombreux petits insectes mais pas seulement.
Ici,c’est une petite bête un peu plus grosse qui a essayé de creuser un trou…pour se cacher…

En me promenant dans les dunes j’ai vu un petit fennec , curieux ce dernier n’est pas parti de suite et nous a regardé un bon moment avant de repartir à ses affaires .

Le fennec ( petit renard du désert) se nourrit essentiellement de gerboises, de lézards ainsi que des insectes, principalement des criquets du désert. Bien que carnivore, il mangé également plusieurs sortes de plantes et de fruits du désert. Animal nocturne, il dort principalement le jour et cherche sa nourriture la nuit.Malin , lorsque la température du sable atteint les 70 °C à la surface, le fennec creuse jusqu’à deux mètres de profondeur pour se mettre à l’abri.

Merci beaucoup Hannah de partager vos connaissances avec nous. C’est intéressant d’en apprendre un peu plus sur la vie dans le désert. C’est super.

Retour vers le village.

Petite promenade dans l’oasis du village,surprenant de la voir aussi verdoyante.Et en revanche, le village est très très sec. Le petit âne ne trouve pas grand chose à manger.

Et on laisse le désert de sable pour retourner vers Rissani. On prend le temps d’y faire un petit tour pour voir le pittoresque marché de dattes.



Le désert exerce toujours la même fascination sur les petits comme sur les grands ! C’est vrai que c’est magique !!!

Et puis on reprend la route jusqu’aux gorges de Dadès .
On a trouvé une petite auberge dans les gorges…On y est en début d’après-midi, ce qui nous permet d’aller marcher avec Ali,un guide de la maison.


C’est spectaculaire, ces formes sont incroyables!
Et on monte toujours plus haut !


Avant de redescendre au niveau de la rivière et de retrouver la végétation.


Deux heures et demie de marche avec un joli dénivelé ça fait le plus grand bien à tout le monde.

On passe une belle soirée, l’auberge est agréable, le décor est vraiment sympa…
Le lendemain on décide de s’enfoncer un peu plus loin dans les gorges de Dadès mais en voiture cette fois.


De très belles kasbahs se dressent encore dans la vallée.
Des petites boutiques proposent toutes sortes de tissus colorés.

Des transports individuels ou collectifs…


Une route plus impressionnante que dangereuse qui monte à l’assaut des sommets…


Et une gigantesque tortue que les enfants ne sont pas prêts d’oublier !


Des canyons extraordinaires !


Et seul au milieu de cette immensité,la présence inattendue d’un berger!

Merci ,

j’ai toujours plaisir à voir des photos de ce lieu .
Belles photos de plus ce qui ne gâche rien .

cordialement , Hannah

Pour un 1er voyage, c’est réussi… Et le reportage est très agréable à lire. Super !

Après cette incursion dans le Dadès on va amorcer notre retour vers Marrakech. On veut s’en rapprocher tranquillement en faisant encore une étape à Aït Benhadou. C’est une route où on est déjà passé à l’aller et qui se fait très bien.

On est à Aït Benhadou assez tôt dans l’après-midi.
On va directement à la kasbah Valentine,bien située au milieu du village. Impeccable et proche du ksar.
Bien conseillés par notre hôte,on ne tarde pas à partir à la découverte de celui que certains appellent le mont St Michel du Maroc. Il est construit à flanc de colline et domine un oued à sec.


L’ensemble est en très bon état ! Mais peu habité!

Un grenier collectif domine le tout,construit au sommet de la colline mais on n’a pas eu la possibilité de le visiter.

Et dès le lendemain matin on repart en direction de Marrakech.
On traverse un village de terre et de superbes kasbahs où des cigognes ont élu domicile.

Il pourrait s’agir du village de Tamdakhte,peu après Aït Benhadou en allant vers Télouet.

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