Un début de séjour à l’intérieur des terres et dans les montagnes…
Les sollicitations à consommer se font respectueusement…
À part à proximité des lieux sacrés où la forte affluence touristique attire les opportuniste de tout horizon, et probablement le fait d’avoir un guide local pour un groupe de 10, la sensation d’être un porte monnaie ambulant ne se fait fait pas trop ressentir. A part les éternel attentes de pourboires pour des guides supplémentaires et inutiles pour chaque nouveau lieu de balade ou presque… Mais bon, pas pire qu’au Maroc.
Arrivé à Hikkaluwa, sans le guide, c’est déjà bien plus stressant .
Mais l’inadmissible qui fait froid dans le dos, c’est quand on découvre a côté de notre coin de baignade, où des tortues côtoient les nageurs, un canal d’eau usée fraîchement re-creusé dans le sable pour laisser s’évacuer des eaux usées infestant l’égout directement dans la zone de baignade où les écoles de surf côtoient les transats des hôtels… Seul un barrage bloque les déchets flottants à la surface et les eaux noirs et puantes s’écoulent dans l’eau de mer sous l’indifférence générale !
Je ne sais pas si je pourrais partager la vidéo prises, j’ai créé mon compte ici pour partager mon indignation et en espérant que la baisse de fréquentation de tels lieux permette un changement.
Pour l’instant, c’est d’ailleurs plus une station balnéaire pour russe qu’une carte postale Sri Lankaise.