CARNETS DE VOYAGE 19 ET FIN Playa Del Carmen

Forum Mexique

(Suite des carnets 18)

19

Hier soir, malgré le « all inclusive » de Xel-Ha (dont nous n’avons pas abusé car nous étions toujours dans l’eau…si tout le monde fait comme nous, finalement, ç’est plutôt rentable leur formule), nous avons du combler notre petit creux dans l’unique crêperie de Tulum. Cela a la couleur, l’apparence de la crêpe française…mais la comparaison s’arrête là. Bien fait pour nous. Le nutella lui, est international et ça me fait du bien de le retrouver.
Nous ne nous sommes pas éternisé pour notre dernière soirée à Tulum et sommes rentré assez vite au Don Diego, car une journée passée dans l’eau surtout après les repas, j’allais dire « laisse des traces » enfin « travaille » l’organisme et ressentant quelques petits dérèglements au niveau digestif, nous avons préféré, (bien fatigués il faut le dire) nous coucher.

Ce matin, après un copieux petit déjeuner (avec un petit gâteau différent à chaque fois et confectionné, nous dit-on, par Stéphane), nous quittons l’hôtel. Auparavant, (ça sert d’être dans un établissement tenu par des français !) ils auront, à notre place, effectué la confirmation du vol retour auprès de la compagnie Corsaire.

Nous voici en route pour la dernière étape de notre autotour : Playa del Carmen située à une soixantaine de kilomètres en remontant la Riviera Maya et à quarante-cinq kilomètre encore avant l’aéroport de Cancun.

Le Paraiso Azul que j’ai réservé se situe au cœur de la ville. A la fois près des plages et à deux pas de la 5ème avenue, artère piétonne qui offre une succession de petites boutiques, restaurants et bars musicaux…C’est sûr qu’ici, ce n’est pas la même ambiance qu’à Tulum et c’est pourquoi je l’ai choisie pour notre dernier jour.

C’est une Suisse parlant français qui nous accueille dans son établissement pourtant très mexicain. Une oasis de charme, verdoyante, croulant sous la végétation qui coupe les bruits de la ville. Bizarrement, ce sera plus calme qu’au Don Diego. Les chambres sont claires, spacieuses avec de grands lits 160 pour chacun…De ma fenêtre en posant les valises, j’aperçois par la fenêtre un pan en liberté…

L’hôtel nous donne un passe-droit pour accéder aux transats de la plage privée d’un autre hôtel en front de mer. (l’hôtel Del Mar) (original, on ne risque pas de le perdre, celui-ci) Nous y allons de suite. La Suisse, très accueillante (et peut-être bien intéressée au pourcentage), nous y a recommandé le restaurant, très bon parait-il.
Après avoir retenu notre transat auprès d’un placeur (on est loin des plages désertes de Tulum, les transats se touchent, alignés sur plusieurs rangs…) nous nous attablons au petit resto contigu. Nous renouons avec les spécialités locales en choisissant des enchiladas et mangeons en effet très bien, les pieds dans le sable…

Nous passons l’après-midi à farnienter sous notre parasol.

Nos oreilles sont bientôt attirées par des voix françaises chantant. C’est un couple de petits jeunes qui passant de transat en transat, se plantent devant ceux qui le désirent pour entamer une ritournelle de leur composition et se faire ainsi quelques sous. Le garçon joue de la guitare et la fille semble enceinte. Ils s’arrêtent à côté de nous et une famille mexicaine très sympa veut tout savoir d’eux et finit par leur offrir des rafraîchissements. Puis, c’est notre tour. Ils chantent et s’assoient dans le sable pour discuter quand ils apprennent que nous sommes français et que avons des fils qui chantent et jouent aussi de la guitare. Ils sont au Mexique pour trois mois et, afin de se payer leur voyage, se sont improvisés chanteurs de plage. Ils viennent du Chiapas et n’aiment pas trop Playa Del carmen. Surtout les américains qui les écartent d’un geste comme s’ils chassaient des mouches. Ce petit couple est adorable. Nous leur souhaitons bonne chance après leur avoir donné quelques pièces.

Je ne me baigne pas, toujours dérangée pas les excès de trempette de la veille. A un moment, j’ai tellement chaud que je tente une immersion rapide et tandis que je m’adresse à Gilbert avec moi dans l’eau, j’entends un cri (le cri d’une otarie accouchant d’un tesson de bouteilles) : « Des françéééééés !!! » .Je me retourne. Une caricature de Christiane des Bronzés (Dominique Lavanant) est derrière moi, bouche en cul de poule et lunettes blanches grosses comme des hublots). Mon Dieu, quelle chance, vous êtes francèèèèèèèèèès ! »
Les premiers qu’elle voit en dehors de son hôtel dans lequel elle est depuis une semaine !
Oui, heu…nous sommes français…c’est pourquoi ? Non, je rigole, je suis plus sympa. Je m’exclame à mon tour « mais que le monde est petit ! ». J’ai le bedon dans l’eau et suis pressée de sortir…Pas envie d’être à nouveau détraquée…Mais Christiane continue…et de me décrire sa sortie de la veille en jeeeeeeeep ! et de me décrire ses sensations sur ce Mexique foooooormidable ! et j’en passe et des meilleures…et pendant ce temps, ça commence à gargouiller sec et je dois me sauver sous ses yeux ébahis pour demander des toilettes.

En fin d’après-midi, nous irons faire un tour de ville. L’avenue est grouillante d’activité.

Le temps est de plus en plus lourd. Nous accomplissons ce que nous croyons être nos derniers achats. Je dégote un joli tapis pour Florian après ferme marchandage. Enfin un qui se tienne bien car ceux que je rencontre habituellement ont la consistance molle d’une couverture.
Je rencontre des anges insolites que je photographie pour Anna.

En général, tout est plus cher ici que partout où nous sommes allés au Mexique. Qu’est-ce que ça doit être à Cancun ! Il y a des vendeurs de hamacs pleins les rues mais nous décidons de nous rendre à la fabrique que nous a conseillé Stéphane. Nous avons l’adresse sur un bout de papier.
Tandis que nous nous dirigeons vers l’avenue en question, bien en retrait du centre ville, un orage s’abat soudainement. Il se met à pleuvoir des trombes d’eau et la rue se change bientôt en torrent. Nous hésitons à rouler car l’eau atteint presque le haut des roues car il n’y a pas de bouches d’écoulement ou c’est qu’elles sont bouchées…
Sous la pluie diluvienne, impossible de se repérer…Nous refaisons plusieurs fois le même trajet sans trouver la fameuse fabrique de hamacs.
Nous rentrons bredouilles et retournons à l’hôtel nous préparer pour le soir. Nous aurons seulement eu deux averses pendant notre séjour, le premier et le dernier jour…
L’orage a cependant été si violent que l’électricité s’en trouve coupée…Pas de partout mais notre hôtel y a droit. Ce qui signifie que la clim est coupée…et la chaleur devient vite insupportable. Une fois prêts, nous quittons notre chambre pour regagner la rue encore toute ruisselante. La pluie s’est calmée et l’atmosphère dehors, s’est à peine rafraîchie.
Nous irons boire une téquila-orange dans un bar musical dont on nous a donné l’adresse sur la plage.
Nous profiterons de notre dernière soirée, en arpentant les rues animées. Parcourerons inlassablement les boutiques de souvenirs ouvertes jusqu’à 11 h du soir car c’est le moment où jamais… Nous dînerons d’une crêpe au nutella malgré tous les restos alentour car nous n’avons pas faim et n’avons envie de rien d’autre…J’ai envie de musique latino, de me trémousser sur un air de salsa mais ce qu’on entend dans les rues, déversées par les bars ou boites de nuit, ressemblent d’avantage à des tubs américains …Si, là, en pleine rue, je vois un couple se déhancher sur une musique latino…ça me donne trop envie…Mais je donnerai ma main à couper qu’ils sont français… Finalement, nous rentrerons sans avoir danser et je suis un peu déçue.
Nous rentrons à tâtons car l’électricité n’est toujours pas revenue. Et la Suisse qui n’est pas là. Probablement, chez elle, à l’extérieur de la ville, sa chambre toute lumière allumée !
La chambre sans clim est étouffante et je la trouve beaucoup moins accueillante. On doit ouvrir les fenêtres et je m’endors avec les clameurs de la rue.

Le lendemain, nous allons petit-déjeuner sur la plage à l’hôtel del mar. Il y a déjà des gens qui se baignent. Faut dire que la température de l’eau ne doit pas tellement redescendre pendant la nuit. Ici aussi, c’est copieux et excellent. Notre dernier petit dej mexicain…

Nous allons en quête de notre fabrique de hamacs non trouvée hier. Après moult renseignements auprès des habitants, nous trouvons enfin. Nous ne regrettons pas. IL y a le choix, et les prix sont plus bas qu’en ville. Nous en prenons 4 dont deux pour nous. Un long matrimoniaux et un qui fait siège. Nous nous inspirons en qualité de ceux que nous avons tant testé et aimé dans les hôtels. C’est-à-dire avec une maille bien resserrée et avec beaucoup de fils afin qu’ils ne blessent pas le dos. Nous espérons pouvoir les passer à l’aéroport en bagages indépendants de notre valise.

Nous retournons à l’hôtel del Mar pour le déjeuner, on y mange bien et nous sommes bien sur la plage à l’ombre des palmiers. Nous croisons des mexicains qui jouent de la musique dans la rue ou devant les restaurants pour gagner quelque argent.

Attablée face à la mer, j’hésite à me baigner car nous avons rendu la chambre de l’hôtel et je n’aurai rien pour me doucher avant l’aéroport. (et nous n’arriverons que demain après-midi ). Je résiste, résiste mais c’est bien tentant…Je vais cependant me mettre en maillot de bain dans les toilettes du resto. Puis je me rhabille en tenue de ville pour y retourner.
Nous passons le début d’après-midi à refaire les boutiques que nous connaissons par cœur mais que faire d’autre ? Finalement, comme nous crevons de chaud, nous retournons sur la plage pour nous attabler à l’ombre d’un cocotier. Là, avec le vent et une agua fresca glacée, c’est nettement mieux. Nous allons rester là et n’en plus bouger jusqu’à 18 h, heure de notre départ à l’aéroport.
Cette fois, je ne peux plus tenir. Je vais me rechanger aux toilettes et me jette dans la mer émeraude…Tant pis que je rentre pleine de sel, ça vaut le sacrifice….Et une dernière fois, je m’immerge dans cette eaux translucide et chaude, sous les yeux amusé se G qui lui, ne quittera pas son ombre, et je pique une tête inlassablement, m’abreuvant de ce paysage paradisiaque, gravant en moi à jamais, ces moments inoubliables passés au Mexique


1000 mercis Miel il manque juste les photos mais tres beau récit a bientot j’espere pour un autre voyage.

De rien, jean-paul, tu sais mes carnets, je crois que vous n’êtes que 2 à les avoir lus…(lol)…et effectivment , j’ai truffé mon récit de photos ce qui est ainsi plus agréable à consulter, l’ennui, c’est que c’est tellement lourd que je ne peux l’envoyer à personne à part en le mettant sur CD…
Mon mari me dit que 'jai travaillé pour rien et que tout le monde s’en fout…alors ça me fait plaisir des messages comme le tien…Bonne journée, miel

Ne crois surtout pas cela au contraire je suis certains que tes carnets ont ete lus par de nombreuses personnes et surtout qu’ils ont éte énormément apreciés mais bon manque de temps peut etre pas de le temps de laisser 1 commentaire de toute façon sache j’ai aimé peut etre parceque je me revoyais au Mexique encore bravo et merci.Jean-Paul.

je suis d’accord avec j-paul! tes carnets ont surement ete lus par bon nombre de foromeurs!
Ce qui m’embete le plus, c’est que ce soit fini! je les attendais avec impatience tes carnets! je vais m’ennuyer maintenant…
En tout cas merci pour ton travail!
(je ne suis pas routard dans l’ame mais tu m’as donné envie de faire votre voyage! )

J’ai adoré, merci beaucoup.

Des lecteurs !
je croyais écrire dans le vide.
Si vous avez aimé ce que j’écris, sachez que dans le même style j’ai écris un recueil de nouvelles qui paraitra en octobre aux éditions Après la lune. ce sont des petites nouvelles sur l’univers impitoyable de l’hôpital…le titre : Hopital, même pas mal ! Envoyez moi votre mail privé pour que je vous réécrive lors de la parution…Bonne prépa de voyage !

bonjour,
je pense que nous sommes plusieurs à les lire, je me régale tous les jours et j’ai attendu la suite avec impatience.
Cela fait cinq fois que nous allons au Mexique et nous y retournons encore en décembre, je ne m’en lasse pas.
Bon courage pour le retour.
Pattou
PS je pense que je vais vous demander deux ou trois précisions pour les hôtels où vous êtes allés

Bonjour Miel,
je suis la Muriel un peu plus agée que toi et mariée depuis plus longtemps que toi (35) , tu me situes ?
tu m’avais envoyé ton iti et j’attendais avec impatience ton retour!
et ensuite j’ai lu avec avidité tes carnets et je t’en remercie vivement!
tu dira à ton G de mari qu’il n’y connait rien, mais les G sont ainsi le mien aussi c’est un G (Guy). je crois que tous les gens du forum (Mexique) attendaient avec impatience la parution de la suite de votre aventure … et même que j’ai failli réclamer le dernier volet car je trouvais que c’était long à venir!!!
Je te redonne mon adresse mail car je suis preneuse de la date de parution de " L’hopital, même pas mal".
Pense bien à nous qui partons le 6 juillet prochain pour 3 semaines, mais en bus!
A bientôt et encore un grand merci
Muriel
murielbresnu@hotmail.com

Bonjour Muriel !
IL y avait 3 Muriel qui m’écrivaient…Je n’ai pas toujours su à laquelle des trois j’écrivais, et avant de m’en aperçevoir je me disais, mais je radote, elle m’a déjà demandé ça ! mais là, je te situe à cause des 35 ans de mariage…
Aujourd’hui tous ces messages me font chaud au coeur, car quand même, écrire 19 épisodes sans presque de retour, il y avait quoi se décourager (à part Jean-Paul et une autre Muriel). D’ailleurs, les 2 derniers ont failli passe à l’as justement à cause de la reflexion de mon G…En tout cas je suis contente si ça peut servir à d’autres, moi, je me suis largement inspirée du forum.
Et oui, c’est déjà passé, mais les souvenirs fournissent de quoi rêver comme lorsqu’on est en phase de préparation…
Je garde précieusement ton adresse pour t’envoyer un mail lors de la parution, car comme c’est une petite maison d’édition, je compte sur le bouche à oreille à la place de la pub…Et je penserai à toi en juillet…Dis donc, c’est pour bientôt et 3 semaines, ça vaut le coup (beaucoup de carnets à écrire en rentrant ! (lol) ! Vas-tu à tulum ? A bientot Miel

j’ai lu tous les carnets et moi aussi j’attendais la suite avec impatience!c’est vraiment super de nous avoir fait partager tous ces moments!félicitations pour tout le travail que ça représente.en tous cas moi je me suis régalée et je pense qu’il y a beaucoup de monde dans ce cas.encore bravo c’était génial!!!

Bonsoir Miel,
Je te réponds sur le forum, pour te dire, comme tous les autres : BRAVO pour tes carnets de voyage et comme les autres j’attendais les épisodes avec impatience ! Je compte sur un mail lors de la parution de ton livre. Merci de nous avoir fait partager tes souvenirs et j’espère que Muriel B nous les fera partager également.
Anne

Tout d’abord Bravo pour ce récit. c’est riche et drôle. Je cherche une idée de voyage de noce et là tu m’as presque convaincue.
Mon hésitation vient de 2 points : 1) n’est-ce pas trop touristique? n’a-t-on pas trop souvent l’impression d’être dans des usines? est-ce qu’on croise plus facilement des touristes que des mexicains?

et ma 2ème hésitation tient à la route: n’est-ce pas trop fatigant? n’a-t-on pas l’impression au bout du compte d’avoir passé le plus clair de son temps enfermés dans une voiture? (perso je n’aime pas)…

d’abord merci pour tes compliments, ça fait toujours plaisir…surtout qu’au début j’avais l’impression d’écrire dans le vide…
Je réponds dans l’ordre. Touristique ? il est évident que les endroits les plus beaux sont les plus prisés…L’astuce, y aller (je pense aux sites mayas) avant le flot des touristes soit à 8h du mat. Si vous préférez la tranquillité et les lieux plus sauvages pour la plage, n’allez ni à Cancun, ni à Playa del carmen mais plutot à Tulum et aux endroits comme Cesiak ou Bacalar…De cette façon, nous n’avons jamais eu l’impression d’être dans une “usine”, même à Xel-ha qui est réputé pour être archi-touristique car nous étions toujours dans (sous) l’eau…Dans le site de Palenque, il y a évidemment un peu de monde mais pas plus que vers n’importe quel site mondialement connu comme les piramides d’Egypte par exemple, et bien comme je le raconte dans mes carnets, nous nous sommes mis un moment à l’écart dans la jungle pour nous ressourcer et apprécier le “calme” (beaucoup de cris d’animaux mais c’est génial) de l’endroit;
Ca dépend aussi énormément de l’époque où tu vas faire ton voyage. Evidemment si c’est aout…comme de partout, il y a plus de monde. En mai, c’était vraiment génial…

la route maintenant. Nous avons fait en tout et pour tout : 2800 Kms. Moi aussi, je déteste être assise en voiture, mais je déteste avant tout les voyages de tours opérateurs, on l’on fait beaucoup de bus pour peu de visites…
Encore une fois, il n’y a pas de miracles, pour voir du pays et ben…il faut rouler…J’ai simplifier le trajet au maximum pour éviter les kms. Par exemple, d’après ma préparation de voyage (que je peux t’envoyer si tu m’envoies ton mail en privé), il y a des endroits comme Celestun que nous n’avons pas fait car nous en avions marre de rouler. Il y a des sites que nous n’avons pas faits car nous n’en avions pas envi…d’autres choses se sont rajoutées non prévues…et c’est ça qui est bien : Préparer une trame et la suivre avec souplesse en s’accomodant aux imprévus.
C’est sûr que le soir, levés tôt, ayant marché, bourlingué et beaucoup nagé (car dans ce programme il y a baignades quotidiennes, soit en cénotes, soit à la mer et à défaut en piscine (car nous adorons l’eau)…il n’y avait pas la place pour faire la bamboula…je suppose que vous êtes jeunes puisque vous vous mariés quoique ça veut rien dire, bref ! nous on a la cinquantaine Hé Hé, ça se connait ! Si tu as lu mes carnets depuis le début, tu as du te rendre compte qu’on avait pas mal de temps repos, lecture, piscine…je n’aurais pas voulu autrement. Surtout la dernière semaine où l’on fait très peu de kms et qu’on farniente beaucoup sur les plages…
Les touristes, on les croise mais on y fait pas attention, par contre il ne faut pas hésiter à provoquer la discussion avec les mexicains à la moindre occasion et utiliser le peu de mots qu’on connaisse. Ils adorent les français et nous le font sentir !
N’hésites pas, c’est un super voyage dont tu te souviendras ! miel

nous attendions avec impatience les derniers carnets!
nous sommes comblés:des infos détaillées ,de l’humour;c’est ce que nous avons lu de mieux sur le Mexique.

notre départ se rapproche,tant mieux
merci
otifil

Bonjour Mel,
Tes carnets de voyage sont vraiment magnifiques, ça donne envie d’y aller!!!
Tu peux me dire exactement où tu as acheté tes hamacs à Playa del Carmen et à quel prix si tu te souviens?
Je te fais de gros bisous et encore merci pour ces beaux récits!
Falbala

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