Nous reviendrons en Namibie!

Forum Namibie

Bonjour,
Là n’est pas exactement le problème!
Le projet se localise à 4h de route de chez Marius. L’association fédère plusieurs chefs de villages.

Pour résumer un peu court :
Il considère que ce n’est pas souhaitable d’offrir un puits aux Himbas sans les faire participer financièrement. " Les Himbas ont des troupeaux, donc ils peuvent payer…"
Sauf que…( peuvent- ils vraiment vendre des bêtes?)

La question serait plutôt : comment éviter d’en faire des assistés, comment les impliquer davantage et leur donner plus de responsabilités dans le développement économique de leur communauté? La difficulté : en ont- ils vraiment envie, et comment préserver leur culture?

La discussion est intéressante.
Cordialement,
Patou

Bonjour,

Les effets des changements sont toujours compelxes à appréhender. Construire un faciliteur de vie peut de venir un éloigneur des pratiques passés. En général, il y a des partisans et des opposants… Certains voulant ne rien changer et d’autres tout…

L’important, c’est de respecter les envies des locaux et de ne pas leur imposer les nôtres. Les aider financièrement dans leurs projets mais sans gérer le chantier, l’ingènieurie…

Membre de Mayacoeur agissant au Guatemala, je peux te dire que chaque action financée (en partie ou totalement) soulève ces questions… Par exemple, construire un pont c’est rendre les entrées / sorties plus faciles - donc les entrées peuvent être plus nombreuses et les envies de partir voir ailleurs plus grandes… Du coup, l’envie de vivre de manière traditionnelle peut baisser…

Bref, comme dans tous endroits sur la planète, les choses changent et certaines/certains le craignent alors que d’autres s’en réjouissent. Rien n’est figé nulle part…

En l’espèce, je pense que si des hébergements (campings et autres…) se construisent dans des villages himbas, il y aura du monde pour y aller, vu le nombre de personnes désireuses de les rencontrer… Sera-ce mieux, moins bien pour la majorité des concernés, nul ne le sait… C’est un pari sur l’avenir…

Madikéra

Bonsoir à toi,

Oui en effet la discussion est vraiment intéressante.

Je dois dire en plus que je partage totalement l’avis de Marius.

Les Himbas doivent participer au projet. On a trop tendance de créer des assistés. Je ne parle pas seulement pour ce peuple. Je connais beaucoup d’autres exemples.
Si ces gens ne s’impliquent pas financièrement tout va partir rapidement en vrille. Les villageois ne s’occuperont pas de la maintenance du puits… Ces blancs vont bien en refaire un autre!!!

Je l’ai vu de mes propres yeux au Ruanda!

A+
Annick

Pied gauche (tradition) ou pied droit (modernité aberrante!)?

Pour résumer : Une de mes images préférées…

Bonsoir a vous

Je vous adore aussi!

Camp Aussich que vous ventez tant, je ne connais pas!

Mais à vous lire , je crois que j’irai voir à la 1ere occasion.
Quand à Marius!!!

Moi, j’ai fais la promotion d’Omarunga camp.
Ou un chalet/tente au bord du Kunene est suberbe quand on entend les Hyppos rugir le soir.

De mon temps, Tom, le grand gaillard garde forestier d’Epupa , guidait les gens vers les villages Himba des environs, pas vers les crocos !

On le trouvait aussi le soir en train de pecher avec ses enfants au bord du fleuve.

Comme je l’ai souvent raconté sur le forum, je suis un fan des Himba, et mes meilleures rencontres ont étés sur la route d’Epupa.
Jeunes en grande tenue retournant au village, ecoliers en uniforme allant à l’ecole, femmes allant à l’hopital etc etc.
Tous, pris en stop.

Annick va repeter que les contrats de location de voitures interdisent de prendre des autostoppeurs.
Yes!
Mais:
1- on peut essayer de faire sauter cette clause du contrat
2-on peut l’ignorer, et conduire prudemment pour eviter un probleme.

J’ajouterai que j’ai chez moi une poupée Himba, achetée dans un village proche d’Epupa, et je la regarde tous les jours.

Tanit

Bonjour,
Vendredi 16 octobre : Aujourd’hui, Cap au Sud, direction ETOSHA (“route vers le dessert”), que nous allons parcourir d’Ouest en Est.

Nouveau stop à Opuwo (carburant, boissons, retrait d’argent) mais sans acheter de viande car nous allons passer la barrière sanitaire avant l’entrée de Galton Gate.
Ambiance assez curieuse dans cette ville où se croisent très naturellement les femmes himbas en tenue traditionnelle et celles qui portent robes froufroutantes et chapeaux anguleux inspirés par les colons du 19e siècle. Dans les allées du supermarché le contraste est peut-être plus frappant, « shocking » pour quelques anglais puritains.

Hum… Si on poste des cartes postales devant la poste d’Opuwo, est-ce qu’elles arriveront? Qui a déjà essayé?

Pour éviter la monotonie du goudron de la C41, nous prenons un raccourci par la D3709. Piste assez bonne malgré quelques grosses plaques de sable.

Après 6 h 45 de route (dont 1h30 d’arrêts) et le franchissement de la barrière sanitaire où ça rigole pas (fouille du frigo et désinfection des pneus et chaussures- enfin, celles d’aujourd’hui-), nous passons Galton Gate, entrée ouest d’Etosha .
Nous payons les droits d’entrée pour nos 4 jours (680$, les formalités prennent 5 minutes !) et nous voilà partis à la rencontre des animaux.
Il reste 45 km jusqu’à Dolomite Camp.
Perso, j’attends les lions, j’en rêve !
Pas de lion sur les premiers km, un peu ternes : seulement des zèbres des montagnes, diverses antilopes…

A suivre…
Patou

Ca c’est Rostock!

Bonsoir à toi,

Les dames qui portent des robes à froufrous sont des Héréros!

Moi j’ai toujours adoré Opuwo. C’est une ville très bizarre mais franchement incroyable. Il faut la voir absolument!

Figure toi que j’ai déjà posté des cartes postales à Opuwo pour m’amuser…Elles ont mis 5 semaines pour arriver à destination.

J’espère que les lions auront été au rendez-vous!

Bon dimanche à toi
Annick

Bonsoir ANNICK,

Oui on a aimé OPUWO nous aussi!
Mais c’est le premier endroit où un vigile contrôlait nos achats en supermarché, tickets de caisse et contenu des sachets plastique examinés à la loupe!

Et oui, les lions ont été au rendez- vous, c’était NOËL… Mais il a fallu attendre Okaukuejo et ses environs ( et puis une 2e vague à Erindi). Et ils sont vraiment beaux, ces yeux dorés!

Pour les cartes postales il nous resterait donc 2 semaines de purgatoire…

Bonne soirée,
Patou

C’est si particulier, ce carrefour de cultures, on est encore dans un monde à part, on a presque l’impression d’être dans une fiction…
On pourrait se croire sur le lieu d’un tournage de film?

L’une de mes rares photos… juste pour me souvenir du moment, car je n’ai pas osé en faire plus.

Bonjour Patou …

J’ai aussi éprouvé ce que j’avais appelé un grand “choc de civilisations”.
Se retrouver à la caisse ultra moderne du supermarché, avec derrière soi et collées à soi (le tee-shirt marqué d’ocre en attestait ;-)) des femmes Himba avec leurs emplettes est totalement sur-réaliste . On a envie de se pincer !!

Par contre les autres Himbas mendiant à l’extérieur ou les enfants réclamants des cadeaux sur la route OPUWO / Chuttes d’E., m’ont mis très mal à l’aise .
J’ai cru y voir un “déclin” de la civilisation Himba à notre contact, mais sans certitudes, ni leçons à donner de ma part .

Je reste persuadé que la venue massive des touristes dans cette région a fait beaucoup de mal à la civilisation Himba …

Merci encore pour votre récit dans lequel je me retrouve pleinement …

Salutations.

Puma

Bonjour,
Dans l’Ouest d’Etosha,
A Dolomite tu ne nous reverras pas!

Vendredi 16 octobre (suite)
Nous arrivons à Dolomite Camp : Notre plus grande désillusion de tout le voyage ! Dois-je détailler ?
Le lodge est en haut d’une colline, emplacement supposé garantir une certaine sécurité.

Ça commence moyen : On gare la voiture sous abri au pied de la colline (le chemin qui monte est estampillé « no access » et le parking est désert) …
Et : que faire ? On attend… on attend encore… Aucune indication, aucune information.
Par chance, d’autres touristes se garent à côté, de retour d’une balade, et nous disent que normalement une voiturette doit arriver…
La petite Kubota arrive effectivement. Tu te débrouilles pour tes bagages, tu les hisses à l’arrière comme tu peux.
Le chauffeur nous monte jusqu’à un stop près de la réception. On finit de monter les marches. Fortement déconseillé aux personnes à mobilité réduite ! L’accueil est limite impoli, les 2 filles du bureau discutent entre elles et nous les dérangeons visiblement. Informations données rapidement, minimum syndical. On réserve nos dîners.

Quelques marches plus haut on retrouve la voiturette qui nous amène à notre châlet (n°3). Le panorama est superbe, la chambre très belle (moustiquaire, déco sympa, murs en toile… pas mal de vent, sympa, ça ventile.
Mais hélas! nous allons passer une nuit glaciale dans un décor enchanteur, car en fait plusieurs fermetures éclairs sont cassées et il est impossible de “fermer les murs” (défaut découvert trop tard)! Le thermomètre affiche 15° à l’intérieur du sac. Hélas, nos affaires chaudes sont restées dans la voiture, en bas, sur le parking – Grrrr…! Il faisait si chaud à l’arrivée !

A part ça, jolie piscine assez fraîche mais très propre, personnel sympa au bar… mais pas au restau le soir !

Il faut d’abord trouver dans quel restau aller (il y en a 2, répartition aléatoire !). Impossible alors d’avoir une table pour 2 (pourtant réservée), on se retrouve dans une table pour groupe, repas moyen. Le vin rouge (merlot Tall Horse) est servi trop chaud.
Au petit déj, mauvais jus de fruit chimique ; j’hérite (et je ne suis pas la seule!) de beurre rance, ce qui n’émeut point la serveuse. De quoi je me plains? J’ai qu’à laisser le beurre.

Un détail : Le (petit) trou d’eau du lodge a été construit au pied des chalets n° 13 et 14 (le 13 est le chalet VIP grand luxe, avec grande terrasse et micro-piscine privée). Si vous logez ailleurs, tant pis pour vous. Ou alors, escaladez quelques rochers. Pas même une plate-forme d’observation.
Autre solution : vous descendez au parking avec la voiturette, vous reprenez votre voiture, vous contournez la colline, et vous allez voir le trou d’eau depuis votre voiture. Au retour, faut attendre la voiturette… Toute une expédition.
Dolomite, nous n’y retournerons pas !

D’autant que nous avons appris par un jeune couple allemand que le Hobatere Lodge était vraiment très bien, situé juste avant l’entrée du parc d’Etosha.

Mais bien sûr, les choses peuvent évoluer…

A suivre,
Patou

Confort glacé (en face, les fameux murs impossibles à fermer)


Un ravissement : Notre premier steenbok (ou raphicère)!

Bonjour,

Nous quittons Dolomite, après avoir été réveillé aux aurores par les allées et venues de la fameuse voiturette, qui commence tôt sa ronde le long des chalets.

Donc, samedi 17 octobre :
Départ en direction de l’Est, objectif Okaukuejo.
Girafes, chacal , honey badger (blaireau), antilopes variées…
Nous flânons sur la route « directe » en stoppant à tous les trous d’eau, notamment à ceux qu’Eddy nous a conseillés.
Autruches, girafes…

Un superbe arrêt à recommander : Olifantrus. Au départ nous cherchons une pause toilettes et il n’y a rien d’autre dans le coin… Olifantrus, c’est un magnifique camping tout neuf (avis aux amateurs !), sanitaires impeccables, magnifique poste d’observation (petit chalet circulaire, sur pilotis, avec sièges et appuis photos) au-dessus du trou d’eau ultra fréquenté : gnous, springboks, oryx, kudus…
60$ pour 2, mais on ne les regrette pas !

Plus loin, de nouvelles toilettes encore en construction (forage en cours) 3km à l’ouest de Wuivelsvuur ( Oryx, zèbres…)

Au trou d’eau d’ Ozonjuitji M’Bari, y’a foule : oryx, zèbres, autruches, springboks … et oiseaux. Superbe !

Pas mal de trous d’eau vides en bordure du pan, la sécheresse est sévère.
Toujours pas de lion en vue…

A notre arrivée à Okaukuejo vers 14h, coup d’œil au trou d’eau : un éléphant. Bon. On part faire un tour vers le Pan (beaux mirages en vue!) et vers Nebrowni (magnifique : éléphants, autruches, girafes…).

A notre retour à Okaukuejo, vers 17h 30, on assiste à l’arrivée d’une vingtaine d’éléphants, en 2 groupes successifs. C’est du grand spectacle ! Tout ce monde boit, se baigne, puis se roule dans la terre et/ou on s’asperge de poussière… Dans la lumière dorée de fin d’après-midi c’est le régal des photographes.
Les rhinocéros déboulent vers 19h15 ( attention de ne pas programmer votre dîner trop tôt !), très beau coucher de soleil.
Excellent dîner buffet avec filet d’oryx, apéro au chenin blanc.

Dans la nuit, et oui, je me suis même levée à 2h du mat, histoire de voir si le Père Noël était passé – hum ! je veux dire … pour voir si par hasard il n’y aurait pas un lion assoiffé ! Mais non ! Seulement un énorme rhinocéros solitaire … Bien sûr j’étais la seule touriste debout !

Dimanche 18 octobre :
Pas grand-chose à 6h, juste quelques pintades.

7h30 : ZUT, breakfast trop long, j’ai mangé un toast de trop !
IL était là, MON LION! Au trou d’eau ! Mais ma gourmandise m’a punie : mais je n’ai pu assister qu’à son départ ! Enfin, malgré tout, il est superbe, même de dos.
C’est finalement cornélien : ou tu déjeunes, ou tu vois le lion !!!

Suite de la tournée des trous d’eau… Juste avant d’arriver à Olifantsbad, tout d’un coup c’est Noël ! Encore! Une jolie lionne, allongée à l’ombre d’un arbre, juste au bord de la route . A 3 mètres de la voiture ! Elle est magnifique, allongée, sereine, avec ses yeux dorés… Nous sommes scotchés.
Les photos suivent…

Bon dimanche,
Patou

Bonjour,

"Souviens toi, Alain, : “L’Afrique est imprévisible” ce qui est vrai maintenant ne le sera pas forcement dans une minute …

C’est le Chauffeur / Guide Namibien qui a accompagné nos deux premiers voyages qui m’avait pris à part, pour m’inculquer cela .
Il avait ajouté : “Si tu assimiles bien ce principe, tu profiteras bien mieux de tes voyages e Afrique … !!”
Et c’est vrai dans tous les domaines de la vie quotidienne, y compris la reherche d’animaux …

Puma

Celui d’Olifantsrus (ça c’est pour Pissenlix!):

Et celui d’Okaukuejo, où nous avions la chance de loger dans un Waterhole chalet, à une trentaine de mètres du trou d’eau!

Bonjour Patoutaille,

Tu dois avoir le sommeil sacrément profond !!

Moi les voiturettes Kubota (il y en a 2, des 4x4 diésel), j’en ai profité dès 6h30 le matin, plusieurs fois, et dans les 2 sens…

C’est vrai aussi qu’ils auraient pu aménager la fin du chemin pour qu’on puisse regarder le trou d’eau (assez loin) du bout du chemin. Mais ils ont toujours la possibilité de le faire.

Merci pour ce retour de voyage, il donne juste envie d’y retourner.

Ernest

Suite de l’épisode Okaukuejo!
J’ai oublié de te remercier, Puma, pour ton dernier message, je le fais donc en images.
Je vais partager mon cadeau de Noël :

A Okaukuejo, “mon” lion du matin :

Et “ma” lionne préférée : N’est-ce pas qu’elle est belle?!


A suivre…

Bonsoir Puma,

Toutes mes excuses, Je n’avais pas encore vu le second message : j’aurais dû dire mes remerciements pour les DEUX derniers messages. C’est un bonheur de partager ses journées de bonheur.

Et il a bien raison, ce guide. Unpredictable, c’est tellement vrai!

Donc, quelque part accepter l’aléatoire et s’attendre à un peu de magie…

Encore merci et bonne soiré,

Patou

Non, non, je n’ai pas truqué les couleurs!
Toujours la magie d’Okaukuejo…

Bonne soirée,
Patou

Chapeau bas , pour le coup d’oeil du photographe!!!

Tanit

Merci Tanit! C’est le sujet qui fait tout! Un régal…

Celle-là aussi je l’aime beaucoup :

Bonjour à toi,

Quelles superbes photos d’Etosha.

Cela nous met dans l’ambiance.

On croirait une carte postale…

A+
Annick

Merci ANNICK, je boirai à ta santé!
Et à celle de Puma aussi, car nous avons suivi ses conseils et goûté son péché mignon. Liqueur un peu sucrée, mais ma foi, avec un glaçon… J’en connais qui vont aimer.
Tu sais, Puma, que si tu es en manque, tu peux en trouver en France (il y a des distributeurs, regarde sur internet)?
Moi j’ai un peu cherché dans les wineshops car je ne savais pas à quoi ça ressemblait!
ANNICK, je suppose que l’amarula est fabriqué en Afrique du Sud, la cave se visite -t- elle?


Bonne journée à tous,
Patou

… ???

Ce n’est pas gentil de m"attaquer" sur ce sujet …

Nous avons entammé notre dernière bouteille (ramenée en 2012 … !!)
On n’en boit que parcimonieusement dans les grandes circonstances . (Toujours avec 2 glaçons en apéritif … chacun ses goûts !! )
Et bien sur la bouteille est cachée, pas question de la partager …

En attendant de retourner par là bas .
J’avais cherché sur internet il y a qq. années … pas trouvé. Je vais re-essayer .

C’est marrant tous ces points de convergences dans les goûts et couleurs … !!

Merci pour cette apparté .

Puma

Rebonjour,

A Amarula quand tu nous tiens!

Oui l’Amarula est bien fabriqué en Afrique du Sud.

La grande fabrique se visite.

C’est le Amarula Lapa qui se trouve à Phalaborwa. C’est juste avec le Phalaborwa Gate, une des entrées pour le Kruger park!

L’endroit est fantastique. On peut prendre un snack sur place à midi.
De janvier à mars, quand c’est la récolte, on y organise un tour de 30 minutes pour t’expliquer tout le processus.

Sur place, tu devrais voir tout ce qui se fait avec de l’Amarula. Incroyable!!!
On fait également du Amarula Tasting!!!

A+
Annick

Bonjour Patoutaille, ANNICK et Puma,

Pour voir et entendre c’est ici :

https://vimeo.com/45798520

Pour écouter de façon plus traditionnelle, il y a le CD “New Beginnings” de Namib Marimbas (Amarula Song sur la plage N°4 du CD).

Ernest

http://www.123savemp3.net/mp3/amarula+song+from+namibia

Cette version est très belle…

Re…

Puma, je viens de t’envoyer des infos en MP.

Ernest, un grand merci pour cette musique que j’avais entendue et trouvée très belle, mais je ne savais pas son nom (Amarula song)! ça m’a tout l’air d’être un “tube”, non?
Nous savourerons donc notre liqueur en musique…

Retour en arrière, concernant Dolomite : et oui je dors bien, mais là, les voiturettes m’ont surtout gênée le soir alors que je luttais contre le froid pour m’endormir. Le bruit et le froid, ce n’est pas ma tasse de thé! Héhé, il m’aurais fallu de l’amarula!!!

Cordialement,
Patou

Merci ANNICK pour ces précisions sur l’amarula, c’est noté, et ça donne envie d’aller voir!
Mais notre priorité serait quand même de revenir en Namibie…

En attendant j’ai communiqué ces infos à un couple d’amis belges qui partent en Afrique du Sud après-demain, peut-être pourront-ils faire un stop découverte et dégustation, car ce sont des gourmets terribles!

Bonne soirée,
Patou

Salut à toi,

Merci de nous mettre dans l’ambiance!

Du coup, je vais me faire un petit plaisir. Il me reste une bouteille et des glaçons…

A boire avec modération…

A+
Annick

Je suis en train de lire ton recit…un régal! Et des photos époustouflantes! Merci

Merci Akilé,
ça me fait très plaisir ton commentaire!
Et je suis très heureuse de partager les moments magiques, surtout quand je sais que ça pourra aider les suivants… ou donner envie d’aller voir!

Bien sûr le voyage n’est pas fini…

Je vais t’écrire dans la journée pour compléter les remarques sur ton futur itinéraire, comme si c’était le mien (je me projette dans chaque voyage, c’est magnifique!).

Très cordialement,
Patou

Elle fait de la gym, avec 2 techniques possibles :

  1. le triangle:

  2. Le pliage :

Et… Savez-vous qu’on peut distinguer les mâles et les femelles (paraît-il!) juste en observant leur tête?

Oui, voir sur Wikipédia:

““La tête porte deux ossicônes, des appendices osseux recouverts de peau. Les ossicônes des femelles sont couverts d’une touffe de poils tandis que ceux des mâles en sont pratiquement dépourvues après quelques combats. Les mâles développent parfois en plus des dépôts de calcium sur leur crâne qui finissent par donner l’impression qu’un troisième ossicône est présent””

Merci pour tes images Patou .

Puma

Salut à toi,

Tu as été le plus rapide sur cette affaire.

Pour les girafes je savais.

Figure toi que la belle fille qui bosse à Vreugde Guest Farm avait fait sa thèse sur les girafes!

Quand on a séjourné là bas, les girafes nous ont été expliquées de A à Z.

Bonne journée à toi sans oublier notre Patou!
Annick

Des puits de science! Toujours utiles en cas de soif de connaissances! (Ouaf)
Vous m’épatez. Moi qui pensais vous coller…

Alors vous avez gagné, allez, une image: le girafon, pour qui la terre est moins basse (là, j’vois pas bien les cornes mais je crois que c’est une fille!)

Bonjour,
Je vous emmène pour la suite de la journée du 18 octobre, sur la tournée des trous d’eau.

On cible ceux qu’Eddy nous a surlignés en rose lors du briefing :
Olifantsbad : superbe, très animé (zèbres, springboks, kudus…) ,
puis Aus (oryx) puis Ondongab, Homob …

Et là, bingo : sur le côté du (trop) petit parking, sous un arbre, tout un groupe de lions!!! “Plein”!
Très difficiles à photographier à travers le tas de voitures de touristes garés n’importe comment dans tous les sens. Individualisme et anarchie ! Et comme certains sont visiblement installés pour longtemps, pas moyen d’approcher (bien sûr on ne descend pas de voiture !). Alors on zoome… Mais pas de chance, en plus le paysage est très brumeux, avec un ciel plombé, comme sableux!
Mais quand même, les acteurs vedettes se bougent et assurent le spectacle !
Les photos suivent…

Ensuite : Salvadora, très joli point de ralliement des springboks ;
Rietfontein, rendez-vous des éléphants , gnous et springboks …

Midi : Nous nous posons à Hallali.

A suivre…
Patou

C’était une sieste coquine!


Désolée, je n’ai pas le son!

Rendez-vous en 2016 pour les lionceaux?

Rebonjour,

En effet, une sieste plutôt animée!

Pas besoin de son pour s’y croire…hahaha

A+
Annick

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