Nous reviendrons en Namibie!

Forum Namibie

[quote]
… Allez, une image: le girafon, pour qui la terre est moins basse (là, j’vois pas bien les cornes mais je crois que c’est une fille!](/citation]

Pas sur, si c’est un jeune, et qu’il ne s’est pas encore bagarré , les touffes de poils ne sont pas usés et chez la fille pas encore assez longues … dans ces cas là faut voir ailleurs … !! ou faire le test ADN ???

Au fait, chez nous, il n’y a pas d’Amarula ches Gént Cas. :-((
Vais voir demain à Carrouf . …

Bonsoir,

Haha! Très drôle! Amusante coïncidence, Puma, avec le titre de ton message qui vient juste après mes photos de lions!!! j’ai mis quelques secondes avant de comprendre que tu parlais du girafon!!!

Allez, on va continuer l’aventure du côté d’Hallali.
J’ai déjà dit sur une autre discussion notre impression très mitigée sur ce lodge (accueil médiocre, restaurant moyen) et son trou d’eau, où nous profitons très largement des bruits de moteurs sur le petit parking envahi de voitures (c’est quand même pas sorcier de marcher un peu !) et conversations bruyantes…

Bon, le soleil tape dur, et on apprécie quand même le plouf rafraichissant dans la grande piscine malgré les plages peu accueillantes- pas d’ombre et peu de sièges pour se (re)poser-.

Nous repartons ensuite pour notre virée des trous d’eau.
Hélio et Noniams : vides (bien sûr, ils n’étaient pas surlignés en rose)!

L’événement de l’après-midi sera Goas, où nous assistons vers 16h à l’arrivée d’une tempête de sable !
Montée d’un gros nuage gris sombre qui recouvre tout d’une poussière blanche, ça ressemble à un paysage de neige, un peu lugubre quand même. Les antilopes sont inquiètes et se regroupent de l’autre côté de la piste. La lumière est grise, le ciel voilé, le soleil ressemble à la lune ! En 5 minutes tout s’est assombri, nous avons changé de pays. Nous restons un moment à l’arrêt sur la piste, perplexes…

De retour au lodge, sous un ciel plombé nous marchons jusqu’au trou d’eau, que nous trouvons vide d’animaux, mais non de monde. Et, après une longue attente, nous aurons droit vers 19h au spectacle d’une douzaine d’éléphants.
A part ça, repas buffet moyen , personnel un peu paumé … et Sauvignon blanc Nederburg correct, mais choix par défaut en raison de nombreuses ruptures de stock sur la carte des vins.
Nous n’avons pas eu envie de retourner au trou d’eau de nuit, ni à pied (trop loin), ni en voiture !

Quel temps fera -t- il demain?
A suivre…

Cordialement,
Patou

Bonsoir,

Haha! Très drôle! Amusante coïncidence, Puma, avec le titre de ton message qui vient juste après mes photos de lions!!! j’ai mis quelques secondes pour réaliser que tu parlais du girafon!!!

Allez, on va continuer l’aventure du côté d’Hallali.
J’ai déjà dit sur une autre discussion notre impression très mitigée sur ce lodge (accueil médiocre, restaurant moyen) et son trou d’eau, où nous profitons très largement des bruits de moteurs sur le petit parking envahi de voitures (c’est quand même pas sorcier de marcher un peu !) et conversations bruyantes…

Bon, le soleil tape dur, et on apprécie quand même le plouf rafraichissant dans la grande piscine malgré les plages peu accueillantes- pas d’ombre et peu de sièges pour se (re)poser-.

Nous repartons ensuite pour notre virée des trous d’eau.
Hélio et Noniams : vides (bien sûr, ils n’étaient pas surlignés en rose)!

L’événement de l’après-midi sera Goas, où nous assistons vers 16h à l’arrivée d’une tempête de sable !
Montée d’un gros nuage gris sombre qui recouvre tout d’une poussière blanche, ça ressemble à un paysage de neige, un peu lugubre quand même. Les antilopes sont inquiètes et se regroupent de l’autre côté de la piste. La lumière est grise, le ciel voilé, le soleil ressemble à la lune ! En 5 minutes tout s’est assombri, nous avons changé de pays. Nous restons un moment à l’arrêt sur la piste, perplexes…

De retour au lodge, sous un ciel plombé nous marchons jusqu’au trou d’eau, que nous trouvons vide d’animaux, mais non de monde. Et, après une longue attente, nous aurons droit vers 19h au spectacle d’une douzaine d’éléphants.
A part ça, repas buffet moyen , personnel un peu paumé … et Sauvignon blanc Nederburg correct, mais choix par défaut en raison de nombreuses ruptures de stock sur la carte des vins.
Nous n’avons pas eu envie de retourner au trou d’eau de nuit, ni à pied (trop loin), ni en voiture !

Quel temps fera -t- il demain?
A suivre…

Cordialement,
Patou

Bonsoir,

– GOAS, 2 grands souvenirs surtout la première fois (oublié en quelle année !)
Un matin, énormément d’animaux: impalas à face noire , girafes , etc etc … et soudain 25 éléphants arrivent du nord, 15 min plus tard 25 éléphants arrivent du sud , puis 25 éléphants (environ ) arrivent de l’est et enfin 25 autres arrivent de l’ouest … du délire !!
J’ai du projeter 4 ou 5 fois mes diapos, pour voir en AR plan toutes les variétés et le nombre d’animaux qui attendaient que les pachidermes partent .
On avait passé 1h 30 sur place … Enorme souvenir animalier .

– Plus récemment un A.M. … rien !
On allait partir (moteur tournant !) et … un Lion mâle magnifique arrive , puis 2 puis 3 puis le 4eme
Ils avaient très soif (des ventres énormes ) et ont bu sans arrêter 10 minutes … Un couple d’Oies d’égypte locataire des lieux, avait rassemblé par sécurité ses rejetons au milieu de la mare !!

Le Lendemain matin les 4 lions n’avait pas bougé affalés en pleine digestion … Autre grand souvenir .

Pardon Patou, pour cette diversion …

Puma

Je suis désolée, mon message précédent a été doublé.

A Puma : Pas de problème! Effectivement ce sont des souvenirs marquants. On imagine… Et ça complète le tableau!

Voici notre nuage de Goas : impressionnant quand ça vous arrive dessus à toute vitesse!


On dirait qu’il a neigé, les antilopes sont un peu déboussolées.

Un pâle soleil d’hiver…

Curieux, non? ça vous est déjà arrivé?

Bonsoir,

Oui j’ai déjà assisté à ce genre de phénomène. C’était dans le Kgalagadi Transfrontier Park. J’étais en train de conduire. On ne voyait plus à un mètre!

C’était franchement impressionnant.

A+
Annick

Bonjour,

Abominablement jaloux des photos de Patoutaille, je viens d’essayer de mettre en ligne une petite séquence vidéo faite au CCF. Séquence filmée au ralenti.

Il faut que j’essaie d’améliorer la qualité (sur DVD c’est mieux).
Le choix de la musique n’est pas un hasard.

Amicalement,
Ernest

Bonjour à toi,

Ce Cheetah Run me rappelle de supers bons souvenirs du CCF ! BIPI devrait adorer.

Merci de le partager avec nous.

Bon weekend à tous
Annick

Désolé pour la qualité de la vidéo précédente, c’est la première fois que j’en mets une en ligne.

C’est la même mais de meilleure qualité :

https://vimeo.com/145713309

Bon WE à Tous
Ernest

Bonsoir,

Merci pour cette jolie vidéo, je sens que cette jalousie est très positive!

Et encore, vous n’avez pas vu mes photos de Samantha…
Mais il faudra attendre la suite de mon récit!
Et aujourd’hui, problème technique, je n’ai pas réussi à le mettre en ligne avec les photos ad’hoc.

A +,
Bonne soirée,
Patou

Bonjour,
Hier je n’avais pas envie de voyager.

Je vous emmène donc ce lundi 19 octobre en direction de Namutoni, notre 4e étape dans Etosha .
Après avoir quitté Hallali vers 8h, en longeant le pan, nous testons quelques aires de toilettes en chemin :

  • Près de Springbokfontein, très beau stop , site tout neuf au bord du pan, très propre, avec abri couvert et panneaux explicatifs. Non clôturé !
  • Par contre après Okerfontein, toilettes dégoûtantes, site très sale, clôture effondrée, ordures et papiers gras, portail ouvert…

Suite de la tournée des trous d’eau :

  • Les vides (d’eau et de faune) : Springbokfontein, Batia, N Gobib;
  • Les roses (recommandés par Eddy):
    Okerfontein, grand meeting d’antilopes rouges, springboks, oryx, gnous, autruches…
    Kalkeuwel, magnifique, avec zèbres, phacochères, girafes, springboks.
    Chudop : joli trou d’eau circulaire avec une touffe d’ajoncs au milieu : entre les phacochères, springboks, kudus, oryx, c’est le bal des girafes….
    Jolis paysages vers le pan.

A suivre…
Patou

On a efin trouvé ton nom, Bubale!


Ah bon, y’a des phacochères?


Un garçon (il en a bien la tête!)

Rebonjour,

Après notre pause photos, je vous présente Namutoni, où nous arrivons vers midi : accueil sympa , souriant et efficace, l’ensemble est accueillant, bien entretenu, on peut visiter un petit musée sur la bataille de Namutoni (à l’entrée près des pompes à essence), le fort blanc est très beau (on peut monter à la tour pour le coucher de soleil).
Notre chambre nous plaît beaucoup, très belle, vaste, déco raffinée, chic et sobre, petite terrasse à l’entrée, une autre à l’arrière avec douche extérieure. A proximité de tout !

Le dîner (buffet) s’avèrera très agréable, et le breakfast du lendemain , miam, gargantuesque, avec même de délicieux croissants !

Pas très loin, le trou d’eau du lodge s’étire en longueur, très naturel, ajoncs et verdure, avec son joli poste d’observation bien situé, abrité du soleil . Petit coup d’œil sur zèbres et springboks. Le soir, nous y verrons girafes, rhinos, éléphants… Beau coucher de soleil, ambiance zen.

A suivre…

Raffinement…


Les noirs et les blancs sont gris.
Mais, avec la gueule carrée : un blanc, non?

Zen…

Bonsoir,
Impossible de poster la fin de notre tournée des bars à eau, donc j’en résume les points forts en images :
Klein Namutoni :


Zoom :

Et Tsumcor :


Beaucoup d’autres étaient vides, et donc déserts.
Déception sur le tour du Fisher’s pan et sur la Dikdik Drive : pas un chat!

A suivre pour la suite de nos aventures …
Cordialement,
Patou

Je pense que c’est un noir ! Au vu de sa gueule sa lèvre supérieure semble préhensile, et le blanc a une gueule plus large

Bonjour,
Savez-vous, chers amis, qu’il est difficile de se résoudre à quitter Etosha?
Ce mardi 20 octobre, il le faut bien, pourtant. Alors ce sera après un petit retour au trou d’eau de Klein Namutoni, tout à côté du lodge.
La porte de sortie du parc (Von Linquist) est à 10 km, puis direction le Waterberg. Bizarre, t’as vu, la route est goudronnée. Comme c’est monotone…
C38, puis B1. Bof.
Petit arrêt au joli lac naturel d’Otjikoto (ou « trou profond », nom donné par les Herreros à leur arrivée dans le coin). Les San l’avaient auparavant appelé «Gaisis » (« laid ») : surprenant ! Ce lac d’un bleu intense niché au milieu des rochers (70$ pour 2 pers + voiture), avec les ruines de la vieille machine à vapeur utilisée jadis par les Allemands pour monter l’eau, nous rappelle tout à fait l’an dernier… Ah non ! Le Français n’arrête pas de faire des comparaisons. Et puis l’autre ne contenait pas des tonnes d’artillerie jetées en catastrophe par les Allemands après leur défaite en 1915 contre les Sud Africains et les Anglais.

Un stop à Tsumeb, surnommée « gate to the north » : jolie petite ville proprette et fleurie (jacarandas, bougainvillées et flamboyants en fleurs), rues goudronnées et bâtiments d’inspiration germanique. C’est depuis longtemps un centre minier réputé pour la richesse et la variété de ses pierres et minerais , dont certains assez rares. J’aurais bien aimé visiter le musée mais ce sera pour une autre fois….
Autre petit stop à Otavi, en direction d’Orjiwaronogo, et ensuite on tourne à gauche sur la D2433 pour rejoindre Frans Indongo Lodge par une belle piste de sable rouge.

Accueil convivial avec une délicieuse boisson glacée aux herbes fraîches et citron, servie dans un joli gobelet en terre cuite. Très joli loge, déco africaine chic et raffinée, assez « tendance », chalets grand confort dispersés sur un jardin engazonné. Nous avons été bluffés par la belle salle de bains, chalet avec son toit en chaume inséré dans notre chalet/chambre.
Derrière la balustrade en bois, la savane abrite une collection impressionnante d’antilopes de divers types. La protection de ces espèces fait partie des objectifs du lodge, au grand plaisir des visiteurs. Mais nos projets de rando (divers choix de sentiers pour des trails de 1h30 à 4h) tombent à l’eau car un gros orage monte… et la pluie persistera jusque tard dans la nuit, nous obligeant à « buller » près de la piscine, avec un afternoon tea on the terrasse… So british !
Excellent dîner gourmet (coupe de crabe/pomme râpée à la mayonnaise citronnée, filet d’oryx grillé à votre goût accompagné de petites galettes de légumes verts et de patates douces, tartelette chocolat/café- un régal!). Une fois encore le chenin blanc (Blaauwkippen 2014) ne nous déçoit pas, servi dans de beaux verres design au pied superbement excentré.

Nous sommes impatients d’arriver au lendemain, pour notre rendez-vous très matinal avec les cheetahs du CCF…
A suivre!
Cordialement,
Patou

Le lac d’Otjukoto. A proximité se trouve aussi le lac Guinas, plus grand.


Frans Indongo sous la pluie! bon, ça va, il ne fait pas froid.

Les blancs : nouvelle variété de bubales? Que nenni :Ils ont aussi leurs albinos!

Bonjour à toi,

Moi aussi j’ai adoré Frans Indongo Lodge. Tu le décris d’ailleurs très bien.

Ce que j’avais pourtant trouvé bizzare dans notre chambre, c’était l’importance de la télé. On avait un écran plat géant comme si on venait ici pour la regarder… Mais c’est l’Afrique on a tendance à l’oublier.

De plus un super rapport qualité/prix!

A+
Annick

Bonjour ANNICK,
Merci pour ton amicale présence!

C’est vrai, tu vois, ton message me rappelle que nous avions trouvé la présence de la télé tout à fait incongrue!!!
On avait même oublié que ça existait.
J’avais zappé là-dessus dans mes souvenirs!
Mais de toute façon en voyage il est rarissime que nous allumions la télé… quitte à rater quelque chose de la culture du pays?

Cordialement,
Patou

Bonjour,
Mercredi 21 octobre, c’est le grand jour pour la rencontre avec les guépards !
Lever matinal, vers 5h45, pour arriver au CCF assez tôt pour assister au Cheetah Run !

Oh, on avait bien vu un raccourci sur la carte, en pointillés, presque une ligne droite… Mais stop les illusions, c’est un sentier privé, NO GO.
Le véritable itinéraire demande 45 minutes (D2433 puis B1 et D2440 qu’on attrape en frôlant Otjiwarongo par sa banlieue Est. Nous arrivons à l’avance, ce qui nous permet de faire honneur au copieux breakfast box préparé par le lodge (et il y aura des restes pour le picnic de midi !).

Ah, le CCF, nous en avions rêvé depuis des mois.
Pour les novices, cela signifie « Cheetah Conservation Fund ».
Nous avons réservé par le biais du lodge un combi : Cheetah Run, Cheetah Drive, visite du centre (feeding inclus). Tant qu’à faire !
Nous apercevons les guépards derrière un grillage : de grands chats ! Wouaouh! On retrouve une âme d’enfant.

Le Cheetah run débute à 8h, nous sommes 4 adultes. En principe, pas d’enfant au-dessous de 16 ans ( trop petit, vous ressemblez à une proie –je passe juste !-). Pas de sac (ils pourraient penser que vous y cachez de la viande), pas d’écharpe (les leurres utilisés pour la course sont des bouts de foulards colorés).

Moment religieux, nous entrons dans l’enclos où vont courir 4 frères et sœurs âgés de 3 ans. On nous montre le dispositif utilisé : les deux bouts d’étoffe accrochés à un fil formant un grand rectangle seront actionnés par un système électrique commandé manuellement.
Cet entraînement sportif est destiné à maintenir les capacités à la course des guépards. Ceux-ci ayant été recueillis à 3 semaines sont trop habitués à l’homme, ils ne pourront être relâchés dans le Wild, mais ce sont des « ambassadeurs ».
D’autres sont visibles dans des enclos voisins, certains pourront être remis en liberté en partenariat avec des réserves privées.

L’entraînement se déroule devant nos yeux émerveillés. Nous sommes installés juste après un virage, à 3 ou 4 mètres du fil, les cheetahs passent au raz de nos pieds… Magnifiques ! Tout y est : la beauté, la puissance, l’élégance, la vitesse (le bruit de la course sur le sol !). Quelle course !
Pas longtemps, car le guépard peut atteindre 90km/h en 3 secondes (mieux qu’une Porsche) mais il ne peut courir que 30 secondes. Après, repos, faut récupérer ! C’est pour cela qu’ils se font parfois piquer leurs proies une fois attrapées, car ce ne sont pas des combattants. Chaque fois qu’ils attrapent le leurre, une ranger procède à un échange contre un bout de viande, toujours donné posé sur une cuillère en bois (pas les doigts svp !).
Ce moment magique passe trop vite (30 minutes). Mais les cheetahs sont visiblement crevés, ils n’ont qu’une hâte : se coucher (toujours la tête dressée, pour observer les environs !). Tout près, on les entend ronronner…

Nous irons ensuite voir l’enclos voisin où veillent 4 autres guépards, 3 femelles et un mâle, stérilisé car une loi interdit la reproduction des guépards en captivité.
Ensuite, en voiture avec un ranger, nous irons dans un terrain plus vaste, dédié aux 3 filles : Sandy, Samantha et Amina, en « liberté surveillée ». Elles sont nourries dans un enclos spécial d’accès libre, mis à leur disposition (nous verrons d’ailleurs Samantha venir manger dans sa gamelle) mais ne dédaignent pas de chasser un peu les écureuils ou autres rongeurs.

Nous terminerons le tour en rendant une petite visite aux chiens bergers anatoliens, qui font partie du programme de préservation des cheetahs en protégeant les troupeaux des fermiers contre les attaques de guépards (donc moins de guépards abattus à coups de fusil). Comme les « Patous » (chiens de montagne) de nos Pyrénées, les chiots sont élevés dans l’enclos des chèvres (chez nous, des moutons) et les considèreront comme leur famille. Un chiot anatolien est vendu 1000 N$ au fermier (env 70€) à raison d’un chien par ferme, et on considère qu’un seul chien peut protéger une centaine de têtes de bétail.

Un petit tour à la boutique, un café/tartelette maison au fromage de chèvre… Puis nous reprenons la route vers notre dernière étape.
C’était vraiment une matinée Wouaouh!

A suivre…
Cordialement,
Patou

L’arrivée sur le stade…


En possession du trophée!

Attends, je réfléchis!

Griffes non rétratiles, pour mieux courir et neutraliser instantanément les proies.

Et Samantha (celle-là, je vous l’avais promise!)

Bonjour,

Voilà, dans mon message précédent j’étais encore repartie dans la magie des lieux, alors j’ai oublié de donner une précision très terre à terre, qui m’a été demandée en privé ainsi que par d’autres touristes croisés en chemin.

En passant par Frans Indongo : nous avons payé 720 N$ pour le combo (c’est à dire env 50€)/personne. Le Cheetah Run seul était à 430 N$, le Cheetah Drive aussi.
Je me dois de préciser que le Drive ne nous semble pas être un incontournable…!
Mais ce fut un choix de notre part de contribuer ainsi à soutenir l’action du CCF, de même qu’avec le stop au café et le passage par la boutique.

Cordialement,
Patou

Bonsoir

Avez vous vu mes differents posts sur Rostock Ritz?

Mon coup de coeur dans le Namib!

Et l’histoire de Kucky, son proprio, une figure en Namibie!

Tanit

Bonsoir Tanit,

Non je n’ai pas vu les posts, mais nous avons beaucoup aimé notre étape à Rostock Ritz (voir + haut…) : l’accueil, le paysage, l’architecture, le confort dans le raffinement, la piscine, les suricates, la gastronomie…
Excellent souvenir!

Nous ne connaissons pas l’histoire de Kucky! (?)

Bonne soirée,
Patou

Et bonjour!
Ça y est, j’ai trouvé les posts, il fallait remonter loin dans le temps!

Et j’ai essayé de trouver l’histoire de Kucky…
J’ai trouvé ceci:
http://www.rostock-ritz-desert-lodge.com/page/about-us/

Intéressant! Un peu illuminé effectivement, pour acheter 12 000 ha en plein désert, au milieu de nulle part, mais finalement plutôt visionnaire, non?
Il y a des gens géniaux dans leur originalité ( ou leur folie?). Un peu comme Moose, mais à un niveau différent!

En tout cas, cela fait partie des endroits où on reviendrait volontiers.
Pour l’anecdote, je n’avais pas vu les suricates tout de suite… Alors qu’ils étaient devant notre porte!!!
Et quel paysage somptueux…

Bonne journée,
Patou

Pour faire rêver Tanit (et ses amis) :
Les igloos:


Le restaurant (Photo d’i-phone):

Vue depuis notre terrasse :

Zèbres (et un oryx) au trou d’eau le matin,

Et le petit renard à oreilles de chauve-souris…

Et bien sûr les suricates!

Petit berger (anatolien) deviendra grand…
Les chèvres sont juste à côté.

Bonjour,
Nous allons terminer cette journée du mercredi 21 par la découverte d’une réserve privée.

A la sortie du CCF, direction Otjiwarongo, qui semble être une grande ville !
Nous apprécions au passage les larges avenues fleuries, puis nous retrouvons la B1, jusqu’à l’intersection de la D2414 sur la droite : 40 km de piste pour arriver au portail d’entrée d’Erindi Game Reserve et ses 2 gardiens armés, puis encore 25km dans la montagne pour arriver au Old Traders Lodge. Peuchère que c’est loin ! ça vous mettrait presque de mauvaise humeur.
Presque, j’ai dit !
C’est vrai qu’Erindi est un lodge cher, ils ont intérêt à être à la hauteur de nos attentes !

Déjà, la découverte des lieux nous rassérène : une belle et grande chambre avec terrasse donnant sur le 1er trou d’eau , et un 2e trou d’eau , grand, tout en longueur, au pied de la terrasse du restaurant. Quelques singes et antilopes d’après-midi, mais le spectacle sera de qualité autour du dîner et du petit déjeuner : nous y verrons notamment de nombreux éléphants et rhinos le soir ; et le matin , plusieurs crocodiles et hippopotames, mais ces derniers ne daigneront pas sortir de l’eau. Juste quelques bâillements pour impressionner les canards fort désinvoltes, et nous faire remarquer qu’avec leurs dents cariées ces grosses bêtes auraient bien besoin d’un dentiste…

Nous réservons, chose exceptionnelle pour nous, le game drive de 16h30 (400N$/pers) en se disant que nous avions vu en montant beaucoup de chemins marqués « accès interdit » et qu’ils devaient bien servir à quelque chose…
Il doit bien y avoir des choses à voir, non ? Alors pour une fois nous allons faire partie d’une cargaison « jeepesque » (heureusement, seulement 9 personnes !). Et nous ne le regretterons pas !

Cela s’appelle terminer en beauté, avec un ranger très sympa, conducteur virtuose qui se joue des obstacles et qui, connaissant bien les habitudes des différentes espèces, nous fait découvrir assez vite une belle lionne en pleine sieste, puis une autre, avec ses 5 lionceaux déjà prometteurs, puis un troupeau d’éléphants, un groupe de girafes, deux rhinocéros (annoncés comme blancs…) et même, perché sur des rochers très loin en haut de la montagne, un léopard. Hier il était dans la plaine, tout près …

Sur notre trajectoire, 2 frères cheetahs sont couchés près d’un buisson, en train de se relayer pour dévorer à tour de rôle un gnou tout frais : ils ont soigneusement écarté les viscères (qu’ils ne mangent pas) et l’un d’eux a plongé sa tête au cœur de la carcasse, il dévore à belles dents pendant que son frangin se repose, la tête encore toute rouge de son festin. Ils portent des colliers : Nous apprendrons qu’il s’agit de guépards qui viennent du CCF et qui ont été remis en liberté dans cette réserve… Belle suite pour notre matinée cheetahs!
Notre virée se termine par un « bush apéro » aussi convivial qu’inattendu, au pied de la montagne.

A notre retour en France, je découvrirai sur mes photos nocturnes la présence de lionnes près de trou d’eau face à notre chambre…

A très bientôt pour la suite,
Patou

On entend la crinière pousser…


Cheetahs en liberté se régalant d’un gnou tout frais

En attendant les canards…

Dommage, les hippos ne sont pas sortis de l’eau!

Bonjour,

La fin du voyage approche…
Le lendemain matin (jeudi 22 octobre) nous terminons par un self drive dans la réserve d’Erindi à partir de Camp Elephant, où nous achetons le pass en nous faisant enregistrer au bureau (150N$ /pers).
Nous choisissons la boucle de longueur « moyenne » (environ 3h) : nous y rencontrons principalement antilopes et éléphants avec en particulier à la fin, un troupeau d’énormes bêtes d’une étonnante couleur rouille (maquillage couleur du sol) en train de se nourrir, c’est-à-dire de saccager allègrement quelques acacias tout près de Camp Elephant .

Après un dernier picnic à l’ombre, dans un coin tranquille au bord de la D2180, nous regagnons Windhoek où nous faisons nos derniers achats (Amarula and Co) avant de retrouver le sourire des Londiningiens …
Dernier dîner gourmand (avec un excellent chenin blanc Villiera 2014 « Barrel Fermented » ).

Et le lendemain nous regagnerons l’aéroport à reculons… Le cœur gros… Pas possible, on n’a pas envie de repartir !

Alors… c’est décidé : ON VA REVENIR en NAMIBIE !

Voilà, ce magnifique voyage est terminé, mais mon compte-rendu ne serait pas complet si je ne vous en donnais pas un bilan chiffré, comme promis initialement. Ceci fera l’objet d’un prochain message!
En attendant, encore quelques images …

Bonne soirée à tous,
Patou

Wouaouh! J’avais vaguement vu un truc bouger en face de notre terrasse, mais comme je suis un peu myope…
Photo prise à tout hasard “au cas où”…!

Les éléphants couleur rouille
(Et nous, prêts à démarrer illico!)


On voit qu’ils sont mieux nourris ici qu’à Etosha (les défenses sont plus belles).

Notre boucle Windhoek- Windhoek.
Oui, je sais, j’aurais pu mettre ceci au début!

Bonjour,
Les dfenses en mauvais état à Etosha, c’est dû au manque de certains sels minéraux (pas le sel il y a ce qu’il faut dans le pan) nécessaires à leur bonne santé. Comme ils sont “enfermés” dans Etosha, ils ne peuvent se ravitailler au dehors, et les carences produisent ces phénomènes de défenses cassées.

Bonsoir à vous

Vous faites de si beaux recits de voyage et de si belles photos qu’on a envie de les conserver!

Pouvez-vous les globaliser chacune de votre coté pour transmission à adresse privée?

Merci!

Tanit

Bonjour,
Et oui, Pissenlix, tu as tout à fait raison!
C’est comme les dents pour nous, en cas de carences ou de mauvais équilibre alimentaire.

Je crois qu’il y a effectivement le problème des sels minéraux, mais pas que…
Dans la fragilité des défenses, il y a aussi la balance calcium/phosphate, et aussi la sécheresse, les interactions aux trous d’eau etc…

Pour les curieux, je joins un bout d’un panneau affiché dans une des aires pique-nique d’Etosha :
Les défenses (suite) - PATOUTAILLE
Intéressant!

Cordialement,
Patou

Bonjour Tanit,

Merci merci, d’abord pour vos conseils, et puis pour vos commentaires chaleureux. Cela fait tellement plaisir de partager notre vécu et cela fait chaud au coeur de constater que le plaisir est aussi de l’autre côté de l’écran!

J’ai pris l’habitude, depuis quelques voyages (les plus récents) de “globaliser” et de faire “mon roman de …”, impatiemment attendu en général par notre famille, nos amis, nos proches… Quelques-uns lisent le forum, d’autres non.
Ce roman/ récit/compte-rendu s’accompagne toujours d’un diaporama “best of”.
Pour la Namibie, mon roman reprendra bien sûr très largement le compte-rendu du forum.

Cette fois-ci, j’ai essayé de ne pas trop traîner! J’étais attendue… Et mes amis grincent des dents car ils attendent encore la fin de mon diapo Malaisie/ Bornéo/ Brunei du printemps! Et nous repartons en voyage bientôt… Indécent, n’est-ce pas?

Mais oui, quand la “globalisation” sera prête, ce sera volontiers que je vous la ferai parvenir en privé, nous verrons ensemble à ce moment là la forme et les meilleurs chemins possibles.

Et puis… vous me reverrez sur le forum pour la préparation de notre 2e voyage!

En attendant, bonne journée à vous,
Patou

Près du bassin/piscine de Camp Gecko :

En attendant la suite, une jolie touche de couleur près du bassin/piscine de Camp Gecko :

Bonsoir,

Ce soir je lance un appel aux spécialistes : ANNICK, Puma …

SOS, ne rigolez pas svp, mais mon amarula a caillé! si, si!

D’accord, cette bouteille avait été ouverte en Namibie, à la chaleur, mais quand même, c’est chauffé chez moi!
On a voulu en déguster ce soir, désolation.
Le goût reste bon, mais le look est franchement moche, ça inciterait à rester sobre.
Est-ce que cela vous est arrivé (je ne parle pas de rester sobre, je parle de l’amarula)?
Je suppose que c’est irrattrapable?

On va quand même pas se mettre à la tisane?

J’espère que les bouteilles que j’ai offertes à mon retour n’ont pas subi le même sort… Sinon je leur dirai que c’est une histoire de climat?

Bonne soirée à vous,
Patou

Patou,

Je t’adore you made my night!!! J’ai bien rigolé en te lisant ce soir.

Le Amarula c’est fait avec quoi? Il y a de la crème! Donc à la base du lait.
Comme la liqueur Bailey’s, la bouteille de Amarula doit se conserver au froid pas à la chaleur…

Une fois ouverte, je la laisse dans mon frigo et je te promets qu’elle pourrait y rester au moins 6 moins sans changer d’aspect ou de goût.
Je dis bien elle pourrait…en général quand j’ouvre une bouteille, elle se vide rapidement…

C’est les copains qui me l’ont confirmé!!!

J’oubliais: je te conseille de ne pas boire le reste de la bouteille. Tu risques de devoir faire les allers et retours aux toilettes. Ton Amarula est foutu!

Bonne nuit
Annick

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