quel est le meilleur endroit pour s'installer au bresil?

Forum Brésil

Une idée qui me trotte dans la tête depuis longtemps, c’est de monter une kiosque de crêpes à la sortie d’une grosse fac du sudeste… ZINHO

********** Tiens!

J’avais déjà pensé à ce concept mais…

Une grosse fac du sudeste??? L’école Normale ou 'ingénierie mécanique? Cela laisse songeur …hmmmm

Je préférerais plutôt d’installer ma crêperie en face de l’école militaire des officiers de la Marine à Rio de Janeiro. C’est bien connu que les militaires en formation se plaignent souvent du menu de la cantine. De petites gâteries bien françaises comme les crêpes bretonnes seraient bien vite appréciées et adoptées par les braves gars du pays.

posté par czrio
Alexiss tu devrais lui mette un indice 15 de ta creme solaire :slight_smile:
le Brésil c’ est pas le Japon! par contre ici au Brésil il y a une forte population de d’émigré Japoné.

Merci alexiss pour cette crème solaire, elle me fait du bien au moral et je ne pense pas etre très négative au contraire mais il arrive de douter et on a besoin d’entendre que notre projet n’est pas completement nul!!!
J’aime les gens positifs et qui n’ont pas forcément besoin de passer la pommade pour etre sincère et plein de bonnes intentions!!!

Si nous venons nous installer j’espère que vous viendrez nous voir , Alexiss!!!

Si nous venons nous installer j’espère que vous viendrez nous voir , Alexiss!!!" CLAIRE2LUNE


Ah, merci! C’est rès gentil. Je vous souhaite vraiment du succès. Encore une raison aux touristes brésiliens et sudaméricains de venir voir Floripa (Florianopolis pour les intimes).

Je n’ai jamais vu de vrais restaurants français à l’étranger où le menu et les prix fussent affichés à l’extérieur, à la porte de l’entrée, comme ils font partout en France. Dans ces restaurants, de petits morceaux de viande sont vendus dans les assiettes comme de bijoux en or et diamants, comme si c’étaient des filiales culinaires de Cartier ou Chanel.

I faut que la cuisine traditionnelle française descende de son piédestal refusant d’émigrer et soit accessible à tous les communs de mortels dans le monde, comme font les plus fortes concurrentes, savoureuses et diversifiées, comme la cuisine indienne, chinoise, marocaine, etc, tout en gardant son authenticité.

Par ex, qu’une choucroute alsacienne ou une bouillabaisse marseillaise, un pot-au-feu ou une tartiflette, puissent ressembler exactement à ce que mangent les Français à leurs tables dominicales.

Oui je suis du même avis que toi, j’aimerais créer un etablissement purement français mais surtout j’insiste amener la france aux brésiliens sans prétendre se substituer à bocuse ou ducasse!!!
Un endroit sympa, original, dépaysant avec un esprit du terroir…

vos idees sont tres bonne je pense , mes idees sont tout au temps bonne ,je pense me metre a faire des croissant francais est des bon ,ou encore …vue que je suis du metier ,des lasagne qui tue ou encore des moelleux de tarer , petit bar a tapas tartare et bon vins… surtout moins se tuer au travail qu en france , on a une superbe qualiter de cuisine alors faut s exporter ailleur, voila

Le tartare au Brésil? (ludde) C’est le pays des churrascos et assados (rôtis) de tous genres à côté de l’Argentine.

Cela m’étonnerait beaucoup. Le Brésilien moyen déteste la viande rouge et saignante, les huîtres ça ne marche pas non plus…

Il y a que les pères de saints de Salvador pour tuer un poulet avec un bon coup de dents dans son cou pendant leurs cérémonies de vaudou. Je ne sais pas s’ils boivent le sang du pauvre animal.

à part quelques snobs argentés qui vont dans les restaurants français étoilés.

bom dia Ciera, je suis actuellement a Sao Paolo, ma copine est Brésilienne et nous allons nous installer a Fortaleza pour une question de climat et de qualite de vie; Nous cherchons actuellement un appart ou une maison a louer a l annee. Si tu connais quelque chose fait nous signe. Nous sommes oblige de rester sur SP jusqu a fin juillet pour le boulot
Merci d avance

Bonjour

oui je peux te donner des infos et un coup de main sur la recherche
d un logement à fortaleza
mais pour cela il faudrai que tu m en dises un peu plus sur ce que tu cherche exactement
la surface? Le nombre de pieces? le quartier?le prix que tu veux mettre?
Connais tu bien fortaleza?
j ai des relations pour te mettre sur de bonnes pistes
j habite ici depuis 3 ans et je suis toujours content de rencontrer
des français

bonjour pour moi le meilleurs endroit pour s’installer au bresil c’est le ceara autour de fortaleza sur la cote pour le climat tres peu de pluie toujours du vent une temperature de 27° de moyenne l’eau de mer est chaude le tourisme est present 10 mois sur 12 d’ailleur j’envisage aussi de m’expatrier la bas …

bonjour angela
oui moi aussi j aime cette region j y vie depuis 3ans as tu un projet
pour venir t installer ici?

bonjour oui je pense peut etre ouvrir une boutique d’objets de deco et de bijoux v

etements sele.ctionnées par mes soins. Je pense que l’investissement ne serait pas trop elevés

oui c est interessant surtout que cette ville est en plein develloppement
economique et je pense que c est vraiment le moment de faire des choses ici. Avez vous deja des contacts ,visa etc…

j’ai des contact a canoa quebrada ou je suis rester 2mois en 2008 j’ai vraiment eu un coup de foudre pour cet endroit magique par contre a fortaleza je n’en ai pas !

Je suis une personne de 65 ans bientôt , si je parts vivre a Florianopolis ou dans le région, seriez vous capable de me dire si avec 2000$ de retraite par mois c’est possible de vivre adéquatement et bien sur es ce que les soins médicaux sont très bons, bons, moyens ou mauvais et sont-ils abordables. MerciAlexiss tu peux me guider!!!

demande la preuve de revenus stables de 6.000 R$ par mois

en conséquence, avec 2.000 dollars, on n’est pas dans les clous. En outre une fois qu’on a déduit les frais élevés de plan de santé (planos de saude) et de loyer - sauf à habiter dans une palafitta au milieu d’une favela - il ne reste plus grand chose.

Confronté à une immigration toujours plus importante, le Brésil resserre ses exigences pour ne plus avoir de personnes à charge. Les retraités y sont toujours le bienvenu à condition de :

  • se suffire à eux mêmes sans avoir besoin d’aide publique;
  • d’apporter un plus à la vie publique, de par leurs dépenses.

Bonjour, je vis à Florianopolis depuis 3 ans, j’ai 62, retraité ou quasi (dans quelques mois), si je peux vivre ici, c’est que ma femme est brésilienne et fonctionnaire publique, elle gagne très correctement sa vie, même selon les normes françaises. Nous sommes cependant loin de vivre luxueusement.

Le Brésil est un pays très inégalitaire, ou un cadre sup peut gagner 20 ou 30 fois le salaire minimum, ce qui n’est pas notre cas.

Je pense donc qu’il est impossible de vivre à Floripa avec 2000$ par mois en espérant un style de vie confortable.

En ce qui concerne les soins médicaux, ici c’est plutôt le haut de gamme, mais à condition que tu puisses obtenir un plan de santé, j’ai la aussi la chance d’en avoir un par mon épouse, ce qui me permet comme je le dis plus haut un suivi médical presque meilleur qu’en France (mais plus cher malgré le plan de santé). Des gens que je connais, étudiants, m’ont dit se faire soigner par le SUS (équivalent de la CMU française), les soins sont aussi très bons, mais… 4 mois d’attente pour un rendez-vous.

Et ne pas oublier toutes les formalités de visa, que je te conseille de régler avant de partir, sauf pour toi de vivre en marge, ce qui n’est pas marrant à plus de 60 ans. Sans visa permanent, rien de possible.

A part ça, je viens de lire cette discussion ancienne sur Florianopolis, moi j’adore cette ville tout simplement. C’est une île, beaucoup de plages, il est vrai des difficultés pour se déplacer en voiture entre décembre et mars, ce que j’aime c’est que c’est en dehors des circuits touristiques des européens, le seul petit inconvénient pour moi, j’adore le Brésil, je trouve que Santa Catarina est un peu trop “européen” comme état.

Bon courage, j’espère que tes projets aboutiront, tu peux faire ce que d’autres que je connais font, des aller-retour entre France et Brésil, j’ai un ami toulousain qui revient chaque année, il a une maison ici.

Amicalement
Claude

2000 euros ne sont plus suffisants pour obtenir un visa “retraité”

Il faut désormais 6.000 R$ pour une personne seule, plus 2.000 R$ par personne à charge.

6.000 R$, cela fait environ 2.200 euros à ce jour, mais si le plafond est encore relevé ou si le Réal se réévalue (il était à 2.30 il y a peu contre 2.70 aujourd’hui) vous risquez de vous retrouver “hors des clous”

N’oubliez pas que sur votre argent, il est sage de prendre une assurance santé privée et c’est très cher pour un retraité

J’ajoute à mon message précédent, au sujet des frais, il me paraît difficile d’acheter un petit appart à moins de 300K$R (le $R est actuellement à 2,7 pour un €), impossible au centre de Floripa à moins de 500K$R, les terrains et maisons sont de plus en plus chers. Dans mon quartier, qui n’est pas central, un 3 pièces se loue pas loin de 1000 $R/mois, 400€. Pour la nourriture (restau, fruits, légumes et produits locaux), si tu as des goûts simples pas de problème, le raffinement coute très cher, car souvent importé. Les voitures sont 1,5 à 2 fois plus chères, et surtout éviter d’importer une voiture, il te faudra des mois et pas mal d’argent pour la “régulariser”.

Et puis ici, l’économie n’est pas forcément très stable, en ce moment le gouvernement brésilien “tire” le réal vers le bas pour favoriser les exportations, mais la politique peut changer, et les prix augmentent bien plus vite qu’en Europe, par ex. une augmentation du Réal à 2$R pour un € va baisser ta retraite de 25% d’un seul coup, par rapport au cours actuel (il a été passagèrement à 2.15 il y a pas très longtemps).

Mais pour un retraité motorisé, il y a des coins magnifiques à une heure de voiture de Floripa, dans le début de la Serra (le plateau à 800/1000 m d’altitude) beaucoup moins chers, et on peut aussi trouver des terrains.

Voici ma petite contribution, qui n’engage que moi, amicalement.
Claude

Parce que je flirte avec la limite des 6000 R$ et parce que les prix (et les salaires, à peu près) augmentent de 5 à 7% par an au Brésil quand chez nous les pensions prennent (pour le moment) 2%… d’où une perte de 3 à 5% par an, et à ce rythme, ça fondra très vite surtout qu’il est vraisemblable que les pensions européennes, du moins françaises, seront plus taxées compte tenu des déséquilibres des régimes.

Gaffe à l’immobilier brésilien, qui me donne l’impression de flirter avec la “bulle” (surtout que les taux, là-bas, sont élevés): mieux vaut, pour un expat’, être locataire à mon avis.

Merci à tous pour les infos, je pense que je vais continuer à passer 6 mois en Floride et 6 mois au Quebec avec 2000$ par mois j’ai une qualité de vie qui est pas mal du tout, merci encore à tous.Mes meilleurs voeux pour la nouvelle année.

trois mois au Brésil!

Cuisine française de Mr et Madame Dupont.

Je me demande depuis toujours, toujours…mais pourquoi il n y a pas un français qui vienne pour monter un resto simple, et bbb (bon, beau et bon marché) comme les brésiliens disent.
On a fait un vrai marketing de la nouvelle cuisine française après Bocuse dans le monde entier, mais ça correspond pas du tout (!!!) à ce qu´on mange tous les jours ici en France! La classe moyenne française ne dépense pas 40/50 euro par personne souvent au resto. Il y a beaucoup qui préfèrent aller dans un simple bistro du coin, sans chichi pour déguster un bon plat et pas cher.

Alors. Pourquoi serait il le brésilien différent ? Eux aussi, ils vont pas tous les jours au resto, surtout pas dans un resto marketing nouvelle cuisine. On nous vend toujours l´image d´une cuisine française très riche, très chère, quand c´est pas du tout.

Ce qui je veux dire c´est…un simple bifteck pommes frites parisien, un cassoulet, coq au vin, boeuf bourguignon, et tous les classiques de notre pays, ce sont
de plat vraiment normal de normal, et je ne trouve pas cher leur fabrication. Ici ou au Brésil (j´y ai vécu 23 ans!).
Un allemand et un italien ont une fois ouvert un resto par kilo (typique resto brésilien où on pèse ce qu´on veut manger, on paye et c´est tout…) c´était le premier resto allemand et resto italien par kilo!! C´etait un régal…ils sont devenus très connus et bien sûr riches aussi. Ils ont offert le produits de “base” cuisine de terroir, façon grand mère, et voilà…c´etait un vrai sucess.

Pourquoi…Pourquoi on fait pas la meme chose avec un resto français ? Je veux pas dire, un resto kilo…mais un resto simple, comme on a partout dans notre hexagone!

Parce qu’il faut se lancer dans l’aventure administrative de l’obtention du visa “investisseur”, que ça demande un certain capital (qui sera consigné “un certain temps” avant utilisation réelle et qu’il faut les reins solides), parce que les formalités sont longues et n’aboutissent pas toujours: voir les formalités…

Parce que les produits d’importation sont contingentés et soumis à des droits de douane élevés, en rétorsion des mesures de l’importation de produits agricoles brésiliens dans l’UE. Dur de faire du Camembert ou du Roquefort au Brésil… De même que faire une maniçoba ou un tacaca sans jambu (interdit à l’importation) à Paris, c’est difficile.
Parce que le Brésil se ferme tout autant que l’UE se ferme, en ces temps de crise économique.

Cela dit, dans les mégalopoles (S. Paulo surtout, la ville la plus cosmopolite) il y a de la cuisine française, italienne, espagnole, japonaise, etc.

Bah non,excuse moi…pas forcement.

Moi je connais pas mal de français qui habitent ici, et préfèrent ouvrir des restos chers style “people” “Tour d´argent” Et la, je suis d´accord avec toi, c´est cher!

Ce qui j´avais proposé c´est un tout simple resto français, comme on a partout en France. Les plats qui j´avais cité, ils ne sont vraiment pas cher à fabriquer!

Je parle de plats faciles et typiques dont les ingrédients sont faciles à trouver à Rio ou à Sao Paulo
(oeufs mimosa, terrine de campagne, pâte de foies de volaille, salade de lentilles, salade niçoise, salade lyonnaise,pissaladière, quiches lorraine (et d´autres quiches) tomates farcies, soupe à l´oignon, bifteck marchand de vin, bifteck au poivre,boeuf bourguignon, hachis parmentier, Pot au feu, cassoulet, petit salé aux lentilles, poulet basque, poulet au citron, coq au vin, crémé au chocolat, mousse au chocolat blanc ou noir, tarte tatin, pèches ou poires au vin, tarte au citron, clafoutis, charlottes, madeleines…)

Moi même j´ai préparé tous ces plats au Brésil pour faire déguster mes amis brésiliens à Rio, et crois moi…c´était pas cher!!! C´est vraiment faisable…

(moi aussi, je cuisine pour mes amis à Belém) mais de toute façon il reste la difficulté liée à l’obtention du visa “investisseur”.

Tout le monde ne peut pas consigner un strict minimum de 60.000 euros le temps que les arcanes de l’administration brésilienne se dénouent, surtout que les achats de locaux commerciaux (ou la passation d’un bail) n’offrent pas encore dans ce pays la sécurité juridique qu’on a en France.

Ensuite, au Brésil comme ailleurs, il y a le manque de “curiosité gastronomique” chez beaucoup de gens qui n’ont pas la culture du voyage et de l’expérimentation.
A mon avis, il y a un monde entre faire une expérience culinaire chez un ami (et après, s’en déclarer ravi… ou non même si la politesse commande de dire “oui”) et aller de son propre chef manger quelque chose d’inconnu: de ce fait un restau français de base, en plus des problèmes d’investissement décrits ci-dessus, devra avoir les reins assez solides pour “tenir” le temps que le bouche à oreille fonctionne.

Ajoutons à cela le fait que le métier de restaurateur est un… métier (la proportion de gens qui “ne sachant pas faire grand chose ouvrent un restaurant”** et qui se plantent est impressionnante en France même). Alors un restau qui détonne dans un pays étranger qui a une administration totalement différente en plus…

** (ça inclut pas mal de gens connus comme étant des cordons bleus par leur entourage)

Cela dit, pour un Français déjà posé au Brésil avec un visa permanent qui lui donne le droit de travailler, qui connaît bien les mœurs du pays, les arcanes administratifs etc. … pourquoi pas?

Ici (Florianopolis) il y a un restaurateur qui je pense a concilié la créativité et la qualité française (si on pense que ce sont les qualités de la cuisine française) avec les habitudes locales.
C’est à dire qu’il connaît depuis longtemps le pays et qu’il n’en fait pas “trop”, des assiettes complètes, des sandwiches, un peu au goût brésilien mais avec des produits français ou inspirés (coût des importations), par ex. du “type roquefort” qui est du gorgonzola de Minas, c’est servi dans un “type” bistrot.
C’est par ex. difficile de vendre de la viande rotie, ou des steaks bien saignants en dehors des churrascarias, les brésiliens aiment le style barbecue pour ça. bon mais c’est fréquenté par une clientèle un peu “chique” qui plus ou moins connait la cuisine européenne, et c’est assez cher.
Hier j’ai mangé du “bourguinon” - avec la faute d’orthographe :wink: dans un kilo, c’était très bon, donc ça existe.
Mon opinion (qui n’est que mon opinion) que j’ai déjà exprimée ici, est que pour créer restau ou boulangerie ici, il faut vraiment étudier le terrain. Personne, même dans les beaux quartiers un peu snob, ne nous attend, à Floripa, il y a au moins 2 ou 3 boulangeries/snack qui pourraient s’installer sans rougir à Paris, et qui ont des concepts de vente qui dépassent de loin les commerces traditionnels de chez nous, copiés des Etats Unis, alors gaffe au “cassage de gueule” pour parler familièrement.
Je pense vraiment quelque soit le talent de la personne, que le meilleur moyen de s’installer ici est d’abord d’y aller comme salarié (d’un grand hotel ou un restau) pour connaître la réalité locale.
Ceci étant dit qui ne risque rien n’a rien comme dit le dicton.
Amicalement
Claude

L’idée de “casser” les bonnes volonté mais:

  • y aller comme salarié présuppose qu’on aura un visa de travail dans une profession pas considérée comme déficitaire, loin de là. Pour faire court, “c’est pas gagné”
    Pour que ça ait une chance de marcher (textes officiels), le salaire donné au Brésil ne doit en aucun cas être inférieur à ce que la personne toucherait dans son pays d’origine (et dans la restauration, on pulvériserait ce qui se fait au Brésil) et l’employeur doit payer une lourde taxe. Il faut en conséquence qu’il soit sacrément motivé… persuadé que son salarié “importé” lui apportera une énorme plus value.
    (Notez que les conjoints admis au titre du rapprochement familial à suivre un expatrié n’ont pas le droit de travailler).
  • Pour l’investisseur, je reste quant à moi sur l’idée que “les conseilleurs ne sont pas les payeurs” et du moment que je ne lâche pas de thunes moi même, je me garde de suggérer à d’autres de se lancer dans un pays que personnellement je considère comme merveilleux pour ,mais à haut risque et très dur pour bosser.

Bis repetita, il n’y a pas que l’aspect culinaire: le personnel ne se gère pas de la même manière, pas davantage que les relations avec l’administration, plutôt tentaculaire, sans parler des mœurs bancaires.

A contrario, si quelqu’un se lançait là où j’ai mes habitudes, je tenterais de lui faire de la pub.

La solution serait peut être se se faire expatrier par un groupe européen déjà implanté au Brésil (ex. SODHEXO) pour “voir”

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