Bonjour,
Nous souhaiterions partir 3 semaines/1 mois à la Réunion de mi juin à mi juillet 2024.
Cependant nous avons lu plusieurs avis indiquant que les hélicoptères sont devenus tres nombreux au point d’être une vraie nuisance sonore pendant les randonnées dans les différents cirques.
Nous aimons randonner dans des endroits calmes, sans bruits de voiture, bateau etc… On n’arrive pas à se rendre compte à quel point les helico passent (est ce que c’est continu? Ou seulement à quelques moments de la journée ?). On aimerait avoir vos retours sur ce point, car on préfère autant choisir une autre destination si l’environnement sonore est pollué à ce point.
Merci d’avance,
Cordialement.
Recherche d'informations sur le bruit des hélicoptères pendant les randonnées à la Réunion
Forum Réunion
C’est garanti toute l’année car le bruit des ballades aériennes est présent quand la météo permet les survols et qu’il y a assez de clients pour qu’il soit présent beaucoup d’aéronefs.
Et c’est malheureusement le cas toute l’année car les aéronefs contiennent peu de touristes (entre 1 et 6), ce qui explique que même avec une faible fréquentation, on descend rarement à moins de 4 heure de présence aérienne intensive (à raison de 1 passage à quelques minutes d’intervalle), il suffit de l’équivalent de 1 ou de 2 bus de touristes sur toute l’île pour avoir assez d’aéronefs pour condamner une matinée entière.
Pour échapper au bruit des hélicoptères et des ULM choisissez de les faire par temps couvert, des promenades de 3 heures au plus, plutôt donc en hiver quand les nuages pleuvent moins (saison sèche mai à septembre) mais couvrent quand même les lieux.
Vous avez soit le soleil avec le bruit, soit le calme dans le brouillard ou ciel bas…
Le pire est de novembre à Mars: vous ne pourrez randonner au calme que sous la pluie, ou en fort risque de (forte) pluie.
Bonjour,
Merci pour vos retours, ca va nous permettre d’y réfléchir. C’est fou qu’en 2023 il n’y ait aucune réglementation la dessus.
Vous voyez que cela confirme ce que je vous ai dit sauf qu en juillet/août c’étair aussi très fréquenté.
Il y a une réglementation (voir plus loin ce post), mais sans notion de tranches horaires.
Les trajectoires des routes aériennes traversant les cirques ne montrent aucun changement tangible et peuvent très bien atteindre un trafic de plus de 100/jour, toute façon, le bruit se propage en dehors des zones survolées si c’est dans le même espace.
En 2022 il a été enregistré pour l’île selon la DGAC 66.000 mouvements/an rien que d’hélicos, ce qui fait 180/jour (pas compté les hélisurfaces sauvages, ou privées, ni les ULM, la réalité est probablement plus proche de 300/jour). Sur les cirques, cela donne entre 50 et 100 survols d’aéronefs par jour… parfois 30 au minimum.
Il n’y a pas de limite de nombre ni durée durant “le jour aéronautique” (du lever du soleil -30 mn à coucher du soleil + 30mn), autorisant même les survols au coucher du soleil (les plus dérangeants, pour la faune aussi!)
Actuellement les statistiques projettent le double de touristes en 2030, le survol de l’île augmentant conjointement… Logiquement, les survols d’aéronefs devraient donc au moins doubler, si tout se passe “comme prévu”.
De plus, le revenu moyen des touristes augmente, la proportion de touristes éco-responsable diminue (pour la simple raison que ce public éco-responsable évite les voyages en avion). Ce “tri” de la population touristique a fortement changé l’ambiance en “Parc d’attractions”.
Voici les zones connues des survols Intenses (de l’ordre d’une dizaine d’aéronefs à l’heure)
En dehors de ces zones rouges, la vie est encore “normale” et la promenade en extérieur par temps ensoleillée encore viable.
Si le bruit aérien vous dérange évitez la zone rouge, et randonnez éventuellement au nord de l’île pour avoir la paix, c’est autour de St-Denis que c’est le plus calme, dans les hauts de St-Denis, l’expérience du petit déjeuner en terrasse et en extérieur au chant des oiseaux reste possible, les aéronefs associés à l’aéroport de St-Denis ne font que des nuisances minimes (quasi seulement des avions de ligne, bien plus discrets, partent au large, ne viennent pas au dessus de vous)
Notez que la zone de St-Leu (à l’ouest) est miraculée à cause de l’encombrement du ciel par… les parapentes qui bouchent le ciel!!!
Le pôle de la nuisance est l’aéroport de Pierrefonds au sud, les cibles des survols sont les pentes du sud et les cirques, cibles prioritaires car à peu de temps de vol de Pierrefonds, il s’est rajouté de plus du parachutisme sur l’Étang Salé qui ajoute les rotations incessantes d’un pilatus (avion extrêmement sonore, à fond le temps de monter à 4000m s’entend à 15km à la ronde, 10 à 20mn à chaque fois!).
En zone sud, près du littoral et sur les pentes où le bruit porte depuis le littoral, le mauvais temps tarde à interdire les survols de loisir, le ciel restant dégagé sur le litoral: le bruit y continu TOUTE LA JOURNÉE (en après midi ne s’arrête pas)
Voici les zones où le survol est permis (blanc et vert, vert = coeur de Parc National survolable)
Remarquez que les drones ont accès également au vol sans restriction dans le coeur de Parc sauf à 200m autour de certains spots touristique sans protéger la nature environnante (pastilles à peine visibles puisque petites, non respectée d’ailleurs, mesure “de principe” car il semble qu’il y a des lobbies des drones aussi).
La Réunion est ainsi un des rares exemples de Parc National survolé intensivement par des aéronefs de loisir et de tourisme, aussi lieu de pratique du drone de loisir. Cette permissivité a permis un engouement local exceptionnel du drone de loisir.
Cela dit, la Réunion reste amputée de ses plus beaux paysages, dénaturés par le bruit aérien et en ces conditions, ne mérite pas l’appellation “paradis de la randonnée”.
Évitez éventuellement La Réunion
tant que la sérénité de son ciel n’est pas restaurée.
Des collectifs et associations tentent de sauver le paysage et le vécu “au sol” de cette île. Restaurer “LA RÉUNION VUE DU SOL” , mais tant que les touristes viennent, même si il ne font pas l’ULM ou l’hélico, ils valident comme exploitable le modèle touristique en cours qui dévaste ce qui est beau sur cette île, il est donc “une bonne action” de bouder cette île tant que le problème n’est pas réglé!
Bravo et merci pour toutes ces précisions et votre action!!!
Entre cela et le choix délibéré de privilégier la voiture depuis 50 ans au détriment du train en faisant des routes et autoroutes de plus en plus chères ( record national du prix du km!) on atteint un paroxysme dans le délire et l’absurdité ( j’ai connu des gens qui se levaient 3 heures avant l’heure où commençait leur travail pour faire 50 km avant la dernière inauguration de l’autoroute), preuve en est le nuage de pollution qui flotte en permanence au-dessus de l’île.
Tout cela fait penser à l’enfer plus qu’au paradis.
On ne perçoit pas tant que ça la pollution de l’air, mis à part le volcan et les feux poubelle. Le réchauffement climatique n’arrive que peu à peu…
La pollution sonore est par contre une atteinte immédiate, une violence directe actuellement en pleine extension. Les “acteurs économiques” qui tentent d’installer l’aérien local comme incontournable d’un mode de vie “populaire” ne sont pas forcément sur l’île (devinez lequel est national).
Il existe en plus des aéronefs classique “une ambition” de développement du taxi-drone (zone Cambaie, St Paul à l’Ouest de l’île) et de nouvelles hélistations et un aérodrome sont désirés par les élus à St-Rose (Est de l’île).
Les aéronefs électriques souvent présentés comme solution au problème sont tout aussi sonores (voir plus encore, étant plus lourds), le bruit provenant des hélices (Si vous en doutez, écoutez le bousin que génère un drone électrique de 250 grammes…).
Vous avez raison quand on vit dedans on ne voit pas vraiment la pollution à moins qu’elle n’atteigne des taux chinois, moi qui vis à Barcelone puis en témoigner.
En revanche les photos prises des satellites indiquent la présence du nuage.
La pollution sonore invisible a aussi des effets induits sur le paysage:
L’abandon de jardins créoles, le délaissement de l’habitat traditionnel où on ne peut se protéger du tapage, les souillures supplémentaires du à la perte du respect des lieux…
Dans un pays surpeuplé devenu immense échangeur routier, où la nature est déjà devenu une poubelle…
Le reste, parc à touristes et immense zone de loisirs aériens… est pareillement devenu une “poubelle sonore”.
… qui tend à subir le même irrespect que les zones-poubelles dénaturées par la sur-urbanisation et le tout-voiture des bas.
Le coût du bruit (essentiellement urbain au niveau national) a été estimé.
Soit de l’ordre de 2000 euros/français par an…
Quand même…
Le tout-voiture avec la conséquence des épaves remisées dans certains jardins…
Bonjour
Je viens de passer dix jours à la Réunion. J’ai vu un hélicoptère qui transportait du matériel de construction pour les villages nichés dans les ravines… oui cela faisait du bruit mais je n’en suis pas navré !
Argumenter que l’hélico est utile pour qu’il soit excusé de faire n’importe quoi avec est une technique de manipulation d’opinion bien identifiée.
Les hélicos devraient être utilisés pour les urgences, éventuellement le transports si impossible de faire autrement, occasionnellement, c’est leur fonction. En faire un engin de loisir et de tourisme et voyez et entendez le résultat…
Pour le quotidien, les denrées se conservant assez de temps, même pas besoin, il y a d’autres solutions, le câble et le transport par caravanes.
Option sérieusement envisagée à l’avenir: Les ânes, pour sauver La Réunion Vue Du Sol déjà évoqué à l’assemblée citoyenne des mobilités, c’est de moins en moins “une blague”.
C’est mignon les ânes, les enfants aiment les caresser, ça donne un cachet aux lieux, en cours de randonnée aide les transports en portant sacs, enfants, et même adultes si besoin, ça fait du crottin pour les jardins…
Bonjour,
Merci pour votre retour. Mon message portait sur les hélicoptères utilisés pour le tourisme! Du coup vous n’en n’avez pas vu?
Bonne journée
Il y a des gens comme ça qui peuvent ne pas les voir (quand ils sont haut on les voit petit), ne pas y faire attention, alors qu’ils en passe 10 ou 15 par heure.
Ce qui se produit généralement, c’est que le bruit est tellement constant quand les aéronefs passent à faible intervalle de temps que les gens le filtrent inconsciemment, comme ils le feraient pour le bruit urbain, ou des usines…
“Normal” pour une “zone industrielle”, une “foire”, ou “un parc de loisirs”.
Considérez quand même que c’est habité, ou Parc National, ou “point chaud de la biodiversité”, ou “espace naturel sensible”…
Êtes vous nous davantage gêné par les hélicos avec des touristes ou ceux utilisés pour aider les villages nichés dans les ravins? Moi ce qui m’a gêné ce sont les embouteillages monstres sur les routes car et les habitations en général faites de parpaings et tôle… esthétiquement, c’est très moche … mais à part ça j’ai beaucoup aimé la Réunion…
Ah oui ce qui m’a gêné aussi outre le manque de raffinement des habitations aux toits de tôle et aussi les Réunionnais qui viennent pique-niquer sur les plages ici et là et qui font des barbecues en allumant des feux …
Merci @stop-dezord-en-ler d’alerter sur ce problème dont la plupart des touristes ont l’air de se ficher éperdument !
Bonjour, Personnellement je ne m’en fiche pas et j’avoue que je pense de plus en plus à ne pas venir. On est très partagé car l’île est absolument magnifique, mais on a peur d’être déçus à cause de ces nuisances.
Vous rêvez peut être de La Réunion “l’île Intense” (Parc d’attraction) des publicité de l’IRT qui montre une île déserte et idéalisée… Parc d’attraction bien soigné à l’image du fantasme des touristes avec de l’habitat faussement traditionnel.
l’IRT proposait vers 2015 de modifier les recettes de cuisine afin que les touristes aiment mieux, de même on pourrait aussi faire des petites maisonnettes plus conforme à l’idée que les touristes se font de la case…
Ça ne sera plus la Réunion…
La Réunion est habitée, la pauvreté y est importante, cet habitat de parpaings et de tôle est le résultat de la débrouille locale dans un contexte local qui fait l’âme et le charme des lieux quand la douceur de vivre n’a pas été massacrée. L’entretien des abords de la case, du jardin, qui harmonise cet habitat issue de la débrouille devient une corvée quand la douceur de vivre a été retirée, alors on laisse pourrir et les endroits charmants deviennent des zones délabrées et sinistres.
C’est ainsi que la pollution sonore invisible participe à l’enlaidissement de la Réunion partout où le charme n’avait pas été retiré par l’urbanisation et le tout-voiture:
La pollution sonore déversée partout pour le service à quelques dizaines de touristes ravale la Réunion en parc de loisir sur-urbanisé souillé par les taudis des habitants qui n’ont pas dégagé les lieux pour laisser la place nette aux touristes, et surtout, ne pas les empêcher de “visiter la Réunion comme ils l’entendent”…
Un beau paysage peut devenir une poubelle acoustique. L’exemple vient d’en haut, les modes de vie adaptés suivent. C’est ce qui se produit dans les zones coloriées en rouge.
D’autres menaces pèsent sur le paysage rural, zones de petites routes agricoles et de petites cases “charmante”, les panneaux numériques à LED dans les hauts de St-Paul, et la publicité qui tend à enlaidir le paysage réunionnais. C’est pour cela qu’un collectif au nom de PLSV (Pollutions lumineuse, sonore, visuelle) c’est constitué: l’enjeu est de sauver le paysage.
Rappel de la zone sinistrée
Horaires du début des ballets aériens: des que le soleil éclaire la zone à visiter, soit 6H en été, et 7H en hiver
Exemple de la répartition de la nuisance sonore sur les 6 heures de la matinée généralement ensoleillée.
Les moustaches verticales sont le bruit trié temps-fréquence des hélicoptères tous de tourisme, ici on en compte 32), c’est enregistré en ville mais le bruit aérien ressort nettement au dessus. Et c’est comme ça 300 jours par an sauf si il n’y a pas de touristes (gilets jaune, crise sanitaire, cyclone…)
Dossier d’observation sur
mesures nuisances sonores tourisme aérien (ces spectrogrammes datent de quelques années, mais la situation est revenue à l’identique, mais avec encore plus de trafic, entre 50 et 100 passages, après la crise covid)
Moi ce qui m’a gêné ce sont les embouteillages monstres sur les routes
Le tout voiture plus ou moins obligatoire dans le contexte actuel pour des centaines de milliers d’habitants n’excuse pas le “tout-aérien” pour quelques dizaines de touristes par jour qui ruine tout le reste du paysage, 1000 km carré / 2500 environ, au dessus des zones qui ont échappés à l’automobile…
Le Tout auto a été un désastre produit par des lobbies dans un contexte de fascination pour la richesse et la modernité (rêve de modernité et de richesse qui favorise aussi le rêve du tout-hélico), mais on en subit les conséquences: on rêve de plus en plus collectivement d’un tram-train, de téléphériques de pente (comme le papangue dans l’agglomération de St-Denis), on se questionne pour mettre en place la mobilité douce, c’est l’objet d’un chantier actuellement, de plus en plus officiel.
Vous vous trompez. Je suis sur l ´île de Nosy Be beaucoup plus pauvre que la Réunion et l’habitat est fait de cases en bambou avec paillotes… C’est magnifique … tout ça pour dire que cet habitat réunionnais fait de parpaing et tôle, très moche, n’est pas une question de moyen mais de goût…
Bonjour. Je reviens d’un séjour à la Réunion. Les hélicoptères sont certes assez nombreux mais ne sont pas vraiment une gêne pour la randonnée. De plus, ils volent surtout tôt le matin, les nuages arrivant très vite.
Pour les bateaux, j’en ai vu très peu. Il faut dire que la mer était très agitée en octobre.
Bonnes vacances. C’est une île formidable avec des gens très accueillants, sans tension comme parfois aux Antilles.
De plus, ils volent surtout tôt le matin, les nuages arrivant très vite.
Pour les bateaux, j’en ai vu très peu. Il faut dire que la mer était très agitée en octobre.
En octobre il y a eu une période de forts alizés.
Dans ces zones là
La présence de cette pollution sonore est associée à la visibilité du ciel tout simplement. Si les nuages n’arrivent pas très vite, on en a pour plusieurs heures. (généralement entre 6H et 11H du matin pour 3 à 8 heures de passages répétitifs plus ou moins en fonction de la demande des touristes, du vent, des nuages on ne sait jamais si ça va durer, si ça restera intensif)
Pour les touristes sans cesse en déplacement dans le bruit de la circulation, jacassant en groupe et ne restant pas surplace, il est facile de minimiser voir même d’ignorer cette pollution sonore de fond
La plupart des touristes en groupe interrogés surplace nient avoir été dérangés, minimisent ou dénient, et occupés à parler fort où à se concentrer sur leur bâtons, semblent sourds.
Il faut dire aussi que ceux que ça dérange n’y vont plus. Autant demander qu’on cesse la pollution sonore dans une fête foraine.
Merci, les touristes de favoriser le retour de la sérénité de LA RÉUNION VU DU SOL.
Merci les touristes, de prendre ce problème au sérieux…
Sans votre coopération, il n’y a plus beaucoup d’espoir, ça changera pour d’autres raisons…
Merci!
Reçu en messagerie privée mérite d’être cité…
Il y a des gens qui posent des questions mais ne veulent pas réellement de réponse différente de celles qu’ils veulent entendre!!!
Je leur avais dejà réponfu en mp en leur expliquant que les survols d’hélicoptères sont un véritable cauchemar et chaque fois ils relancent la conversation comme s’ils n’y croyaient pas.
La façon de penser des complotistes gagne du terrain.
Bonne journée
Sur le terrain, les groupes de touristes semblent s’en foutre, et ont la même attitude! ils profitent, consomment, et disent que ça ne leur pose pas de problème “car on est des touristes”, il ne leur vient même pas à l’idée que des gens, une faune habite là, et que ce qu’ils font, des autres le font aussi, qu’ils ne sont pas seuls…
Bonjour
Nous étions à l’ile de la réunion en juillet aout et on ne peut pas dire que les hélicoptères nous ont dérangé. Oui il y a des hélicoptères pour les touristes, pour approvisionner Mafate. Mais ce n’est pas une nuisance car ce n’est pas à cette période une succession d’hélicoptère. LA réunion est une destination merveilleuse pour la randonnée, pour les insulaires, pour la cuisine, pour ses musées. Ne pas visiter cette ile parce que certains trouvent que c’est une nuisance est pour moins bien dommage. Mais chacun ses choix. Vous prenez bien l’avion pour aller à l’ile de la reunion, on ne dit pas que les avions font trop de bruits sur l’ile. Allez à Madère et vous verrez que la certaines randonnées sont vraiment bruyantes. Bon voyage je vous le souhaite car cette ile est merveilleuse
Bonjour,
nous ne sommes allés “que” 3 fois sur cette ile mais elle est vraiment magnifique et après une journée où on s’étonne des hélicos, on arrive à les oublier tellement les paysages sont magnifiques. En creusant bien, il y en a beaucoup dans l’entrée de Mafate par la rivière des galets (mais on n’y reste pas longtemps lors des randos) mais c’est plus dans Cilaos qu’on les entend beaucoup. Ailleurs, comme déjà dit, on les oublie… Ce n’est donc pas une excuse pour ne pas y aller (et en effet, les bouchons sur les 4 voies aux heures de bureau nous ont plus énervés que les hélicos)
C’est assez désagréable de se faire traiter de complotiste. J’ai posé la question afin d’avoir plusieurs retours pour me faire mon avis sans me baser sur une seule réponse.
J’ai eu suffisament de retours pour me le faire, mais peu importe le sujet, je ne me base jamais sur un unique avis.
Je ne vois pas l’intérêt d’être désagréable avec les gens qui justement s’interrogent sur ces problématiques.
Bonjour ,
Nous y étions moi et mon épouse 3 semaines entre Mai et Juin 2022.
Il y a le point de vue des locaux qui pour certains s’offusquent de leur nuisance sonore , d’autres leur sont salutaires pour les ravitaillements.
La gêne des locaux vient bien entendu du bisness des vols touristiques.
Evidemment notre approche “touristique” , s’extasiant devant tant de beauté , d’émerveillement , nous en minimisons les effets.
Nous n’avons pas du tout , pour notre part , été gêné;
Par exemple à Mafate , le jour de notre arrivée , rien !
Et pour cause , dans l’Ilet principal , tous…pas nombreux attendaient le ravitaillement !
Le lendemain l’hélicot est arrivé comme une délivrance…
Ma sensibilité sensorielle n’a durant tout le séjour pas été perturbé par le ( parfois ) ballet des “libellules” alors tout comme vous , avant de partir , je pouvais lire " nuisance sonores gâchant les randos"…pas pour nous.
La Reunion , un patrimoine fantastique.
Vous venez de lire là ce qui se dit sur les sentiers…
Il peut y passer 75 hélicos jour sur jour, plus il y en a plus le déni est superbement partagé.
Les touristes s’en foutent, le paysage est tellement beau visuellement qu’on oublie le carnage du paysage sonore… etc…
Ça ne se voit pas sur instagram et sur youtube on ajoute de la musique.
Les touristes sont choqués plus ou moins le premier jour puis s’habituent les jours suivants: comme ils passent d’un endroit à un autre ils ne cumulent pas comme ceux qui sont contraint de vivre dessous, et puis c’est pas chez eux, ils s’en iront. Si c’est gênant sur le coup, quelques arguments lapidaires règlent le problème “se faire une raison”.
Zones où passent plusieurs dizaines d’hélicos TOURISTIQUES et autre DE LOISIR, par jour, quasi tous les jours 300 jours par an.
Depuis notre réunion avec les associations en préfecture en juin, il y a plus de 5 mois maintenant, l’évolution est à la dégradation, le nombre d’engins a augmenté, les accidents et les morts aussi, la pollution avec des survols même sous temps gris, et à des heures inhabituelles se développe, les boucles avec effet flapping se multiplient, aucune réponse n’est apportée aux signalements …, en clair ni la population ni la faune locales n’existent sur cette île sacrifiée à un tourisme intensif et lucratif, pollueur sonore et atmosphérique en totale contradiction avec la transition écologique, et la santé publique.
Bonjour,
les survols TOURISTIQUES motorisés (on fait la distinction avec les services publics eux utiles) constituent un réel fléau pour la population et la faune locales.
Si un touriste de passage peut s’en accommoder et faire la sourde oreille (il ne subit pas longtemps et s’échappe ensuite) même si le boucan sonore artificiel gâche le paysage sonore naturel des lieux, sa contribution éco-responsable serait de ne pas participer à cette pollution sonore et atmosphérique insupportable pour celles et ceux qui les subissent quotidiennement, oui je dis bien, quotidiennement ! De façon répétitive. Avec même des boucles ultra-bruyantes comme sur le lagon de Saint-Pierre, une hérésie !
Continuer égoïstement à nous polluer augmente le rejet face aux touristes “TGV” qui se fichent éperdument de ce qu’ils font subir aux habitants du lieu qu’ils visitent.
De plus, il y a de magnifiques points de vue facilement accessibles, c’est donc débile de gaspiller son argent en grillant du kérosène (ah seulement 1€/L pour ces pollueurs …) sur nos têtes, votre argent serait bien mieux utilisé autrement, et alors plus profitables à l’économie locale qu’un lobby pollueur, lobby devant lequel les politiciens locaux et le préfet sont à genoux.
Merci d’avoir un minimum de RESPECT pour l’île que vous voulez visiter, votre séjour n’en sera que plus valable, l’ancien monde on n’en peut plus !
Pour info complémentaire, les coraux sont des animaux, ils sont vivants, donc on ne les piétine pas comme malheureusement certains touristes ignorants le font …
http://citoyennedestpierre.viabloga.com/news/tourisme-helico-voyou-a-la-reunion
http://citoyennedestpierre.viabloga.com/tourisme_aerien_nocif.shtml
ces jours ci (noté le 8 décembre 2023), nous avons expérimenté un calme relatif: d’abord le temps a été plutôt pluvieux, mais aussi, l’aéroport du sud est en panne de carburant.
Ce n’est pas une réduction des nuisances provenant d’une bonne volonté!
Que d’aigreurs!
Vous radotez à longueur de forum.
Par quel processus en arrive-t-on à qualifier d’aigres des propos qui cherchent à faire prendre conscience que certains choix sont totalement négatifs et que certaines activités sont nuisibles pour l’environnement ou les habitants ?
L’égoïsme, le chauvinisme, l’intérêt financier ou …?
Y êtes-vous allé (e)?
L'avenir de l'aéroport de Pierrefonds suspendu aux décideurs politiques ?
250 000€/an à 1,86€/atterrissage, je vous laisse calculer le nombre d’atterrissages et donc de vols quotidiens et qui rayonnent sur l’île …
(368/jour en moyenne)
Les 20 premiers jours de décembre, le vacarme a été moins violent qu’auparavant dans les cirques, permettant de s’en protéger dans la plupart des maisons et de continuer une conversation en extérieur. On a rarement pratiqué durant cette période le “pilotage de combat” près des 3 salazes (dans les cirques), les aéronefs ont juste “passé normalement”
Par contre, en bas dans le SUD le pilotage de combat reste pratiqué (à fond, en faisant claquer les pales, en faisant des demi-tours ou cercles serrés) vers l’étang du Gol, Étang Salé, avec l’aéronef F-OTOP en particulier.
Le bruit aérien de “fond” reste envahissant et cumulatif si on laisse une fenêtre ouverte ou en restant en matinée dans la nature, toujours sans limites horaires autre que celles imposées par la météo plutôt chargée en après midi et pluvieuse (saison des pluies de décembre à mars inclus)
Comme Il n’y a pas de protection réglementaire, c’est selon la météo, et pour la violence du pilotage on doit compter sur le bon vouloir de prestataires dont l’activité et le comportement sont seulement régulés par leur succès. Pour le moment, tant qu’il n’y a pas de réelles mesures et contrôle continu associés à une réglementation, on peut juste espérer que faire trop de provoc les conduisent à perdre leur clients.
Belal et candide ont apporté un peu de calme, donc une vie normale durant 15 jours mis à part le temps humide.
Vous ne profiterez pas de cette trève car quand il fera beau et que vous pourrez randonner, ils seront là en même temps que vous puisque ils sont associés au tourisme. Le seul moment pas touristique, c’est quand il y a des catastrophes naturelles et que vous ne pouvez pas vraiment bouger sur l’île: le peu d’hélicos qui ravitaillent et qui travaillent pourtant beaucoup plus après les cyclones est insignifiant comparé au désordre de ceux employés pour le tourisme par beau temps, ce qui révèle d’autant plus l’énormité de cette pollution sonore “de loisir” par rapport à ce qui est “normal”.
Remarque, les ULM et petits avions font leur part de bousin il n’y a pas que des hélicos (le pilatus, des petits avions, et des tas d’ULM)
Le cirque de Salazie s’est rajouté aux plaignants.
ZONE encore ÉPARGNÉES: le NORD de l’île: toute randonnée menant à la Roche Écrite ou dans les pentes du Nord sont exemptes (et on ne perçoit même pas le bruit des avions de ligne qui décollent de St-Denis Gillot)
La roche écrite termine la seule planaise épargnée.
L’est est épargné par ce qu’il pleut.
ST-PHILLIPE, Grand Coude.
Avec l’émergence de la visibilité d’une contestation,
Il y a eu une modification sensible pour limiter les nuisances, de janvier à début Mars 2024 (mais aussi il a beaucoup plu et fait du vent) de sorte que la pollution sonore soit moins choquante.
Jusqu’à nouvel ordre ce n’est pas une amélioration perenne et nous ne pouvons pas encore y croire tant qu’il n’y a pas une réglementation, une base réelle pour l’assurer.
En outre, les espaces atteints par une pollution sonore d’aéronefs s’étendent, et les horaires aussi. La part de touristes gênés diminue, mais la part d’habitants impactés augmente: les habitants eux cumulent…
Le bruit aérien a la particularité d’effacer les zones de calme, même en zone densément peuplée, à l’écart des rues principales on a les zones de silence des parcs, jardins, et zones agricoles. En cela le bruit aérien n’est pas du tout comparable aux bruits des rodéos de moto, camions ou circulation routière.
C’est dans ce contexte là que des plaintes proviennent de St-Pierre CENTRE-VILLE à cause des survols du lagon, ou de la ville… quand on est un habitant, chez soi, on entend plus les H130 ou le pilatus que toutes les voitures de la ville.
Des zones non survolées se trouvent touchées par la propagation des vibrations d’aéronefs les plus bruyants comme le sud du Tampon par exemple, le ballet des hélicoptères de type H130, le bruit de ces aéronefs portent plus loin que le bruit d’avions de ligne, s’entend désormais aussi en après midi dans les jardins, cela donne l’impression d’un chantier permanent. St-Leu qui était épargné est maintenant impacté.
Les mouvements de désapprobation sont en cours d’organisation (réunions d’associations et collectifs) et sont maintenant lancés pour ne pas s’arrêter sur des améliorations non pérennes
Exemples d’aéronefs particulièrement exaspérants.
LES PIRES! les autogires dit aussi “girocoptère”: il y en a 3 ils: exaspèrent Mafate et le sud de l’île, semblent plutôt éviter Cilaos, à cause de plaintes dirigées contre eux (ces engins sont souvent non identifiés, on ne les voit pas, ou mal, et on croit que c’est des hélicos)
existe aussi en jaune, et orange et blanc.
Les hélicos H130: ils ont un rotor à fenestron: des plus fortes vibrations et le bruit d’un drone ajouté par le rotor à fenestron.
existe aussi en bleu avec motif blanc, qui n’est pas de la gendarmerie!
La multiplicité d’acteurs de tourisme aérien empêche de plus en plus qu’on puisse prévoir quelle zone deviendra invivable, quelle randonnée sera gâchée, où et quand… c’est selon le caprice des touristes et de la météo… jusqu’à nouvel ordre.
Quelques aéronefs
Peuvent être suivis sur Live Flight Tracker - Real-Time Flight Tracker Map | Flightradar24
Ce sont des exceptions, la plupart (parmi les 40 hélicos 130 ULM et quelques avions), n’ont pas le GPS.
En un rien de temps on a une idée de quelques trajectoires exaspérantes, beaucoup plus nuisibles à cause de la manie de faire des virages (ce qui explose le degré de nuisance) dans le cirque de Cilaos en particulier, à Mafate et Salazie, les GPS sont coupés.
Ce qui a été demandé depuis des mois, des années, étant AU MOINS d’éviter ces virages, très aggravant dans le cas des H130 et de simplement passer… c’est loin d’être respecté, c’est TYPIQUE des hélicoptères de tourisme et la raison de pourquoi il font à ce point plus de nuisances.
Ce sont les plus “sages” Les aéronefs sans transpondeur se permettent encore plus de velléité.
Corail restant de très loin le CHAMPION des fortes pollutions sonores: ils ont 6 H130 (le pire des hélicos) et ils pilotent comme si c’était la guerre.
F-OTOP fait partie de ceux qui traînent un GPS.
C’est des de ces fameux H130 qui font tout vibrer, font un bruit de sirène, mais “ne font pas beaucoup de décibels pondérés de type A” (diesel-gate de l’acoustique)
Encore une opération d’attaque aérienne de lieux de bien être.
Une opération de promotion est annoncée lors des week-ends de la foire agricole de Bras-Panon pour le CHAMPION de la pollution sonore qui brade des prestations courtes de 10mn les 04 et 05 et les 11 et 12 mai 2024 (de 9h00 à 12h00 et de 13h00 à 16h00).
Survols répétés ciblant si la météo le permet le trou de fer depuis Bras Panons.
Si le beau temps n’est pas au rendez-vous (en général l’après midi) les cibles seront: Bassin la Mer, la Cascade du Chien et la Rivière des Roches.
Ces lieux seront donc particulièrement sinistrés durant cette promotion, à fuir si vous n’êtes pas des adeptes de l’aéro-spoting … (voir toujours les même H130 quel intérêt?)
On notera que l’agression acoustique est censée continuer en après midi…
Non non rien n’a changé, tout tout a continué: toujours la même chanson: les touristes reviennent dans le Parc de loisir “grandeur nature” qu’est devenu la Réunion, où n’est pas permis le repos. Il semble que le public est trié, s’est trié de lui même mais aussi est ciblé par la promotion touristique de l’île, outre les hélicos, on fait venir des coureurs à pieds pour qui on installe des sonos de concert dans la nature. C’est le principe du bruit par dessus le bruit: tourisme encore plus tapageur qui en a rien à faire des hélicos, qui courent avec un casque et la musique dans les espaces où on est loin de la grosse sono, qui viennent pour la fête, l’exploit, et la reconnaissance de leur performance…
Ces manifestations sont organisées dans l’esprit du “bruit par dessus le bruit”, et sont compatible avec les hélicos, ce public n’est pas repoussé par le vacarme, au contraire.
il est impossible de connaître un contact au calme avec la nature si on ne démarre pas sa journée à 12H, voir 13H, ce qui laisse peu de temps et peu d’assurance météo, c’est la météo qui limite en effet le vacarme quand il n’est plus intéressant de survoler les lieux trop ennuagés.
Aux normes = pas plus de 55dBA: On n’a pas “raison” de s’en plaindre.
Les vibrations sont ignorées du protocole de mesure, ce seuil de bruit est “correct” pour la vie urbaine si encore il n’y avait pas ces vibrations qui entrent dans les maisons plus que le bruit de pelleteuses voisines… Les aéronefs volant très haut on n’a pas la possibilité de s’en plaindre, car ils ne font pas d’infraction et “pas tant de bruit que ça”, mais ils s’entendent sur une vaste région LONGTEMPS, un peu comme des avions ou hélico servant de relais-radio pour les images du Tour de France cycliste, et volent quasi jamais en ligne droite (font des cercles, des S, des demi-tours), c’est donc un vacarme interminable.
La seule région épargnée: les environs de l’aéroport de St-Denis, en face. Cet aéroport servant principalement les gros avions de ligne il n’y a pas trop de mini-aéronefs qui tourbillonnent comme des mouches à déranger les vrais avions, c’est le plus calme (la pollution sonore des avions de ligne est négligeable, et même reste inaudible sur les pentes, et les pentes donnant sur St-Denis). L’Est dans une moindre mesure l’est, préservé aussi, grâce à sa météo bloquant les survols.
À L’ouest on est complètement à l’Ouest, au Sud, on est à l’envers du monde: l’aéroport du sud n’a pas d’avion de ligne, et est devenue une base de loisirs, départ de parachutistes, concentrateur de la plupart des vols de loisirs effectuant des prestations circulaires de moins d’une heure avec retour au point de départ, tandis que dans les cirques, cible principale des survols, c’est la foire…
Il ne reste donc plus qu’à ne pas perdre le nord, car c’est le dernier espace épargné.
Exemple d’une trajectoire traçable sur fligt-radar.
Cette trajectoire est de sorte à augmenter encore plus les nuisances, provoque du flapping, dure plus longtemps.
2024-03-14 08-50-22-F-OTOP
F-OTOP est au TOP niveau des nuisances sonores, il est traçable, ce qui n’est pas le cas de la plupart aéronefs de la compagnie qui font plus ou moins de même.
Le fait est que les aéronefs touristiques font LE PLUS DE POLLUTION SONORE POSSIBLE pour la simple raison qu’ils se positionnent pour tout voir: il font du bruit partout, et longtemps.
Pour se pencher et montrer la vue de coté sans s’étirer du siège passager, les hélicoptères en particulier, font des virages sur le flan, et des allers retour pour passer d’un coté puis de l’autre sur un spot.
Pas besoin de vous faire un dessin sur ce qui fait autant de résonance dans le relief: on est dans un espace fermé de remparts circulaire.
À noter: bien que on voit d’autres modèles d’hélicoptères, c’est seulement les H130 que l’on entend nettement sur le son de cette vidéo (bruit caractéristique de sirène du rotor à fenestron). Modèle d’hélicoptère calamiteux.
NOTER bis: qu’ils passent plus haut et à l’écart des habitants est un progrès local, mais ne change pas grand chose globalement dans la nature: on les entends tout aussi longtemps par dessous tout et partout.
C’est un début pour que ça soit moins choquant et il reste beaucoup à faire (les mesures aux jumelles télémétriques et en dBA par les militaires concernent pas le bruit de fond en général, mais quelques passages qui dépassent “les normes”)
Dans les zones de promenade, parcs et jardins, lieux culturels extérieurs chemins agricoles du sud du Tampon: bruit de fond pas fort (n’atteint pas 50dB) mais dominant (on n’entend que ça), d’aéronefs “au loin” quasi continu du lever du soleil à midi, essentiellement d’ULM constaté le 1 juin. Les ULM dominent et sont devenus ici la nuisance n°1, en second, ce sont les hélicoptères de type H130, moins de temps et plus loin, mais source de bruit prolongé sur ces lieux “à distance”, et continuant à répétition en après midi suite à une matinée totalement occupée.
On peut considérer qu’on ne dispose en ces zones non touristiques, où il ya de la vie, de quasi aucun moment avec le calme normal de la nature: au delà des grands axes c’est le bruit des ULM qui domine.
l’impact est donc encore pire que dans les cirques puisque encore plus tout le temps, c’est insidieusement faible mais dominant quand même, et interminable, cumulatif au maximum. De loin on ne dirait pas tellement des aéronefs, mais des machines, des usines…