Trouver du travail au Maroc afin de m'y installer

Forum Maroc

Encore les niaiseries de l’autre trolle !
Qui ne connait rien !
J’ai ete 10 ans expat , membre de la chambre de commerce franco marocaine et je peux temoigner que la plupart des multinationales integraient les salaires des expats dans la meme grille que les cadres marocains.
La difference provient des avantages en nature et eventuellement d’une part en France.

Bonjour,

Je ne sais pas vraiment comment m’y prendre pour exprimer, mais je me lance.

Quand un Français par exemple veux aller trouver du travail au Maroc on dit expatrié, quand un Marocain veut aller trouver du travail en France on dit travailleur immigré.
Mais il ne faut pas se leurer c’est la même chose ! dans les 2 cas il faut une carte de sejour ou de résident.
Mais il serait bon de redescendre, personne au Maroc n’attends le Français providentiel.
Même certains ayant la double nationalité ne sont pas attendus comme des messies non plus.

Bien sur certains sont détachés pour aller travailler au Maroc mais ce n’est pas pareil.
C’était le cas de ce qu’on appelait autrefois les coopérants pour beaucoup il y a 50 ans ou plus.

Je n’ai aucune expérience de travail au Maroc, bien que je pourrais être embauchée facilement car bi nationale(pas de papperasse) …mais je ne parle ni n’écrit l’arabe … j’aurais le même salaire que tous avec des avantages en moins que la France offre !! car mine de rien c’est pas si moche la France!!

Ourtaon parle de compétences spécifiques qui n’existent pas au Maroc, je veux bien cependant, une personne dans ce cas… on vient la chercher et non l’inverse…

Selon moi une immigration doit être murement réfléchie et non calée sur le prix des tomates !

cordialement

Marie

Pour les definitions , à la chambre de commerce quand nous parlions d’EXpatrié, on parlait d’un salarié envoye par une sociéte privée, pour 3 ans ou plus, et qui retrait au bout de 1 2 ou 3 periodes. Un detache kif kif mais une periode beaucoup plus courte.
Un cooperant etait l’appelletion génerique de tout ce qui avait un rattachement avec une administration en majorité les enseignants les personnels des assocs dependant des ambassades et consulats, et des tas d’autres cas.

Ensuite il y a la cohorte d’“immigrés” avec les retraités, les entrepreneurs, les salariés des entreprises marocaines sous droit local, des matginaux qui vivotent et deviennent clandestins sans carte de sejour.
C’est souvent comme cela que finissent ceux qui croient que l’herbe est plus verte ailleurs et qu’on peut trouver du travail avec des qualification de confort en France et inutiles au Maroc. Et surtout qui croient qu’avec 600 euros (salaire exceptionnel) on vit autrement que chichement au Maroc.

Monsieur Poulet,

Je souhaitais juste redire le cadre en fonction de mes connaissances …limitées … je le conçois …mais moi je le sais!
et aucune prétention ne m’anime .
cependant je crois qu’on se rejoins !!
même si je ne suis pas toujours en accord avec vous !! j’aime bien l’écrit qui me semble concis!
aprés des fois je vous trouve pas toujours trés cool … quoi que comprenant l’énervement !

bien à vous

Marie

Ce n’est pas vrai le Maroc a les moyens mais politiquement il ne s’en donne pas les moyens !

excellente reponse .

“”“Ce n’est pas vrai le Maroc a les moyens mais politiquement il ne s’en donne pas les moyens !”"

S’il ne les donne pas ces moyens , c’est qu’il ne les a pas!
Le Maroc ne s’endette pas pour des emplois de complaisance, tout juste destinés à maintenir des gens à problèmes dans une certaine dépendance.
Le Maroc , s’est défini d’autres priorités de l’emploi des fonds publics.

'Des emplois de complaisance ? Des gens à problèmes .?

  • aide aux “enfants des rues”,
    -travail auprès aux mères-célibataires,
  • travail dans les orphelinats,
  • Aide aux handicapés., physique , mentaux .Apprentissage du braille , du langage des signes etc …

pour parler leur de ça il faut s’y connaitre un peu ce qui ne semble pas être votre cas . Ces boulots sont durs , difficiles , ils demandent des connaissances approfondies .

les fonds publics seraient bien employés .

Je ne fais que des constatations , les pays comme le Maroc , n’ont pas la même culture , ni les mêmes moyens financier, pour créer des emplois répondant à des préoccupations de pays riches et largements enclins à subventionner.
Il est donc inutile d’espérer y trouver un emploi dans ce domaine.

Les enfants des rues, parlent leur dialecte !
Les meres célibataires aussi !
les non voyants de même, les non entendants aussi , ainsi que toutes les catégories d’handicapés.
Quelle pourrait etre l’utilité d"éducateurs spécialisés" incapables de communiquer.

Sur ca on est tout à fait d’accord , il faut parler en premier la langue et il y a peu de chance de se faire embaucher pour un europeen dans ce domaine .
Il me semble juste que ce métier deviendras indispensable au Maroc qu’il devrait se développer sur fonds publics pour répondre aux besoin criant de certaines populations .

Bonjour Monsieur Poulet
vous m’agacez bien souvent !! c’est sur !!
cependant votre diatribe … n’est pas si nulle ! au contraire !
juste humaine !! et franchement j’aime beaucoup !!
même si selon moi vous avez parfois manqué de tact ! sur d’autres discussions

cordialement
A.

Les associations d’aides aux enfants en difficultés (ils évitent d’utiliser l’expression “enfants des rues”, trop stigmatisante) se développent, avec comme ressources essentielles les subventions provenant de la Fondation Mohamed 5. Chaque asso complète son bugdet par des recherches de fonds financiers et de soutiens divers. Le bénévolat en fait partie, avec un savoir-faire étranger notamment.
Ponctuellement, une asso peut rechercher pour un poste spécifique (coordination, appui technique) un éducateur français expérimenté : protection de l’enfance, handicap, accueil mère-enfant. Il est impératif d’avoir une bonne connaissance du Maroc (actu et notions de l’histoire des politiques sociales, coutumes et culture). Il s’agit souvent de bénévolat, exceptionnellemnt de contrat et salaire : environ 500€, 700 € dans les meilleurs cas. En contrat local, bien sûr (et il vaut mieux être très au fait de ce que cela recouvre).
La connaissance de l’arabe ou/et de la darija ou/et du berbere n’est pas indispensable pour ce type de poste (il ne s’agit pas de travailler auprès des enfants) ; mais il faut que les qualités professionnelles et les capacités d’adaptations soient au RV.

Murielle

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