Que voir, que faire Paris

- De nombreuses associations proposent des visites guidées de quelques monuments de Paris, non accessibles au public pour certains. Des guides privés et des conférenciers organisent également des itinéraires de (re)découverte de Paris. Dates, horaires, points de rendez-vous et prix sont indiqués dans L'Officiel des spectacles, sur le site du Centre des monuments nationaux ou en tapant « visites guidées Paris » ou « visites conférences Paris » sur Internet.

- Les musées de la Ville de Paris : le musée d’Art moderne, le Petit Palais - Musée des Beaux-Arts, le musée Bourdelle, la maison de Balzac, le musée Cernuschi... Tous ces musées sont fermés le lundi.
Bon à savoir : la visite des collections permanentes des musées de la Ville de Paris est gratuite pour tous.

- Les musées nationaux : toujours gratuits pour les moins de 26 ans résidents de l'Union européenne, et pour tous le 1er dimanche de chaque mois. Jour de fermeture : le lundi ou le mardi selon les musées. 
Au choix : la Cité de l’Architecture, les Arts asiatiques Guimet, les musées Delacroix, Gustave-Moreau, Rodin, l’Orangerie, le musée d’Orsay, le musée du quai Branly, le musée de la Légion d’honneur et des Ordres de chevalerie, le musée du Moyen Âge (dit « musée de Cluny »)... Le Louvre est quant à lui gratuit en nocturne le 1er samedi du mois.

- Les monuments nationaux sont également accessibles gratuitement aux moins de 26 ans et à tous le 1er dimanche de chaque mois, mais seulement du 1er novembre au 31 mars. Sont concernés entre autres : l'Arc de Triomphe, la chapelle expiatoire, la Conciergerie, le musée des Plans-reliefs, le Panthéon, la Sainte-Chapelle, les tours de Notre-Dame, le château de Vincennes et la basilique cathédrale de Saint-Denis.

- Visites Spectacles : des visites théâtralisées animées par des comédiens à la découverte de l'Opéra et de différents quartiers de Paris (Montmartre, les passages couverts, l’île de la Cité, le Quartier latin, le Marais). Spectacles vivants et familiaux, truffés d’anecdotes. Également des visites-enquêtes animées par un comédien : prévoir 2h.

- ExploreParis : Atelier de généalogie aux archives départementales, virée dans le plus grand temple sikh de l’Hexagone, au marché de Rungis ou dans des lieux alternatifs, découverte des coulisses de la RATP, ou de l’entraînement de chevaux de course, atelier d’apiculture... autant de suggestions éclectiques et hors des sentiers battus qui, pour certaines, mènent dans le Grand Paris, au-delà du périph’.

- Paris d’enfants : Tél. : 01-48-74-92-80. Programme et résas sur le site. Compter 1h30 ou 2h. Billet enfant : à partir de 16 €. Tout est dans le nom ! La petite équipe a désormais plus de 20 ans d’expérience dans l’offre de visites guidées spécialement destinées aux enfants et ado ; dans les musées, et dans différents quartiers de Paname.

Au cœur des années 1920, la capitale des Années folles jouissait d’une belle réputation en matière de nuits extravagantes. Qu’en est-il aujourd’hui ? L’âge d’or de la nuit parisienne est-il derrière elle ?

Il est vrai que d’autres métropoles européennes – Berlin ou Barcelone – ont un temps supplanté la Ville Lumière. Mais depuis quelques années, Paris semble connaître un regain d’activité nocturne. Pas une semaine sans qu’un nouveau rade, un bar à cocktails, une microbrasserie, un bar à vins ou un rooftop ne fasse le buzz...

Ainsi, en déambulant la nuit dans les rues à l’écart des coins touristiques, on découvre une infinité de troquets animés, de terrasses joyeuses, de jardins bourdonnants et surtout de fêtards heureux, ravis que la ville sache à nouveau s’amuser

Pour visiter zen, prévoyez, en plus de l'éventuel achat d'un billet coupe-file – quand il existe –, une visite en nocturne. En hiver, la nuit ajoutera une délicieuse note d'exception à votre virée.

Tous les quartiers ne sont pas égaux passé 22h. L’animation se concentre dans quelques coins bien circonscrits, même si on trouve toujours des exceptions. Depuis quelque temps, le nord et l’est de la capitale s'affirment comme de véritables réverbères pour les oiseaux de nuit, qui y affluent dès l’apéro.

• Pigalle (9e et 18e) a renoué avec son passé festif 
• alors que le faubourg Saint-Denis et le canal Saint-Martin (10e) ont réussi la synthèse entre bobo et populo. 
• Un peu plus haut, on recherche le dépaysement au bord du bassin de la Villette (19e), 
• ou une ambiance un poil plus canaille dans les troquets de Belleville et Ménilmontant (20e).
• Bien sûr, le triangle Bastille-République-Oberkampf (11e) et ses enfilades de bars reste un bastion de la nuit parisienne, en particulier pour la clientèle estudiantine. 
• Quant aux quais de Seine situés entre 12e et 13e, les noctambules les apprécient pour leurs péniches, bars et clubs établis au bord de l’eau. En été, quand terrasses et transats sont de sortie sur les quais, la fête y est encore plus folle !