Le premier jour à la Habana, nous étions à la recherche de change. Un Monsieur très propre sur lui, d’un Français impeccable nous aborde disant être douanier et nous avoir contrôlé la veille à l’aéroport. Il nous présente sa femme artiste dans un cabaret des Champ Élysées 3 mois par an. La confiance est totale. S’ensuit une discussion sur nos besoins, change etc. Il nous dit que en ces jours la vente libre par les employés de fabrique de cigares est ouverte. Plein de confiance nous le suivons dans une Casa. 170 Euros.S’ensuit une négociation pour 10 cigares.
Le soir rencontrons des Français dans un restos nous disant avoir eu à faire à ce même couple.
Le lendemain à Vinales dans une fabrique artisanale de cigares, je relate ces fait à notre guide. Pour lui, le rabatteur est intouchable mais par contre la teneuse de la casa risque gros au prés de la Police.
De retour à La Habana, avons joué les pigeons auprès d’un rabatteur pour qu’il nous amène à la fameuse Casa. Photos de l’intérieur avec cigares et de l’extérieur. Le rabatteur est parti en courant dans la rue dès que nous avons prononcè le mot Police.
La dame de la case était bouleversée. Le lendemain, avec la boite de cigares, la case était évidemment fermée. Nous avons fait le forcing des voisins, qui comme par hasard avaient les 170 Euros… Pigeons, pigeons