Madagascar, Octobre 2015.
Bonjour à tous,
Je suis arrivé depuis 5 jours déjà.
Départ d’Orly à 20H20 lundi dernier, pour 13H de trajet avec une escale de 2H à Dzaoudzi petite ville Française bien connue.
Donc arrivé à Tana (Antananarivo) la capitale à 10H mardi, par 21°C.
Et je devient quelques minutes plus tard Millionnaire.
Et oui il suffit de changer 450Euros en Ariary monnaie local pour se retrouver avec 1 566 000 Ar dont la plus grosse coupure est le billet de 10 000 Ariary (3,50euros), je vous laisse calculer le nombre de billets.
Je pensais faire quelques achats en ville mais je les reportes à plus tard, 3 ou 4h de somnolence dans l’avion çà fatigue. J’ai pris la navette (prix fixe) qui évite de marchander avec les taxis qui veulent grossir les prix pour le vazaha (étranger blanc) et qui me dépose à 300m du petit hôtel que j’avais réservé (Niaouly) dans la ville moyenne avec un beau point de vue.
Après un déjeuner vite avalé à l’hôtel, petite sieste réparatrice. Puis petite ballade aux alentours et rentré avant la nuit (18H), car il n’est pas recommander de se balader seul la nuit à Tana.
De l’hôtel Niaouly
Mercredi 7 octobre: lever à 8H00 départ en taxi (4L) pour la gare sud à 9H00.
Je prend un taxi brousse (MAZDA 10places) pour Antsirabé, on décolle à 11H une fois le taxi-brousse remplis avec 16 personnes et allons faire le plein de carburant. Le trajet devais mettre 3H30 pour les 169km mais nous avons eu une crevaison donc avons mis 4H00.
Pendant le trajet un Malgache (Désiré) me fais la conversation pour connaître mes intentions.
Après avoir compris mon parcours envisagé, il me propose tout de suite en tant que guide National, la portion de la descente de la Tsiribihina en pirogue avec lui et quelques autres touristes pour un forfait de 300 Euros.
Ce qui représente une excursion de 7 jours tout compris dont 3 jours en pirogue et la visite des Tsingy du parc Bemaraha, avec pas mal de trajet intermédiaire en 4X4 sur de la piste.
Voyant mon hésitation il me propose de payer mes deux nuitée à Antsirabé avant le départ.
Marché conclut.
Sur la route d’Antsirabé
Je suis installé au Green Park, dans un petit bungalow avec sanitaire à l’intérieur et moustiquaire compris pour 12E la nuitée.
En deux jours sur Antsirabé je me suis balader avec un guide local en poussy (tricycle) dans les rizières environnantes les petits villages, les cascades les charrettes à zébus et les villageois très contents de me saluer par un tonitruant: ( Bonjour Vazaha ) auquel je ne manque pas de répondre Bonjour Gasy, ( bonjour Malgache).
La raison pour laquelle je suis passer à Antsirabé, c’était de souscrire un P.E.Z à la Z.O.B.
Il s’agit d’investir 300E dans l’achat d’un zébu ( plan épargne zébu) pour le confier à un fermier qui à deux ans devant lui pour rembourser l’emprunt. Tout cela sous la houlette de l’entreprise Z.O.B. donc avec garanties ce qui est très rare à Mada.
Il s’agit en fait d’un microcrédit que les banques ne font pas.
Je vous présente donc Bénédicte, jeune génisse de 18mois.
Samedi 10 octobre.
C’est donc en compagnie de Carola, Vincent et Chloé que notre guide Désiré nous conduisit sur les pistes de sables et de poussières de l’Ouest Malgache.
5 heures de route nous conduisit à Miandrivazo, petite ville sur les bords de la Mahajilo ou nous passâment la nuit.
Sur la route de Miandrivazo
Lever à 5H pour 1H de 4x4 permettant l’accès a la rivière.
Petit déjeuner en pique-nique sur la berge puis embarquement dans nos deux pirogues de 9m chacune.
Et c’est partis pour trois jours.
La première journée, nous avons pu admirer l’adresse des piroguiers manœuvrant leur pirogue avec dextérité mais aussi sachant lire la rivière en évitant les bans de sables.
Car en effet en fin de saison sèche la rivière découvre d’énormes bans de sable, et il n’est pas rare que par endroit les piroguiers descende de la pirogue pour la poussée sur le sable.
Pourtant elle ne font qu’une quinzaine de centimètres de tirant d’eau.
Anecdote: Hier soir j’ai manger un yaourt maison et finis celui de Carola.
En slalomant de ban de sable en ban de sable nous avons fait une pose déjeuner vers midi ou Désiré se transforme en chef cuisinier. Les filles étant végétariennes, nous avons eu droit à du poisson avec du riz et quelques patates et carottes. Le dessert fut un délice d’ananas et de papaye.
Nous sommes repartis pour l’après midi en plein cagnard, mais autre que nous ayons nos casquettes et nos crèmes contre le soleil, Désiré nous à tous pourvus d’une ombrelle chacun. Dans ma pirogue avec Carola, nous avions deux belles ombrelles bleu pour moi et à fleurs pour elle, Vincent et Chloé avaient deux ombrelles minuscule rouge et jaune décorée des bisounours, adorable.
A 17H nous abordions un petit coin de paradis au pied d’une cascade d’eau limpide et fraîche à souhait.
Ni une ni deux nous nous y sommes baigner.
La nuit tombant à 18H, dîner à 19H.
La spécialité de Désiré; nouille aux légumes avec boulettes de viandes de zébu pour les omnivores le tout entièrement recouvert d’une épaisse couche de gruyère rappé. mmmmmmmmmmmmh
Mais comme un fait exprès, je ne me sentais pas très bien pour dîner ?
Je m’excuse auprès de Désiré mais dès la première bouchée ne pu avaler autre chose.
Et allait de ce pas me coucher avec un mal au ventre.
Après une nuit blanche à me tourner dans les quatre coins sous ma tente, j’avais l’impression que mon ventre n’arrêtais pas de gonfler.
J’ai finis par trouver la position idéal, assis, et j’ai roter, pas une fois mais dix fois.
Aaaaaaaaah jamais rôt fut aussi bon.
Le ventre soulagé je pu dormir 2 ou 3 heures avant le réveil de 5H. Merci Désiré.
Magnifique lever de soleil comme partout a Mada mais en prime, je venais de contracter une maladie bien connue en Afrique, la TOURISTA.
Ah ce… plutôt ces petits yaourts comme il étaient bons mais pas frais à l’inverse de ce que nous à dis la gérante.
Et j’ai omis de respecter une loi sacrée en Afrique, faire confiance à ses cinq sens. Déjà à la vus ils n’étaient pas top, ensuite ce goût pas trop frais et surtout cette croûte trop épaisse sur le dessus.
Bref ce qui est fait est fait.
Pour moi commença deux jours difficiles ou les berges défilaient lentement qui un lémurien par là, des oiseaux de toutes beautés par ci dont le fameux touloulou et un petit croco une fois.
La visite d’un village très reculer des grands axe parce que tous les enfants sont venus pour nous prendre la main et sans la lâcher, ils nous ont fait traverser le village sans réclamer quoi que se soit pour nous montrer leur école.
Donc la descente de la Tsiribihina s’est en partie très bien passée malgré l’attente avec empressement de chaque haltes.
Anecdote: rien de plus jouissif que de se baigner nu de nuit dans la rivière quant on à la TOURISTA.
Nous finîmes par nous retrouver à Bélo sur Tsiribihina dans un hôtel ou nous pûmes nous décrasser.
Anecdote: Demandant à Désiré; Pourquoi on ne pouvais pas se baigner ici alors que tous le monde y compris les enfants le font ?
Un gros croco le mois dernier à sévis en s’en prenant à un enfant. Il n’ont pu retrouver ni l’un ni l’autre. Merci Désiré.
Bonjour Vazaha
Mercredi 14 octobre; Grasse matinée avant d’attaquer les 4h de 4x4 nous séparant des Tsingy de Bemaraha.
Le soir à Bekopaka, nous avons eus droit à la nuit tomber au boulevard des caméléons. Dans le noir à la torche nous avons pu en dénombrer 40 et héro du soir himself qui vit un lémurien nocturne.
Anecdote: Désiré nous à confier avec un large sourire que la semaine dernière des touristes sur la Tsiribihina se sont fait dévaliser de tout leur argent. Ils ont fait demi-tour. merci Désiré.
Les Tsingy du Parc de Bemaraha sont une concrétion de roches qui se sont formées entre 15 et 200 millions d’années.
Beau parcours de 6h pour les grandes avec la grotte de Broadway et 1H30 de plus après déjeuner pour les petites.
Vincent et Chloé nous ont abandonnées en cours de route gagner par l’épuisement nerveux de Chloé qui à le vertige.
Le lendemain journée entière de 4x4 en passant sur deux bacs pour retrouver la civilisation à Morondava sur la côte.
De Morondava, avec Carola nous avons opter pour descendre la côte vers le Sud en pirogue à voile.
Morondava - Morombe : trois jours de pirogue.
Après avoir fais provisions pour trois jours de nourriture.
OK banco, nous voilà partis.
Lever à 4H30 pour départ à l’aube de 5H00.
Erzy et Tony CARDO sont nos piroguiers.
Faible vents ce matin venant du nord et qui se renforce en cours de matinée.
Si les deux ou trois premières heures le mal de mer guettais, depuis plus aucun problèmes pour moi,
car Carola subit la mer elle. Elle supporte comme elle peut en dormant au fond de la pirogue.
Nos piroguiers se relais à la barre entre deux bordements de voile.
A partir de 7H le soleil est bien haut dans le ciel et ça cogne mais plus facilement supportable qu’en rivière grâce aux embruns marins.
Plage de Morondava
Notre pirogue à voile
Nous naviguons uniquement en matinée, car à partir de 13 ou 14H les vents tournent et nous font face.
Première escale à Bélo sur mer, dans un écolodge très sympas tenus par un couple de Français.
Nous décidons d’y rester 2 nuits et disposons d’une journée entière pour faire du snorkeeling et profiter du cadre.
l’écolodge
Deuxième départ sans problème pour Andranopasy avant la dernière étape pour Morombé.
Enchantés de notre ballade en mer nous réservons avec deux nouveaux piroguiers le trajet de deux jours pour rejoindre Salary, avec escale à Andapakoa. ( environ 100km )
Le premier matin, j’ai remarquer le réglage différent de la voile.
En effet le vent quoique assé faible venait du sud, nous remontions donc au vent.
Et à 10H00 Jean le chef piroguier nous indique qu’il n’est plus possible de continuer, le vent du sud est trop fort et qu’il vas falloir passer la nuit dans un petit village de la côte.
Distance parcourue de la journée environ 30km.
OK pour rejoindre la côte et passer la nuit.
Bevato, c’est le nom du village ou nous allons passer la nuit.
200 à 300 habitants, nous sommes inviter par l’instituteur à boire le thé, très bon et très sucré.
L’école du village à été rasée par un cyclone et est en reconstruction en bois et non en pierre comme précédemment. Même si c’est l’instit du village il ne parle pas un mot de Français.
Il n’y a que notre second piroguier qui est heureux d’échouer là car c’est son village.
La femme nous présente un poulpe pendus à un morceau de bois, ce seras notre déjeuner avec du riz.
Le repas du soir
Dans l’après-midi Jean nous fait visiter les baobabs bouteille derrière le village au bord de la mangrove.
Pendant que nos piroguiers nous installe comme de vrai VEZO (peuple de la mer vivant sur la côte sud ouest) la voile qui nous serviras de tente, nous nous amusons avec les enfants qui adorent jouer à ce faire prendre en photos ou en vidéos.
La nuit à été correct même sans moustiquaire.
La tente est dressée avec la voile de la pirogue
Deuxième départ pour Morombé, mais sur les coups de 10H00 même punition, trop de vents venant du sud, en tirant bords sur bords nous revenons à chaque fois quasiment au point de départ.
Sommes obliger de regagner la côte à Belavenoky 30km plus au sud.
Au menu poisson grillé avec du riz.
Anecdote: les WC à la turc étaient à 300m des bungalows en pleine place publique avec une fois à l’intérieure l’impossibilité de verrouiller la porte et passer 18H00 le refuge de dizaines de blattes de 5cm de long. Carola à déclarer forfait.
Nuit sans problèmes avec les moustiquaires et malgré la basse cour qui à élus domicile sous mon bungalow.
Troisième départ pour cette étape, mais Jean ( piroguier en chef ) est confiant pour le peu de distance nous séparant de notre but moins de 25km.
Pourtant sur les coups de 10H00 les antennes de la ville sont en vues mais avec les 30 nœuds de vent de face il faut se résoudre à toucher la côte et finir à pied.
30 minutes plus tard nous voilà, Carola, Jean et moi avec tout notre barda sur le dos en route pour 1H30 de marche en plein cagnard vers Andavadoaka pendant que le deuxième piroguier garde la pirogue.
Le Coco beach nous accueil avec ses bungalows tout conforts et son restaurant panoramique.
On se précipite au resto pour s’entendre dire que le menu unique est du poisson avec des pommes frites.
J’ai déjà plus faim.
Anecdote: depuis le départ de Morondave il y as 7 jours nous ne mangeons que du poissons grillé, frit ou-bien en sauce avec du riz et parfois des pommes frite, seule variante: poulpe ou calamars.
Le lendemain pétole comme on dit en Méditerranée (pas de vent ).
Les piroguiers nous rejoignent sur les coups des 8H00 avec la pirogue et nous donnent rendez vous demain matin à 5H00 pour la dernière étape vers Salary.
Ils sont très motiver car sont certains que les vents tournerons.
Paré pour le dernier départ
Mardi 27 octobre nous embarquons avec le sourire, les vents sont au Nord et la voile gonflée à souhait pour un cap plein sud vers Salary.
Après avoir tirer des bords jusqu’à plus de 3 kilomètres de la côte, nous faisons face à notre terminus devant nous à moins de 500 mètres mais dans l’impossibilité de l’atteindre.
En effet nous sommes à marée basse par fort coefficient.
Et coincer entre deux barrières de corail à sec. Il nous faut attendre que la marée remonte.
Qu’a cela ne tienne nous plongeons faire du snorkeling sur la barrière pour constater qu’elle est entièrement morte, ce qui nous empêche pas de découvrir quelques beaux poissons de toutes les couleurs et de toutes tailles.
C’est donc une heure plus tard que nous accostons à Salary dernière étape en pirogue à voile après 7 jours de navigations et deux jours de repos.
A Salary, l’hôtel de Jean le Malgache est au bord de la plage, et de nos bungalows nous surplombant toute la plage et la mer émeraude limitée à l’horizon par la barrière de corail.
Sur la barrière de corail à marée basse
Nous déjeunons d’un poisson riz comme il se doit et allons en milieu d’après midi à pied vers Salary Bay à deux kilomètres sur la côte plus au nord.
En effet c’est là que Fred ( Français moniteur de plongée) nous accueil pour organiser la plongée du lendemain.
C’est donc le mercredi 28 octobre après avoir longer la plage à marée basse sur 2 kilomètres que nous parvenons à 8H30 au SALARY DIVING près à plonger une énième fois pour moi et son baptême pour Carola. A 9H00, 5 Bordelais, 2 pères et leurs 3 garçons nous rejoignent et nous partons au large sur la barrière avec la vedette de Fred.
Dans un premier temps, Fred feras les trois baptêmes à la suite sur -5m de fond dans une eau clair.
Ensuite nous changeons de lieux pour la plongée à -12m.
La visibilité n’étant que de 5m, les Bordelais abandonnent et c’est seulement moi et Fred qui plongeons avec mon appareil photo adapter à un maximum de -12m.
Au fond, pour attirer les poissons, Fred leur offre des crevettes qu’ils tenait dans un petit filet.
Me faisant signe de rester au fond avec les crevettes, je continuais à donner aux poissons.
Quant 15mn plus tard je le vis redescendre en compagnie de Carola. Beau baptême pour le même prix (50euros) 2 plongées à -5m et -12m.
Après une plongée de 50mn, nous remontons au bateau.
Et c’est en quittant mon équipement de plonger pour le passer au marin avant de monter à bord que je m’apperçu que je n’avais plus mon appareil photo!!!
Il avait du tomber au fond en me déséquipant à proximité de l’embarcation.
Près de 900 photos et vidéos étaient sur la carte mémoire de 8Go.
Je vous dis pas dans quel état je fus…
5 minutes plus tard il remontais avec mon appareil.
Quel soulagement…
Seulement en plongeant rapidement, Tyann fit une grave erreur de sécurité en laissant seuls à bord les touristes, car Fred était en même temps à l’eau occuper à décoincer l’ancre.
La vedette se retrouvas en dérive.
S’apperçevant de la faute de son matelot, Fred sécurisa dans l’instant la dérive du bateau.
Ce qui valus une remise en mémoire virulente des consignes de sécurité à son matelot.
Ce qui ne m’empêchas pas de lui laisser un bon pourboire.
Le lendemain avec Carola, nous pension quitter les lieux avec le camion de la collecte de poissons car le camion brousse était en panne.
Seulement, ce fut le jour ou le camion collecte ne passa pas.
Donc nous restâmes bloquer une journée de plus à Salary ( mora mora) avec son poisson riz quotidien en comptant sur le prochain passage prévus le surlendemain à 14H00.
Heureusement Fred alerté de nos déboires nous fît part de sa volonté de nous inviter à profiter d’un trajet qu’il envisageais pour demain sur Tuléar.
Anecdote: pour votre information il est bon de comprendre que nous étions à environ 8H de piste en camion collecte de Tuléar (ville la plus proche). Ce qui se signifie un trajet installer dans la benne arrière en compagnie des locaux et de leurs chargement pour le marché, poules, poissons frais, crustacés, chèvres et j’en oublis, sous un soleil de plomb.
Fred, nous invitaient à faire le trajet en 3H30 dans un 4x4 confortable. Nous fûmes au anges de pouvoir participer aux frais.
Ce fût donc une des journée la plus chargée de mon périple car le matin je réalisais avec Fred et un Français de dernière heure 2 plongées successives dès 6H00.
La première par -27m de fond sur un tombant de toute beauté par une visibilité de 30m. Flore multicolore et poissons à foison firent de cette plongée de 40mn un riche moment.
Souvenirs extraordinaire lorsque nous sommes remonter à la surface sous une luminosité éclatante par l’absence de vent et sous le couvert de nuages. Un instant de calme et de serenitée en pleine nature sans aucun signe de présence humaine.
La deuxième par -6m sur une épave Anglaise, le Winterton échoué en 1792 sur les hauts fonds.
Avec selon Fred, des coffres remplis de pièces d’argent valent entre 100 et 1000 euros pour les plus rares.
Canons du Winterton
A 10H00 nous partîmes sur la piste en 4x4 et après quelques arrêts pour déjeuner et saluer quelques amis, nous parvînmes à Tuléar juste pour pouvoir assister à la finale de la coupe du monde de Rugby entre les Hall-blacks et l’Australie au bar le dromadaire.
Soirée qui s’éternisa au rhum-coca jusqu’à 3H00 du mat.
Hôtel sur la piste de Tuléar
Anecdote: C’est pendant cette soirée que j’appris que Fred était originaire de Bressuire ( Deux chèvres pour les ignares) et qu’à l’âge de 55ans cela faisait 34ans qu’il vivait à Mada avec seulement 4 aller-retours en France. En apprenant mes origines, nous devînmes logiquement frères de rhum-coca. Et depuis je sais qu’un bungalow seras à ma disposition à chaque passage à Salary.
Nous étions le lundi 2 Novembre et mon avion décollait de Tana la capitale le jeudi 5 novembre à12H45 à plus de 1000 kilomètres de Tuléar.
Adieu à Carola qui continuait sa découverte de Mada en solo.
Un steack au trois poivres, quel délice après 2 semaines de poisson riz
Mardi 3 Novembre: Taxi-brousse à 8H30 arriver après 600km à Fianarantsoa vers 18H00.
Mercredi 4 Novembre: Taxi-brousse à 7H30, arriver après 400km à Tana vers 18H30 sous une pluie tropicale noyant la chaussée de plus de 15cm.
Jeudi 5 Novembre: Décollage à 12H45, arriver après 9000 km à Orly à 21H30.
Je passe sur le RER annuler passer 22H devant me conduire chez Maly et Dany, sur l’heure de retard du TGV qui à bien voulus me ramener à Nantes samedi 7 Novembre pour reprendre le boulot lundi 9 Novembre 2015.
Sur la N7 près du parc de l’Isalo en direction de Fianarantsoa
Voilà la fin du périple, j’espère qu’il vous auras bien divertis.
Veloma
Dom