Bonjour,
L’emblématique hôtel HABANA LIBRE perd son enseigne. L’humour cubain est au rendez-vous.
Article 14ymedio: Las letras libres
Bonne lecture !
chavitomiamor
Bonjour,
L’emblématique hôtel HABANA LIBRE perd son enseigne. L’humour cubain est au rendez-vous.
Article 14ymedio: Las letras libres
Bonne lecture !
chavitomiamor
Salut Chavi,
Ils ont lu libre, au premier coup d’oeil, je lisait “Ambre”.
Mais on est pas au venezuéla !
On aurai aussi pu penser à Cuba et un “No libre”
Qui est l’ouvrier qui a piqué les lettres pour les revendre …
L’hôtel Habana Libre, emblème de la capitale cubaine et de toute l’île, est devenu un symbole de notre époque. Peu à peu, l’affiche portant le nom du célèbre logement perd des paroles, une détérioration qui n’a pas échappé à l’ambiance populaire qui tente de lire en mots la phrase qui reste: “bana libre”, “na libre”, "a Libre "C’est une des dernières variations subies par le signe bleu emblématique.
“Il ne reste plus qu’à laisser tomber le” a “pour que Cuba redevienne libre”, a déclaré un passant qui restait plusieurs minutes, les yeux levés, dans l’attente du moment où “la liberté viendrait”. sauf sur le toit de l’hôtel, Fidel Castro a exproprié la société américaine Hilton et a dirigé le pays pendant les premiers mois de 1959.
En 2018, l’hôtel a célébré six décennies. Avec 27 usines et un investissement initial de 28 millions de dollars, le bâtiment a traversé des moments d’ombre et de lumière, des années de glamour et d’autres de franche détérioration. Mais peu de Havanais se souviennent d’une image comme celle-ci, avec son affiche en train de s’effondrer.
L’allégorie semble servir quelques jours d’un référendum constitutionnel qui a été rempli de questions pour la société et de craintes de la décision
L’allégorie semble avoir été servie quelques jours après un référendum constitutionnel qui a rempli la société de questions et de craintes du gouvernement. La célébration du 500e anniversaire de la fondation de la ville en 2019 a également contribué à l’interprétation de cette orthographe progressive comme signe des changements demandés par les Cubains.
Que ce soit la paresse ou le résultat de vents violents, Habana Libre a encore joué dans les photos et les selfies de ceux qui s’attendent à ce que la lettre inconfortable “a” tombe, laissant seulement le mot “libre” au-dessus de Bâtiment célèbre de la capitale cubaine.
libre" oublier sa jamais cuba serat libre;;;;;;;;;;;
Tu connais la blague d’Elmito ?
C’est Elmito qui part en vacances à Cuba.
Dans la Havane, il rentre dans un bar, et comme il parle très mal espagnol, il essaye de se faire comprendre tant bien que mal :
“Mi quiero babar uno cu…cu…cubano libro” !
Le barman, qui a compris la demande, commence à préparer le cocktail, quand soudain il regarde Elmito et avec un grand sourire jusqu’aux narines, lui répond :
“No hay !”
Et alors, de dépis, Elmito se met à jouer de la trumpetica ou tout autre pipo, s’il existe, et repars en mangeant sa ration de brin d’avoine …
Faut expliquer la Trumpetica : C’est un petit instrument Made in China importé tout récemment à Cuba et qu’on utilise pendant le carnaval devant un char à l’effigie de Trump et sa jeune femme.
A Cuba ou ailleurs, on ne la trouve que dans les comptes d’Elmito.
Pour en revenir aux lettres de l’Habana Libre, savez-vous si elles sont tombées ou si quelqu’un les a volées ?
Et alors, de dépis, Elmito se met à jouer de la trumpetica ou tout autre pipo, s’il existe, et repars en mangeant sa ration de brin d’avoine …
c’est celuit qui jouer de la trumpetica qui les a fait tomber
Bonjour,
Deux articles qui relatent la décrepitude de l’hôtel Habana Libre:
Le célèbre hôtel Habana Libre est devenu “la maison des horreurs”. (Courrier International)
Le lustre perdu de l’hôtel Habana Libre (Le Point)
Hasta pronto.
Chavitomiamor