Laissez-moi vous expliquer pourquoi :
J’ai réservé un véhicule utilitaire (modèle Renault Trafic) auprès de l’agence AVIS du boulevard Davout (75020 PARIS) pour les vacances de la Toussaint 2017. Quand j’arrive à l’agence le jour du départ, le véhicule loué n’est pas disponible (problème de centralisation). On me demande quand même si je souhaite partir avec ce véhicule, sachant que les portes ne ferment pas… (la blague). Je suis donc surclassé (la chance… sauf que je n’ai absolument rien demandé et que j’accepte uniquement parce que je n’ai pas le choix). On m’attribue un Renault Master. Ce nouvel utilitaire est très abîmé (77 000 km), cabossé de partout… mais il roule (et là, au moins, les portes ferment…). Manque de bol, au cours de la location, lors d’une marche arrière, je percute une branche d’arbre à un endroit où le véhicule était déjà cabossé. En fait, je ne fais qu’agrandir une bosse déjà existante. Lorsque je rends l’utilitaire, je remplis un constat d’accident. Dans la foulée, l’employé de l’agence me débite 640,40 euros sur ma carte bancaire (« petite bosse » + frais de dossiers). Je suis vraiment poissard sur le coup.
Quelques semaines plus tard, je demande une facture qui doit attester des réparations effectuées sur le véhicule. En effet, si j’ai payé cette somme, c’est pour une bonne raison. Or, AVIS est incapable de produire ce document, malgré mes nombreuses relances ! J’en conclus donc que les réparations n’ont pas été effectuées (j’ai payé pour rien). Je me demande également, compte tenu de l’état de l’utilitaire au moment de sa prise en charge, si cette pratique n’est pas courante pour cette entreprise ? D’ailleurs, peut-être que certaines personnes, en lisant ce message, se diront que mon histoire possède des similitudes avec la leur…
La communication de l’entreprise sur ce dossier est également désastreuse : ils ont menti sur la taille de la bosse, qui est passée de « petite bosse » au moment de la facturation à « une énorme bosse (…) d’un diamètre supérieur à 50 centimètres » dans un mail de réponse (à croire que j’ai heurté le cul d’un éléphant, et pas une branche d’arbre…). Quelle honte pour eux, je suis furieux ! Quand je les ai menacé d’en parler sur Internet, ils m’ont dit qu’ils trouvaient cette pratique « malhonnête ». Désormais, ils restent sourds à mes mails… Moi, je reste déterminé à récupérer cette somme d’argent. Pour finir, si mon histoire vous intéresse, sachez que je peux produire des documents pour attester mes dires.
Pierre L.