J’ai choisi les services de le guide Saoud JARI à cause des bons commentaires et de sa supposée bonne réputation, nous avons eu une expérience très désagréable où nous avons senti que la première chose était de gagner de l’argent.
J’ai parlé directement avec lui toute la semaine avant d’organiser une visite de 2 jours avec mon copain sur le Moyen Atlas : le plan était de passer deux jours de randonnée à travers la forêt et le Parc National d’Ifrane & foret de Cedres et de dormir une nuit dans un village berbère dans les montagnes , près d’une rivière comme “arrêt” pour continuer la randonnée le deuxième jour + une autre nuit chez lui.
A notre arrivée à Azrou, Saoud nous a demandé de payer la totalité du week-end et juste après cela, il nous a informés de deux choses :
1. Il s’est fait opérer de la cheville et ne peut pas sortir avec nous (à la place, il a engagé un autre “jeune garçon”, super sympa mais pas un brevet de guide de montagne comme il est censé l’être)
2. Il n’y avait pas de maison dans les montagnes car il y avait un problème d’infrastructure donc il avait décidé individuellement que nous passerions les deux nuits chez lui, sans options et sans changement de prix.
Nous avons dormi chez lui, pas confortable du tout (même si je comprends qu’il a fait de son mieux, nous n’avions ni draps de lit ni oreillers, ni serviette de douche et une odeur de cigarette hardcore…ne vaut pas 50 € / nuit comme il l’a noté).
La randonnée de 4 heures était de niche mais le pique-nique qu’ils nous ont préparé était bizarre : le pain était plein de fourmis et les tupperwares sales. Bien que la promenade du samedi ait été agréable (après avoir dormi à peine 2h), nous avons décidé de partir car lui n’était pas conforme aux services que nous avions soi-disant loués.
A cette époque, Saoud était très intéressé par notre séjour et nous a très gentiment offert une omelette française à manger Enfin, je dois dire qu’il nous a rendu une part (très) symbolique de l’investissement que nous avions fait. Je sais que ce n’est pas seulement une question d’argent, mais aussi d’honnêteté, de fuite d’informations et d’hygiène.