Hola bons et bonnes voyageur(se)s
Nous rentrons du Costa Rica (hmm… ça sonne si exotique!) et je tenais à vous partager quelques astuces qui pourront bien vous être utiles…
Arrivés à la capitale San José début janvier, temps humide, faible vent frais, température assez agréable, bon dépaysement à la douceur.
(attention aux taxis qui sont souvent chers le service)
Parce qu’on appelle le Costa Rica la Suisse de l’Amérique-centrale (personnellement nous avons decrété que c’était bien une petite Suisse, mais pour toute l’Amérique du sud!)
La vie y est effectivement très chère comparé aux autres pays des alentours, et d’ailleurs elle l’est bien plus encore en bord d’océan! (même en basse saison!) Nous avons été très surpris. Mais les temps changent vite ; Le Costa Rica est une destination première pour les touristes, dont les surfeurs, américains (et européens), et les prix montent avec ce phénomène de masse.
Une vie locale est parfois rare à trouver. Il semblerait bien que les investisseurs étrangers aient mis le paquet afin de rendre cette destination certes exotique mais à l’image des pays développés (par ex. beaucoup de fast-foods dans les villes, des panneaux publicitaires etc.) tout reflète un engouement pour l’américanisation… hélas…
GRANDE ASTUCE A SAVOIR :
Amère surprise au départ, à l’aéroport :
Une taxe de sortie de 28 dollars est obligatoire pour chaque voyageur! Personne ne sort sans l’avoir payée!
Imaginez la foire que cela provoque continuellement dans l’aéroport, où tout le monde du coup fouille les fonds de poche.
Pas de problème! Ils prennent la VISA…!
(et nous avons dû payer un supplément pour nos bagages en soute de 25 dollars, avec americain airlines)
(et, toutes les sortes de boissons sont interdites dans les avions, même celles achetées en phase de terminal!) vous saurez!
Les plages sont bien sûr magnifiques, le temps y est doux, la vie semble paradisiaque… Et l’envers du décor c’est quand on apprend qu’en fin de compte la terre, en tout cas en bord d’océan, n’appartient plus aux ticos depuis longtemps, mais à des investisseurs chinois, israéliens et américains pour la plupart.
De notre côté, nous avons vite pris un bus direction le Nicaragua… mais ça c’est une autre histoire.
Faites part de vos impressions!
Et bon voyage