S’il y a une bonne chose que j’ai faite dans ma vie, c’est de foutre le camp de la France qui crêve et qui veut crever. je ne développe pas mais ceux qui perdurent vont devoir raquer car, à votre avis d’où vont sortir ces milliards d’euros dont on bassine les infos ? Si ce n’est en taxant le patrimoine des français.
Inembauchable passé 40 ans, juste bon pour payer des taxes et, à 60 ans, j’avais droit à une plantureuse retraite de 75 EUR/mois, mème pas le 10e de ce que touchait un “demandeur d’asile”, autrement dit un envahisseur illégal.
Il était vraiment temps d’aller voir ailleurs.
Dans les trois pays que vous citez, j’en connais deux :
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L’un où je suis passé trois fois en bateau lors de trois transat : le Cabo Verde (Archipelago), le vrai Cap-Vert est au Sénégal, près de Dakar.C’était sympa au début (époque de Cesaria Evora) mais cela a vite dégénéré (Comme l’Afrique Noire en général, dont je connaissais bien la partie occidentale francophone). À la fin il était même déconseillé d’y aller, des plaisanciers avaient été attaqués sur leurs bateaux. Et je ne vois pas ce qu’on peut développer sur ces îles, de plus en plus sèches (ce sont des morceaux de Sahara perdus en mer).
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L’Équateur est un petit pays qui a subi une forme agressive du virus couronné et qui a fait beaucoup de morts. Juste avant il y avait des conflits sociaux importants. mais je n’y suis jamais passé.
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Le Paraguay, je connais car j’y suis résident permanent depuis 9 ans. Il y a des avantages économiques : le coût de la vie n’augmente pas, le gasoil a même baissé, mais tout ce qui s’achète en dollars est devenu très cher vu la différence de change. C’est surtout au niveau humain que cela ne va pas : vous ne pouvez rien faire avec les paraguayens. C’est l’erreur commune que font tous les gringos de les considérer comme hispaniques. Pas du tout ! Ils sont guaranis. Il n’y a qu’à Asunción et à Ciudad del Este qu’on parle espagnol (castellano).
Je ne développe pas mais, pour eux, un gringo n’est qu’à voler ou à tromper. Il y a des marchés potentiels importants que ce soit dans l’importation de produits usuels qu’on ne trouve pas ici (des éponges, des fixations de tubes Atlas, des vraies fenêtres, etc.), mais vous ne pouvez rien faire.
Me basant sur mon expérience en Afrique Noire, je pensais prendre des p’tits jeunes et les former comme apprentis en rénovation bâtiment (mon domaine professionnel rentable) car ici c’est désatreux a tous les niveaux, mais les jeunes ne valaient pas mieux que les adultes.
J’étais donc coincé car, tout seul, on ne peut pas faire grand chose. Mais ma mère ayant eu la malencontreuse idée de mourir (à 90 ans moins trois mois) j’ai récupéré ses sous et son pavillon immédiatement mis en vente et je vis ici sur les intérêts de comptes à terme sur deux ans qui rapportent 8,5 % net annuel (et encore le taux a baissé au début c’était 9-10 % annuel).
Je ne me souci donc plus de trouver des collaborateurs. La solution aurait été de trouver des jeunes argentins, pas du tout la même mentalité.
De toute façon avec le prétexte du virus couronné, toute l’économie et les déplacements hors frontières sont gelés. je désirais acheter des composants informatiques à Ciudad del Este, c’était marqué disponible sur leur catalogue en ligne mais je n’ai même pas eu de réponse.
Ce virus, comme en France, est le prétexte d’un suicide économique généralisé. La dengue, les années précédentes avait été bien pìre et on n’en avait pas fait un tel cirque. Et avec un passeport français on ne va nulle part. Je ne peux même pas renouveller le mien qui va arriver à échéance janvier 2021, car il faudrait que j’ailles à Buenos Aires. Mais tous les consulats sont fermés et les frontières bloquées. Pas grave vu que je suis résident permanent, mais je me demande si, un jour, je pourrais aller de nouveau vadrouiller. Où je vis il n’y a à voir que des vaches sur des prairies marécageuses de centaines d’hectares.Mais elles font de la très bonne viande ainsi que du lait. Toutefois le paysage n’est pas varié…