Oui Bendix, zen… C’est un carnet de bord qui raconte un voyage,des impressions, des péripéties avec beaucoup d’humour.
oh la la quelle agressivité !
C’est pas parce que l’on est en vacances qu’on a pas le droit d’être contrarié quand il y a des aléas.
Chacun voit et ressent les choses à sa façon.
Patou continue à nous régaler, moi j’adore ton humour, ne change rien.
Véro
Ouf! Merci Véro!
Effectivement dans mon partage je raconte les choses telles que je les ressens (et ce n’est pas fini)… mais je m’amuse aussi parfois!!!
Patou
À TAHA’A, nous passerons 3 nuits, donc il nous reste 2 journées entières, avant de partir découvrir Raiatea.
Nous logeons à la Pension Titaina , petite pension de charme située à Poutoru, au sud/sud-ouest, 3 bungalows dans un grand jardin tropical.
Nous avons choisi un package de 3 nuits incluant un tour de l’île en bateau, assuré par le propriétaire Frédéric avec son bateau.
C’est le premier des hébergements réservés via Easy Tahiti, c’est aussi le début d’une série de petites contrariétés avec ces réservations que je n’ai pas gérées personnellement!
Côté excusions, heureusement c’est 5 étoiles et ça rattrape tout!
Outre le tour du lagon en bateau inclus dans le package, nous réservons également un tour de l’île en 4x4, effectué par Frédéric.
Excursions intimistes, grand confort : Pas de horde de touristes, nous ne serons que 3 touristes sur ces 2 tours, et pour le tour en bateau nous aurons 2 accompagnateurs, Frédéric et leur jardinier/homme à tout faire, guide/cuisinier adorable, natif de Taha’a, adorable et très intéressant.
(à suivre…)
Pour les gourmand(e)s, petite évocation de nos menus : tartare de thon mi-cuit, crème brûlée à la vanille, salade de papaye râpée avec brochette de crevettes, filets de perroquets sauce basilic, flan de saumon des Dieux, filets d’espadon en sauce vanille…
-Millie, ne lis pas!- ; )
Flash back, avec une partie de mon message qui n’est pas passée :
Médaille d’or pour les repas, dès le 1er dîner où nous sommes chaleureusement accueillis (en table d’hôtes, sur la terrasse des propriétaires), c’est un vrai régal, Corinne est aux fourneaux, et elle a placé la barre assez haut!
Les plats sont raffinés, servis à l’assiette.
Nous découvrons des nouveautés, comme le « korori », muscle des huîtres perlières servi en carpaccio façon st Jacques (avec huile d’olive, gingembre, fruits de la passion, et un peu d’ail sel, poivre). Un délice!
Les petits déjeuners servis sur notre terrasse sont gourmands , avec des yaourts vanille faits maison, onctueux à souhait, et du pain coco.
Tous les soirs, Frédéric offre « l’apéro du patron », rhum arrangé (et lamelles de coco grillées en amuse-gueules), à côté de sa belle collection de coquillages.
Ambiance très conviviale.
Idyllique, me direz-vous?
…
Jusqu’au moment du coucher, où on réalise que notre bungalow ne correspond pas du tout à notre réservation, ni pour la taille ni pour l’équipement!!!
Sous-classés (presque 20% d’écart de prix, quand même)!!!
Trop tard pour retourner voir les propriétaires, mais “notre” bungalow est occupé jusqu’à demain. On envoie néanmoins un message.
D’accord, on a quand même dormi.
Ce sera rectifié le lendemain après une petite discussion où Frédéric essaie de noyer le poisson (l’agence réagira au bout de 24h, une fois le problème résolu, mais nous fera cadeau du supplément transfert de nuit).
Tout en étant très confortable, le nouveau bungalow comporte toutefois des lacunes par rapport au descriptif qui s’avère inexact. (Chut!)
Alors, quelles activités à TAHA’A?
Pour nous, deux épisodes : terrestre (en tournant d’est en ouest), puis maritime (en sens inverse).
L’île est très montagneuse et très découpée, plusieurs baies ressemblent à des fjords.
Une tradition : on nous dit que dans les villages, les terrains et maisons côté mer appartiennent aux Protestants, les Catholiques se trouvent côté montagne!
De superbes panoramas se découvrent au passage, avec la baie d’Apu et celle d’Haamene, la ville principale.
Premier arrêt après la baie de Faaaha, dans une vanilleraie naturelle ( par opposition aux vanilleraies sous serre) au fond d’une vallée à la végétation luxuriante, à flanc de montagne.
Quel travail!
Visite très instructive où nous apprenons les étapes de la préparation, ainsi que toutes les façons d’utiliser (et de réutiliser) la vanille de Tahiti.
Beaucoup plus parfumée que les autres, elle permet d’utiliser 2 fois chaque bâton. La poudre est omniprésente dans beaucoup de recettes.
Nous dévalisons la boutique!
Le prochain arrêt : une des 3 fermes perlières (Love Here Pearl farm).
Non non, je n’ai pas craqué!
Mais la visite était super, super intéressante : Nous avons assisté au nettoyage, à l’entrebaillage des huîtres, à la greffe, puis à l’ouverture des huîtres, au moment où on découvre s’il y a une merveille ou une bizarrerie!
Les huîtres sont des “pinctadas margaritiferas”.
Une fois l’huître entrebaillée, un petit nucléus sphérique est introduit en même temps qu’un greffon (petit morceau du manteau d’une autre huître).
Au bout de 18 mois :
Chaque huître est greffée au maximum 2 fois, ensuite on la jette, ou on utilise sa nacre…
C’est là qu’on récupère le muscle de l’huître, le fameux « korori » qui nous a été servi en carpaccio ().
Et non, ce n’est pas la couleur de mon vernis!
On finit, bien sûr, par la boutique!
Ce qui fait le prix d’une perle? Sa taille, sa surface, son éclat, et sa forme.
Beaux aperçus sur les motus du Nord et de l’ouest…
Les motus dessinent une ligne en pointillés, avec en arrière plan la barrière de corail.
Frédéric est fan de Koh Lanta, 2 saisons ont été tournées ici , sur des motus en face de Patio : « Alors là c’est le motu des Rouges, et là c’est celui des Jaunes » ( Ne surtout pas parler des Bleus!!!)
Arrêt suivant dans une des 2 rhumeries de l’île, chez Pari Pari - dégustation-…
Ils font aussi des produits à base de coco…
Déjeuner improvisé dans un modeste snack au bord de la route : Comme il y a rupture de stock de bœuf et de poisson ( un comble!) nous choisissons des nouilles chinoises au poulet en curry ( pas mal).
C’est au moment où Frederic nous montre l’unique cocotier à 3 têtes, non loin de la plage de Joe Dassin, que le déluge s’abat sur nous!
Une pluie battante qui va durer tout l’après midi!!!
Nous regardons la pelouse se transformer en lac…
Heureusement, le tour en bateau du lendemain bénéficie d’une accalmie!
Nous longeons d’abord la côte par l’ouest, dépassons la plage de Joe Dassin ( la maison fut soufflée par un cyclone en 2010). Il paraît que Joe y faisait la fête avec Carlos et Johnny …
La plage reste très belle, mais on ne peut l’atteindre qu’à pied ou en bateau.
On dépasse ensuite le resort de luxe sur pilotis, avec Bora au fond.
Toujours en remontant vers le Nord, on se rapproche de l’arc de cercle des motus.
Parmi eux : quelques îlots habités, le motu Tehutu, puis un passage particulier entre 2 motus, où se trouve l’un des fameux « jardins de corail » de l’île .
Nous jetons l’ancre à proximité ( zone hors corail), et une fois équipés ( palmes, masques et tubas), guidés par nos 2 marins, nous partons zig-zaguer entre les patates de corail, les buissons et les anémones.
C’est fort joli, avec pas mal de poissons. Et nous sommes seuls!!!
Le prochain stop, c’est le motu picnic ( l’îlot des Jaunes de KL).
Nous nous régalons de noix de coco fraîches (amuse-gueules pour l’apéro), d’une grosse salade de thon cru (aux légumes) mariné au lait de coco (chair de coco râpée et pressée sous nos yeux!) posée sur un lit de riz. Pain coco, mangues et fruits de la passion à volonté ( du jardin!).
On se dépêche de rentrer avant la pluie… qui ne viendra pas aujourd’hui!
Balade dans les environs de Poutoru, encore de magnifiques panoramas.
Vendredi 22 octobreLe trajet en bateau vers Raiatea se fait sous une pluie battante, nous sommes trempés!
On nous dit que la saison des pluies est à l’avance cette année. Une chance pour les îles et atolls qui manquent d’eau.
Le bateau nous laisse au centre d’Uturoa, juste face du Champion, ce qui nous permet de faire des courses avant le rdv pick up fixé par téléphone avec notre logeur Johnny.
(Précision : La carte Vini que nous avons achetée pour 1500 cfp nous offre des SMS illimités, 1 GO de connexion internet, et 27 min de communications).
Cette fois c’est une réservation perso pour 3 nuits (via Booking), reportée depuis 2020 (en fait, remboursée, puis renouvelée)!
On rigole : Ce monsieur jovial qui déboule en chemise à fleurs et qui nous donne une chaleureuse accolade possède un accent suisse des plus colorés!!!
« Ben ouiiii, ma mamaaan elle est Tahitieeeenne, mais mon papaaa il est Suiiiisse, de Lausaaaanne! »
Hahaha! On comprend pourquoi notre hébergement est un chalet suisse!
J’avais flashé sur la photo!
Coup de coeur, coup de chance, coup de bonheur!
Situé dans le grand jardin tropical de la famille, au bord de l’embouchure de la rivière Faaroa. C’est beau, le paysage est d’un romantisme déchaîné.
Maisonnette hyper bien équipée (y’a même la télé - hihi!-), déco folle, aux influences multiculturelles (au Mont Cervin et au chapeaux polynésiens, ajoutons le Mexique, où la famille a vécu un certain temps).
Des kayaks sont à disposition, pour une mise à l’eau devant la porte!
On peut même rejoindre le jardin botanique en kayak, par la rivière Faaroa .
Avec 5 autres copains, Johnny a aussi formé un team d’aviron (va’a), nous les verrons s’entraîner ici ce WE et nous apprendrons tout sur ce sport!
Une pirogue pèse 170kg et ils ne sont pas trop de 6 pour la bouger!
En accord avec Johnny, nous n’avons pas loué de voiture, mais je pense qu’en fonction de l’hébergement choisi, ce serait utile pour visiter l’île.
Hélas, la pluie qui n’a pas cessé nous empêche d’envisager les petites randos sympas qu’il est d’usage de faire, comme les 3 cascades.
Ça nous refroidit aussi pour le kayak!
Par contre, nous avons fait une petite balade jusqu’à Avera (il y a un petit supermarché), où des plats cuisinés se vendent devant le marché (nous avons acheté du poulet citron pour le déjeuner).
N’espérez pas trouver du pain après 8h le WE, tout a été vendu “aux familles nombreuses qui piquent-niquent le WE” (sic).
Par contre, nous repérons un petite affiche indiquant que pour un prix modique (1000 cfp), on peut téléphoner et se faire transporter jusqu’à un petit motu en face, doté d’une jolie plage de sable fin. Bon à savoir, car on ne vient pas à Raiatea pour ses plages! Hors des motus, point de joli sable.
Déjeuner sur le deck.
Par contre, Johnny nous a proposé un petit circuit personnel (cf pointillés rouges sur la carte) sur les sites qu’il estime les plus « must do » de son île.
Excellente initiative! Pour 3000 cfp/pers, c’est OK pour le samedi aprem, et par chance ça sera la seule demi-journée à peu près belle.
C’est génial d’avoir un guide helvético-raiatéen qui devient vite un complice!
Notre tour commence par les rives de la rivière Faaroa, avec le célèbre marae Taputapuatea, inscrit depuis 2017 sur la liste du Patrimoine Mondial de l’UNESCO.
« Symbole des valeurs humaines et spirituelles des Polynésiens, il illustre de manière exceptionnelle 1000 ans de civilisation Maori et témoigne des compétences extraordinaires de ce peuple en matière de navigation, franchissant de longues distances sur le Grand Océan à bord de pirogues doubles ».
La place de Raiatea au coeur de la pieuvre symbolise le rôle central que joua cette île (-avec ce marae -) dans un « triangle Polynésien" incluant Hawaï, l’île de Pâques et la nouvelle Zélande.
Le lieu dégage une atmosphère particulière, au pied de la montagne royale d’où on guettait l’arrivée des bateaux.
En poursuivant notre itinéraire, nous visitons le mignon village d’enfance de « Mamie », l’église où elle a appris à chanter ses cantiques préférés…
et puis nous prenons de la hauteur pour admirer deux superbes panoramas.
Depuis le Belvédère, au bord de la caldeira, on contemple l’intérieur du cratère et les crêtes qui l’entourent.
Johnny propose habituellement une petite randonnée « des crêtes » à partir du Belvédère, mais l’état actuel du terrain (que dire du ciel!) ne le permet pas aujourd’hui.
Quelques km plus loin, au bord de la route traversière, une courte grimpette facile (150m) à partir du mini parking conduit au site d’origine volcanique des Gabbros de Faaroa, avec ses curieuses roches plutoniques érodées « en gouttière ».
Des plate-formes ont été aménagées, qui permettent aussi un joli coup d’oeil sur la caldeira.
On rejoint enfin le bord de la rivière Faaroa pour admirer le jardin botanique de 3 ha, ré-ouvert depuis début 2020 (accès libre) après un heureux réaménagement qui permet aussi d’y pique-niquer et d’y arriver en kayak par la rivière.
Particulièrement remarquable, à mon avis, par sa collection d’héliconias!
…
Que faire un dimanche où il tombe des cordes? Quand on a entendu des cascades toute la nuit?
Et bien, on savoure l’adorable invitation de « Mamie » à partager le déjeuner familial après l’avoir accompagnée à l’office religieux (protestant) dans le petit temple d’Avera.
Malheureusement l’assistance était très clairsemée en raison du mauvais temps, mais les chants étaient néanmoins très beaux, et la cérémonie fut d’autant plus empreinte de mystère … qu’elle était célébrée en tahitien.
“La pluie est un cadeau de Dieu”, a dit le pasteur. Certes! Mais il faudrait songer à limiter la taille de certains cadeaux…
Pour le déjeuner, bien sûr nous avions apporté des petits cadeaux (toujours prévus dans nos bagages)!
Après un apéritif des plus classiques, nous nous sommes régalés d’un sashimi de thon rouge frais sur lit de chou blanc accompagné d’une goûteuse émulsion à base de sauce huîtres, puis épinards au poulet au coco, et en dessert, d’une originale compote de papaye du jardin, épicée de façon très personnelle par Mamie (ail et gingembre!), suivie d’un poe papaye.
Ce furent des moments de franche rigolade avec concours de souvenirs…!
J’ai ensuite reçu un cours de réalisation de colliers de fleurs (avec fleurs de frangipaniers blanches et roses), que je pourrai mettre à profit dès que j’aurai des fleurs convenables dans mon jardin.
Quel bonheur nous avons eu de connaître cette adorable famille!
Quelques mots de la “capitale” Uturoa maintenant?
C’est là que se concentrent les commerces, le long de la rue principale et derrière, autour du marché (fruits et légumes en bas, artisanat à l’étage).
Boutiques de souvenirs et bâtiments assez esthétiques devant le port.
Toujours une grande propreté.
La fleur sur le pavage au sol, c’est une fleur de tiaré Apetahi, endémique de Raiatea, qui ne pousse que sur le mont Temehani.
Heu… normalement cette fleur n’a que 5 pétales!
Petit clin d’oeil de gourmands?
Si vous des restaurants dans le coin, je recommanderais personnellement :
- le snack Tonoi (sortie sud, au bord de la route sud-est), le préféré de nos logeurs;
- Le Ray Gate, au port, face au lagon (pain frais exceptionnel, fait maison).
Et je mentionne aussi une roulotte sympa à la sortie sud d’Avera, à partir de 17h.
Mais ce n’est pas exhaustif!
Et maintenant, avant de quitter l’île vers Huahine, juste pour le plaisir : un petit aperçu du Street Art que l’on peut admirer à l’entrée sud de la ville, juste avant le port.
(Le langage des doigts signifie : Ia Orana!)
Chapeau bas, les artistes!
Merci Patou,
Trop bien ton carnet… vivement la suite.
J’aime aussi beaucoup photographier le Street Art : j’admire l’imagination des artistes.
A bientôt pour la suite…
Amitiés.
Michèle.
Lundi 25 octobre.
TAHA’A était "l’île Vanille. HUAHINE est « l’île Femme », à cause du profil de sa montagne qui représente une femme enceinte couchée.
Mais aussi “la sauvage”, ou “la rebelle”.
Cette fois, notre hébergement a été réservé via Easy Tahiti (ET pour les intimes).
Ça commence mal : personne ne vient nous chercher à l’aéroport.
Une fois tout le monde parti, nous nous retrouvons seuls (ou presque…). Pas de taxi.
Par chance, une charmante jeune femme (Isabelle, qui se retrouve sans ses clients) téléphone à notre logeur, qui arrive ventre à terre, se répandant en excuses : il n’avait pas été prévenu de la modification des horaires du vol, datant quand même de plus de 2 semaines. Bon.
Notre résidence (Fare Ara) se situe à la sortie sud de la capitale Fare. Nous héritons d’un vaste T3 (!!) confortable et bien équipé, avec une grande terrasse.
Le propriétaire, Tinau, un grand calme hyper souriant, nous informe que la télé est en panne depuis juillet, et qu’au lieu du pain frais le matin (promis dans la pub) nous aurons des biscottes, car il doit écouler les stocks qu’il avait faits en juillet quand les 2 boulangeries ont fermé, tout le personnel étant atteint de covid. Que répondre à cela?
Et oui, ici aussi il peut pleuvoir!
Pas de problème en revanche pour la location de la petite Panda rouge, elle nous attend à partir du lendemain matin (8000 cfp/j) sans autre formalité à effectuer.
Par bonheur, le soleil a refait surface le lendemain séchant les quelques zones inondées la veille!
Huahine ayant été coupée en deux par un coup de pirogue du dieu Hiro qui s’était endormi (j’adore toutes ces légendes polynésiennes sur chaque île!), nous décidons de découvrir l’île en 2 étapes : la moitié Nord d’abord!
(carte annotée par Tinau)
Quelques images et anecdotes qui ont ponctué cette journée extraordinaire :
Courses au SuperU, puis au marché, où on regarde un lot de 9 fruits de la passion étiqueté 1000 cfp ( francs pacifique), environ 8,50€. Mais le client précédent rechigne : c’est pas le prix! Alors la vendeuse retourne le carton, l’autre face indique 700 cfp (5,80€).
Hihihi! T’as joué, t’as perdu!
Moralité : n’hésitez pas à vous intéresser à la face cachée …
En route pour un tour de la demi-île du Nord?
Premier arrêt : l’énorme marae historique de Manunu, qui représentait la communauté insulaire.
Juste devant, le gang des Pandas rouges ( on reconnaît ainsi les touristes!!)
Un barrage contre le Pacifique?
Au bout de la route sans issue, les ruines d’un ancien Sofitel, ressenti curieux, légèrement stressant…
On ne se baignera pas là, car l’eau un peu verdâtre ne nous branche pas!
Depuis la route, avant d’atteindre Maeva, petite grimpette vers l’antenne rouge et blanche sur la montagne, pour un beau point de vue :
A Maeva, nous admirons les pièges à poissons et la vue sur le joli village et le lac de Fauna Nui.
Les poissons entrent dans les “couloirs” à marée haute, et se retrouvent ensuite pris au piège. Ingénieux!
En face, un souvenir d’une bataille entre des soldats français et les habitants de l’île rebelle, au 19e s. !
Picnic light et ombragé près des anguilles sacrées aux yeux bleus ( Si si! Juré! Même si j’ai raté mes photos!) à qui nous offrons des maquereaux (sans vin blanc)…
Nous assistons au ballet des grosses anguilles au milieu des cailloux et des racines de “Mape” (châtaigners polynésiens). Des enfants sortis de l’école descendent dans la rivière et jouent avec les poissons…
Ne cherchez pas la buvette!
Plus loin, la route grimpe jusqu’au belvédère qui offre une vue somptueuse sur la baie ( pente à 20% en montant, 30% en descendant de l’autre côté !!!)
Nous laissons de côté (pour le lendemain) la partie sud de Huahine, et prenons la direction de Fare.
Petit arrêt pour voir l’empreinte de la patte du chien sacré Pi’ihoro ( géant, noir avec 3 taches blanches, le gardien protecteur de la dynastie des Teva!)
Ensuite, zen… Petite visite à la distillerie de Huahine (Huahine Passion), à l’entrée de Fare, puis fin d‘après-midi baignade sur la très belle plage à côté du yacht club de Fare, où nous finirons la soirée en profitant de la Happy Hour, du coucher de soleil sur Raiatea, et d’un délicieux dîner en bord de lagon.
Juste à côté, sur le port, une stèle marque le point de départ de la célèbre course de pirogues Hawaiki Nui Va’a - hélas annulée cette année!-.
Pour les curieux :
…
Hello Patou,
Te lire me rappelle décidément de bien beaux souvenirs. Je reconnais tant d’endroits…
Nous c’est à Huahine que la météo s’est dégradée pour 3 jours. Nous avons eu la chance d’avoir beau temps sur les autres îles, cependant. On n’a pas pu profiter d’Huahine comme on aurait voulu mais on a apprécié, même sous la pluie. Nous logions chez Yves, au Moana Lodge sur l’île du sud. Endroit magnifique.
Sinon, je vois très bien où est la pension Tereia à Maupiti et je reconnais la patronne sur tes photos. Nous avions fait la connaissance d’une touriste qui y logeait.
Nous étions au Maupiti Résidence. Que du bonheur et oui, le snack Mimi était notre cantine du midi. J’imagine que vous vous êtes rendus en face sur le motu. Endroit paradisiaque…
Quelle belle île…
Nous gardons aussi de jolis souvenirs de Raiatea et de Tahaa. Nous n’avons séjourné qu’à Raiatea et avons fait une excursion sur le lagoon autour de Tahaa avec arrêts aux incontournables, dont la ferme perlière que je reconnais aussi.
Je n’ai pas le courage d’écrire un carnet, contrairement à toi et puis le dernier que j’avais écrit sur VF, un voyage en Ethiopie, a coupé définitivement mon envie de renouveler l’expérience…
Bonjour Anne-Claire,
ah là là, tous ces souvenirs communs que nous brassons…
Et ce n’est pas fini!
Je connais ton carnet éthiopien, je trouve que tu décris très bien ton ressenti, et du coup je viens de le relire! Intéressant. Très belles photos.Nous hésitions à y aller, j’étais un peu rafraîchie par certains aspects du voyage… mais là, tout est plus simple, puisqu’on ne peut plus y aller.
À +,
Patou
Le lendemain, cap au Sud : on a des envies de plage!
Après quelques courses “en ville”, à la pharmacie (très jolie!) et au SuperU où on achète notre baguette de pain frais- parce que, ras le bol des biscottes!-
Les roulottes du port offrent un joli choix de plats cuisinés, intéressants en “take away” par mauvais temps.
Et puis, on adore flâner sur le port. Quelle activité!
Aujourd’hui, pas de picnic, le déjeuner sera version luxe, puisque cette nuit (!!) j’ai eu l’idée d’un super plan : aller déjeuner au restau de l’hôtel Le Mahana, à Parea, et profiter ainsi de sa superbe plage et de ses infrastructures. Yes!
Nous reprenons donc cette route du sud en travaux …
A la sortie de Fare, une petite plage où des gens se baignent (une idée pour demain?).
Nous nous arrêtons après le pont qui conduit à Huahine Iti, pour admirer le paysage.
Nous commençons le tour de l’île par la côte Est, les paysages sont tellement beaux, qu’on aurait envie de se poser et de rester là… en mode contemplatif.
Arrêt à Parea, pour admirer le marae Anini, étonnant avec ses gros blocs de corail posés au bord du lagon.
La maison du pareo n’est pas très loin. Très belles pièces, essentiellement sur le thème de la fleur de tiaré.
Sur la baie d’Avea, l’hôtel Le Mahana tient ses promesses : longue plage de sable fin, superbe, et snorkelling intéressant autour du ponton.
En fin de matinée, il y a beaucoup de monde, le restaurant extérieur est plein!
Nous avions réservé une table sur la terrasse, à l’abri du soleil… et ce sera finalement à l’abri de la pluie, une grosse averse venant jouer les trouble-fête!
Jolie présentation pour nos délicieuses salades (à prix étonnamment sages!).
Bref! Nous passons ici quelques très agréables moments.
A la réflexion, cet hôtel qui nous semblait fort agréable (toutefois certains bungalows en bord de plage offrent peu d’intimité), s’avère finalement très isolé, donc à réserver plutôt pour un séjour repos XXL!
Pour le retour, nous flânons le long de la côte ouest, qui abrite deux vanilleraies (que nous ne visitons pas) et quelques hameaux isolés.
De retour à Fare, nous ne résistons pas au plaisir de retrouver “notre” plage et le front de mer de “notre” yachtclub pour l’apéro-dîner.
Encore sous le charme!
Mais le temps se couvre…
Des trombes d’eau vont s’abattre sur la dame couchée (et sur nous) dans la nuit et toute la journée du lendemain, anéantissant nos envies d’excursions, notamment le tour du lagon.
La visite du “Motu trésor”, musée de coquillages, sur la route de l’aéroport, devient alors une excellente idée!
Le propriétaire, Frank, passionné de coquillages et bijoutier à ses heures, a réuni dans son petit local une exceptionnelle collection, et il adore raconter tous ses secrets à ses visiteurs.
Remarquable!
Nous aurions beaucoup aimé être seuls avec Franck dans son minuscule musée.
Le problème, c’est que tous les touristes de l’île se sont donné rendez-vous ici par vagues successives après notre arrivée, et nous étions presque une vingtaine à nous marcher sur les pieds devant les vitrines. Sans parler du même début de discours que nous avons entendu 4 fois avant de renoncer avec regret. Dommage!
(J’ai quand même retenu qu’il faut se méfier des cônes, aussi jolis soient-ils, car il en existe 3 espèces mortelles, capables d’envoyer des “harpons” empoisonnés.)
Alors, allez-y un jour de grand soleil, il doit y avoir moins de monde!
Nous avons beaucoup aimé Huahine, une de nos îles préférées, pour son caractère accueillant, paisible et préservé, fertile et un peu sauvage, assez grande pour offrir des paysages variés et plusieurs possibilités de balades et d’excursions.
Pas très isolée non plus, Raiatea et Tahiti ne sont pas loin.
On s’y sent bien.
Nous aurions aimé avoir la possibilité de faire un tour de lagon (nous avions repéré “Huahine nautique”, dont le tour semble recueillir tous les suffrages).
Nous nous rattraperons à Bora Bora!
Un conseil personnel : Pour visiter Huahine, je pense qu’il vaut mieux choisir un hébergement assez central, dans Fare ou à proximité, et louer une voiture, au minimum pour 2 jours.
Une dernière vue de Huahine depuis l’avion :
Coucou Patou,
Nous aussi nous avons eu un coup de coeur pour Huahine où nous sommes restés 3 nuits.
Moins touristique, plus “intime”.
Nous avions loué 1 jour une voiture et 1 jour un vélo.
Bonne continuation et merci pour ton partage.
Bises.
Michèle.
Coucou Michèle,
Merci pour ton message! Et oui, nous avons souvent le même ressenti… et des goûts convergents.
Ceci dit, nous sommes moins sportifs que vous!
Nous connaissons nos limites…
Bises
Patou
PS
Et puis, moi, le vélo… hum! Mon coude est encore en convalescence, alors ne tentons pas le diable!!!
;- )
BORA- Vendredi 29 octobre
BEAU TEMPS! Yesss…!
Aaaaah…! Le survol de Bora, l’arrivée dans le monde des 50 nuances de turquoise…
Un rêve éveillé.
Après 25 minutes de vol, l’atterrissage se fait à 8h45 sur un motu ( piste construite par les Américains en 42), puis une navette nous amène au port de Vaitape.
Le prix de la navette est inclus dans celui du billet, contrairement à Maupiti.
J’avais hésité à “zapper” Bora, tellement touristique, tellement joyau des Américains, pilotis et compagnie…
Et puis, quand-même! Une telle réputation est à vérifier, non? `Mes amies qui se pâment ("Aaaaah, l’anneau d’émeraude de Bora… aaaah…! - On a le droit d’aimer les pierres précieuses, non?-).
J’ai donc opté pour un court séjour (2 jours), en réservant perso un AirBnb qui me faisait de l’oeil sur la plus belle plage de l’île, au Sud, sur la Pointe Matira.
Réservation reportée depuis 2020, avec un propriétaire compréhensif et bienveillant.
A l’arrivée au port, Guillaume nous attend. Accueil chaleureux.
Jeune, sympa et dynamique, il nous emmène chez lui (env 15 min de route, transfert gratuit) après nous avoir montré l’essentiel du village qui s’étire le long de la route.
La plus belle plage de Bora est au pied de la maison!
Guillaume se propose spontanément pour monter nos gros sacs (il y a une quarantaine de marches pour atteindre sa maison, construite à flanc de montagne)- superman!-
Jolie chambre indépendante, très claire, avec son accès privé depuis la terrasse qui surplombe la baie, frigo et sdb; accès à volonté à la cuisine (semi extérieure) du jeune couple.
Le bonheur! Et on a failli rater ça!!!
A 11h on est dans l’eau!
Repas au snack d’en face, le snack Matira ( choix restreint aujord’hui- Bof-), puis on part faire le tour de l’île.
Nous avons loué le scooter de Guillaume (très correct, état neuf car changé récemment, prix canon : 3000cfp la journée).
Sur la route, les automobilistes locaux nous semblent prudents et respectueux des 2 roues.
Stop à Vaitape pour quelques courses…
Il s’y tient en ce moment un salon de l’artisanat. Nous y flânons, admirons les compositions florales, et faisons quelques emplettes, petits souvenirs/cadeaux.
Près du port, le plaisir d’admirer encore quelques oeuvres de Street Art :
Ah, mais on te reconnaît, toi!
Le long de la route, le lagon est présent à tous les instants ou presque.
Toutes les nuances de turquoise sont là, à chaque virage c’est magnifique!
On aperçoit aussi des alignements d’HLNM (hébergements à loyers non modérés), dont nous mesurerons les excès le lendemain pendant notre tour en bateau.
Ouf. Le scooter parvient à gravir la colline où se trouvent les fameux canons américains que nous laissons dormir en paix…
Au retour, plage.
Puis nous ressortons le scooter pour la soirée : sur les conseils de Guillaume, nous allons ce soir tester la Happy Hour et le dîner au Bloody Mary’s, THE Bar/Restau qui est ici une institution, the place to be, où ont défilé toutes les célébrités du monde, de France et de Navarre… entre autres!
Il y a d’ailleurs une liste affichée sur un panneau à l’entrée, des fois que…
Les prix aussi témoignent de la notoriété du lieu.
Le décor est très beau, les serveurs très stylés, le bar chiquissime (mais on peut emporter son verre dehors), heureusement que les cocktails ont une Happy Hour (2 pour le prix d’1) vu leur prix!
La spécialité du restau, c’est BBQ ( vaste choix de viandes et poissons, on choisit sa victime- tout est 50% plus cher que dans tous nos restaus des autres îles-). Pfff…!
Mais il faut reconnaître que tout fut excellent.
Live music en prime, c’est la classe.
A la sortie :
“Monsieur, vous avez votre véhicule?
Oui, bien sûr, merci”!
( = le scooter)!
Sinon ils te raccompagnent dans ton hôtel. Classe!
C’est Bora…
Petit clin d’oeil : Figurez-vous que notre hébergement de charme, c’est le même que celui de Tontonvin (carnet 2019), avec les mêmes propriétaires mais un nom différent, Fanny étant la jeune épouse de Guillaume! Mêmes choix, mêmes affinités… mais scooter neuf.
(Salut Tontonvin!)
Ah! J’ai oublié la carte!
Il ne faut pas naviguer dans le brouillard!
Coucou Patou,
Oh oui, quel dommage si tu n’avais pas fait un arrêt à Bora !!!
Michèle.
Oh oui Michèle, tu as raison! En tout cas, nous nous sommes bien amusés sur cette île!
Coucou Patou,
Je viens de t’écrire en mp quand je tombe sur ton compte-rendu sur Huahine. Effectivement cette île a beaucoup de charme et nous non plus n’avons pu faire le tour du lagon (avec Huahine Nautique…) à cause de la tempête.
Nous avons regretté de ne pas tester le Mahana lodge pour déjeuner. Le petit restau voisin n’était pas mal non plus cela dit. Nous hébergeur se trouvait non loin de là, un peu plus au sud au bord d’une petite plage à tomber. Mais nous étions un peu isolés, c’est vrai.
En revanche, nous avons moins aimé Bora. Je pense que la pension y est pour beaucoup. Apparament la vôtre était très chouette, et bien située en plus. Si je comprends bien, non loin de la plage Matira ? Nous étions au Mataï. Rien à redire mais beaucoup de touristes. Structure assez impersonnelle. La journée que nous avons préférée était celle où on a fait le tour de l’île en vélo (électriques…). Nous avons été un peu déçus par la sortie lagon, moins intéressante à notre goût que celle de Tahaa et de Maupiti. Je ne parle pas de celles des Tuamotus, hein… Je te laisse le soin de le faire.
Coucou Patou,
quel plaisir de te lire ! Tu me fais voyager un peu par ce temps gris ! Je me régale comme avec tes autres carnets de voyage. Je n’ai pas vraiment l’intention d’aller en Polynésie, mais du coup, ça me donne envie…
Bonne continuation,
Ulrike
@Ulrike
Merci à toi!
Quel plaisir de faire plaisir et de diffuser un peu de soleil et de rêve!
Sans oublier que moi aussi je me régale à refaire ainsi notre voyage.
@ Anne-Claire
Effectivement nous n’étions pas loin de l’hôtel Maitai, juste 10 minutes à pied.C’est vrai que l’hébergement compte pour beaucoup dans le ressenti et la chaleur (ou pas) des souvenirs.
Nous étions juste en surplomb de la plage Matira (voir photos précédentes), juste l’escalier à descendre et la route à traverser, juste devant le snack, et plouf!C’est justement au ponton du Maitai que nous avions rdv pour le départ de notre excursion en bateau. Le cadre est beau, l’hôtel nous paraît très agréable, mais la personne à l’accueil manque vraiment d’amabilité lorsque nous lui demandons un renseignement.
T’es pas de l’hôtel, tu te débrouilles.
OK…
Samedi 30 octobre :Journée entière dans le lagon de Bora Bora!
Excursion réservée à l’avance, carte blanche à Guillaume, qui a choisi pour nous son prestataire favori : Lagoon Service.
Lequel n’a pas démérité!
Guillaume et Fanny ont essayé tous les excursionnistes, ils ont retenu le meilleur.
Donc, départ 9h20 du ponton de l’hôtel Maitai.
Nous sommes 11 (dont 2 enfants), dans une belle pirogue confortable. Boissons fraîches à volonté, et … exceptionnel : On met à notre disposition de grands draps de bain!!! Génial.
Notre capitaine s’appelle Coco. Chaleureux, attentif, sympathique et efficace.Il joue du ukulélé en chantant pendant certaines parties du trajet, et nous apprécions beaucoup la prestation.
Une autre pirogue de lagoon service navigue en parallèle, avec un pilote beaucoup plus… déjanté! Du moins dans son show.
Coup d’oeil au passage sur des alignements de pilotis, à 90% déserts paraît-il, certains en démolition, ou en projet de rénovation? Il paraît que les hôtels peinent à trouver du personnel…
Premier arrêt : snorkelling au jardin de corail.
Beau, très beau! Poissons et coraux.
Les photos proviennent de la Gopro de Monsieur.
Nous y verrons même une murène, locataire des lieux.
Nous sommes hélas un peu nombreux (3 bateaux)! Beaucoup moins intimiste qu’à Taha’a!
Le 2e stop, c’est “nage avec les raies pastenagues”.
Très mignonnes, elles « accourent » voir le bateau (ça cache qqch, non?).
C’est un vrai ballet! Il y en a tellement qu’il faut faire attention de ne pas atterrir dessus en sautant du bateau!
Et bien… dans ma série “Les aventures de Patou”, c’est le moment que je choisis pour casser mon tuba. Pfff…!!! Fendu! Du coup, je n’ai pas trop eu le temps d’apprécier les raies quand j’avalais des litres d’eau de mer! C’est ballot!
Alors, pour le stop suivant, “nage avec les requins”, les Pointes Noires sans tuba, non merci! Je me suis contentée de les regarder de haut, comme les mouettes.
Quand nous arrivons sur le motu du déjeuner, les collègues de Coco ont commencé à installer le buffet, les plats (traditionnels) sont alléchants et la déco est magnifique!
Séance de fabrication d’assiettes : à la fois artistiques et biodégradables!
Certaines tables ont les pieds dans l’eau, raies et petits requins sont au courant de notre arrivée et viennent aux nouvelles…
Effectivement, les restes du repas leur sont distribués à la fin (pas très éthique, tout ça, mais ça évite les poubelles).
Alors, sous l’eau, c’est vite la foire d’empoigne! Ceux qui filment sont priés de se tenir à plus de 2m pour éviter les coups de dents (ou de queue!).
L’instant d’après, c’est : sieste et baignade ( en option), art du tressage (fabrication d’assiettes, de paniers et couronnes), massacre de noix de coco.
Ludique et intéressant.
Nos 2 compères s’entendent comme larrons en foire et montrent de vrais talents d’animateurs.
Baignade aussi au retour, quand la pirogue nous arrête sur un superbe site surnommé “la piscine”!
Les couleurs du lagon sont vraiment somptueuses.
Et voilà! Magnifique journée.
Rentrés crevés ( dîner acheté au passage dans un petit snack au bord de la plage) .
Ce fut sunset-dîner sur la terrasse!
Coucou Patou,
Whaouu!! Super !! Quand je pense que tu aurais pu louper ça !!
Très beau souvenir de notre tour de bateau … très ressemblant !!
Merci pour ce partage et bonne soirée.
Michèle.
Nous allons bientôt quitter l’archipel de la Société, pour mettre un pied dans celui des TUAMOTU.
Mais auparavant, cerise sur le gâteau, quelques autres photos sous-marines (piquées à la gopro), pour le plaisir.
Certaines ont été prises à Moorea, d’autres à Taha’a…
Retour au port de Vaitape pour attraper la navette vers l’aéroport.
Nous allons nous envoler vers RANGIROA.
Un peu plus tard, survol de BORA (Aaaah, ces couleurs!!!)
Bye! Je vais interrompre momentanément mon récit, le temps d’un petit voyage chez les lions. Encore un report de l’hiver dernier!
Je reviendrai juste avant Noël, et je vous emmènerai aux TUAMOTU.
En attendant je vous envoie mes amicales salutations,
Patou
Bon voyage j’espère que tu nous ramèneras une magnifique carnet de voyage …
Merci Michèle et Maya,
Pour notre départ, le suspense a duré jusqu’au bout!
Et pour les photos je ferai de mon mieux… mais le futur carnet sera beaucoup plus court!!!
Bises,
Patou
Bonjour.
Je découvre avec grand plaisir votre carnet Patoutaille grâce à la sélection du concours carnets de voyage (je crois qu’on s’est déjà croisés quelques fois sur le forum Namibie y a quelques années ) . Bravo pour les photos, superbes, et ce séjour au top ! Cela me rappelle parfois l’ile de Paques que j’ai eu la chance de visiter y a 10 ans, mais je ne connais pas du tout la Polynésie. Et entre deux, j’ai eu deux enfants, donc entre le budget et le temps d’avion, c’est pas tout de suite que je connaitrais
Quand vous aurez un peu de temps à votre retour d’Afrique, je vous invite à découvrir mon carnet, sélectionné en dessous du votre dans les gagnants du concours, avec une semaine passée à Chypre fin octobre.
Etienne
Merci Fecampois,
Je découvrirai Chypre avec grand plaisir à mon retour, c’est une destination que je ne connais pas du tout et qui semble très intéressante !
Je vous souhaite de pouvoir découvrir un jour la Polynésie !
Tres cordialement,
Patou
Bonjour à tous
Merci pour ce retour.j’ai hâte de connaitre les commentaires sur les autres iles. Je finalise notre voyage pour août prochain et les infos sont très interressantes.
Un appel à tout le monde.: des bons plans ou bonnes adresses pour les excursions, location votiure ou scoot…?
Merci d’avance
A bientôt
Hello Sandra,
Merci.
J’ai été très satisfaite d’avoir réservé peu d’excursions à l’avance et d’avoir organisé ça avec les logeurs, car cela m’a souvent permis de m’adapter aux conditions météo et d’avoir de très bons conseils ( et des bons prix!).Un bonjour depuis la Tanzanie! Je compléterai mon carnet au retour, c’est promis!
Patou
Bon voyage! Je garde un souvenir incroyable de la Tanzanie. A bientôt
Bonjour à tout le monde, et Bonnes Fêtes!
Me voici de retour, du soleil et de l’émerveillement plein les yeux - Mais oui, il y aura bien un carnet Tanzanie, qui va bientôt débuter!!!-.
Mais revenons sur le sol polynésien, après une dernière matinée baignade sur Matira (navette aéroport à 11h30).
Dimanche 31 octobre.
Vol de Bora-Bora vers Rangiroa, l’occasion d’admirer encore une fois l’anneau d’émeraude, d’apercevoir Raiatea et Taha’a au passage, avant de découvrir l’atoll de Rangiroa, dont les 240 ilots dessinent un ovale en pointillés au milieu de l’océan.
Et on retrouve la pluie, pour un court instant!!!
A l’arrivée sur Rangiroa, on atterrit à travers les nuages sur une bande de terre à peine large… Impression bizarre!
Rangiroa : 2e plus grand atoll au monde, il pourrait contenir l’île de Tahiti!
Nous logeons dans la Pension Cécile, choix perso mais réservation via ET, sur le motu principal de l’archipel, celui d’Avatoru, il fait 12 km de long ( avec des ponts).
Nous apprécierons de plus en plus cette pension au fil de notre court séjour.
La pension assure le transfert.
Première impression : L’extérieur est assez défraîchi et mériterait un effort d’aménagement, mais le ponton semble sympa.
Les bungalows sont assez rustiques (pour la déco c’est raté), mais la literie est bonne, et il y a de l’eau chaude. C’est l’essentiel!
Par contre, moustiques très présents sur la terrasse.
Mes jambes y ont attrapé la varicelle. Monsieur Patou, par contre, a été protégé par son systéme pileux. Moralité …
A la pension, nous apprécions l’accueil de Marama et Marianne, très chaleureux.
C’est une pension où on mange bien, avec des petits déjeuners généreux, et des dîners savoureux et très copieux, comportant 3 plats, beaucoup de poissons et de produits frais bien cuisinés. Un exemple : carpaccio mi-cuit de « bec de canne » (poisson), ragoût de bec de canne, glace au taro.
Hésitations sur les sorties en bateau : Lagon Bleu, ou Ile aux récifs?
Des touristes de retour du Lagon bleu nous disent qu’après Bora, on pourrait être déçus…
Bof …
Finalement nous renoncerons à programmer une excursion bateau en raison de la météo menaçante (Un matin, le lagon est déchaîné, et de grosses vagues passent par dessus le muret à côté des bungalows!).
Mais aussi, il faut le dire, nous reculons devant l’effectif du groupe prévu, qui nous semble excessif. Ici à Rangiroa, les excursions et la plongée, c’est une véritable industrie!
Nous choisirons plutôt de découvrir l’île à pied ou à vélo (à disposition chez Cécile)!
Première sortie, balade à pied dans les environs.
Ensuite, à vélo, le village principal Avatoru, à 4 km. Certains tronçons sont sans charme, à l’état brut. Ne pas chercher de belles plages de sable blond!
Village calme, très calme, juste un peu de vie autour du port et du joli cimetière…
On va jusqu’au bout, jusqu’à « la passe ». Où la route s’arrête.
Deux jolies petites églises au passage.
Se posera la question du déjeuner. Tout est fermé un jour férié!
De toutes façons, peu de possibilités en temps normal, plusieurs petits restaus ont fermé.
Et bien, il ne nous reste que le snack de l’aéroport (à 3 km environ de la pension mais dans la direction opposée), pas mal du tout finalement, c’est un bon tuyau! Tb rapport Q/P!!!
Mais l’état de la route est atroce, les vélos souffrent et nous aussi.
L’après-midi nous savourons le droit à la paresse…
Le lagon est plus calme. Baignade/ snorkelling devant le ponton. Coraux morts mais l’eau est claire, avec quelques poissons égarés.
Le lendemain, nous décidons de prendre un taxi (500 cfp/pers, commandé par la pension) pour faire les 8km jusqu’à l’autre bout du motu, plus joli, plus verdoyant, doté de belles cocoteraies : nous voilà devant la passe de Tiputa, avec ses pêcheuses de balistes. La saison ne dure que 3 mois, alors elles font le plein des congélateurs et envoient des poissons à la famille, à Tahiti.
Nous prenons le bateau navette (300 cfp/pers/trajet) jusqu’au village d’en face, Tiputa, de l’autre côté de la passe.
Très joli! Paisible et coquet. Coup de coeur. Ce village a une âme, les habitants sont souriants et bavards (contrairement à ceux d’Avatoru!).
De retour sur le motu principal, où peut-on déjeuner? Antoinette ou Lili?
Le choix est vite fait : Chez Lili c’est face à la passe!
La cuisine y est réputée, oui mais… Lili est débordée!!!
Presque 1 heure d’attente pour déjeuner, avec le ticket n°8, pour nos filet de perroquet sauce vanille (1900 cfp). Certes délicieux …
Retour chez Cécile, baignade au ponton, avant de repartir en vélo pour faire la visite de LA cave de Rangiroa (2000 cfp).
Séance vidéo/questions, puis dégustation en plein air de 3 vins (2 blancs et un rosé).
Le cépage dominant est le carignan auquel s’ajoute un peu de muscat, et du grenache pour le rosé. Ce sont des « vins de corail » (les vignes ont été plantées sur un sol constitué de coraux!), il y a 2 vendanges par an … ce qui ne permet pas de dépasser 12 degrés d’alcool. Nous dégustons aussi un rhum Moana (meilleur quand il est très ouvert!), mais on s’abstiendra d’en rapporter…
Demain, départ sur un autre atoll, Tikehau, juste après avoir rencontré Cécile qui rentrait juste de Tahiti.
Bonjour Patou,
Ca fait plaisir de retourner sur tes îles:: Jolies petites églises !!
Bonne jounée.
Michèle.
Bonjour Patou,
Merci de nous donner de la lecture après ton escapade en Tanzanie. Tu dois encore avoir la tête là bas et je comprends. J’adore cette partie du globe…
J’avoue qu’en ce moment je retournerai bien en PF. Rangiroa a été un coup de cœur car bizarrement, je n’en attendais pas grand chose. Je la voyais surtout comme une étape entre 2 îles. Alors ce ne fut que du bonheur… Nous n’avons pas pu nous rendre sur l’île aux recifs non plus car il n’y avait plus de place. En revanche, nous avons eu la chance d’avoir grand beau temps et l’excursion au lagon bleu restera notre plus beau souvenir. Celui de Fakarava n’est pas en reste mais l’excursion ne dure qu’une 1/2 journée contrairerent à rangi. On avait moins apprécié le lagon de Bora, sans doute parce que la météo n’était pas terrible ce jour là et peut être aussi car l’excursion ne dirait qu’une 1/2 journée. Il est vrai que le facteur météo est déterminant pour ce type d’activité…
À bientôt de te lire.
Anne Claire
Merci Michèle, merci Anne-Claire,
C’est chouette de vous retrouver!
Et oui, tout cela est tellement subjectif!
Nous ne regrettons pas notre étape à Rangiroa car nous voulions voir cet atoll, et l’ambiance de la pension Cécile est pour beaucoup dans le bon souvenir que nous gardons. Mais ce n’est pas notre escale préférée.
Peut-être que si on était plongeurs…
Bises à vous deux,
Patou
Poursuivons notre route!
Le 3 novembre.
Nous nous posons à Tikehau en début d’après-midi, après 15 minutes de vol et de magnifiques vues des atolls.
La “capitale”, Tuherahera (env 600 hab), se trouve au sud.
Notre réservation initiale chez Colette (notre choix perso, réservé via ET) a été annulée au dernier moment, et aucune raison ne nous a été donnée!!!
Easy Tahiti nous rapatrie ( pour le même prix) au Relais Royal Tikehau.
Avantage : pension un peu moins « rustique”, un peu plus « classe », un peu plus « chic » - je dirais aujourd’hui « prétentieux », mais c’est notre ressenti-.
Inconvénient : alors que Colette était sur le motu principal, au bord du village et sur la plage, le Relais Royal se trouve isolé sur un petit motu voisin.
Certes, on vous fait miroiter la possibilité d’un transfert en bateau très facile assuré par la pension. Oui, mais… 1200 cfp/ pers/trajet jusqu’au débarcadère de l’aéroport ( loin du village, donc louer un vélo dans une pension voisine!)-
Et, tenez-vous bien : 2000 cfp/pers/ trajet bateau de 5 à 10 minutes pour aller au village, ce qui fait 8000 cfp pour un aller-retour pour 2 personnes, soit environ … 67€!!!
Ça fait cher la balade.
En fait on se rend vite compte que dans cette pension rien n’est gratuit (sauf la Wifi, mais très faible).
Pas de bouteille d’eau de courtoisie dans les chambres, pas de fontaine d’eau potable non plus. Tu veux de l’eau, tu paies (sauf au dîner)!
Pas non plus de thé/café à disposition comme chez Cécile.
Sur un îlot où l’eau n’est pas potable, on trouve ça un peu … saumâtre!
Tout serait-il dans le décorum?
L’arrivée se fait donc par bateau depuis l’embarcadère situé près de l’aéroport : accueil traditionnel en musique orchestré par la patronne, qui se donne de grands airs en supervisant 3 employés qui chantent sur le ponton de la pension.
Le site est magnifique.
Nous héritons du bungalow n°7, en bout de plage, soi-disant « honeymoon ».
Joli. Très belle déco dans les tons orange.
Rideaux de mousseline orange, c’est chaleureux.
Oui, MAIS : les toilettes ne sont pas fermées et ouvrent presque directement sur la chambre. Quelle délicatesse.
Je sacrifierai donc un de mes paréos pour en faire un rideau/porte.
Plage de rêve.
Baignade devant le bungalow (avec chaussures de plage). Les fonds sous-marins ne sont pas enthousiasmants, les coraux sont morts.
Balade vers l’arrière du motu avant le dîner… Les paysages sont très beaux, avec divers îlots et un rivage très découpé qui forme comme des étangs.
En arrivant au restau pour l’apéro sunset, nous découvrons le Hoa ( le chenal qui sépare le motu du petit frère d’en face) et ses requins pointes noires habitués des lieux - surtout aux heures des repas, où ils récupèrent les invendus!-
Nous faisons connaissance du formidable et adorable couple cuisinier-hôtesse/serveuse, Jean-Yves et Haina, dont la patronne nous confie qu’elle les a surnommés « Pumbo et Pumba » (à l’image du gros phacochère brun malodorant du Livre de la Jungle), car, dit-elle, elle n’arrive pas à retenir leurs noms. Quelle élégance. Aucun des employés se sera appelé par son nom. A voir la façon de traiter le personnel, on se croirait à l’époque coloniale. A l’heure où j’écris, nos deux amis ont démissionné par réaliser d’autres projets, et je suppose que la pension fait face à quelques problèmes…
Sur ce couple reposait une grande partie de la vie et de la qualité de la maison!
Toujours est-il que, sous la patte talentueuse de Jean-Yves, nos dîners furent chaque soir un délice.
L’après-dîner fut chaque fois musical, soit avec la participation musicale d’autres touristes, soit grâce à une animation chants et danses polynésiens de la part du personnel. Un régal!
Aucun conseil de la patronne, rarement présente.
C’est grâce à nos bavardages avec Jean-Yves et sa compagne que nous avons appris les meilleurs lieux de baignade sur le motu ou tout près (notamment comment accéder à une superbe piscine naturelle), et surtout, les astuces pour aller au village, où traverser les 2 hoas à pied là où l’eau est peu profonde, où louer un vélo (en face de la piste de l’aéroport, pension Justine mieux que pension Hotu car vélos plus confortables). Génial!
Nous expérimentons la chose dès le lendemain.
On trouve effectivement les passages (chaussures de plage indispensables) : le premier est indiqué par 2 cairns discrets - on a de l’eau au mollet-;
Après traversée d’un petit motu couvert de buissons, le passage du 2e hoa est un peu plus profond, avec quelques gros cailloux, mais à marée basse ça passe bien et on arrive juste en face du bout de la piste aéroportuaire. Et là, nous sommes là à quelques km du village…
La chance nous sourit car nous croisons une jeune femme qui va passer la journée à notre pension et qui nous prête ses 2 vélos!!!
Ce sont des vélos avec freinage à rétropédalage comme partout (= stress!).
La balade est agréable, la piste toute droite traverse une superbe cocoteraie avant d’atteindre le petit village tout mignon.
On pédale jusqu’au bout du motu, puis on devient voir le port, en achetant au passage du jus d’ananas à l’épicerie, et … plein d’eau!
On repère plusieurs endroits où la baignade est possible, et la plage qui s’étire parallèlement à la route de l’aéroport est fort agréable.
Nous ne saurons jamais pourquoi notre réservation chez Colette a été annulée, l’employée questionnée s’en moque complètement… Mais le lieu nous aurait plu!
Déjeuner gourmand au snack Tiehau près de l’église, chez un copain de Jean-Yves : la part de poulet citron est énorme, nous en prenons une pour deux (1300cfp)!
La traversée des deux hoas et notre retour au Relais Royal se passent bien.
Mais en prenant le café, j’ai la mauvaise idée de poser le pied sur une horrible grosse guêpe noire (les pires!) qui vagabondait sur le sol du restau (hélas ici, chaussures interdites - dictat de la patronne-). Douleur fulgurante, jus de citron inefficace, SOS Apaisyl et baume du tigre… Après-midi gâché.
Me voilà clopinant jusqu’au lagon, l’eau de mer atténue les brûlures… On nage dans le chenal avec plein de poissons, un petit requin s’échappe en nous voyant…
Puis une grosse averse nous assure un rinçage à l’eau douce!
Tant pis, on réserve quand même l’excursion sur l’île aux Oiseaux pour le lendemain!
Oui ces piqûres sont très douloureuses. Pas de serpents, ni d’animaux terrestres dangeureux sur les îles mais des insectes volants très pénibles… J’en ai aussi fait les frais.
J’ai lu tes impressions sur le Relais “Royal”. Figure-toi qu’au départ, on y avait réservé avant de “troquer” ces 3 nuits contre 6 à Fakarava. Je me suis longtemps demandé si on avait pas fait une erreur et ton avis me conforte un peu. Les paysages semblent magnifiques cependant, surtout à l’arrière de la pension avec ces plans d’eau. Ce n’est pas la 1ère fois que je lis des commentaires peu élogieux sur les pensions de Tikehau sur les forums. Dommage.
Quant à la réservation à la pension Colette annulée, tu as su pourquoi ? Nous avions aussi réservé une pension (le Bounty) à Rangiroa qui avait annulé peu de temps avant notre départ. Easy Tahiti nous avait alors proposé le Mataî que nous avons testé sans aucun regret. Très bien.
A bientôt avec la suite sur l’île aux oiseaux…
Rebonjour Anne-Claire,
Nous n’avons jamais su les raisons de l’annulation de la pension Aito motel Colette (réservation payée et confirmée!), nous ne savons pas qui a annulé au dernier moment et pourquoi, mais l’an dernier, dans notre projet initial, nous n’avions pas réussi non plus à réserver dans cette pension, alors que ce n’était pas complet en réservation individuelle. Bizarre.
Pour le Relais Royal, je pense que ça serait un superbe hébergement s’il était géré différemment, avec d’autres propriétaires… ce qui arrivera peut-être s’ils vendent! L’endroit est très beau.
Mais Easy Tahiti n’avait pas vérifié certains détails!
Je ne saurais pas trop que choisir si je devais retourner sur cet atoll.
Nous avons rencontré des touristes ravis de la pension Chez Justine…
Nous gardons malgré tout un superbe souvenir de Tikehau, avec du recul et en faisant abstraction des désagréments de cette pension (heureusement qu’il y a eu le couple Jean-Yves/Haina pour sauver la situation!).
A +,
Patou