Bonjour,
Nous somme 4 étudiantes qui aimerions partir pour un stage à l’étranger de 8 semaines au Vietnam, dans un orphelinat.
D’un point de vue écologique nous voudrions nous y rendre autrement que par avion (train de préférence ou bateau). Nous cherchons la solution la plus écologique et économique possible.
Merci d’avance pour vos retours 
Bonjour,
Puisque vous démarrez fort dans la provoc écolo bobo, je vous suggèrerait , soit d’y aller à pied, soit d’aller faire vos actions “humanitaires” près de chez vous, il y a surement des besoins, et là, au moins vous parlez la langue.
Bonjour,
Je pensais cela évident mais visiblement non alors je me permets de le dire :
Sur ce, merci de faire preuve de bienveillance dans le futur, et je vous souhaite tout de même de passer une bonne soirée !
Je pense train jusqu’à Moscou, puis jusqu’à Pékin.
De là train jusqu’à Nanning puis Hanoi.
De France à Moscou puis Pékin je ne connais pas. C’est très long, plusieurs jours (1 semaine ??? 2 semaines ???). Visas russes et chinois. Pas forcément bon marché, probablement plus cher que l’avion selon la classe choisie.
Pékin Nanning c’est 24 heures, voire moins si on prend le TGV Pékin Guilin (10 heures, mais c’est cher).
Ensuite il y a un train qui va à Hanoi, plusieurs heures.
Ensuite 2 lignes de train au Vietnam : Hanoi Sapa (moderne) ou Hanoi - Saigon (très lent, par ex pour aller à Hué c’est toute une nuit, 50 km/h maximum).
En Chine et au Vietnam il y a 4 classes : assis sur, assis mou, couchette dur (6 couchettes par compartiment), couchettes molles (4).
En bateau je pense qu’il y en a pour 1 à 2 mois, et les cargos qui prennent des passagers font payer très cher, je crois autour de 100 euros par jour.
En fait l’avion est probablement le moyen le plus économique pour les très longues distances. Peut-être aussi le plus écologique si on compare aux trains diesel lents de Chine et du Vietnam… (Russie je sais pas si c’est électrifié partout). Sinon il reste le vélo, mais c’est 6 mois !!!
YiLian
En train, c’est interminable ! Je ne vois que le Paris-Moscou (2900 km) , puis le Transibérien jusqu’à Irkousk et le Transmogolien jusqu’à Beijing (total + de 9500 km), puis un Beijing-Hanoi (3000 km) = total 15 400 km de train. Aussi interminable en bateau ! Je prendrais l’avion.
Vou avez trouvé un orphelinat ? Sinon, j’en connais un très chouette à Hue
Je vous suggère d’aller lire cet article :
Quelques extraits, mais allez lire l’article complet :
…
Nuisible et inefficace, le “tourisme” humanitaire génère 2 milliards de dollars par an
…
Quand le complexe du sauveur devient lucratifCar, on l’a dit, le volontourisme est un véritable business qui surfe avec succès sur la culpabilisation sociale de l’ancien colon européen, le complexe du grand frère protecteur,
…
Un marché qui a su convertir l’humanitaire en produit rentable, grâce à des agences spécialisées qui vendent des périodes d’aide aux pays pauvres comme d’autres vendent des billets de parc d’attractions, séjour compris.
…Coût du fantasme “Sauveur Occidental contre Méchante Calamité Africaine” : entre 700 et 2000 euros pour 2 semaines de bénévolat en immersion dans un pays en voie de développement. Trajet non-compris. Et c’est quasiment tout bénéfice : sur place, les volontaires deviennent une main d’œuvre gratuite, motivée et souvent instruite ; une partie de l’argent tombe dans les caisses d’acteurs locaux qui, compte tenu du niveau de vie, font des profits considérables. Et le reste constitue la marge confortable de ces nouveaux professionnels du tourisme à thème.La marge, justement, parlons-en. Alors qu’elle est de 2 à 3% dans l’industrie touristique en général, elle atteint facilement les 30 à 40% pour les agences de volontourisme. Et ce n’est surement pas l’hébergement des bénévoles chez l’habitant qui coûte le plus cher…
Bonsoir.
Et c’est la même chose au Vietnam ou au Cambodge.
J’ai vu de gros 4x4 revenir en même temps que moi de villages où ils n’avaient jamais mis les pieds.
Mais voiture était rouge, le 4x4 propre.
Les Ong américaines sont (hélas) souvent des machines à fric.
Bonne soirée.
Jean-Paul
