J’ai pas de plan non plus pour la-bas, mais ça, c’est notre société qui nous impose de toujours tout planifier. On va pas mourrir parce qu’on ne sait pas ou dormir la veille pour le lendemain 
J’ai confiance !
Je t’envoie un message privé avec mon numéro, si ça t’interesse qu’on s’écrive (pour voir si on pourrait faire le voyage ensemble ! )
J’ai vu des billets à 1300 e moi, avec British Airways et Aircalin (changement de compagnie) et avec aussi une escale à Séoul.
salut lloindici!
la meilleur compagnie pour venir ici est "air austral"un peu plus long certes mais moins cher et le service a bord est top
il est possible de squatter un bout de brousse pour construire sa cabane,l’idéal est d’aller a la rencontre des kanaks dans leurs tribus ou chez les caldoches qui ont une proprieté,aprés si tu arrives a devenir leur alis ils t’accueilleront et te laisseront construire ta cabane
le meilleur coin pour un blanc c’est le sud il n’y a pas beaucoup de tribus et de la place,au nord de l’ile c’est cool pour la vie en tribu,sinon il y a le domaine public dans les montagnes(vraiment roots)
contacte moi quand tu arrives je te ferais découvrir mon ile
salut tckek ! salut a tous ! sa fait plaisir de voir tous ces com sur ce forum , pour faire court comme vous je n’en peut plus de cette société ou l’argent prévaut sur l’humain ; ce n’est qu’une question de temps avant que je me décide a franchir le cap , cela fait maintenant quelques mois que j’y pense et réfléchi sur pas mal d’endroit ; en lisant les com j’ai pu comprendre ( par jib surtout ) que la nouvelle-calédonie semble adéquat au mode de vie donc je voudrait " qu’on veut tous nous sommes d’accord !! j’était tenter par ton projet tchek mais apparament tu t’es envoller pour le canda ! je voudrait rejoindre un groupe bref partir au moins a 2 si sa intéresse quelqu’un qui n’est pas déja partit qui fasse un signe meme un tout petit !!! je laisse mon adresse mail : fabricio.banderas@hotmail.fr je reste en attente de réponse ! ( au fet j’ai 24 ans ! )
bonjour,
vous devez surement me trouver très jeune mais comme vous la société actuelle ne me plait pas, comme vous l’idée de vivre dans un monde ou il faut travailler très dur pour galérer financièrement ne m’atire pas du tout c’est pour cela que j’ai eu le flash de partir a l’aventure a mes 20 ans(d’accord j’ai le temp mais bon). Pour information je voulai rentrer dans les forces spéciles donc j’ai commencer accumuler des connissances utiles pour ce genre d’aventure(connaissance pour le moment plutot limité)
Non ! Ce n’est pas du tout idiot de vouloir vivre pleinement à 15 ans selon un choix de vie auquel on a réfléchi. Par contre ce qui ne va pas c’est l’époque actuelle. A tous points de vue (il n’y a pas que l’euro qui se casse la gueule). Moi qui suis un vieux schnoque ayant vécu d’autres époques (sans remonter aux dinosaures pour autant) je peux te dire que des garçons de quinze ans qui vivaient hors du giron familial (certains étaient en rupture, mais d’autres pas du tout, simplement ils voulaient voir autre chose que papa-maman). Maintenant c’est inconcevable.
Or je persiste à penser qu’une communauté, outre qu’elle serait utile au niveau économique serait un lieu d’auto-apprentissage permanent. Avec des différences d’âges (le tabou de l’époque) ce qui constituerait une ambiance familiale. J’ai basé cette réflexion sur le mode de vie dans la marine en bois (vous pourrez lire mes réflexions à ce sujet sur mon site).
Donc pas du tout dans l’air du temps et soumis aux nouveaux tabous.
j’ai vu que tu a beaucoup voyagé en Amérique du sud alors je vais me basé sur l’expérience que tu a acquise. En fait j’aimerai savoir si l’Amérique du sud est un agréable à vivre et si la nature y est vraiment resté sauvage en dehors des grandes villes. Je pense que oui mais a l’époque actuelle la nature est de plus en plus souillé par l’industrialisation.
Justement ! Ce qui m’a décidé de m’installer en Amérique du sud c’est qu’il y a encore de grands espaces sauvages. Et c’est parti pour durer car les hispaniques (il n’y a qu’à voir en Espagne) ont la manie de s’empiler dans des villes.
Certes, le Paraguay où je me suis installé n’est pas spectaculaire en soi, c’est un pays assez plat, mais pour qui sait apprécier la nature il a plein de ressources. Il n’est pas rare de rencontrer des jaguars dans certains coins.
Mais il est bien situé centralement. Et puis, à côté, c’est la Bolivie et le Chili et là question montagne, on est servi (même qu’il faut faire gaffe et monter très doucement, un peu comme les palliers en plongée).
En projet, dès que j’ai fini de retaper-aménager ma baraque, un grand périple dans ces hauteurs jusqu’à la Patagonie considérée par un ancien marin de la Royale qui a navigué partout comme le plus beau pays du monde. Avec retour par la côte argentine, la péninsule Valdes (où vivent des baleines).
J’ai acheté le pickup double cabine 4x4 pour cela (et ce n’est pas pour faire du genre comme en France) parce que rien que rouler sur certaines pistes c’est déjà l’Aventure.
Au N c’est le Brésil, le Mato Groso que je ne connais pas. mais j’aimerais bien retourner sur l’affluent S de l’Amazone (qui s’appelle localement Solimoes) le Tapajos. Là les indiens ont réussi une bonne synthèse entre l’ouverture au monde occidental et le maintien de leur culture basée sur la nature où ils vivent en harmonie.
Donc, si ça t’intéresse…
c’est sur que ça a l’air vraiment beau l’Amérique du sud moi qui adore la marche en montagne. Tu t’es trouvé une maison en ville ou en pleine campagne car pour ma part je déteste la ville et préfère de loin une cabane en pleine campagne à une maison ville.En fait ce que je voudrais c’est pouvoir découvrir tout ces paysages sans contraintes d’argent ou encore d’autorité qui refuse certain accès.
Ni en ville (A Asunción il n’y a pas de vent, donc tu macères dans les gaz d’échappement des moteurs mal réglés ou trop vieux), ni en pleine brousse pour autant mais dans un petit patelin (Caacupé). Car il me fallait de l’ADSL (Internet est la seule drogue à laquelle je suis accroché). J’ai trouvé une grrrrande maison avec un grrrand jardin. le but étant de constituer un “camp de base” pour
Si tu veux/peut venir, il n’y a pas de souci, l’hébergement est assuré et la bouffe aussi. Avec la bénédiction de papa-maman, bien sûr, car tu es encore un p’tit n’enfant dans la société française (où on infantilise les jeunes jusqu’à bac + 5, or les moussaillons de ton âge que j’ai emmené sur mon bateau lors de congés scolaires étaient des garçons sérieux et responsables).
c’est sur que de venir ça me plairai mais bon comme tu l’a dit il me faut l’accord de mes parents et ça c’est pas gagné mais si sa ne te gène pas je vais leur demander volonté et puis je vois pas pourquoi ça les gènerais
C’est, effectivement, une proposition sérieuse concernant un projet de vie. Il y aura beaucoup de chose à apprendre en fonction de ce que tu as envie de faire. Et si tes parents te sortent la célèbre phrase “Passe ton bac d’abord !” tu peux aussi continuer un cursus d’enseignement dit “normal” avec le CNED. J’ai vu ça dans les bateaux où les jeunes continuaient de potasser leur scolarité française avec bouquins et polycopiés. Mais aussi tu ne seras pas tout seul ! Je suis de niveau universitaire (3e cycle en biohimie) je peux servir de précepteur scolaire (et pas seulement scolaire), il n’y a qu’en maths où je ne suis pas très fortiche. De plus je vais être rejoins par un père de famille quadra, sa petite femme et ses deux filles (12 et 8 ans) également d’un bon niveau bricoleur universel. Il aurait déjà du venir mais il faut qu’il se fasse rafistoler son genou ce qu’il est mieux de faire en France.
Mais le mieux serait d’approfondir en e-mail afin de ne pas monopoliser le forum dans un échange personnel. Tu peux m’écrire à williamhoustra@gmail.com
A te lire
bonjour à vous tous! comme vous “je souffre” des memes symptomes de notre bon vieux continent, la solution? Partir évidement et ne pas se retenir dans nos envies ou besoins de prendre le large, mon départ est plus que certain mais je ne peux pas abandonner un jour l’idée de revenir, de plus se dire que jamais on reviendra ce serai déja rompre la liberté qu’on cherche tant à saisir.