Bateau maltais échoué

Le commentaire de Georges me semble incongru ou pour le moins être le fait d'un terrien mal informé qui dès lors porte des jugements à l'emporte pièce sans avoir aucune connaissance du contexte !
J'ai navigué comme officier de marine marchande à Madagascar, sous pavillon malgache. Je connais bien Fort Dauphin qui ne dispose d'aucune infrastructure portuaire si bien que les navires doivent mouiller sur rade foraine et décharger avec leuir propres mats de charge sur des barges qui viennent à couple. 
Si la mer est agitée , les déchargements ne peuvent pas se faire et les navires doivent donc rester plus ou moins longtzemps au mouillage dans l'attente d'un temps plus maniable, or cette rade est très malsaine. Les fonds ne sont pas sûrs ce qui provoque le ripage fréquent des ancres. De plus la baie n'est pas abritée et exposée aux fortes houles de secteur Est et des vents qui portent à la côte. L'endroit est donc connu et redouté  des marins qui naviguent  habituellement sur la côte de Madagascar et qui font une veille très vigilante sur la bonne tenue de leur mouillage. Il peut donc poser de graves problèmes à un capitaine surpris par du gros temps qui se léverait en pleine nuit et qui drosserait son navire à la côte avant qu'il n'ait pu réagir.

Un bateau échoué, c’est une masse jetée brisé sur les récifs de la terre, c’est toujours un paysage à par, un sentiment triste une frayeur qui envahis, des mystères se cache derrière lui, toute une histoire dans les mers déchainé mais tout ça pour lui c’est que du passé c’était la fin d’un long trajet c’est une épave intégré dans la rive. C’est La nature qui la façonnai comme elle veut, elle a épuisé ses matériaux elle la fixé dans sa place à l’éternité, le bateau est désespéré c’est la ou il est installé à vie c’est son nouveau monde. Ses ennemis, vagues et vent qu’ils l’on poussé dans sa tombe sont devenu ses seuls amis le temps passe et il est là, personne ne se souci de lui il se dégrade petit à petit mais il est là comme même il est la frontière entre les houles de la mer et les reliefs de la terre il c’est adapté à cette environnement mais dans quelques années il ne sera plus que du passé une carcasse une structure délaissé brisé par les violentes vagues indolences ,l’eau arrive par fois à ses pieds pour lui rappelais son passé ou pour l’invité à nouveau dans un monde qu’il l’avait déjà quitté, en dirai une sculpture qui fait partie du paysage mais qui s’impose par sa beauté .