Namibie Sud et KTP, retour de 3 semaines magnifiques!

Forum Namibie

Bonjour,

Je vous emmène dans le Sud cette fois?

Une fois encore ce fut magique!
Je n’ai pas encore fini d’atterrir… c’est merveilleux, le tri des photos, on refait le voyage.
Nous sommes déjà en manque de grands espaces, d’animaux, de couleurs et d’étoiles.
Et déjà nous commençons à ébaucher ce que pourraient être nos futurs voyages…
Alors voilà! Nous avons découvert le Sud!

Nous connaissions (un peu) :

Nous ne pouvions pas snober plus longtemps le Sud, dont nous avions en tête quelques points forts, parmi lesquels: la fameuse D707, le village fantôme de Kolmanskop, LE canyon, les kokerbooms…
Et pour rééquilibrer le côté très minéral de cette première partie, nous avons choisi d’aller décourir aussi le royaume animal du KTP pendant une petite semaine.
Excellent programme!

Ah, svp, évitez de poser la question idiote : “Alors, t’as préféré le Nord, ou le Sud?”
La réponse serait idiote : “Les deux!”

Voici donc notre itinéraire en image :

J’en profite pour remercier au passage ceux (et celle) qui m’ont donné des idées, infos et conseils, en particulier ANNICK (même si je garde Orange River pour une autre fois!), Puma (pour le carnet de 2012… et Tulou’s lodge!), et Snoopy05 (pour les excellentes infos sur le Canyon!)…

A suivre…

Allez!
Quelques détails pratiques?

Les vols (Toulouse- Windhoek) :
IBERIA nous ayant maltraités, avec modifictions sauvages et suppression de 2 segments de vols, nous avons essayé QATAR Airways (A/R 811 € pp), via Madrid et Doha.
Bilan : conditions de vol très correctes -pas époustouflantes non plus-, mais deux points négatifs : des contraintes d’escales et de couloir aérien qui rallongent terriblement (env 3h) la durée du trajet en faisant un gros détour, et un gros stress à l’aller, où on atterrit à Doha à 1h05 du matin à l’heure de l’embarquement pour le vol suivant qui part à 2h, à l’autre bout de l’aéroport. Nous avons fait du stop de voiturette… Aucune aide à attendre de la part du personnel de bord ou au sol. Nous ne recommencerons pas!
A noter que contrairement à certaines allégations, vins et alcools sont offerts à bord (nous avions un anniversaire à fêter!).

La voiture :
Toyota Hilux “com d’hab”, impeccable, 26 000 km avec de bons pneus, 2 roues de secours, frigo avec batterie indépendante, chaises de camping (et table!), compresseur, etc…
Réservée (1975€ pour 23 jours) pour la 3e fois auprès d’Irene IHMS, manager chez notre loueur habituel namibia 4x4 Rentals, idéalement situé sur la B6 entre l’aéroport et Windhoek, transfert et accueil individuels aussi sérieux qu’efficaces, pas de temps perdu.
Nous reviendrons!

Assurance : A noter que cette fois-ci, nous n’avions pris aucune option supplémentaire pour l’assurance proposée par le loueur (qui n’est jamais une “tout risques”). En effet, nous avons une carte Infinite qui assure le rachat de franchise (et plus encore…) pour les 4x4, quel que soit l’itinéraire et sans restriction de responsabilité en cas de sinistre. La contrepartie, c’est le “blocage” sur votre compte du montant de la franchise (ici, 2000€) et la nécessité de faire l’avance des frais en cas de problème, en attendant de se faire rembourser par Visa en fournissant tous les justificatifs (à garder soigneusement).
Aucun souci pour nous durant ce voyage, pas de crevaison cette fois, et la voiture en très bon état a bien encaissé le parcours sur certaines pistes choatiques.

Hébergements :
Réservés en grande partie sur Booking, mais aussi sur Expedia (j’avais des promos), directement (Koimassis) et sur Namibia Reservations pour Tulou’s et Mesosaurus.
Et bien sûr, sur Sanparks pour le KTP! Presque un an à l’avance…

Repas :
Dîners soit en lodge, soit en self catering (braai); lunch en pique-niques.

Activités (je détaillerai dans le carnet) :

  • Kolmanskopf (village fantôme);
  • Fish River Canyon : côté Ouest, avec le Fish River Lodge ( sundowner; journée descente dans le canyon en 4x4); côté Est : à Hobas, balades sur différents View Points.
  • Keetmanshoop : Visite guidée au Mesosaurus Fossil Camp, fossiles et kokerbooms.
  • Bagatelle Game Ranch : cheetahs feeding avec sundowner; Bushmen walk.

Pour le KTP, il s’est avéré très pertinent d’avoir acheté la Wild Card (tarif couple annuel : 3830R, soit env 255€)! Ils nous ont remboursé sans pb les droits d’entrée que nous avions payés lors dela réservation des hébergements.

Argent :

  • ll nous fallait des rands pour payer nos petites dépenses au KTP, nous en avions commandé sur Travelex (récupération à l’aéroport)- Cela nous permet aussi d’en avoir à notre arrivée au Cap en décembre (Taux : 14,94R pour 1€, pas le meilleur, mais commode!). Utilisables aussi si besoin en Namibie.
  • Pour les dollars namibiens (NAD), nous avons effectué un "gros " retrait de 5000NAD (= 317,71€, soit un taux réel de 15,737NAD pour 1€, commission comprise) à notre arrivée à l’aéroport, à l’ATM de la Standard Bank situé sur le trottoir, dans un coin immédiatement à gauche après la sortie.
    Nous n’aurons pas besoin de retraits suplémentaires, mais il y a des ATM dans beaucoup d’endroits, pas de souci!

Téléphone :
Nous avons emporté comme d’habitude un vieux téléphone débloqué, et acheté (en faisant nos courses au Spar) une carte Sim dans une boutique MTC. Au départ, en chargeant seulement 50 NAD. Par la suite, nous rechargerons à Lüderitz, en achetant un forfait permettant un accès internet. Mais nous n’avons pas souvent eu de réseau!

A suivre…
Il est temps de démarrer!

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J1, vendredi 28 septembre, 10h40 : L’arrivée à Windhoek.


Bof. Aussi grillé que chez nous la veille!

Alors, pas dépaysés???

Ah si!
Quatre heures et des poussières plus tard :


Sur la D1463, en direction de notre premier lodge!
Il est pas beau, notre “camion”?
Hilux double cabine 2,4L à boite automatique, le chauffeur est ravi. (Et non, il n’a pas le même à la maison!)

Mais reprenons le déroulement du film :
Atterrissage à 10h40.
Formalités et bagages, retrait ATM : 1h (nous sommes sortis dans les premiers).
Transfert chez le loueur (Joshua nous attendait), accueil par Irène (nous sommes de vieux clients, nous recevons même un cadeau de bienvenue!) et papiers voiture : 1h. Nous gagnons du temps car nous connaissons bien la “bête” et nous ne campons pas, donc explications plus courtes!
Nous quittons Namibia 4x4 rentals vers 12h30 et filons vers Windhoek par la B6.

Objectif le Superspar “The Grove”, près de la sortie sud de la ville, pour manger et faire des courses.
Heureusement, Maps.me nous y conduit, car ce n’est pas simple! (nous avions auparavant chargé les cartes et les centres d’intérêt) : Grand centre commercial moderne, parking couvert et gardé (7NAD pour env 1h + 5NAD au gardien).
Repas rapide au snack (90 NAD pp + bière 20 NAD).
Nous faisons le stock d’eau (5 bidons de 5L + 3 bouteilles de 1L), autres boissons (jus de fruits, cidre, bière et vin blanc Sud Af) et produits divers pour pique-niques et breakfasts. Et du bois pour le Braai, et 2 grands cartons pour ranger les achats dans le coffre.

A 14h30 nous sommes sur la B1 (bof) vers le sud, puis à gauche sur la D1463 (yes!).
Belle gravel, belles collines, belle lumière, belles couleurs…
Heureux!
On savoure lentement les 23 km de piste. C’est le printemps.

On dépasse Gocheganas Lodge (ah, c’est par ici?) et on arrive à Auas Safari Lodge vers 15h10.
Ce petit lodge familial a un charme fou! L’accueil y est fort convivial et le cadre est superbe, les jambes nous démangent… Et si on allait faire un tour après la sieste?

A suivre… La journée n’est pas finie!

Bonjour Patou,

Un nouveau carnet ! Quelle chance !
Notre voyage l’été prochain n’emprunte pas du tout le même itinéraire que le tien mais cela n’enlèvera rien au plaisir de la lecture.
J’espère que notre vol avec Qatar airways au départ de Nice, nous réservera moins de mauvaises surprises !

Au plaisir de lire la suite :slight_smile:

ah je me réjouis déjà de lire la suite :slight_smile:

Merci à toutes les deux! C’est sympa.
Je finis la sieste…

A très vite,
Patou

Bonjour Patou,

Quel bonheur d’embarquer pour la Namibie.

Vivement la suite ! Merci.

Pascal

Bonjour,
(Merci Pascal!)
Les chambres d’Auas sont alignées face à la savane, nous apprécions le soin apporté au décor, tant à l’extérieur que dans les chambres, plutôt spacieuses.



Tiens tiens! Un poêle? Et un radiateur dans la salle de bains?
On nous explique que c’est bien appréciable en hiver, où les nuits sont froides.
Là, ça va.Mais il y a des couvertures supplémentaires dans le placard.

Alors après le thé et l’ouverture de l’énorme panier gourmand offert par Irène (c’est Noël!!!), nous consultons l’éventail des possibilités de balades autour du lodge :

Heu… Il est bientôt 17h, nous allons choisir la plus courte!
Finalement, nous suivrons le premier sentier que nous trouvons…
Par prudence, nous ferons un aller-retour.
Je ne sais pas quelle est sa couleur sur la carte mais le paysage nous met dans l’ambiance.


L’éolienne permet d’activer un forage pour alimenter un trou d’eau.
Nous en verrons souvent dans le paysage.

Au retour, les ombres s’allongent (et nous rêvons d’en faire autant!), mais nous passerons d’abord par la case apéro et dîner.

Ah, c’est beau… (le cocktail s’appelle “summer dream”, délicieux!)

Nous profitons de la Wifi au lobby pour rassurer nos proches, et oui, nous sommes toujours vivants! La connexion est un peu capricieuse, mais vous pouvez demander d’autres vouchers.

Dîner sans exotisme mais bien cuisiné (poulet rôti et légumes variés, poire pochée au vin et boule de glace vanille) et servi avec le sourire.


Joli choix pour une première étape vers le sud!

J2- Samedi 29 septembre.
Bien reposés?
Pas trop chaud? Nous sommes à une altitude de 1755 m, c’est plutôt tempéré…

Breakfast pantagruélique : salade de fruits frais, yaourts, céréales, oeuf/bacon, charcuteries, toasts,fromages, crêpes…

Alors, cap vers le Sud, direction Kalkrand, moyennant un petit bout de B1 (environ 170 km, quand même, et ces routes goudronnées ne sont guère passionnantes).
Le coffre du Hilux est vaste. Là, il est encore propre et bien rangé…
Nos bagages sont sur le siège arrière, à l’abri de la poussière, un avantage du double cabine!

Après avoir flâné un peu, nous arrivons à Teufelskrallen Tented Lodge vers midi.
L’accueil n’est pas fantastique… Il faut dire que débarque sous nos yeux (et presque sur nos orteils!) une horde de touristes allemands entassés dans un gros bus de 40 places : oh, ils vont juste emprunter les toilettes du lodge… mais c’est un peu la panique à bord!
Oui Teufelskrallen ça signifie “Les griffes du diable”, je n’en connais pas l’origine, mais non, ça n’a rien à voir avec ce que je raconte!

A part ça, c’est absolument magique!
A 3 km du bâtiment principal, les 6 chalets en bois et toile sur pilotis sont perchés au sommet d’une dune et domine un vaste espace couvert de savane.
Un conseil : réservez le chalet n°1 (à gauche), c’est le plus élogné des bruits de circulation de la C21 qui passe juste à côté du n°6.



L’impression d’être seuls au monde.

Bien sûr, on laisse la voiture en bas.
Bonne idée : extraire de la voiture, parmi la tonne d’affaires que vous avez bien sûr emportée, un bagage léger avec le minimum indispensable - ça vous évitera d’avoir à transporter vos gros sacs jusqu’à l’entrée du chalet!- Nous utiliserons souvent la voiture comme un placard/lieu de stockage dans la suite du voyage!

L’intérieur est magnifique, avec une déco raffinée, un frigo, un gros plaid en fourrure et des bouillottes!! (si, si, pour l’hiver!), bref! On aime.


Le charme est aussi dans les détails…
Comme les draps brodés :

Au bout de la passerelle, la salle de bains (sans doute assez fraîche en hiver, j’imagine?) :


Après avoir pique-niqué sur la terrasse et exploré les alentours, nous sentons la chaleur monter à la vitesse d’un cheval au galop.
C’est le moment d’aller profiter de la petite piscine attenante au restaurant (et de la Wifi, étonnamment très performante!)…
On peut rejoindre le restaurant soit en voiture par la route, soit en marchant à travers la savane, où on peut croiser quelques gracieux springboks.

A 17h, il fera 42° dans notre chalet, le ventilateur est impuissant! Ce qui nous incite à partir en balade… Il fait bien meilleurs dehors!

Un joli nid de républicains sociaux :


Et les entrées des logements :

L’heure de l’apéro?

Et après :

Tant pis si le dîner fut un peu décevant… le reste est tellement extraordinaire!

Superbe ! Nous avons fait le sud en avril dernier, KTP excepté, et nous avons adoré. Hâte de voir la suite !

Oui oui la suite…merciiii

Salut Borneo, Salut Wookee,
Allez, je vous embarque!
J’espère que vous ne craignez pas la chaleur? Moi, ça va…

J3- Dimanche 30 septembre.
Cap à l’ouest. Objectif : le Namib et les Tsarisberge.

Ah! Figurez-vous que dans la nuit nous sommes passés de 29° à 19°.
Nous avons dormi baies vitrées ouvertes et utilisé le plaid en fourrure! Et il faisait un petit vent frais sous la douche.
Ce matin, beaucoup de vent, tempête de sable!
Le paysage devient grisonnant, les couleurs sont éteintes.

Départ vers 9h, via la C21en direction de Maltahöhe, où nous refaisons le plein de carburant, par prudence.
Tiens, ça a augmenté depuis 2016! Ici aussi! (14 NAD/L, mais je reviendrai sur ce sujet).
Et il y a aussi un ATM de la Standard Bank, intéressant à savoir!

Longue ligne droite, grise et monotone. Puis beige. Paysage pelé. Pas un chat.

Et là, à la croisée des chemins : quelle route choisir?
Tsaris Pass (C19), ou Duwisib Castle (C14 + D… compliqué)?? Aucune info sur le forum…
Bon. Pile ou face? Allons, voyons grand : les montagnes!

Ah!


Et la piste rosit d’émotion… Enfin une voiture!

Si, si, la route est rose.
Les couleurs sont magnifiques.
Un arbre!!! Une escale pique-nique s’impose!


Nous enchaînons avec la D827, dépassons la magnifique vallée de la Nubib Farm, puis la D27.
Les paysages sont magnifiques.


C’est ainsi que nous arrivons à Tulou’s Lodge (ou : Tolou’s), sur la C27, 24 km avant Betta.
Voici l’entrée :

Nous sommes “en face” de Namibrand NR, au pied des Tsarisberge.
Le paysage a changé!

Chouette, des kokerbooms!
Kokerboom, c’est le nom vernaculaire sud africain, qui vient du fait que les branches et l’écorce étaient utilisées par les bushmen pour faire des carquois.
Sinon cet arbre se nomme aussi quivertree, ou arbre carquois.
Le nom scientifique étant “aloe dichotoma” en raison de son arborescence montrant une division en 2 branches répétée à chaque étape de la pousse.
Ils peuvent atteindre plus de 300 ans!

Accueil très chaleureux du propriétaire des lieux, jeune sexagénaire.
Il s’excuse de son manque de disponibilité car c’est dimanche, il doit accompagner ses petits fils à Maltahöhe, où ils prendront un bus pour Stampriet, où ils doivent regagner leur pensionnat. Quel périple! Les enfants, qui ne retrouvent leur famille que le WE, n’arriveront à leur école qu’en fin d’après-midi.
Hélas, nous n’aurons pas droit à la visite de la propriété…

Il fait très chaud pour randonner, ce sera pour plus tard.
En attendant, nous posons nos bagages et décidons d’aller jouer les touristes au château Duwisib, qui n’est pas si loin que ça…

A suivre!

J3 (suite).

Pour aller à Duwisib, on continue sur la C27 jusqu’à Betta, puis on prend à gauche la D826.
Disons-le tout de suite : la route est moche.
Et 40 km sur une route moche, c’est long.
Le château nous apparaît enfin, surprenant, incongru, déplacé, anachronique, de loin on dirait un décor de cinéma en carton pâte.
Un château fort avec un donjon et des créneaux, au milieux du bush namibien.
Il ne lui manque qu’un pont-levis, mais non, pas d’eau ni de douves!



Construit en 1908 par le baron saxon Hansheinrich von Wolf pour impressionner sa jeune épouse…
L’architecte n’est pas cité.
Le baron était passionné de chevaux et importa tous les meubles de son pays natal.
Au sous-sol, dans la cave, le bar du baron est sinistre.

Un témoignage du standing de la petite noblesse allemande du début du 20e siècle.
Ticket d’entrée beaucoup trop cher pour l’intérêt de la visite (140 NAD pour 2).

Toutefois, la cour intérieure est agréable, quelques chambres ouvrent sur une pelouse avec fleurs et fontaine, ce décor plein de fraîcheur sans doute apprécié par les hôtes de passage (le château fait aussi hôtel, géré par le NWR). Il y a aussi un camping. Calme garanti. Avis aux amateurs!


Bref : Sauf impératif ou curiosité intense, on peut économiser du temps et des km et éviter ce détour. mais, bien sûr, ce n’est que notre ressenti, très subjectif.

Bon. On retourne à Tolou’s?
En fait, ce lodge est une grande ferme dont le bétail vagabonde sur les vastes étendues de la propriété.
La patronne nous ayant gentiment expliqué où et comment passer à travers la clôture de barbelés, nous voilà partis en exploration. Le vent est toujours présent, il atténue la chaleur… mais ne réussit pas à chasser les mouches, hyper affectueuses.
Nous regrettons de ne pas avoir emporté les “filets anti mouches” que nous mettions sur nos chapeaux en Australie.
Mais la balade est néanmoins magnifique!
Nous crapahutons sur les petites collines surplombant la propriété, la lumière est superbe en cette fin d’après-midi.



(“So cute!”)


Ensuite, il est temps de rebrousser chemin, pour grimper sur notre toit en terrasse ( l’échelle est prévue!) et admirer le coucher de soleil :


Mais il faut aussi que je vous parle de Tolou’s Lodge…
A suivre!

vite la suite, c’est genial c’est a peu pres le parcours que je veux faire la prochaine fois
il me tarde quand meme le KTP

merci de ce recit

Bonjour Samnat!
Merci pour tes encouragements!
Ravie de faire plaisir.

La suite est en cours de distillation …

A+,
Patou

Nous avions zappé Dusiwib castle à cause du détour, je suis soulagée que ce ne soit pas un incontournable. Pour rebondir sur la rareté des arbres sur la route : ils sont tellement peu nombreux qu’il faut absolument s’arrêter quand on en trouve un sur le chemin et que c’est l’heure de déjeuner !!! On peut se rajouter beaucoup de kms si on fait les difficiles.

Patoutaille, ton carnet est un véritable régal (comme d’habitude ;)) Des photos superbes, une mine d’informations, on s’y croirait et à cette époque de l’année c’est que du bonheur ! Merci pour le partage.

Merci lol57!
Les photos font ce qu’elles peuvent… Certaines ont été prises avec le téléphone, “à chaud”, parfois en roulant et à travers le pare-brise qui verdit légèrement les couleurs!
Mais, bon, j’ai choisi de les garder.
Mais il y en a que j’aime beaucoup.

Et oui, Borneo, j’avoue que d’autre fois il a pu nous arriver de grignoter sans aucun arbre! Dur dur quand il fait 40°, hein! Bof, on se dit qu’on stocke du soleil pour l’hiver!

Alors, disais-je, Tolou’s lodge? (ou Tulou’s selon les auteurs…)
Ça, c’est grâce à Puma! Dans son carnet de 2012, il racontait cette découverte, et la rencontre du “vieux monsieur”, la chaleur de l’accueil et la balade en soirée à bord de l’Uri.
Bon. L’Uri est toujours là, mais il est resté en mode “sieste” :


Pour ce qui est du “vieux monsieur”, cher Puma, j’ai bien peur qu’il ne soit plus là…
Le propriétaire doit être son fils, il m’a dit “Ah oui, l’URI était à mon père”. Je n’ai pas osé poser davantage de questions…

Par contre, quelle famille adorable!
A notre arrivée nous avons rencontré tout le “clan”, qui terminait le lunch dominical.
Souriants, bienveillants, généreux. Nous nous sentions presque en famille!
Merci, Puma, pour cette rencontre!
Nous avons bavardé longuement, ils ont été très amusés d’apprendre que nous venions de Toulouse- ah, les similitudes de prononciation!-, on a évoqué le sud-ouest, le rugby…
Et nous avons appris l’origine du nom du lodge : en résumé, la propriété a été créée par le rassemblement de terrains appartenant à 2 cousins qui s’appelaient tous les deux Lawrence, ce qui donna le diminutif “The two Law”, d’où Tolou’s!
Sympa, non?

Côté logement, imaginez une vingtaine de petits chalets individuels cubiques (ou presque), tout neufs, disposés comme un petit lotissement, chacun avec sa petite terrasse sur le toit, face à l’ouest - coucher de soleil oblige! - L’échelle a été prévue, on peut y monter 2 chaises et la bière pour l’apéro. Certains montent y dormir sous les étoiles quand il fait très chaud. Moi, j’ai le vertige, j’ai prudemment rampé à 4 pattes !


Chaque chalet est basique, assez spartiate même, mais super propre, la surface est optimisée, l’ensemble bénéficie d’eau chaude solaire, et l’électricité est fournie par des éoliennes. Bien sûr, on ne gaspille pas!
Et non, il n’y a pas la Wifi.

Nous y avons fort bien dormi, ce doit être assez bien isolé car nous n’avons pas eu trop chaud.

Les jolies peintures qui décorent les murs, tant dans les chalets que dans la vaste salle à manger, ont été réalisées directement sur les murs par une artiste locale, amie de la famille.

J’ai gardé le meilleur pour la fin : les repas!
Un régal.
Cuisine familiale, délectable et généreuse, préparée avec soin et servie avec le sourire. Madame veille à ce que vous ne manquiez de rien.
Nous étions les 2 seuls clients ce jour là, mais le dîner aurait pu nourrir au moins 8 personnes : quiche servie avec chutney et quartiers d’orange pelés; buffet avec steaks d’oryx, morceaux de poulet grillé, légumes divers - brocolis, purée de carottes douces, carottes sautées caramélisées, betteraves- , salade de pâtes ; et en dessert, puddig au caramel avec une sauce à la banane type crème anglaise. Ouf! la faim ne nous réveilla pas.

Le breakfast sera tout aussi royal, bien sûr! Il ne manquait rien: jus frais, oeufs au bacon (cuisson parfaite!) et galettes de pommes de terre, céréales, toasts avec confitures maison, plateau de fruits.

Quelle belle étape! Merci, Puma! Même sans Uri, nous avons beaucoup aimé.


Nous nous sentons sur une autre planète!

Mythique, la D707? Oh, pas loin! Il fallait donc aller vérifier in situ.

J4. Lundi 1er octobre.
Nous quittons Tolou’s pour le ranch Koiimasis, au bord du mythe.

D’abord avec un peu de C27, très belle aussi. Puis, 23 km après Betta (là, y’a du carburant), la bifurcation vers la D707.




Là, nous nous rendons compte que les clôtures (omniprésentes dans la moitié sud) font partie de l’identité de chaque propriété. Elles changent de facture et de motifs lorsqu’on longe une nouvelle ferme. Mais elles peuvent mesurer 20km!
Les fermes dans lesquelles nous nous sommes arrêtés comptaient entre 10 000 et 18 000 km2!

Petit springbok sur la gauche!

Ces gravel roads sont remarquablement entretenues, voici quelques vues pour ceux qui hésiteraient à emprunter cet itinéraire :





Paysages d’aquarelle…

Un peu de sable en approchant de l’accès au ranch (photo à travers le pare-brise), mais rien d’insurmontable même avec une berline :



Il doit y avoir du monde qui se trompe d’accès!

Pour atteindre Koiimasis, il y a 20km de piste (la même que pour Landsberg)

Non, nous ne tournons pas ici, pour nous c’est tout droit!


L’arrivée au ranch ravive quelques souvenirs d’ailleurs…

A suivre…

Bonjour Patou,

Je découvre à l’instant ton carnet.
J’apprends avec tristesse la disparition du “vieux monsieur” si sympa. Je ne l’oublierai pas .
Mais je suis content que vous ayez aimé cet endroit, et que l’accueil soit toujours agréable.

Merci

Puma
(Je pars en Tanzanie du sud dans 3 jours)

Souvenirs de Toloû’s Lodge: (pardon pour la diversion )


Lors de notre premier voyage en Namibie, nous avions aussi logé a Auas lodge.
Ils avaient un enclos avec des Guêpards, et le patron faisaient visiter leur réserve privée en fin d’A.M., où il y avait nombre de girafes et de Gnous -dont un mâle imposant comme je n’en ai jamais revu depuis.
Sauf erreur de ma part c’est l’emblème du lodge- .
Cette visite était fort intéressante.

Est-ce que tout cela existe encore à Auas? ?

Pour le Chateau Duvisib, je partage l’avis: sans intérêt trop incongru dans ce pays.
En plus il était assez délabré, mais tes photos semblent montrer qu’il y a eu de l’entretien et de la peinture effectuée.

Salutations.

Merci

Puma

Je reprendrai tout ton récit à mon retour en décembre.

.

Bonjour Puma,

J’aime tes souvenirs en images!

Mais… tu es sûr de me parler d’Auas, là? Parce qu’il n’y a rien de ce genre à Auas côté animaux. Seulement des autruches et des antilopes, qu’on peut croiser en se promenant.
Ou alors, tout a changé.

Est- ce que tu ne confondrais pas avec Harnas, ou qqch comme ça?..

En tout cas, je te souhaite un très beau périple en Tanzanie!
Bien cordialement,

Patou

Bonjour,
Koiimasis, une de nos étapes magiques (mais il y en eut beaucoup!). À la hauteur de sa réputation!
Nous passerons 2 nuits dans le magnifique chalet “Schwalbennest”, niché au creux d’un éboulis de rochers de couleur rouille, à 3 km du bâtiment principal, après l’enclos des chevaux. Superbe!

En self catering, l’impression d’être seuls au monde. Et pourtant, eau chaude (solaire) et frigo (à gaz). Le luxe.

J4- J5- 1er et 2 octobre.
A notre arrivée, nous achetons de la viande pour le braai (filets d’oryx sous vide) ainsi que du
bois pour le feu (420 NAD pour 4 steaks et 2 gros fagots qui dureront jusqu’au KTP!).


Nous patientons un moment sous la tonnelle, en attendant que le chalet soit prêt. Non, il n’y a pas internet, mais il y a du réseau sur la terrasse ombragée.
Le plan du site :

Des balades à cheval sont possibles, mais il n’y a pas de tours guidés en ce moment. Pas grave! Nous avons envie de marcher …

Nous avançons sur le chemin d’accès sous l’oeil des chevaux …


Et … nous découvrons le chalet, émerveillés par sa beauté, sa situation et sa parfaite intégration dans le paysage, par la déco soignée, et la richesse de l’équipement mis à notre disposition. Tout est pensé pour notre confort!
Il y a même un petit dépannage pour eux qui auraient oublié le thé, ou l’huile ou…


(La salle de bains est à droite)
La terrasse où nous prendrons nos repas :

L’intérieur (il faut juste être vigilants, il y a des marches partout, rochers obligent!)

La salle de bains est vaste!

Et devant la terrasse… Le monde vous appartient!

A suivre…

Deux journées en mode farniente et balades, où l’on côtoie la beauté à chaque instant.

Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE
Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE

Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE

Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE
Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE
Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE
Des vaches viennent nous rendre visite. N’oublions pas que nous sommes dans un ranch!
Elles se promènent d’un point d’eau à un autre…
Pendant ce temps, apéro, délicieux vin SudAf, choix du blanc pour la fraîcheur bien sûr …
Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE
…pendant que le dîner se prépare.

Un conseil pour le BBQ : pour manipuler les grilles brûlantes, apporter une paire de gros gants de jardinage (pas en caoutchouc svp!)

Bon. La viande est parfaite, mais pour les pommes de terre c’est plus aléatoire!
“On n’est pas dedans, quoi!”
Par contre, mes bananes en papillotes s’avèrent succulentes…
Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE
Veillée au coin du feu à admirer la voie lactée. Splendide ciel étoilé (mais hélas mon appareil photo est incapable de saisir cette céleste beauté).

Le lendemain, breakfast face au lever de soleil.
Le cactus a fleuri.
Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE
Petite rando à la fraîche?
Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE
Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE
Et toujours les kokerbooms, sentinelles au milieu des cailloux!
Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE
Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE
Le ranch fait 18 000ha.
Y’a de l’espace pour se balader!
Vue vers l’est. Notre chalet est là, quelque part en face, dans une courbe, blotti au creux des rochers :
Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE

Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE
Au fond, dans la plaine du nord, un forage pour abreuver le bétail.
Règne de l’éolienne et du panneau solaire.
Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE
Et voici les petits républicains sociaux, qui profitent allègrement d’une fuite…
Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE
Là, retour au bercail! Il est 11h30 et il fait 38° à l’ombre au fond de mon sac, mais dans le chalet il fait relativement frais.
Le vent est toujours présent, avec de belles rafales!

Quelques heures plus tard, balade jusqu’au “View Point” officiel :
Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE
Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE
Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE
Mais nous n’attendrons pas le coucher de soleil, car il faut préparer le braai, et une nouvelle dégustation nous attend.
Koiimasis (suite)  - PATOUTAILLE

Merci à tous ceux qui nous ont recommandé cette étape!

Merci Patoutaille pour ce sublime reportage…je prends le train en marche, nous étions mi-octobre plutôt vers le nord et préparons le sud pour septembre 2019, donc ton retour en plus d’être super nous intéresse bien!
Koimassis semble très sympa mais que pensez de Kaanan dune retreat (de Na ankuse); est-ce que quelqu’un a testé, je crois que c’est sur le me^me coin?

Hâte de lire la suite!
Bipi

Bonjour Patou,

Ce reportage est un vrai régal !!! J’adore la petite maison dans l’éboulis :0)

Continues à nous faire rêver.

Cordialement.

Michèle.

Bonjour BIPI, bonjour Michèle,

BIPI, ton message me fait énormément plaisir, c’est vrai que la Namibie nous rapproche!
Je serai ravie d’enrichir ta préparation du futur voyage, n’hésite pas à poser d’autres questions.
Pour Kaanan, oui, l’accès est juste quelques km avant celui de Koiimasis sur la D707 en venant du nord. Je me suis dit que ça ne devait pas être mal non plus, mais je ne connais pas.
On a envie de tout découvrir, n’est ce pas?
Peut être ANNICK pourra -t- elle te renseigner?

Michèle, quelle bonne surprise de te retrouver ici! Cela me fait très plaisir également de t’emmener dans ces superbes paysages, en attendant d’utiliser tes conseils dans mes 2 prochains voyages. Je te fais une petite place dans le Hilux…

A très bientôt donc pour la suite,
Patou

Pour nous, c’est départ pour Oman mercredi et notre route va croiser celle de Puma, à l’aéroport de Roissy, qui part pour la Tanzanie : même heure, même terminal !! De quoi faire une petite causette !!

J’attends la suite du voyage Namibie avec impatience…

Cordialement.

Michèle.

Re…
Chiche, Michèle?
Tu repères le n° de la porte d’embarquement, et tu écris sur un panneau “Coucou Puma, c’est moi!”… non, je rigole.
Ecris-lui en MP. Il te trouvera peut-être?
Haha! Ça serait sympa de vous rencontrer … mais je pense qu’il n’y aura pas que vous!

En tout cas, bon voyage à toi aussi. (Tu vas voir, Oman, c’est très beau, les montagnes sont superbes, le désert aussi. et les gens tellement adorables.)
A +,
Amitiés à toi,

Patou

Nous sommes allés au Kanaan il y a 5 ans, en camping. La réception du lodge est à environ 20 km de la piste et pour rejoindre l emplacement du camping privé, avec sanitaires et petite cuisine, il faut encore faire 12 kilometres. Autant dire qu on étaient seuls au monde ! On a repris la voiture le soir pour aller manger dans le restaurant où on accède par une piste très raide. Il se trouve donc sur une petite colline avec une magnifique vue et les bungalows se trouvent légèrement en contrebas, mais toujours avec une très belle vue. Je dois dire que j ai de loin préfère être en camping, avec cette impression d infini que Le lodge ou les habitations étaient assez proches les unes des autres.

oups…, il y a 3 ans. Il y a 5 ans c était notre 1er voyage avec la boucle classique dans le nord. Il y a 3 ans c était le sud par le KTP et l Afrique du Sud jusqu à cap Town. Nous sommes actuellement au laoa lange lodge au sud de mariental (dîner sur la terrasse) en route pour le KTP après avoir déjà passé deux semaine à etosha, kunene, epupa, palmwag, swakupmund et tauschab. Je me réjouis de lire tes aventures patatouille et savoir ce que tu as vu au KTP car nous n avions pas été très gâtés quand nous y sommes allés. À tout bientôt.

Merci pour ce nouveau carnet !

Salut Wookee!

Merci pour les infos sur Kaanan, c’est intéressant à connaître.

Oh, pour nous pas de pb, nous avons été extraordinairement gâtés au KTP! C’était fabuleux! Tu verras…

À+,
Patou

Salut Lantana!
Un peu trop chaud pour toi, je sais. Mais en photos …

Mais nous, ça va. Jusqu’à 40 degrés, du moment qu’on a de quoi boire!
Au-dessus, on évite de randonner.

Bises,
Patou

J6- Mercredi 3 octobre.
Nous poursuivons vers le Sud (C27 puis C13) puis bifurquons vers l’Ouest au carrefour d’AUS,
et nous suivons la B4, long ruban récemment goudronné. En route pour l’Océan!

D’abord les 20 km de piste pour quitter Koiimasis.
Le paysage est toujours aussi beau, je continue à être émerveillée par l’harmonie des couleurs.
Vers AUS. - PATOUTAILLE


Un oryx, quelques bubales…

Puis, au bord de la B4, les premiers chevaux du désert :


Ah! Celui-ci, on ne l’avait pas encore vu :

A 20 km d’Aus, un panneau “Feral horses” (chevaux sauvages) signale l’accès au Garub Pan sur notre droite.


La piste (1,5 km) n’est pas confortable, mais au bout, les chevaux sont là, environ une trentaine aujourd’hui, plus ou moins regroupés autour du trou d’eau.


Le vent est violent, on tient à peine debout.
Une plate-forme munie de panneaux explicatifs permet d’observer les chevaux.

Leur origine fait débat, plusieurs hypothèses s’affrontent : s’agit-il de chevaux abandonnés en 1915 par l’armée impériale allemande? Ou bien de chevaux rescapés d’un naufrage? Ou bien de descendants des étalons collectionnés par le fameux baron de Duwisib? Sans doute un peu tout cela…

Toujours est-il que leur adaptation au désert est remarquable, même s’ils restent très dépendants de la moindre pluie pour leur nourriture.
Sauvés par leur valeur touristique, ils sont maintenant protégés (et nourris) par une fondation : www.wild-horses-namibia.com

La suite du parcours nous plonge dans un monde de plus en plus aride.
La B4 longe une voie ferrée (encore active paraît-il, mais parfois envahie par le sable) qui contourne Kolmanskopf, où nous nous arrêterons le lendemain.
Il y a même des gares! En tout cas, en voici une :


Et puis, plus loin, un paysage lunaire :

Pourtant pas très loin de Lüderitz!

Souvenir des Chevaux sauvages de AUS … en 2012 !!

http://www.image-nature.com/forum/viewtopic.php?f=120&t=44745

Bonne continuation Patou …

Puma

Merci Puma!

Très belles photos, comme d’hab. J’admire.

Ton millésime 2012 fait partie de mes favoris.

Nous ne nous sommes pas attardés à Garub, il y avait vraiment beaucoup de vent.
Les chevaux ne bougeaient pas beaucoup, ils ne se déplaçaient pas.
Aucun poulain pour nous, ce n’était pas la saison…
Mais nous étions très heureux de les voir.

J’ai oublié de mentionner que l´accès au site est gratuit!

Ils font effectivement l’objet d’études pour leur adaptation au changement climatique, leur taille se serait réduite, et ils peuvent survivre en ne buvant que tous les 5 jours.

Amitiés,

Patou

Ah non juste des “jeunes” oryx ! Pas de bubales dans le secteur !

Bonjour Pissenlix,

Hou là là! Heureusement que tu veilles au grain.

Faut dire qu’ils n’avaient pas leur carte d’identité… Et que la couleur rouille…

Allez, la prochaine fois, j’écrirai « antilope ». Ou rien?

A+,
Patou

Hé hé “veilleur de grain” ça me va !
Super carnet et superbes images !

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