30 ans hotesse, pourtant pas un seul mot du jargon spécifique dans aucun de vos posts.
Concernant le post remonté, c’est parce que moi, chère Madame, je ne suis pas dans le hors sujet. Encore une fois, vous tirez à côté pour déplacer le sujet, méthode de communicant.
Bien, si moi, je vais éplucher un peu les commentaires de votre profil, ainsi que de celui qui a été employé juste avant pour rebondir sur ma réaction (je ne doute pas que vous êtes multiprofil, cher interlocuteur, et je le signale aussitôt au modérateur du routard) je constate que vous êtes systématiquement derrière les compagnies (vos clients / employeurs). Vous muselez systématiquement toute réclamation, et justifiez les agissements de Ryanair, Opodo, Easyjet…
Par ailleurs, concernant les commandants de bord, “discutant avec le personnel de cabine, je sais que nombreux sont les commandant de Ryanair qui viennent d’autres CIE”, voilà une couche de cirage trop dru qui est totalement typique de votre déformation professionnelle. Vous manquez de doigté !
Permettez-moi de douter qu’une hôtesse de l’air avec 30 ans de bouteille, louange autant les voleurs de chez Ryanair ! De plus, bien souvent la phase de décollage, qui est la plus sensible est accomplie par le commandant de bord, et l’atterrisage effectuée par le commandant en second, encore en apprentissage (dites-moi, toujours selon votre théorie, comment Ryanarnaque pourrait recruter des bons pilotes avec le salaire misérable qu’il leur offre ?, à ce prix, j’accepte à pein de passer le balai
De plus, ils ne possèdent aucun Airbus, ce qui amensuise drastiquement nos espérances de vie.
Leur principe est d’utiliser un seul modèle d’avion : le Boeing 737. Ceci permet une seule maintenance, négociée avec une seule sous-traitance ainsi qu’une formation des pilotes et du personnel de cabine uniques, et dès lors éviter les postholders71 exigés par l’EASA pour chaque type d’appareil). (source Wikipedia)
Et pour revenir une fois de plus à la soi-disant expérience de vos pilotes Ryanair, chère Catherineg, voici un petit rafraîchissement de mémoire… une petite série noire de facheux évènements survenus avec les cercueils volants de Ryan et vos as des air qui font grincer leur manche.
7 août 2019 : atterrissage d’urgence du vol Liverpool/Paphos, après un incident survenu à 5000 pieds… (dû à un oiseau, selon vos collègues communicants de la compagnie), avec remplacement d’appareil, 5h20 de blocage des passagers.10 mars 2019 sur un vol Vilnius/Francfort, avec 181 passagers et 6 membres d’équipage, leur coucou a atterri sur en frappant son extrémité de l’aile gauche sur la surface de la piste. L’avion d’occasion a poursuivi son atterrissage, s’est écrasé, et a roulé jusqu’à l’aire de trafic. La BFU allemande a indiqué dans son bulletin de mars que les vents soufflaient jusqu’à 64km/h (ce qui est un simple courant d’air, pour de vrais pilotes) lorsque l’avion a atterri avec le bout de son aile gauche en contact avec la surface de la piste. L’événement a été qualifié d’incident grave et fait actuellement l’objet d’une enquête.2 juin 2019 Un Boeing rafistolé de Ryanair, sur le vol Marrakech/Stuttgart a été détourné à Madrid. Les passagers ont rapporté que l’équipage avait signalé un pare-brise fissuré. (nul doute que le problème était beaucoup plus grave), puisque 13h après l’atterrissage, l’avion était toujours cloué au sol.le 14 mai 2019 Un Boeing vétuste de Ryanair, vol Dublin/Amsterdam avec 157 personnes à bord, était en approche finale de la piste 06 d’Amsterdam lorsque l’équipage a annoncé à la tour de contrôle un voyant d’indication d’incendie sur les trains d’atterrissage. Les services d’urgence se sont positionnés sur la piste où l’avion a pu se poser en situation de détresse. 6h15 de retard pour les passagers en partance pour DUblin. le 28 avril 2019 arrêt du moteur en plein vol ! Un Boeing 737-800 pas tout neuf, effectuant le vol FR-7411 de Faro à Eindhoven, était en route au FL380 à environ 170 nm au sud-ouest de Paris Beauvais (France) lorsque l’équipage a reçu des indications de pression d’huile faible moteur droit (CFM56), et a arrêté le moteur, puis a dérivé vers le FL250 et a été dérouté vers Paris Beauvais pour un atterrissage en urgence à l’aide d’un seul moteur, environ 45 minutes après avoir quitté le FL380.
Un passager a signalé que l’équipage a déclar après l’atterrissage que le moteur droit avait dû être arrêté en raison d’un manque de pression d’huile.le 7 avril 2019 Un Boeing 737-800 flambant neuf de chez Ryanair immatriculé EI-EMA effectuant le vol FR-654 de Tenerife Sur Reina Sofia, CI (Espagne) à destination de Glasgow Prestwick, SC (UK), sortait de la piste 07 de Tenerife lorsque le commandant de bord a arrêté la montée FL250 après que le premier officier soit “tombé malade et soit devenu invalide”. Le commandant de bord a ramené l’avion à Tenerife Sur Sofia Reina pour qu’il atterrisse en toute sécurité sur la piste 07 environ 45 minutes après le départ. L’appareil est resté au sol pendant environ deux heures, puis est reparti avec un premier officier de remplacement et est arrivé à Prestwick avec un retard de 2 h 40.
Selon le témoignage d’une hôtesse, le premierr pilote était ivre mort et a fini par vomir sur le tableau de commande.Le 30 mars 2019 Un Boeing 737-800 en fin de vie appartenant à Ryanair, effectuant le vol Naples/Trévise avec 170 personnes à bord se trouvait à l’approche de Trévise lorsque de la fumée provenant de l’un des moteurs a été détectée. Les services d’urgence ont été mobilisés sur la piste l’arrivée éventuelle de l’avion. L’avion a atterri en urgence sur la piste 07 quelques minutes plus tard. Les services d’urgence ont identifié une fuite d’huile comme cause de la fumée. L’avion n’a pas pu effectuer le vol de retour FR-6829. L’appareil est resté cloué au sol pendant 14 heures, puis positionné à Bergame (Italie).le 13 juillet 2018 Un défaillant Boeing 737-800 Ryanair immatriculé EI-ENM effectuant le vol FR-7312 entre Dublin (Irlande) et Zadar (Croatie) avec 190 passagers et 6 membres d’équipage, était en route au FL370 à environ 120 nm au sud-ouest de Francfort / Hahn (Allemagne), toujours en Espace aérien français, lorsque l’équipage a entamé une descente d’urgence vers le FL080, les masques à oxygène des passagers ont été libérés. L’équipage a signalé qu’un certain nombre de passagers ne se sentaient pas bien avec des douleurs à l’oreille et des nausées, quelques passagers saignaient de leurs oreilles. L’avion a atterri sans encombre sur la piste 03 de Francfort / Hahn environ 35 minutes après avoir quitté le FL370. La police allemande a signalé que les passagers avaient signalé un bruit sourd, pas trop fort, puis les masques à oxygène des passagers étaient tombés et l’équipage avait amorcé une descente. Les passagers se sont plaints de douleurs aux oreilles et de nausées. 33 passagers ont été soignés par le personnel médical assistant à l’aéronef et ont été emmenés à l’hôpital.Un passager a signalé à la suite d’un bruit sourd, de la libération des masques à oxygène et que les passagers en descente ne se sentaient pas bien avec des douleurs à l’oreille et des nausées. Un certain nombre de passagers saignaient même à l’oreille. Une femme a été emmenée dans une ambulance sur une civière.
L’aéroport a signalé que plusieurs occupants à bord de l’appareil se sont plaints de problèmes de santé et ont été pris en charge par des médecins et des ambulanciers. Plusieurs ambulances ont emmené des passagers dans des hôpitaux.
La compagnie aérienne a signalé une dépressurisation en vol, conformément aux procédures d’utilisation standard, l’équipage a sorti les masques à oxygène des passagers et entamé une descente contrôlée. L’avion a atterri en toute sécurité, les passagers ont débarqué, un petit nombre de passagers ont reçu des soins médicaux par mesure de précaution. Le logement à l’hôtel était autorisé, cependant, il y avait une pénurie de chambres d’hôtel disponibles. Les passagers ont couché dans l’aérogare.
Une immatriculation EI-EVD de remplacement pour Boeing 737-800 est arrivée à Zadar le lendemain avec un retard de 13 heures environ.
Le 18 janvier 2019, la BFU allemande a indiqué dans son bulletin de juillet que l’appareil avait subi une perte rapide de pression dans la cabine, causant des blessures mineures à 33 passagers. Selon le FDR, la soupape de décharge s’est ouverte de 18 degrés à une position complètement ouverte à 104 degrés avec 8 secondes. L’altitude de la cabine était initialement de 7925 pieds, 2 secondes plus tard, l’alerte d’altitude de la cabine s’est activée, l’équipage a revêtu ses masques à oxygène et a commencé à travailler sur les éléments de mémoire pour la perte de pression de la cabine, la mise en garde principale a été observée, l’équipage a observé minute. L’équipage a commuté la soupape de décharge en commande manuelle et l’a commandée dans une position fermée de 9,3 degrés lorsque la cabine a franchi 14 830 pieds 32 secondes après l’ouverture de la soupape de décharge (le taux de montée moyen était donc de 12 950 pieds par minute). descente d’urgence. Pendant la descente, tout en travaillant sur les listes de contrôle correspondantes, l’équipage a commandé la fermeture complète de la soupape de décharge. En descendant par le FL156, le premier officier, surveillant du pilote, a observé l’altitude de la cabine à 25 000 pieds, puis à 24 000 pieds. Après s’être nivelé à 9 000 pieds, le commandant de bord a passé les commandes au premier officier et a constaté que l’altitude de la cabine indiquait 33 000 pieds. Il a déclaré: “cela ne fonctionne pas, nous devons ouvrir complètement la soupape de décharge pour dépressuriser”. La BFU a indiqué que, selon le FDR, l’altitude de la cabine à ce moment-là était de 7 000 pieds au-dessous du niveau moyen de la mer (-7 000 pieds MSL), le différentiel de pression de la cabine ayant atteint le maximum de 8,72 PSI pendant 4:20 minutes. Après l’ouverture de la soupape de décharge, l’altitude de la cabine s’est établie à 5 000 pieds MSL.
L’équipage de cabine a signalé qu’un passager avait saigné à l’oreille. L’équipage a demandé à une ambulance de rencontrer l’avion à son arrivée. Après avoir atterri sur la piste 03, deux autres passagers ont déclaré ne pas se sentir bien. Toutefois, à l’aéroport, 15 passagers ont reçu un traitement immédiat et 28 ont été emmenés dans des hôpitaux en ambulatoire. Un total de 33 passagers ont nécessité une assistance médicale.
Le 22 janvier 2019, la BFU allemande a publié son rapport intermédiaire.
Les vérifications de l’aéronef et de la soupape de décharge n’ont permis de mettre en évidence aucun dysfonctionnement mécanique de la soupape de décharge. Le contrôleur de pression de cabine n ° 1 a révélé un message “NO AUTO FAIL”.
Je ne les rapporte pas tous, vu qu’il y en a une centaine… Tout cela pour dire que l’objectif de cette compagnie et de récupérer un maximum d’argent, en hypothéquant la sécurité des passagers…
Alors le rôle des communicants d’agences virales, qui surgissent sur un forum réservés aux routards et aux trimards, me fait doucement sourire, malgré leur caractère manipulatoire…
Avoir voyagé avec Ryanair est comparable à une tentative de suicide raté…