Bonjour à tous,
Ça y est, notre deuxième voyage en Namibie vient de se terminer (18 jours) et devinez à quoi nous pensons….bien sur…. au 3ème !!!
Comme d’habitude, le forum et ses lecteurs apportant beaucoup, il est normal que l’on restitue un peu de ce que nous avons vécu. Si vous voulez des précisions, pas de problèmes.
Tout d’abord, notre deuxième voyage n’était pas celui d’un routard au sens premier du terme. Nous nous sommes permis beaucoup de choses financièrement. Si j’avais entièrement préparé le premier sans passer par un TO (ce qui avait été assez simple), cette fois, nous avons confié à MADIZA toutes les tâches de réservation (sauf trajets en avion) soit, lodges –sauf CCF-, activités –sauf dans Caprivi-, et CCF …ma « spéciale »), sachant que nous savions exactement ce que nous voulions comme hébergements et activités. Etant donné que nous y sommes pris en décembre 2012 pour Juillet 2013, il n’y a eu aucun problème de disponibilité.
Notre premier voyage nous avait permis de découvrir les grands « classiques » et pour ce second nous avons voulu refaire ce qui nous avait enthousiasmé au premier en y ajoutant des compléments et notamment la bande de Caprivi.
Les vols :
Nous avons pris Air Namibia depuis Francfort : aucun problème, tout s’est bien passé du début jusqu’à la fin – facilité de résa sur leur site en décembre avec un vol pluri destinations soit Francfort/Windhoek le 14 juillet, Windhoek/Katima (Caprivi) le 27 aout, Katima/Windhoek suivi de Windhoek/Francfort le 31 Juillet, le tout pour 2600 euros pour deux personnes. Au retour, l’avion n’était pas plein et nous avons pu nous étaler un peu pour dormir. En pré-acheminement sur Francfort nous avions pris un vol Air France de Paris (A/R non compris dans le prix indiqué ci-dessus : +200 euros pour deux personnes), pas de problème de bagages au retour enregistrement à Windhoek, bagage à l’arrivée à Paris ; il y a juste à ressortir chercher sa carte d’embarquement à Francfort pour Francfort/paris. Nous avions 50mn d’avance à l’arrivée à Francfort en provenance de Windhoek.
Les lodges et le parcours :
- Gamsberg Pass – HAKOS GUEST FARM
o Confortable, chaleur allemande, lieu magique au milieu de la montagne, le calme
o Nous voulions y revenir pour l’observation des étoiles et ce ne fut pas décevant : un ciel magnifique à l’œil nu déjà puis avec explication (star gazzing) ; nous avons observé au binocular Saturne et son anneau, la lune et ses cratères, la voie lactée, différentes constellations…pour des néophites comme nous c’était très bien et même pour les spécialistes amateurs car c’est le deuxième plus grand centre mondiale d’observation amateur. Un conseil, essayez de choisir un jour ou ce n’est pas la pleine lune, c’est encore plus grandiose.
o Nous avons également fait un game drive sur la ferme, c’est une bonne mise en jambe en début de parcours pour les animaux…mais pas à la fin d’un voyage car il n’y en a pas une grande diversité. Pour une première étape entre Windhoek et Sessriem après le vol, je trouve que c’est bien.
SESSRIEM – SOSSUSVLEI-DEADVLEI nuits au SOSSUS DUNE LODGE
Nous avion déjà fait Deadvlei à partir de ce seul lodge dans le parc qui permet d’être au lever du soleil à Deadvleiet sur les dunes surplombant et de voir le soleil se lever dans deadvlei (avec tous les tons de rouge, orangé…) et il était hors de question de manquer cet unique et merveilleux moment. Il n’y a qu’en étant hébergé au Sossus Dune que l’on peut vivre ces instants totalement magiques car les hébergements extérieurs ne permettent pas d’être dans ce lieu pour le lever. Les guides à qui d’ailleurs on pose la question « pourquoi la Dune 45 est aussi prisée » répondent …… « parce qu’elle a un parking et c’est la seule qui autorise un arrêt avant Deadvlei » ….ce qui veut tout dire.
Pour ce sunrise à Deadvlei, nous étions tous les deux avec mon mari et le guide, Paulus, pour nous seuls…, d’où des discussions super intéressantes sur la Namibie. …donc nous étions 3 dans Deadvlei pour le lever du soleil ; ensuite petit déjeuner copieux et très élégamment préparé sur la table dans Sossusvlei.
Le 2ème matin, nous avons fait le voyage en mongolfière, un véritable enchantement mais attention ne vous laissez pas prendre par le désir de filmer tellement c’est magnifique car vous risquez de vous apercevoir que vous n’avez pas assez profité du spectacle en live, en restant derrière votre caméra…c’est ce qui a failli m’arriver…on veut tellement marquer cet instant à jamais en l’enregistrant que l’on oublie de profiter pleinement du spectacle. Petit déjeuner au champagne à l’arrivée…pour le fun…mais ce n’est pas le plus important pour nous français…je pense !
Les bungalows sont superbes, confortables ; les repas sont corrects sans plus ; le petit déjeuner dans Sossusvlei très sympathique et copieux.
SOLITAIRE GUEST FARM
Nous ne voulions pas faire le trajet Sessriem/Swakop en une seule fois car quand même très long surtout en partant après le vol en Mongolfière. Nous avons choisi cette guest farm qui est vraiment un lieu magnifique, plein d’animaux de toute sorte, avec un vrai projet de conservation-protection. Nous n’avons pas fait de drive mais cela est possible sur la propriété avec observation de multiple espèces notamment des guépards. Le diner est un très beau buffet avec plusieurs choix de viande, une bonne cuisine, un buffet très garni et une salle de restaurant et un bar magnifiques.
SWAKOPMUND- CORNERSTONE GUEST HOUSE
Cette guest house est absolument magnifique, sympathique et très bien située. Une chambre avec un coin salon, une très belle salle de douche et un patio privé qui permet de se faire des petits apéro de « récupération » à tout moment de la journée. Un buffet de petit déjeuner très très complet, des propriétaires également très serviables. Vous allez dans le centre ville en 3 minutes en marchant et sur le bord de mer également. Le restaurant le TUG est à proximité et grace au patron de la guest house nous avons pu réserver une table facilement…et pas déçus par le TUG, endroit fort sympathique, cuisine délicieuse…nous nous sommes régalés tout en y associant un vrai plaisir des yeux où nous étions placés.
Activités : Kayak au milieu des otaries à Pelican point avec Jeanne –Eco marine tour.
Nous avions déjà fait cette sortie en 2010 en Avril et avions été complètement conquis. C’est pourquoi, nous voulions la refaire. Ce fut encore fabuleux, avec cette fois une mer un peu plus houleuse mais même sans compétence sportive tout le monde peut faire. Nous étions 6 dont Jeanne la responsable répartis en 3 kayak de deux places, tout l’équipement de protection est fourni pour éviter de mouiller y compris pour protéger vos appareils photos et caméras, mais à la limite ce n’est pas la peine de risquer la vie de vos appareils car Jeanne fait des photos et videos qu’elle vous envoie le soir même.
Le rendez vous est à Walvis ou Jeanne nous emmene en 4X4 à Pelican Point en passant par les salières, de grands groupes de flamands roses étaient encore là car n’ayant pas migré vers Etosha pour cause de sécheresse, magnifique spectacle ; on a vu aussi un dauphin et son petit dans le chenal allant vers la baie. En kayak, On reste à proximité du rivage et on fait du kayak au milieu des otaries qui viennent sauter autour de vous, mordiller vos pagaies (attention ne pas essayer de mettre ses mains car elles ne feront pas la différence entre pagaie et doigts…elles viennent tout autour de vous car l’otarie a un caractère très joueur, elles ‘amusent à sauter, faire des figures diverses et variées vous arroser, etc…ce sont les jeunes de l’année…les parents sont sur le rivage et la plage à se prélasser, ce sont, pour certaines colonies (celles à l’intérieur de la baie), des groupes résidents à l’année….et ce sont des dizaines et des dizaines qui vous entourent, vous suivent comme le font les dauphins sauf que là, vous êtes au niveau de l’eau avec votre kayak et qu’elles sont là à porter de main…qu’il ne faut pas mettre…
Après cette 1H30 de navigation environ, Jeanne sert un petit casse croute sur a plage.
On l’a fait deux fois et si on retourne à SWAKOP, on refera une troisième…trop sympa !
OTJIVARONGO –C’est si bon hotel
Cette fois, nous ne voulions pas faire le Brandberg et toute la partie Nord ouest de Namibie mais voulions rejoindre Etosha au plus vite par la route bitumée en passant par OMARURU.
Le seul stop fut à Otjiwarongo au C’est si Bon Hotel…qui ne fut pas comme son nom français l’indique si bon que cela. C’est la seule déception de ce séjour.
Je l’avais choisi sachant très bien que c’était un lieu où se déroulaient des séminaires mais j’avais trouvé sur leur site web un bel environnement très accueillant. Oui, sauf qu’ils étaient un peu en travaux. Dans un premier temps notre chambre donnait sur un énorme container de transport de marchandises, nous avons demandé à changer, et alors, nous avons eu les travaux en face de nous…bref, ne pas trop se fier au site enchanteur car en fait, ils annoncent « bungalow » sauf que ce que nous avons eu ressemble plus à un motel qu’à un bungalow…rien à voir avec le bungalow du Sossus Dune. Bon c’était une nuit étape pour être très tôt dans Etosha et venant d’assez loin !
ETOSHA – OKAUKUEJO
Parc toujours aussi particulier quant à son environnement, sa faune, sa vie …On croit que rien existe et puis tout d’un coup vous dites, je rentre au camp, il n’y rien à voir, et hop, sur le retour, d’un seul coup, un rhino traverse devant vous…c’est cela la vie sauvage, la vraie pas celle ordonnancée des réserves assez « organisées » que je ne citerai pas (cela n’engage que moi et donc très subjectif, je le reconnais).
Le waterhole d’Okaukuejo est assez sympa, mieux que celui de Halali, je trouve. En revanche, j’avais préféré l’hébergement d’Halali mais je suppose que cela dépend de la nature de ce que vous réservez. Globalement, quand même j’aurais une préférence pour OKAUKUEJO. Nous avons eu, dès l’entrée dans Etosha le plaisir de voir un couple d’Honey Badger (ratels) en train de fouiner la terre, puis en rejoignant Okaukuejo par un trajet moins rapide que la route goudronnée, une lionne en train de déguster sa chasse de la nuit, les chacals (5/6) la regardaient et attendaient les restes, les autres herbivores ayant repris leur vie, rassurés que la lionne ait sa nourriture et… tranquilles pour l’instant ; impressionnant d’entendre les os de la pauvre victime craquer sous la mâchoire de cette magnifique lionne !
A Okaukuejo, le spectacle était dense : dans l’après midi, deux éléphants mâles sont passés pour s’abreuver, puis en fin d’après midi au loin nous avons aperçu un éléphant, puis deux puis trois puis un nuage de fumée, de poussière et toute une horde (2 familles semble-t-il qui se rassemblaient pour l(occasion) qui sortait des bois pour s’approcher de la mare. Des petits, des mères, des jeunes…39 au total sont arrivés et ce sont positionnés autour du waterhole dans une ambiance de cathédrale devant les touristes qui respectaient (et ce fut un plaisir) ce silence authentique ! Magique ! Ensuite nous avons eu droit à 2 rhinos, puis plus tard 7 rhinos et 8 girafes qui ne voulaient pas trop s’approcher tant que les rhinos étaient au bord de l’eau. Trop imprévisibles sans doute la grosse bête et pas folle la grande…elles ne sont allés boire que lorsque ces gros pépères sont partis ! C’est l’ordre de la savane, que de beauté !
OTJIWARANGO – CHEETAH CONSERVATION FUND - CCF
C’est, comme les habitués le savent ma passion, le guépard.
J’ai passé 4 jours au CCF afin de « vivre » cette fondation dans tous les compartiments de son travail de recherche, conservation, préservation de cette espèce classée sur la liste des espèces en voie de disparition sur la liste de l’IUCN ;
Le CCF est une organisation à but non lucratif fondée en 1990 pour sauver le guépard. Cette fondation est une référence scientifique pour cette espèce, elle est dépositaire du studbook sur le guépard, c’est à dire répertorie génétique de tous les guépards du monde qui ont pu « passer » entre les mains des hommes d’une façon ou d’une autre, …
Le centre dispose d’une clinique vétérinaire, d’un laboratoire de génétique, d’un musée éducatif, d’une ferme modèle avec fabrication de fromage de chêvre, d’un élevage de chien de garde de troupeau, d’un centre de formation des fermiers, d’un preyground pour les enfants (parcours éducatif de différents jeux ayant pour thème l’activité du guépard), d’une boutique et d’une belle terrasse ou vous pouvez apporter votre pique nique mais aussi commander différentes boissons et collations chaudes ou froides; les activités qui sont proposées vont du Cheetah run ((entrainement des guépards résidents qui ne peuvent être relâchés – à 8H le matin avec réservation – vous êtes dans l’enclos et vous les voyez courir…spectacle assez impressionnant), au feeding des guépards à 14H en semaine ou 12H le week end où l’on vous explique les règles et comportements du guépards quand à son alimentation, vous pouvez faire des game drive de différentes sortes (voir cheetah.org)-
Personnellement, j’ai vécu 4 jours de vie de la fondation du feeding dans les enclos immenses à 20kms au ramassage des crottes de guépards pour l’étude du stress de l’espèce en fonction de son environnement en passant par l’anesthésie d’un jeune guépard qui, élevé par un fermier, avait été retiré d’office par le ministère de l’environnement à celui-ci et récupéré dans un état de malnutrition tel qu’il a des déformations des os que le CCF a réussi à compenser par une hygiène alimentaire appropriée mais celui-ci ne sera jamais complètement rétabli et gardera des séquelles irréversibles. Néanmoins, il aura une vie quasi normale mais ne peut pas espérer faire partie d’un programme de « ré-ensauvagement ».
Pour palier à cette possibilité de tourisme « inapproprié », une loi est sortie en Namibie il y a environ 6 mois interdisant à toute personne de caresser un carnivore sauvage ; Commençait à se développer des pratiques « commerciales » peu louables…notamment avec les félins tel le guépard, on trouve des petits (quitte à tuer les mères) et on invite les touristes à les caresser ces jolis et mignons petits félins…sachez que c’est désormais interdit en Namibie et…c’est tant mieux ! Un animal sauvage a droit à sont environnement sauvage, ne le polluons pas !!! et ensuite l’étape suivante, comme en Af du Sud (pas partout c’est vrai !), quand le carnivore est devenu grand et ne peux plus être caressé (ça c’est pour les lions ou léopards), on vend les adultes à des réserves de chasse (pour les chasseurs) et on cherche de nouveaux petits pour que les touristes fassent leur petit calin à la bêbêtte…non, de grâce, respectons l’animal sauvage, les grands félins ne sont pas des chats ! Désolée, c’était ma minute de raleuse…
Bref, si vous en voulez plus sur le CCF, pas de problème, contactez moi, je suis intarissable !
WINDHOEK – Londiningi
Etape à Windhoek avant de partir dans la bande de Caprivi.
Plus besoin de présenter cette guest house sur le forum, c’est une référence en matière d’accueil, d’hébergement, de gout et de petits plats bien préparés .
CAPRIVI – NKASA LUPALA TENTED LODGE –
Après un vol parfait s’arrêtant a Rundu en cours de route, nous sommes arrivés à l’aéroport de Katima Mulilo puis transfert en voiture de 2H vers le lodge dans le parc du même nom (NKASA LUPALA nouveau nom du Mamili PARC) à la frontière du Botswana. (rivière Kwando et Lynianti)
C’est un parc ouvert, sans cloture et géré sous forme de Conservancy par les communautés locales avec un propriétaire Italien au management…
Hébergement en tente sur pilotis, dans les marécages et sur une ile (Nkasa et Lupala sont les noms de ces deux iles), on vous raccompagne à la nuit à votre tente car un hippo peut se trouver là, voire un éléphant ou même un lion peut être (mais surement plus rare quand même) même si on en a entendu un une nuit.
On se sent vraiment dans la nature, les couleurs sont magnifiques, il y a le bush, les marécages ; nous avons fait une croisière bateau et vus les hippos, un groupe de 3 jeunes , 3 femelles et le mâle qui est arrivé tout prêt de notre embarcation, et de ses deux yeux sortant de l’eau, pour dire en gros « stop, là vous rentrez sur mon territoire, faites demi-tour » et le guide a fait demi tour, valait mieux…l’animal est le plus dangereux d’Afrique…
On a fait un Game drive aussi pendant lequel on a vu beaucoup d’éléphants.
Un night drive au cours duquel on a pas vu beaucoup de chose mais c’est cela la nature, dès fois on voit, des fois on voit pas !
Un coin très sympa, nature et une gestion éco-touristique intéressante.
Un petit mot sur la location auto :
MADIZA a sollicité Dornbush car rental pour un 2X4 surélevé - un Terrios
Un patron très sympathique, un terrios en très bon état, pas de problème litigieux en retour sur la carrosserie pourtant métallisée. De bonnes explications et même une leçon de conduite avec lui dans le quartier (…voulant surement vérifier mes compétences…mais verdict…très bien Madame ; c’était sympa et pas inquisiteur, c’était pour nous aider au cas où, de plus on est jamais assez prudent) et démonstration de changement de roue. On aurait peut être préféré avoir de vrais pneus neufs au départ (on avait quand même 2 roues de secours et une glacière) mais il nous a dit que si nous en éclations un, il prenait 30% du prix à sa charge…pas de bol, 100 kms après le départ, un des pneus a éclaté…néanmoins cela nous a couté moins cher que si nous avions pris le complément d’assurance couvrant les pneus et le pare brise. On a eu un impact dans le pare brise que l’on a fait réparer chez un spécialiste pour 250 NAD et une heure de travail (25 euros à tout casser)…très bien fait et évite que le pare brise se fende en route.
Pour la conduite, nous avons toujours été au dessous de ce qui est autorisé par prudence soit 60 max sur les gravel et 90 sur les bitumées. De toute façon, c’est totalement inconscient de faire plus de 70 et 90 sur ces routes…c’est mon avis et cela n’engage que moi (nous ne sommes pas en France, nous ne roulons pas à droite, nous ne connaissons pas bien la voiture, le parcours etc…alors comment envisager aller plus vite que ce qui est autorisé en France !!!). En plus, de plus en plus les voitures louées ont un tracker qui sait où vous êtes et la vitesse que vous faites…et si vous avez un accident tout se saura…en outre nous n’avons pas consommé beaucoup d’essence à cette vitesse.
Argent
Nous avons, comme pour le premier voyage, préféré partir avec des euros et n’utiliser notre CB que 2 , 3 fois et sous totale surveillance et dans des lieux que nous connaissions déjà.
Si vous avez changé trop d’argent vous pouvez refaire le change NAD/EUROS après le passage de la police à l’aéroport lors du départ (bien sur, on y perd un peut mais c’est toujours bon à savoir).
A propos de Malarone :
Avant de partir, nous nous sommes longtemps posés la question . Nous avions pris de la Malarone dans nos bagages sans savoir vraiment si nous allions la prendre. En fin de compte, par prudence (mon mari se faisant piquer même s’ il n’y a qu’un seul moustique dans les 10km2 à la ronde), nous l’avons prise lorsque nous sommes arrivés dans la bande de Caprivi ….ce fut totalement inutile (peu d’eau tombée en début d’année), mais complètement rassurant (même si le médicament n’est pas fiable à 100%) et par chance…sans effet secondaire…et malgré un prix conseillé de 49€ du laboratoire qui le vend, nous l’avons acheté 31 € dans une pharmacie parisienne.
Si je retourne en Namibie :
Je refais le Sossus Dune Lodge avec lever du soleil à Deadvlei seul, c’est garanti pratiquement ; 1H après vous voyez les 4X4 arriver et parqués (c’est pas le Kenya et la Tanzanie quand même), mais c’est un moment UNIQUE cette solitude au lever sur la Dune surplombant Dead vlei et ensuite vous glissez sur les fesses jusqu’en bas !
Je refais la sortie en kayak au milieu de otaries
Je reste un peu plus a Etosha en faisant une nuit dans les 3 camps principaux
Je repasse par MADIZA, cela a un coté sécurisant (pourtant nous n’avions eu aucun souci au premier voyage organisé totalement seul…c’est peut être parce que l’on vieillit !!!)
Je repasse par Air Namibia car arriver à Windhoek et avoir une journée entière devant soi c’est bien et pratique
Je demande des pneus neufs et deux roues de secours…si je peux…
Et en attendant, je vais continuer à parcourir régulièrement le forum pour glaner des idées ça et là, faire durer le rêve et penser au prochain trip !
Restant a votre écoute pour tout renseignement que vous souhaiteriez ; Cordialement à tous et heureux voyage aux futurs partants ! Prenez en plein les yeux, humez ce pays et sa beauté…
Bipi
Et bravo BIPI pour votre implication au sein, je ne manquerais pas de faire appel à vous si j’ai la chance de retourner dans ce beaux pays.