Nous venons de séjourner pendant 3 jours dans la casa d’Ony et Luis à Vinales,et pour 20 CUC la nuit à 2 c’est vraiment le rêve.La casa est un peu à l’écart du centre ce qui permet d’être au calme et de pouvoir observer la vie villageoise et de voir passer calèches,chars à boeufs,cochons,etc.depuis le porche ou la terrasse.
Ony et Luis sont adorables,toujours à l’écoute et pleins de bons conseils.Le petit déjeuner est un régal et les langoustes grillées de Luis une splendeur.
Ils ne louent qu’une seule chambre,avec salle de bains mais aussi salon et salle à manger et porche privés,eux même logeant à l’arrière de la maison.Bref,un vrai coup de coeur!
Ont elles été servies entières ou sans la tête ?
Si elles étaient guillotinnées, cétait du congelé à 100% !
En tout cas elles étaient délicieuses!
Bonjour,
Les bestioles sont étêtées sur la lancha. Ce sont les queues qui se négocient.
Bonjour Pentoch
C’est bien vu, et il en va de même pour les crevettes.
Dans le secteur de Vinales, on ne trouve pas de la langouste vivante, c’est tout du congelé.
L’important c’est qu’elle soit congelé encore fraîche.
Si on veut de la vivante, il faut aller chez Teresa à Puerto Esperanza où il y a un port de pêche important dans ce petit pueblo.
Ou encore La Palma Rubia Cayo Levisa chez Antonieta y Mario.
Mais bien entendu, les crustacés ne peuvent pas être maintenu vivants éternellement, et ils seront congelés, s’ils ne sont pas consommés rapidement.
Jacques DEPOLLIER de JDSDF a Cuba
Les langoustes de retour de la pêche sont vendues sous cette forme :
Donc difficile de retrouver una cabeza dans votre assiette…
Bonjour
elles sont petites… bof !
Mais désolé, pas toutes, car une partie des belles langoustes sont gardées vivantes et expédiées pour être immergées dans les aquariums des hôtels haut
de gamme afin que la clientèle puisse les choisir vivante.
Faut éviter les amalgames.
Et puis les pêcheurs Cubains qui partent à la recherche de la langouste ont des petites commandes bien précises pour les casas du bord de mer. Les combines ne manquent pas.
Jacques DEPOLLIER du JDSDF à Cuba