Retour de Cuba et merveilleux souvenirs de La Havane, Vinalès et Trinidad…mais ce sentiment désagréable d’être sans cesse pris pour un pigeon à plumer!Cela commence dès l’aéroport ou , comme par hasard, le taxi n’a pas la monnaie pour vous rendre sur 40 CUC alors que la course Aéroport/La Havane est invariablement de 25 CUC: prévoyez donc des petites coupures dès votre change à l’aéroport.
Ensuite, dans la Havane, taxis, coco-taxis ou vélos avec carriole font un peu leurs prix: il faut négocier avant de monter et bien savoir que le salaire moyen a Cuba est de 25 CUC par mois: cela vous guidera pour toutes vos transactions!
Même chose pour les achats de fruits le long des routes:on voit arriver le touriste et le CUC devient la monnaie d’échange alors que souvent les prix sont en monnaie locale, 24 fois moins chère; il est donc intéressant d’avoir toujours sur soi des pesos locaux!
Pipi:que ce soit dans les bars, les musées ou le propre restaurant ou vous dinez, il y aura toujours une dame pipi pour demander son obole: nos besoins créent donc des emplois!!!
Enfin, cerise sur le gâteau: je ne parlerai pas des pseudo-parkings du bord de mer à 1 CUC mais de celui de la Maison de Conventions de Varadero, sorte de grande galerie marchande ou, après vos achats, vous devrez mettre la main à la poche pour sortir du parking: 1 CUC, évidemment…un peu comme si nos parkings d’hyper-marchés étaient payants!
Et pour vous achever, 2 CUC pour sortir de Varadero en direction de Matanzas alors que c’est gratuit par l’autre route!
Dommage!
Negocier pour les taxis et avoir la monnaie : c’est la cas dans tous les pays d’amerique latine et probablement tous les pays à faible niveau de vie
Les toilettes payantes … ce week end gare de lyon à Paris, avec une amie nous avons mangé dans le resto de la gare et même étant client du resto il a fallut payer pour les toilettes (qui en plus n’étaient d’une propreté irréprochable)
Perso je trouve cela bien plus deplaisant et choquant à Paris qu’à Cuba
Varadero, no comment, 5 séjours à Cuba je n’y ai jamais mis les pieds (et n’irait sans doute jamais)