je rêve de visiter le pérou et surtout cuzco,le machu picchu, le canon du colca etc.
je suis assez effrayée à l’idée de me retrouver à 4000 m d’altitude
je connais les mécanismes de diminution des GR
qui a déjà eu des problèmes avec l’altitude? est-ce qu’une accoutumance est possible en quelques jours?
tu dis coinnaitre le mecanisme des globules rouges
apparemment tu ne connais rien. Il n’y a aucune diminution des globules rouge avec l’altitude
En fait la diminution de la quantité d’oxygene dans l’air diminuant , les globules en transportent moins et de ce fait doivent augmenter pour t’approvisionner.
Mais cela se fait tout a fait normalement si on prend la precautions de monter graduellement. Sauf cas rares l’emploi de medicaments n’est pas necessaire.
Une halte sur Arequipa , la colca en douceur et une activité touristique cool le jour d’arrivee à Cuzco devraient suffir. Le pire est d’arriver à Cuzco par avion directement après le vol international.
jean-claude
Bonjour Sylvie,
Côté médical, Jean Claude a raison, en altitude il y a moins d’oxygène, mais ne t’inquiètes pas ton corps va fabriquer plus de globules rouges pour compenser ce manque en quelques jours.
Moi je me sui rendue deux fois à Cuzco (en 98 et fin 2007), en avion, directement de Lima (niveau de la mer);
Simplement j’ai eu le Soroche, comme ils l’appelent: mal de tête et nausées pendant un demie journée, rien de plus, et cela passe en quelques heures.
Il n’y a rien de grave à cela, Cuzco est à 3400 m et on ne peut pas faire d’embolie ou d’autres choses sérieuses à cette altitude là (cela arrive à partir des 6000 m!!!)
En plus tu peux trouver des médicaments pour le mal d’altitude, qui t’aide à passer ce mauvais moment, mais bon avec de l’ibuprophène, du repos et pas d’excès alimentaire cela se passe très bien.
Après, biensur tu vas être essoufflée assez vite, mais il n’y a aucun problème à cela…
Par contre si tu va faire de la rando, prévois 3 à 4 jours d’acclimatation à l’altitude.
Moi je viens de passer 3 mois en tant que bénévole dans un village à 3700m… et à part le Soroche du premier jour, tout a été impécable
Alors, ne t’en fais pas pour l’altitude, et profite de ton voyage.
C’est une région merveilleuse!!!
salut,
une personne qui va souvent au pérou m’a conseillé un remède très efficace et peu cher: le maté. c’est une herbe qu’on boit en infusion et qui t’aide entre autre à supporter l’altitude. tu peux trouver dans les magasins bio en france.
Bonjour,
Attention aux confusions…
Le maté que l’on trouve en France c’est le maté que l’on boit en Argentine… une herbe que l’on boit en tisane, dans un récipient particulier et une sorte de paille. Les argentins ont du mal à s’en passer…
Rien a voir avec le maté au Pérou, où l’on utilise le mot « mate »(prononcer maté), pour désigner les tisanes en général ; donc un mate de camomille, un mate de verveine, et ainsi de suite…
En altitude on prend du mate de coca, fait à base de feuilles de coca, pour lutter contre le mal d’altitude, (dans mon cas cela ne m’a jamais aidé).
Malheureusement en France on n’en trouve pas de celui-là ; en revanche, au Pérou, on en trouve par tout, soit en sachet, soit en feuilles que l’on peut aussi mâcher.
Je vous rappelle que la feuille de coca en soi-même n’est pas une drogue, c’est un excitant comme le thé ou le café.
En France, on peut trouver aussi des médicaments pour le mal d’altitude, pour cela il faut consulter votre médecin.
Bonne tisane,
J accompagne souvent des groupes au Perou ;Pour le mal des montagnes l’ideal est un comprimé de Tonopan acheté sur place au detail dans les pharmacies Les moins chers àArequipa .Il y a aussi la coca en homeopathie en France
Bonjour,
Je reviens vers ce sujet…
J’aimerais préciser que le mal d’altitude est comme le loto… on peut l’avoir ou pas, cela dépend des personnes, et de la condition physique en ce moment (cela ne veut pas dire que si tu es sportif tu ne vas pas l’avoir). La même personne à des moments différents va répondre de façon différente.
Je repéte à 4000, sauf problème de coeur particulier, on ne risque rien.
Simplement des nausées ou/et mal de tête ou/et vomissements, pendant un certain temps, plus ou moins long… et qui passent après. Et peut être tu feras partie des chanceux qui ne ressentent aucun gêne!!!
Par contre, TOUT le monde sent le manque d’oxygène en altitude: on s’essoufle très rapidement dès que l’on fait le moindre effort (courir 100m,monter des escaliers, porter du poids…), mais cela n’a rien de gênant.
Il suffit de se ménager.
Conseils: Prévoir une journée tranquile à l’arrivée, pour se reposer, marcher tranquillement dans les rues, etc… Et surtout manger leger.
Profite de ton séjour,
Bonjour,
Nous rentrons du Pérou, où nous avons passé un séjour inoubliable. Mais que l’altitude te fasse peur c’est compréhensible : dans notre groupe de 22 au moins 7 ou 8 femmes en ont vraiment souffert dont moi (plus sensibles que les hommes ??) - personnellement le plus efficace pour lutter contre ce mal (mis à part macher des feuilles de coca - mais il faut aimer - et l’oxygène disponible dans les hotels bien sur) c’est le coca sous forme homéopatique.
Si cela ne te soulage pas au moins il n’y a aucun effet secondaire.
Bon voyage
Bonjour,
Personnelement, seul “problème” lié à l’altitude durant mon séjour au Pérou : des saignement de nez pendant toutes mes vacances (du coup j’ai appris à dire mouchoirs en espagnol pour pouvoir refaire mon stock de mouchoirs en papier…)
Sur toutes les personnes rencontrées au Pérou pendant mon voyage, seules 2 ont vraiment eu des problèmes avec l’altitude (nausées, mal de crane) mais il faut dire qu’ils l’ont cherché en commançant leur circuit par la Cordillière Blanche…
Un truc utile, les bonbons à la coca, c’est très effice (attention, peut-etre un peu laxatif…), le mate de coca aussi, et encore plus efficace, la muña que tu trouveras sur le lac Titicaca (île d’Amantani)
Au final, tu t’essouflera plus vite que d’habitude, mais rien de pire. Et en rentrant en France, tu seras en super forme !
Bonjour,
je ne le répèterai jamais assez , mais pour prévenir le mal des montagne EFFICACEMENT et MEDICALEMENT ( arretez de vouloir a tous prix donner des conseils de grand mère qui n’ont aucun fondement médicaux et scientifiques, par pitié…) il suffit avant de partir de demander au medecin du DIAMOX 250mg
la veille de la montée ( au moins 18h avant) prendre un premier comprimé avec beaucoup d’eau (50cl au moins)
puis 6 heures avant ( toujours avec de l’eau)
Puis avant d’entamer la montée (30mn avant, toujours avec de l’eau.
Il est indispensable de boire beaucoup d’eau pendant la montée et le temps passé en altitude ( au moins 2l par 24h)
Si vous restez plus de 12h en altitude, renouvelez la prise par 2 diamox dans la journée a 12 h d’intervalle ( 1 le matin, et 1 le soir).
C’est medical, et ça marche à 100%.
Moi qui avait des vertiges, nausées et maux de tete en altitude ( je faisais des malaises à répétitions et ne supportait pas meme 24h au ski, en france !!!) je suis complètement guerri grace a ce protocole.
pour moi aucun effet secondaire notoire mise à part de petits fourmillements dans les pieds et les mains, et c’est d’ailleurs la preuve de l’efficacité du produit.
Attention touttefois à ne pas depasser 3 jours de traitement, ce qui n’est pas conseillé pour les reins, mais en 3 jours l’organisme à largement le temps de s’adapter à l’altitude.
Courage à tous.
bonjour
je pense qu’il est aussi stupide de donner une prescription a partir d’une experience en altitude de quelques heures (ski ou alpinisme…).
Au perou on n’est pas en altitude 1 àu 2 jours mais pendant tout le sejour dans le pays dès que l’on quitte la panamericaine c’est a dire de lima à Arequipa pour les circuits sud
Je suis pour le Diamox mais avec une posologie plus douce puisque l’on a environ 3 jours pour augmenter les Globules rouges
Il faut dire que les touristes ne sont pas egaux devant l’altitude. Certains ne ressentent rien, d’autres ont des maux de tête, rarement ont besoin de redescendre rapidement.
Il y a des trucs pour sonder ses possibilités
Exemple le canyon de la colca: on part à 2300m on passe à 4900 m avant d’arriver a chivay à 3800m . Si on continue sur cabanaconde on n’est plus qu’a 3100m
l’astuce est de partir par un bus direct d’arequipa à Cabanaconde, il n’y aura que 2 heures a plus haute altitude ou l’on peut examiner sa tolerance à haute altitude
dans tous les cas le paracetamol est obligatoire dans son sac
el nino
Bonjour à tous les “inquiets du soroche”,
Comme je l’ai annoncé un peu plus haut dans la discussion, je suis allé hier après-midi à la consultation spécialisée d’altitude de l’hôpital de Poissy-St Germain en Laye pour y “subir” le fameux “test à l’hypoxie” (c’est à dire au manque d’oxygène).
Je raconte tout cela dans mon blog.
Je suis enchanté de savoir que je ne présente pas de prédisposition au MAM (Mal Aigu de Montagne) et que mon programme de voyage respecte parfaitement les temps - nécessaire d’acclimatation à l’altitude.
Adieu donc l’inutile maté de coca et au problématique Diamox.
Je suis à la disposition de ceux qui souhaiteraient en savoir plus.
Dominique.
allant au Pérou cet été, j’envisage ce test au MAM. Quel délai faut-il compter pour avoir un RV à Poissy ? Quel est le côut de cet examen ?
merci par avance de ton retour
L’examen a eu lieu à St Germain en Laye (et non Poissy).
Le délai peut être d’un mois.
Je ne connais pas encore le prix car la “facture” est envoyée sous une quinzaine avec le rapport complet. Dès que je l’aurai, je pourrai te le dire.
A noter: ce test n’est pas pris en charge par la CPAM.
Dominique
Bonjour,
Je ne crois pas que le mal de l’altitude soit “prévisible” car non seulement cela dépend de la personne mais aussi d’autres facteurs comme la progressivité, l’acclimatation et la forme dans laquelle on est.
J’ai fait de nombreux voyages où j’ai été confrontée à l’altitude avec des efforts physiques et n’ai pas toujours réagi de la même façon.
La montée au Kilimandjaro m’a paru très très dure au-dessus de 4000 m et j’ai été bloquée à 5 500 m et obligée de redescendre au refuge : mal de tête, plus de force et j’ai même eu beaucoup de difficulté à la redescente avec des sensations d’étouffer qui ont perduré presqu’1 mois après mon retour.
Pour le tour des Annapurnas aucun problème : montée progressive et passage à 5400 m sans rien ressentir.
En Equateur, nous sommes restés 2 semaines à une altitude supérieure à 3500 m et un passage à 4500 m avec juste le souffle court.
En Bolivie : pratiquement tout le circuit à 4000 m avec des passages à + de 5000 m sans trop de problème.
Pour le Pérou : Après 1 nuit à Lima vol le lendemain pour Aréquipa (2 jours à 2600 m je crois) puis le Colca en bus : le passage à 4900 m, même en bus m’a été très pénible mais tout se passe bien dès la redescente sur Chivay.
J’ai un peu peiné pour la remontée du Colca où j’ai fini sur la “mule” mais 1200 m de dénivellée ça explique la difficulté.
Ensuite Puno (3800 m) sans probème à part un léger essouflement pour grimper les chemins de Taquilé.
Puis Cusco : même altitude, pareil juste un léger essouflement à l’éffort pour monter au Christ qui surplombe la ville.
Pour le Machu-picchu : vraiment aucun souci puisque le site est bien plus bas en altitude que Cusco, même la grimpette au Wayna Picchu.
Donc je pense que le plus important c’est de monter progressivement comme nous l’avons fait : Aréquipa (2 jours) puis Colca Puno et Cusco.
J’espère que tout se passera bien car tous ces paysages sont magnifiques !!
Bon voyage à tous.
Michèle.
Voilà, je viens de recevoir la facture du test: 70€.
Dominique.
Bonsoir,
J’ai tracé mon itinéraire pour mes 3 semaines de vacances au Pérou.
Quand je vois les inquiétudes de tous pour les pb d’altitude et les conseils de ne monter que 500M / jour, je me dis que ma route n’est peut-être pas bonne et risque de favoriser les pb d’acclimatation.
Pour autant, qd je regarde les routes classiques au Pérou, j’ai l’air de suivre les étapes habituelles. Je voulais donc vous soumettre ma route pour voir ce que vous en pensiez par rapport à ces pb d’altitude potentiels.
Merci pour vos conseils.
Aurélie
ITINERAIRE PREVU :
1er jour – 26 juillet : vol paris > Lima – Nuit à Lima (altitude 80 m) 2 ème jour – 27 juillet : visite de Lima le matin + trajet vers Paracas l’après-midi (219 kms) – Nuit à Paracas (sur la côte, près de la mer)
3 ème jour – 28 juillet : Iles Balestas + route vers Ica + dunes de Huacachina puis vers Nazca (184 kms) - Nuit à Nazca (altitude xxx – à priori pas haut)
4 ème jour – 29 juillet : observation des lignes de Nazca + route vers Arequipa (possible de passer à Chauchilla) (445 kms) – Nuit à Arequipa (altitude : 2360 mètres)
5 ème jour – 30 juillet : trek canyon de Colca – Nuit dans le canyon (altitude : 2360 mètres)
6 ème jour – 31 juillet : trek canyon de Colca – Nuit dans le canyon (altitude : 2360 mètres)
7 ème jour – 1 er août : trek canyon de colca + Mirador de la Cruz del Condor – Nuit à Arequipa (altitude : 2360 mètres)
8 ème jour – 2 août : Trajet vers Puno (possible arrêt aux Chullpas de Sillustani)(450 kms) – Nuit à Puno (altitude : 3828 mètres)
9 ème jour – 3 août : Lac Titicaca – nuit chez l’habitant sur île (altitude : 3822 mètres)
10 ème jour – 4 août : Lac Tititcaca – nuit à Puno (altitude : 3828 mètres)
11 ème jour – 5 août : trajet vers Cusco (possibles arrêts à Raqchi, Wiracocha, Andahuayllilas) (333 kms) – nuit à Cusco (altitude : 3400 mètres)
12 ème jour – 6 août : Cusco – visite de Cusco (altitude : 3400 mètres)
13 ème jour – 7 août : Amazonie (Puerto Maldonado) – nuit en Amazonie (altitude xxx – à priori pas haut)
14 ème jour – 8 août : Amazonie – nuit en Amazonie (altitude xxx – à priori pas haut)
15 ème jour – 9 août : Amazonie – nuit en Amazonie (altitude xxx – à priori pas haut)
16 ème jour – 10 août : Vallée sacrée – nuit à Cusco (altitude : 3400 mètres)
17 ème jour – 11 août : Machu Pichu – chemin de l’inca (altitude : 2430 mètres)18 ème jour – 12 août : Machu Pichu – chemin de l’inca (altitude : 2430 mètres)19 ème jour – 13 août : Machu Pichu – chemin de l’inca (altitude : 2430 mètres)20 ème jour – 14 août : Machu Pichu – chemin de l’inca – retour vers Cusco (altitude : 3400 mètres)
21 ème jour – 15 août : Vallée sacrée – nuit à cusco (altitude : 3400 mètres)
22 ème jour – 16 août : Vol retour vers Lima (avion) + visite Lima (altitude 80 m)23 ème jour - 17 août – journée Lima + vol retour (départ le soir tard) (altitude 80 m)
24 ème jour - 19 août – arrivée à Paris (très tôt le matin)
Bonjour Aure,
Oui, le programme me paraît cohérent, avec le “palier” à Aréquipa.
Personnellement, j’aurais mis l’Amazonie en dernier, mais vu que l’acclimatation sera faite, 3 nuits en basse altitude ne devraient pas poser de problème, pour le retour à Cuzco.
Je vous souhaite un très bon voyage, profitez bien de toutes ces merveilles.
Michèle.
bonjour
belle recherche d’altitude mais très incomplète et qui ne reflète que celle des nuitée.
Mais on n’est pas transportée par une simple baguette magique et les routes ne sont pas rectilignes
des exemples:
-----5 ème jour – 30 juillet : trek canyon de Colca – Nuit dans le canyon (altitude : 2360 mètres)
6 ème jour – 31 juillet : trek canyon de Colca – Nuit dans le canyon (altitude : 2360 mètres)
7 ème jour – 1 er août : trek canyon de colca + Mirador de la Cruz del Condor – Nuit à Arequipa (altitude : 2360 mètres)-----
en realité pour aller au canyon de la colca on passe par un col a plus de 4200m pour arriver a Chivay vers 3800m comme à puno. La descente dans le canyon commence à Cabanaconde à 3300m comme à cuzco
-----17 ème jour – 11 août : Machu Pichu – chemin de l’inca (altitude : 2430 mètres)18 ème jour – 12 août : Machu Pichu – chemin de l’inca (altitude : 2430 mètres)19 ème jour – 13 août : Machu Pichu – chemin de l’inca (altitude : 2430 mètres)20 ème jour – 14 août : Machu Pichu – chemin de l’inca – retour vers Cusco (altitude : 3400 mètres)--------
le chemin de l’inca commence à une altitude de 2800m et la première journée de 13 km te mène à 3300 m environ ou tu dors
la deuxième journée de 11 km est la plus haute. tu passe par un col à 4200m pour redescendre au camp pour dormir à 3900m
la troisième journée de 16 km, tu redescends doucement vers le camp pour la nuit à 2650m
le quatrième jour de 5 km tu entres au machu picchu à 2350 m
En résumé, pour avoir moins de risques d’effets de l’altitude, il te manque un temps de repos à arequipa ( qui te permettrait de visiter cette ville, ce que tu n’as pas prévu…c’est quand même la 2em ville du perou avec une architecture et une ambiance complètement différentes de ce que l’on peut voir au perou. )
Il n’est pas possible de faire un itinéraire qui respecte les niveaux d’altitude avec des paliers reguliers
. On est loin à une activité d’alpinisme ou d’escalade des pics montagneux…
Il ne faut pas tout mélanger
el nino
Message d’El Nino
en realité pour aller au canyon de la colca on passe par un col a plus de 4200m pour arriver a Chivay vers 3800m comme à puno. La descente dans le canyon commence à Cabanaconde à 3300m
Re-bonjour,
Comme dit par El Nino, le passage au col entre Aréquipa et Chivay est même à 4900 m, comme je l’ai mentionné dans un message précédent.
Michèle
bonjour
tu as parfaitement raison et ce col est tres important car on l’oublie facilement
el nino
Merci pour vos retours.
Donc j’en retiens que ma route est cohérente, que je ne peux rien faire de mieux pour éviter les pb liés à l’altitude.
Et qu’il faudrait que j’ajoute un jour à Arequipa pour visiter la ville.
Est-ce que du coup, ça vaut le coup de faire 1 jour à Arequipa et 3 jours dans le canyon ? Ou 1 jour à Arequipa et 2 jours dans le canyon suffisent ?
Parce que pour faire 1 jour et 3 jours, il faut que je coupe une autre étape dans mon parcours…
bonjour
c’est tres difficile de couper une destination dans son circuit…;
mais il faudrait se souvenir d’un dicton plein de bon sens
“Qui embrasse trop, mal etreint”
je pense que dans le circuit que tu prevois, tu peux compresser un peu en utilisant mieux les temps de transport, utiliser les bus de nuit quand il n’y a pas grand chose a voir ou quand c’est pas important
A mon avis, tu devrais essayer de mettre des horaires sur ton planing pour deceler des impossibilités ou des inutilités
exemple: le 28 juillet:
tu dis: : Iles Balestas + route vers Ica + dunes de Huacachina puis vers Nazca (184 kms) - Nuit à Nazca
c’est ce que j’apelle aimer faire du bus car tu ne resteras que 1.30-2 heures sur place a huacachina…et pour quoi y faire?.. Il ne faut pas oublier la nuit tombe vers 17.30-18.00h et que tu as encore 2;30 à 3 heures de route pour rejoindre Nazca…
autre exemple le 29 juillet:
tu dis:observation des lignes de Nazca + route vers Arequipa (possible de passer à Chauchilla) (445 kms) – Nuit à Arequipa
pourquoi faire ce trajet de jour? il n’y a rien a voir sauf la zone desertique…et le trajet dure 9 heures. Tu vas arriver a arequipa vers 23.00h et apres dormir a l’hotel
puisque tu veux aller à huachina et bien tu y dors tranquillement, le lendemain tu prends le bus pour nazca ou tu arriveras vers 10-11h Tu as toutes la journée à Nazca et tu prends le bus de nuit vers 22.00h pour arequipa
Tu y arrivera vers 7.00h du matin et tu auras fais l’economie d’une nuit d’hotel
je te signale qu’en arrivant tard à arequipa, tu n’auras pas le temps de prendre tes dispositions pour le canyon de la colca que tu as prevu le lendemain…
A prendre en compte aussi le transport pour le canyon. Il faut 6-7 heures pour aller de arequipa à cabanaconde
el nino
Rien de mieux qu’un bon maté de coca pour soulager le mal d’altitude mais aussi sucer des bonbons de citron (remède de grand mère) mais le meilleur est de monter en altitude progressivement et de se reposer les première jours
Bonjour,
Je sais que ce n’est pas un forum de médecine, mais voilà, on est un peu désespérés…
On fait un périple autour du monde, et notamment au Pérou et en Bolivie (Cuzco, puis Lac Titicaca, Salar d’Uyuni entre autre…).
Or voilà, nous sommes arrivés il y a 4 jours à Cusco, et mon ami a le mal des montagnes : énorme fatigue, nausées, intestins en vrac, vertiges. Il boit beaucoup d’eau, de soupes et bien sur le thé de coca, mais après 4 jours ça ne passe pas…On va aller à la pharmacie demander un médicament, mais étant donné que notre parcours à venir est en altitude presque tout le long, on se demande si ce mal ne va pas compromettre ce qu’on avait prévu et si on ferait pas mieux de redescendre ? Quelqu’un a déjà été confronté à un MAM qui dure 4 jours ou + ?
Aie aie.Nous sommes allés au Pérou, Bolivie 6 semaines en 2010, mon mari a eu ce mal des montagnes , dès que nous étions au dessus des 4000 m, il était très mal. Je garde un mauvais souvenir et avec du recul je me dis que nous aurions du plutôt aller dans les régions plus basses en altitude.
je ne suis pas médecin mais guide accompagnateur au Pérou et Bolivie
la plupart du temps quand quelqu un du groupe est malade ce n est pas une question d âge mais être arrivé trop rapidement en altitude ;en pharmacie ils vendent un médicament appelé le tonopan qui a d excellents résultats;On peut l acheter par tablette et c est moins agressif que ce que nous marque le médecin en France (pas d effet secondaire) donc le tonopan soigne le mal des montagnes et j ai trouvé ce médicament plus efficace que les feuilles de coca
par contre j ai eu des gens vraiment malades dès Cuzco
parce qu ils avaient un problème de poids certain et donc problèmes cardiaques etc…il y a un excellent hopital à Sucre
j imagine que vous n avez pas lâge des personnes dont je parle ce qu il faut ne pas oublier c est d éviter de diner le soir ou peu …le pisco est très bon mais avec modération
Bonjour,
Comme j’ai pu le dire dans des messages précédents, il est toujours conseillé de procéder par pallier, si vous êtes passés de 0 m à Lima à 3800 m à Cuzco, ça fait mal !!!
Je pense qu’il serait plus raisonnable de redescendre plutôt que de gâcher ses vacances.
Déjà Aguas Calientes, point de départ pour le Machu Picchu est à 2400 m y aller peut déjà vous soulager, je pense.
Aréquipa qui se trouve à 2400 m aussi aurait été un bon pallier pour l’acclimatation (si vous l’avez “sauté”).
Bon courage pour la suite de votre périple.
Michèle.
Hola en ce qui me concerne avant mon départ en mai / juin 2014 j’ai pris ces granulés pour le mal d’altitude : des granulés de coca homéopathique = vente en pharmacie + ou - 8€ le tube .Traitemant à commencer 2 jours avant le départ et à prendre quand vous avez des maux de tête ( 3 à 4 granulés ) ou anticipé .
Certaines personnes déconseillent d’arriver directement à Cusco vu les 3400 m , et bien moi je vous dis que ça pose pas de problèmes sauf dès que vous marchez un peu trop vite (idem partout ailleurs on en a fait l’expérience ) vous comprendrez par vous même qu’il faut ralentir le pas car vous serez très vite essouflé ! Nous y sommes restées 4 jours le temps de bien s’acclimater .
Si maux de tête , buvez du maté de coca et en prenant quelques médocs ça passe .
Evidemment une personne n’est pas l’autre . Courageeeeeee à tous car parfois il faut un peu souffrir pour découvrir de très belles choses
FLORA
Bonjour,
Cette question du mal des montagnes, c’est un peu comme pour le mal de mer.
Grosso modo, il y a 5% de gens qui ne l’ont jamais, 5% qui l’ont toujours et 90% qui sont susceptibles de l’avoir selon les circonstances.
Il existe un test permettant de savoir à l’avance si l’on est sensible au MAM et à quel degré.
Ce test est réalisé dans quelques centres hospitaliers français par des médecins ayant choisi la spécialité “médecine de montagne”.
Pour en savoir plus, lire l’article de mon blog où j’ai récemment traité du sujet.
(Le test m’a couté 70€ non remboursés par la SS.)
Dans tous les cas, il faut prendre le temps de s’acclimater à l’altitude et construire son voyage en prévoyant des “respirations”.
Pour ma part, pour ne pas cumuler décalage horaire et les 3400m de Cusco, j’avais (juillet 2014) fait le choix d’atterrir à Bogota (Colombie), 2400m, 10 jours avant Cusco, de visiter un peu ce pays et d’y crapahuter un peu.
Arrivé à Cusco, je m’étais réservé 2 jours sur la ville pour la visiter à pas lents.
Dominique
Bonjour à tous
Le mal des montagnes est un sujet très controversé et une préoccupation pour beaucoup de voyageurs dans les Andes principalement.
Chacun y va de ses conseils par leur propre expérience, ou ce qu’ils ont lu ou entendus.
Personnellement, j’habite au Pérou et j’accompagne des groupes au Pérou et en Bolivie depuis 14 ans avec plus de 5.000 personnes accompagnées. J’ai donc un peu d’expérience à ce sujet et la première constatation est que PERSONNE ne réagit de la même façon. Des personnes ne ressentent rien ou pratiquement rien, à l’opposé d’autres sont très malades pendant plusieurs jours, mais la grande majorité ont des symptômes que je qualifierais de “moyens”: maux de tête, nausées, etc…, plus ou moins importants pendant quelques heures.
Certains ressentent ces symptômes très rapidement (une heure après l’arrivée en altitude par exemple), d’autres après plusieurs heures ou la première nuit, d’autres 2 ou 3 jours après.
Que peut-on faire?
Je vois très souvent cet extraordinaire conseil: le meilleur remède est de descendre!!!
Merci pour ceux qui sont en circuits organisés (les plus nombreux). Que font-ils? ils modifient le circuit? Ils continuent tout seuls comme des grands en devant organiser en urgence leurs transports, réserver les hôtels, etc…???
Sur 5.000 personnes accompagnées, une seule seulement a dû rejoindre Lima pour un oedème pulmonaire qui a été soigné très rapidement d’ailleurs. TOUS ont continués leur circuit, de tous âges (jusqu’à 85 ans), toutes conditions physiques, même avec des problèmes cardiaques!!!
En fait, ces précieux conseils sont à mon sens alarmistes et ne font qu’alimenter les doutes, les craintes, voire les angoisses. Après discutions avec de nombreux médecins locaux spécialisés dans ces problèmes, le facteur psychologique est primordial, comme dans la plupart des maladies d’ailleurs.
Il faut toujours tenir compte du contexte. Avis aux personnes qui participent aux forums: si vous avez été très malade, sachez que les autres ne le seront peut-être pas. Il ne faut surtout pas généraliser.
Les remèdes donc:
- le Diamox est recommandé par certains médecins, d’autres le déconseillent. S’il est efficace en général, il agit principalement sur les problèmes d’oxygène et de nausées. par contre il peut avoir des effets secondaires, gastriques par exemple et surtout ne pas dépasser les doses, j’ai vu des résultats néfastes impresionnants!!!
- La coramine est très peu efficace.
- Les analgésiques: excellents pour les maux de têtes dans beaucoup de cas mais pas toujours, par contre n’agit pas sur les nausées et peut provoquer des probèmes gastriques (diarrées, ballonements, etc…).
- La coca: excellent, en maté (tisane) sur place, en homéopathie ou mâcher les feuilles pour essayer les coutumes locales. Elle agit sur la circulation sanguine, les problèmes respiratoires, par contre pas sur les problèmes gastriques.
- La muña en tisane, principalement dans la région de Titicaca, principalement pour les problèmes gastriques et les nausées.
- Boire beaucoup (2 litres d’eau par jour)
- Prendre du sucre (bonbons principalement)
- Ne pas faire trop d’efforts les premières heures.
Dans tous les cas, rester calme, ne paniquez pas. C’est vrai que si les symptômes apparaissent et qu’ils sont intenses (encore une fois pour une petite partie des personnes), se sentir mal n’est jamais agréable, mais les symptômes DISPARAISSENT TOUJOURS (sauf cas exceptionnels très rares) en plus ou moins de temps.
Dans les Andes on peut trouver le Sorojchi Pills, un médicament composé d’aspirine, de caféine et de salophène, ce dernier étant un dérivé de l’aspirine “sensé” aider pour les nausées (pas très convaincu…), déconseillé par la plupart des guides locaux. Prenez de l’aspirine et un café…
Depuis peu au Pérou il existe un produit naturel à base de coca, muña, guarana et gingembre, hyper efficace, sans effets secondaires: Alti Vital, une merveille.
Donc partez sans à priori, sans craintes, dans la grande majorité des cas, cela se passe très bien.
Bon voyage à tous.
Hervé
Attention à l’altitude, j’ai voyagé trois fois au Pérou dans les Andes, et contrairement aux deux premières fois, le troisième voyage s’est très mal passé car j’ai perdu connaissance et on m’a rappatrié en taxi jusqu’à Lima avec 3h de route sans savoir si j’allais les supporter.
J’ai eu la chance de tomber sur une infirmière pendant ce voyage. Mon pouls s’enfuyait, mon coeur ralentissait… J’ai monté en voiture 3000 mètres d’altitude et c’était trop violent pour mon corps visiblement. Pourtant j’avais fait le même trajet en avion la première fois et sans encombre mis à part de petits maux de tête. Je pensais qu’en voiture ce serait plus lent, surtout qu’on roulait à 30kms/heure…
Mon conseil est d’y aller par étape car en voiture ou en avion c’est trop rapide. Avoir des feuilles de coca sur soi et une bouteille d’alcool à 90 avec du coton à inhaler en cas d’urgence, car c’est ce qui m’a permis de reprendre conscience.
Je préconise les treck à pied qui permettent de laisser le temps au corps de s’adapter.
Et si vous arrivez en bus ou en avion, prenez deux ou trois jours pour vous acclimater avant d’entamer un treck ou de monter plus haut. Les Andes sont merveilleusement belles…des petits villages hors du temps au bord des falaises… unique !
Bon voyage au Pérou !
Delphine
http://etudiantenvoyage.com/
Bonjour à tous et à toutes,
Beaucoup de croyances, de remèdes de bonne femme, et de grande expérience “à propos de UN cas”.
La meilleure information à destination du grand public est publiée par la commission médicale de l’ UIAA, l’union Internationale des Associations d’Alpinistes Advice and Recommendations – UIAA
La seule bonne protection est une bonne acclimatation à l’altitude.
Il faut monter en altitude progressivement pour s’acclimater. Nous ne sommes pas égaux, certains sont malades dès 2.300m (Val Thorens), d’autres n’auront pas de symptomes avant 3.500 - 4.000m.
Le mal de tête et les troubles du sommeil témoignent d’une mal-adaptation à l’altitude. S’ils disparaissent après quelques jours de repos au calme, tout va bien. En revanche l’apparition de troubles de la marche et de l’équilibre témoigne d’un début d’oedème cérébral potentiellement mortel : il faut descendre.
L’oedème pulmonaire de haute altitude peut commencer avec des symptômes modérés qui font croire à une infection broncho-pulmonaire peu grave : souffle court, toux et fièvre à 38,5°C. On est tenté de donner des antibiotiques, qui ne servent à rien danscette situation, et le malade se dégrade avec un risque de décès après quelques jours ; ici encore, il faut redescendre, si possible sous oxygène.
Malheureusement (expérience de nombreux médecins de montagne et de sociétés de rapatriement), tous les médecins locaux ne sont pas compétents dans ce domaine. Les erreurs ou retards de prise en charge ne sont pas rares.
Une seule prévention : s’acclimater correctement : monter progressivement, bien s’hydrater, éviter les somnifères (responsables d’hypoxie aggravée pendant le sommeil), surveiller qu’on urine abondant et clair, et qu’on ne fait pas d’oedèmes périphériques (face de lune et yeux bouffis, marques du bracelet-montre et des chaussettes)…
Salutations montagnardes
un médecin du secours en montagne.
il faut 3 semaines pour fabriquer des globules rouges…
Mme Michelle,
Vous avez oublie de preciser, que le soroche(ou mal d’atitude) se ressent generalment lorsqu’on descent et non pas quand ont monte.
Par ailleurs, les feuilles de coca sont loin d’etre un remede pour grand mere, c’est un plante
qui contient des elements qui agissent fortement sur l’organisme, c’est le cas aussi de la quina.
ou des feuilles d’eucalyptus(atention buvez l’eucalyptus seulement en tizane!)
Les indiens machent les feuilles de cocas depuis des siecles pour avoir plus de force lorsqu ils travaillent.
Salut
Bonjour,Marcel-Lima,
Relisez mes messages… je n’ai jamais abordé le sujet feuille de coca…car je sais que les gens qui vivent en altitude s’en servent couramment…
Le mal des montagnes se ressent quand on monte et non quand on descend, la descente permet de ressentir un soulagement, ce qui est logique…je l’ai moi-même expérimenté à plusieurs reprises.
Le meilleur conseil donné par tous les intervenants c’est la montée progressive en altitude (voir l’intervention du médecin de secours en montagne ci-dessus) c’est pourquoi j’insiste toujours pour que les futurs visiteurs construisent leur circuit au Pérou en en tenant compte :0)
Juste faire preuve de bon sens quoi :0)
Bonne journée.
Michèle.
Marcel-Lima,
Dans les formes graves du mal des montagnes (“Soroche”, pathologie aigüe due à l’altitude) le traitement vraiment efficace est LA DESCENTE (il peut être nécessaire d’associer un traitement médical et de l’oxygène).
Il est très imprudent, voire dangereux, de semer le trouble chez certains lecteurs à ce sujet.
Il s’agit de vie et de mort.
Une certaine confusion peut venir du fait que les symptomes peuvent persister un certain temps. Mais il faut soustraire le malade à l’environnement pathogène - tout comme une victime de noyade doit être sortie de l’eau, et on ne laisse pas un brûlé près du feu !
Quant aux feuilles de coca, leur effet pharmacologique est négligeable et les habitants permanents des Andes qui les utilisent sont acclimatés à la haute altitude, à l’opposé des touristes qui arrivent de régions de basse altitude.
Salutations montagnardes
un médecin du secours en montagne.
Los ninos a raison, si on n’arrive pas brutalement en altitude, comme à Cuzco (3400 m) ou au lac Titicaca (3800 m) directement par avion, il n’y a pas de problème. Une halte à Arequipa est la meilleure des idées.
Personnellement, je n’ai pas pu le faire car un tremblement de terre avait coupé la route, et du coup, je suis allé à Cuzco en bus (15 h de trajet !) et cela à suffit pour m’habituer à l’altitude. Mais attention, il est normal d’être essoufflé en montant les escaliers de San Blas ou autre, tout le monde l’est, même les sportifs !
De même, si vous êtes en sur-poids, si vous fumez ou si vous ne faites pas du tout de sport, vous aurez beaucoup plus de difficultés à apprivoiser l’altitude. Il faudra alors y aller molo !
Un mot spécial sur le tabac : les péruviens ne sont pas fous, ils ne fument pas. Alors fumeurs, faites comme eux et laissez vos paquets de cigarettes à la maison !
Le seul traitement pour me préparer à l’altitude a été de prendre des granules homéopathiques Coca 4CH en quittant la côte jusqu’au retour sur Lima.
Sur place, on vous proposera souvent des infusions de mate coca dans les bus, les restaurants, les hôtels : n’hésitez pas à en boire et reboire, c’est bon et très efficace. Ma compagne et moi (110 ans à nous deux) n’avons pas du tout été malades.
Quant à mâcher des feuilles de coca, je ne l’ai vu qu’exceptionnellement dans les villages de l’altiplano.
Donc pas de medicaments dont les effets secondaites peuvent être pire que le soroche !
Bonjour
Pas d accord avec vous les médecins sont contre le diamox puisque il masque les symptômes.
Je viens de faire l Annapurna , les guides Nepalais étaient aussi contre. Bien boire , alimentation équilibrée , boire chaud et surtout pas de café . Je remercie mon guide
Pour moi chaque fois que j’ai vu Cuzco, ou le lac Titicaca, je prends les capsules faites de feuilles de coca, de feuilles de muña ou de gingembre et comme elles sont naturelles, il n’y a pas de contre-indications.