Bonjour
Je me présente je suis un femme de 50 ans je suis aide soignante de nuit je ne parle pas anglais malheureusement mai j’ai de plus en plus de mal à rester en France
Je souhaite partit loin et surtout beaucoup de soleil et chaleur car je n’aime pas le froid
J’ai fais plusieurs boulo dans ma vie (vendeuse , nounou, les marché, la plonge , ménage etc)
Et je pourrais aussi être serveuse ,aide cuisine ou autre car je suis très dynamique et j’aime beaucoup apprendre et les gens
Je rechercher des personnes qui se sont déjà installées et qui pourrais me proposer un travail
Je précise que si j’arrive à partir se n’est pas pour revenir en france
J’espère que quelqu’un pour m’aider et me donner les renseignements nécessaire
Merci beaucoup
Bonjour,
““j’ai de plus en plus de mal à rester en France””
tout projet basé sur le mal etre , sans motivation positive est voué à l’échec.
““Et je pourrais aussi être serveuse ,aide cuisine ou autre””
Dans les pays “chauds”, ces emplois sont particulièrement sous payés et occupés par la population locale , et souvent ils nécessitent la maitrise de la langue locale.
““se n’est pas pour revenir en france””
en tout cas, c’est gentil de s’engager à ne pas utiliser toutes les aides généreuses que procure notre pays.
Vous n’envisagez donc pas du tout d’assurer vos arrières. Mauvais départ. Très mauvais départ.
Bonjour
J’ai toujours voulu partir de France mais j’avais un enfant et j’ai penser avant à elle avant moi je voulais quelle soit autonome
Aujourd hui elle est partie de la maison et bientôt se marier
Je pense que pour moi je peux enfin réaliser mon rêve
Je suis toujours en activité et s’est pour cela aussi que je veux le faire
Je veux travail , vivre et m’intégrer dans ce pay que j’aurais choisi et bien sûr ou on parle français et par la suite y rester pour une retraite
Voila j’espère pouvoir réaliser ce rêve
Bonsoir et merci
Bonjour
Pourriez vous expliquer car je vois pas se que vous voulez dire
J’ai toujours travailler en France donc j’aurai le droit à ma retraite le jour venu
Merci
Bonne soirée
Il faudrait au moins une qualification d’infirmière.
Et hors de France il ne faut pas rêver au salariat.
La seule chose qui peut marcher est de faire quelque chose à son compte.
Donc avoir un minimum de capital, de compétences dans le domaine et, bien sûr de bien connaître le pays de destination.
Donc quelles sont vos compétences ?
De quels fonds disposez-vous ?
Quelles langues et quel pays vous visez ?
Parce que “l’étranger” c’est un peu vague.
“et bien sûr ou on parle français”. Là je vous arrête tout de suite : on ne parle français qu’en France. Et il faut oublier les DOM TOM où c’est comme en France mais en pire.
Laissons Poulet Citron fantasmer sur les “aides généreuses” car moi c’était 75 EUR/mois et des tas de taxes à payer. Ou alors il faut être un “demandeur d’asile” là c’est 970 EUR/mois plus logement gratuit, soins gratuits, etc. Mais ce n’est pas pour les irréductibles gaulois. Pour ces derniers, s’ils osent protester, c’est le LBD dans a tronche.
Il faut donc après avoir choisit le pays et voir comment on peut y être résident permanent, éponger tous ses avoirs et les placer dans ledit pays où la monnaie doit être stable et les placements intéressants. Et aussi où la vie est abordable. Il est vrai que perdurer en France nécessite d’être à la fois très friqué et très passif pour accepter n’importe quoi.
Bon moi je m’en sors plutôt bien et je vis sur les intérêts de mes placements. A 71 ans c’est tout ce que je peux me permettre car envisager une association est impossible (déjà pour faire une grande vadrouille, alors une activité économique on n’en parle même pas). Pourtant dans mon actuel patelin, le Paraguay, il y aurait beaucoup de choses à importer. Et des choses usuelles et pas chères qui sont introuvables. Des éponges et des colliers Atlas, par exemple.
Bon je n’en parle pas, ce ne me concerne plus. Moi j’écris de la S-F que je publie sur Amazon.
Et sur les forums aussi.
Bonjour
Plus haut vous dite que je ne souhaite pas assurer mes arrieres mais pour moi mes arrières s est la retraite que j’aurais en temps voulu pour l’instant je suis encore en activité et je souhaite continuer à bosser et continuer mon métier d aide soignante et cela si je peux dans les dom tom car je parle que le français
Voilà
Bonne soirée
Bonjour
Merci pour votre message
Je suis juste diplômé aide soignante et je souhaitais continuer mon métier dans les dom tom même si je sais que le salaire est moindre et comptais hier dans le pay
Je vais continuer à prendre des renseignements et voir si cela est possible ou pas
Bonne soirée
Bonjour,
Les “arrières” ne concernent pas seulement la retraite.
Si vous travaillez à l’étranger, vous quittez le système social français et intégrez le système social du pays d’accueil. S’il y en a un.
Cela veut dure que vous ne bénéficiez plus de la sécurité sociale française, vous ne cotisez plus à vos droits à retraite.
Par ailleurs vos droits ouvert jusqu’à présent à retraite ne vous permettra certainement de bénéficier d’un montant de retraite très élevé à l’âge légal, si vous n’avez pas le nombre de trimestre légal (qui ne cesse d’augmenter).
Ensuite, “assurer ses arrières” signifie aussi d’anticiper sur un retour en France ; il y a de multiples raisons pour que ce besoin vous tombe dessus. Que se passe-t-il si vous devez revenir vivre en France ? pas de sécu sociale, pas de chômage, pas de logement, …
Quelques exemples qui pourraient vous amener à revenir en France :
pas de travail, différences culturelles, déconvenues diverses, problèmes de santé, questions familiales, etc.
“Assurer ses arrières”, c’est anticiper sur toutes ces questions.
Donc quand vous dites que, si vous partez, “ce n’est pas pour revenir en France”, c’est que votre projet est loin d’être mûr : vous n’avez rien mis dans la balance.
Tous les pays ont une politique d’immigration, tous privilégient l’embauche des ressortissants, des gens du pays.Pour espérer (pas trouver… juste espérer) un emploi à l’étranger, il faut cibler des pays qui ont besoin de vos compétences (et donc qui manque dans ledit pays).
Autre point : cibler un pays qui, en plus, vous permettent de ressortir avec l’argent que vous aurez pu y amener (vos euros de départ) et que vous aurez pu gagner sur place.
Il n’y a pas que la question de la langue.
Pour cibler un pays, il serait judicieux également d’aller y passer 3 ou 4 semaines. pas en mode vacances, mais bien en mode prospection : être en location (avec des voisins locaux, et pas en hôtel), démarches administraitves, cadre législatif, marché de l’emploi, se faire un début de réseau dans votre domaine professionnel. Et vous imbiber de la dimension culturelle. Passer des vacances et travailler, à l’étranger, c’est un écart gigantesque.
Je ne dis pas que c’est impossible. Je dis que votre projet n’est pas dans les clou. Pas mûr.
Murielle
""dans les dom tom car je parle que le français “”
vous parliez de ““vivre à l’étranger””, vous avez changé d’avis ??
ah mais oui, dis donc. Il s’agit des dom tom, maintenant.
Et aussi, uniquement de travailler en tant q’aide soignante.
Pour moi, ça démontre un peu plus que ce projet est tout juste à l’état de vague idée (mais bon, tout projet commence par une vague idée);
C’que j’avais dit : Les DOM-TOM c’est la France mais en pire.
Pour ne parler que de ce que je connais : La Guadeloupe, est une île, entourée d’eau, de toute part (comme aurait dit le Général). Donc on peut avancer/inventer des raisons insulaires pour que la vie y soit si chère, mais la Guyane ? Elle se situe entre deux pays pas chers : le Brésil et le Surinam, mais tout y est hors de prix.
Tout ça pour ne pas apprendre une langue étrangère et aller vivre dans un meilleur pays !
Je confesse ma part de franchouillarditude en n’étant pas fortiche en langues et je me dégonfle d’apprendre le birman ou le sanscrit, mais l’espagnol ! En plus c’est plus logique que le français et cela n’en a pas les complications inutiles. Au point qu’une dictée n’a aucun sens en espagnol puisque ça s’écrit comme ça se prononce.
Et des pays vivables en Amérique du sud, ce n’est pas ce qui manque.
Bonjour
Merci de vos conseil et je sais que ce projet n’est pas encore mûr mais je me renseigne et vois se qui est possible ou pas
Mais c vrai que la première difficulté pour moi c la langue car je parle que le français
Merci
Bonne journée
Bonjour
Je n’est pas changer d’avis je me renseigne je réfléchi beaucoup
Car la première difficulté pour moi s est la barrière de la langue car je ne parle sue le français
Bonne journée
Bonjour
Oui ceci est un projet
Je ne vais certainement pas partir comme sa du jour au lendemain je suis pas folle
Comme je les dit je parle que le français donc je ne peux pas aller partout
Pour l’instant je prend des renseignements
Je souhaite continuer de travailler si possible dans ma branche ( aide soignante ) ou si pas possible autre chose
Bonne journée
Ps
Votre ton était un peu sarcastique si je le trompe pas cela n’est pas trop plaisant car je suis en pleine reflection et j’ai trouver cela pas très sympas
Bonjour
Merci de votre message
Ceci est un projet qui se réalisera ou pas
Je suis en plein doute
Un projet comme celui ci est long à mettre en place
Et pas facile
Je verrais bien
Merci Bonne journée
Quand on est aide soignant, voire fonctionnaire, vous pouvez trouver des postes dans les DOM.
Guadeloupe ou Martinique aura un coût de vie moins onéreux que la Guyane ou la Réunion. Mayotte c’est autre chose. Je les connais un peu tous.
A partir de là’ rien n’est compliqué. Il suffit de postuler. De faire sa valise. Une coloc ou un studio. Un petit peu d’argent devant toi. Ici on parle français.
Si vraiment tu es motivée, tu y arriveras !
Bien d’autres l’ont fait et le font encore.
Je te souhaite Bonne chance ;0))
nb. Voilà une réponse positive !!
Merci beaucoup pour ta réponse
Elle est motivante et sa fait du bien
Cordialement
“"A partir de là’ rien n’est compliqué. Il suffit de postuler.”"
pour un Antillais qui veut rentrer, oui !
pour les autres , ils n’ont aucune priorité, sauf postes très techniques ou il y a manque d’Antillais.
des aides soignants , il y en a à la pelle.
Bonjour
Merci pour cette information
Bonne journée