Bonjour à tous
Nous foulons le tarmac de l’aéroport de Kigali en ce début mars.
En entrant dans l’aérogare un duty free, permet de faire quelques achats avant le passage à l’immigration, qui se passe de façon très rapide , uniquement le passeport est présenté. L’agent ne nous demande que la raison de notre venue, ainsi que notre hébergement et le nombre de jours qui seront passés dans le pays. Echanges très cordiaux.
Avant de passer en salle pour la récupération des bagages , un contrôle scanner rayons X des bagages cabine est opéré.
Attention la cigarette électronique est prohibée dans le pays, pour éviter la confiscation et la restitution en fin de séjour, gardez la dans votre poche.
Nous voilà sur le parking, ou nous attend le chauffeur de l’hébergeur ou nous devons nous rendre sur Kigali.
Avant de prendre la route, deux ATM permettent de retirer des liquidités.
Nous profitons du fait que juste à côté, se trouve le bureau télécommunication, pour acheter une SIM locale ( internet et téléphone).
Après une nuit calme, nous découvrons sous un soleil radieux, les jardins et couleurs des lieux.
Une musique et des chants, nous entrainent vers la petite chapelle située à quelques mètres de notre chambre, ou une foule est réunie pour une messe. On nous invite à entrer. L’ambiance est déhanchée, joyeuse.
Un tour du complexe et des jardins, ou les préparatifs de deux mariages se peaufinent.
C’est à bord d’une moto taxi que nous partons vers le mémorial du génocide.
Après la visite de ce site, à pieds nous décidons de faire quelques foulées dans les rues de la ville.
Dans un premier temps en longeant la route, puis en empruntant une rue de terre et de pierres légèrement parallèle.
Les habitations de part et d’autre sont de briques et de brocs, des petits commerces, ou certains à même le sol vendent leurs légumes, une machine à coudre le long d’un mur attend le tissu à coudre.
Les habitants des lieux nous saluent, salam, hello, certains se présentent à nous.
Ici des enfants jouent au foot avec un ballon de confection artisanale en carton mâché, plastique .
La foule se fait plus dense en arrivant au marché, plus loin la gare routière Nyabugogo, un parcours de cour des miracles s’opère, une ambiance bien différente de celle que nous venons de vivre.
Cet après midi, de retour chez l’hébergeur, les mariages battent leur plein. On nous invitent à regarder les danses orchestrées par plusieurs membres. Les mariés coupent le gâteau. Nous prenons congés.
La nuit tombe sur Kigali, à pieds partons vers le centre ville pour diner, en suivant les conseils que nous a prodigués le chauffeur de l’hébergeur.
Les sacs dans le coffre de la voiture, nous nous faisons déposé à la gare routière de Nyabugogo à 09 h 30 .
On joue des coudes pour atteindre le comptoir de la compagnie Virunga Express et acheter les billets de bus pour Musanze-Ruhengeri , en évitant les nombreux rabatteurs présents sur site.
Les bus partent toutes les trente minutes, le notre est prévu à 11 heures.
On se fraie un chemin parmi la foule, pour trouver un endroit ombragé, dans l’attente du départ. Dans un brouhaha les vendeurs circulent entre les bus, des plateaux de friandises, des seaux de samoussas, des boissons diverses, des bibelots, montres… sont proposés.
Il faut jouer encore des coudes pour se glisser dans le mini bus de 28 places. nos sacs à dos sont laissés dans l’allée, qu’il faut enjamber pour atteinte les sièges arrières.
Tout est prêt pour le départ, jusqu’à ce que deux responsables de la compagnie, interpellent un homme assis devant nous. Une discussion qui va durer plusieurs minutes s’engage.
On fini par comprendre que cette personne est montée sans billet. Son sac lui est arracher, fouillé et de l’argent en est extrait. Le bus démarre avec un responsable de Virunga à bord et stop à l’angle du bâtiment. L’agent Virunga descend et ferme la porte sans possibilité aux passagers d’en descendre. Le resquilleur, sentant le vent tourner, tente de sortir, en vain. La police arrive et prend en charge le trublion.
Le voyage, peut commencer. Les paysages vallonnés et verdoyants défilent sous nos yeux.
Au bout d’une heure de route, un arrêt est opéré, occasion pour tout à chacun de vaquer à quelques achats ou autres pour quelques minutes.
Environ un peu plus de 2 h 00 de route, nous atteignons la gare routière de Musanze-Ruhengeri. Ambiance bien différente de celle de Kigali, calme, sereine .
Quelques voitures faisant office de taxi, attendent. A peine 15 minutes plus tard, arrivons à la réception de notre hébergement situé dans un écrin de forêt.
Le reste de l’après midi est consacré à une ballade des alentours, entre village, culture et observation des oiseaux dans les jardins de notre hébergeur.
Le jour décline et la fraicheur s’installe, les manches longues sont sorties. Un feu est allumé dans le salon-bar, ouvert sur la végétation.
Un taxi, réservé la veille par notre hébergeur, nous prend en charge à 06 h 30, direction le parc des volcans.
Une demi heure plus tard nous sommes aux barrières de l’entrée administrative du parc.
Café, thé sont offerts. on nous dirige vers les bureaux pour prévoir nos activités.
Toutes les activités souhaitées doivent être communiquées à ce moment et payées, car si le choix d’en faire une plus tard, sans l’avoir demandée, n’en sera pas possible sur la journée.
Les passeports sont demandés, le test également.
Les paiements exclusivement par CB, comme pour un achat en boutique, carte glissée dans le lecteur et on entre son code secret.
Un test PCR pour les visites des singes, gorilles ou antigénique pour les autres randonnées est nécessaire et la possibilité en est donnée ici pour le faire. Chose que nous ferons sur place.
Départ vers les points de début des diverses activités. Tous les véhicules quittent le parking, accompagnés d’un rangers .
Des motos taxi stationnent et attendent d’éventuels clients n’étant pas véhiculés.
C’est au bout de trente minutes de route et piste que nous arrivons dans un petit village, début de notre ballade vers les singes dorés.
La marche est aisée entre cultures et chemins de terre, tout à plat, la vue sur les volcans en toile de fond, nous entraine vers le parc des singes.
Pas moins de six rangers armés, nous accueillent, nous passons par dessus un large mur de pierres séparant les cultures de la forêt, évitant ainsi aux buffles et éléphants de piétiner le travail des cultivateurs.
Nos sacs doivent être laissés à terre, interdiction de manger, de se soulager ici. On nous demande de porter un masque.
Maintenant nous pouvons entrer dans la forêt clairsemée de hauts arbres et de bambous précédés par un ranger.
Les singes sont là, sautant de branches en branches, on fait quelques pas dans cet environnement ombragé, tout en suivant notre guide.
Nous repassons le mur de pierre, pour nous retrouver dans les champs ou tous les singes suivent.
Le reste des rangers se positionne tout du long des champs, ou des agriculteurs démasqués, travaillent laborieusement.
Les singes courent, sautent, se délectent de reste de pommes de terre, trouvés dans la terre.
Suivez le guide, tous, humains et primates, regagnons la forêt pour encore quelques observations, avant de prendre congés des lieux au bout de cinquante minutes sur place.
L’après midi sera repos et préparatifs de la sortie du lendemain.
En compagnie de notre hébergeur, nous faisons route vers les lacs Burera et Ruhondo, que nous atteignons en quarante minutes.
De la rive du Ruhondo, une première randonnée nous mène au Lac Burera surplombant son jumeau.
Nous partons ensuite en bateau de pêcheurs vers la presqu’île, une navigation lente sur une eau d’huile. Des rameurs de petites pirogues de bois nous croisent, on longe les berges et nous rapprochons des côtes, pour entamer une ascension vers la cime, avant de gagner un lodge pour déjeuner. Ici la vue est dégagée sur l’horizon dont le soleil illumine le ciel.
Après cette belle journée ensoleillée, avant de regagner nos pénates, nous nous arrêtons sur Musanze, dans l’atelier d’un artiste local.
Un taxi, nous récupère quinze minutes avant l’horaire de départ du bus avec en poche nos tickets achetés à la demande de notre hébergeur. Nous évitant ainsi de n’avoir a attendre un départ plus que de raison.
Trajet de deux heures vers Rubavu-Gisenyi.
Les collines s’étirent de part et d’autre de la route, leurs flancs sont parsemés de cultures diverses.
De nombreux arrêts seront opérés, l’occasion pour les marchands ambulants de se précipiter aux vitres du bus.
Nous sommes attendus à la gare routière par notre guide, avec qui nous allons partager les quatre prochains jours pour faire une partie du CNT (Congo Niles Trail)
Nous longeons les berges du lac avec ses petites langues de plage, la ville aux allures de station balnéaire est sereine.
Il nous dépose à notre hébergement sur Kigufi, tenue par les sœurs Bénédictines au bord du lac Kivu, lieu idyllique, calme, dans un cadre verdoyant.
Nous prenons congés de lui.
Un déjeuner sur le pousse, face au jardin et au lac.
Puis à pieds en logeant la route surplombant les eaux, nous nous dirigeons vers les sources chaudes de Nyamyumba.
Ici possibilité de se faire masser, après avoir payé le droit d’entrée.
Plusieurs bateaux attendent les touristes, nous serons interpellés par plusieurs capitaines, nous proposant un tour d’une heure sur le lac. Nous les éconduisons tous.
Ambiance pesante, nous n’y resterons que très peu de temps. Chemin faisant une halte pour écouter une chorale qui dans les jardins de l’église Rambo, répète leurs chants dans les jardins.
C’est la sortie des cours, une cinquantaine d’enfants, se joignent à nous, pour faire le chemin retour durant prés d’une cinquantaine de minutes. Au fur et à mesure des foulées, les rangs s’égrènent, il n’en restera que trois lorsque nous arrivons chez les Sœurs.
C’est parti pour quatre jours de marche, 09 h 00 nos sacs sur le dos, nous marchons sur le bitume de la route surplombant le lac, avant de bifurquer vers l’intérieur du pays, plusieurs villages sont traversés, les collines sont chargées de cultures.
Nous montons vers les sommets des collines avant d’en redescendre par des chemins de chèvres.
Après trois heures de marches le lac refait sa réapparition entre petites plages et sentier bordés de roseaux, c’est à l’ombre d’un grand arbre que nous déjeunons, avec le pique nique commandé la veille auprès de notre hébergeur.
06h 00 de marche plus tard en bord de lac, notre nouvel hébergeur nous accueille dans sa maison, simplicité des lieux.
Quelques brasses dans le lac pour se rafraichir apportent le plus grand bien.
Le jour pointe, sur la plage les pêcheurs remontent leur filet, chargé de petits poissons.
A peine la petite embarcation à coups de rames a t-elle rejoint le large, que des loutres font leur apparition plongeant et ressortant leur tête hors de l’eau.
Sur les sentiers la marche reprend en bord de lac, avant d’entamer la piste ocre de terre et de cailloux.
Après une heure sous le soleil, des cris de cochons, de vaches se font entendre, le brouhaha se fait plus insistant au fur et à mesure de notre avancée.
C’est jour de marché, bestiaux, volailles, lapins, fruits, légumes, babioles diverses et variées, tout ou presque est exposé ici.
Des bateaux venus du Congo, chargent leur cale de meubles et autres articles.
Le ciel se voile, rendant l’ascension plus respirable, entre forêts, cultures et villages, la progression est lente, la vue sur lac a disparue.
Après plus de treize kilomètres en 05 h 30, nous arrivons au village de Kinunu. Une Jolie Guest house nous accueille chaleureusement.
Une plage en contrebas devait être l’Havre de paix pour le reste de l’après midi. Malheureusement le lieu est chargé de détritus en tous genres ( bouteilles plastiques, sacs…).
Cette nouvelle journée, va commencer par une navigation d’une heure, tranquille sur un lac paisible.
Pieds à terre nous débarquons sur le village de pêcheur de Tibimgo.
La marche commence, la chaleur est écrasante, la piste ocre s’étire vers le haut sur plus de dix kilomètres. Notre progression est lente. De nombreux villages sont traversés, l’occasion d’observer la vie quotidienne des uns et des autres.
C’est en début d’après midi que nous atteignons le sommet ou se situe notre nouvel hébergeur.
La vue est totalement dégagée, vers les collines, les vallées , le lac en contre bas. Au loin, on aperçoit la ville de Kibuye.
Dernière journée de marche, plutôt cool, après la montée d’hier, on descend.
En trois heures, nous atteignons la route, ou un véhicule avec chauffeur nous récupère et nous conduit sur Kibuye.
J’ai opté que nous fassions la suite du voyage en voiture avec chauffeur. Notre guide CNT, proposait cette option, que j’ai accepté.
Petit bémol, le chauffeur ne parlait ni anglais , ni français. Communication assez difficile. Mais on y est arrivé malgré tout.
L’hébergement réservé surplombe un jardin tout en pente, un chemin nous mène vers la rive du lac ou un beau sentier s’ouvre sur des parcelles de gazons et de sable, permettant d’étaler sa serviette. Sambaza beach est un endroit fréquenté par les locaux, qui s’adonnent à la baignade.
Nous continuons notre balade , qui nous mène à un village de pêcheurs ou des poissons sont mis à sécher sur des étales. On peut également acheter des sambaza frits.
Cette matinée sera consacrée, à une excursion vers les îles Napoléon, Teddy bear, et celle des singes.
Notre guide la veille avant de nous quitter, nous a orienté vers une de ses connaissances.
Quarante minutes de navigation toujours aussi calme, lentement nous approchons des îles.
Napoléon, est consacrée à une randonnée vers le sommet, ici quelques vaches paissent sur les pentes rocheuses, telles des chèvres.
Les chauves souris ont déserté les lieux, sans que l’on connaisse le nouvel endroit de colonisation.
Après une heure sur place, les côtes de Teddy bear, puis direction les singes, pas de débarquement mais un tour de l’île ou deux spécimens seront vus dans les hauteurs de la végétation.
Avant de quitter Kibuye, direction l’hôpital, pour effectuer un test PCR en vue des activités des prochains jours.
Deux heures de route plus tard, nous arrivons à Gisakura.
Les paysages changent du tout au tout, des champs de thé, des forêts arpentent les bords de route et collines.
Direction le parc Nyungwe, pour réserver nos activités des prochains jours.
Une première entrée celle de Gisakura à environ 4 kilomètres du village du même nom, sera celle ou nous ferons toutes les formalités.
Un immense merci au personnel, qui s’est mis en relation avec l’hôpital de Kibuye pour accélérer la mise en ligne des résultats de nos tests.
Pour les tests, pas de structure en place ici pour les faire.
Les activités possibles au départ d’ici: randonnées cascades, singes Angolan colobus
L’autre entrée est celle d’Uwinka à un peu plus de 21 kms, d’où partent les diverses randonnées proposées par le parc, la visite aux chimpanzés, ainsi que la Canopée.
Toutes les activités peuvent être réservées, auprès de l’une ou l’autre des entrées ci-dessus.
Il est important de réserver à l’avance la visite des chimpanzés, un seul départ par jour, pour toutes les autres activités, on peut les prévoir au pied levé. Plusieurs départs par jour.
La fraicheur est de mise ici, changement radical de température, même si à quelques moments de la journée, le soleil réchauffe un peu l’atmosphère.
Réveil 04 h 00, départ 05 h 00, pour être à 05 h 30 à l’entrée d’Uwinka.
Nous faisons connaissance de notre guide et reprenons la voiture, un quart d’heure plus tard, commence l’ascension en forêt.
Trente minutes tout en montée, avant de continuer pendant deux heures la marche en forêt dense, chemins boueux, contorsions sous les arbres couchés au sol.
On stop en attente des consignes des rangers, pour connaitre le chemin à suivre.
Les chimpanzés sont dans le fond de la vallée, il faut donc descendre au travers de fougères géantes recouvrant les pentes.
C’est à coups de machettes que les rangers ouvrent une voie en écrasant, coupant les troncs, branchages, obstruant le passage.
Il sont là , se restaurant en hauteur, sautant d’un arbre à l’autre. Un groupe de quatre, cinq individus poussant des cris, colère , ralliement ou juste pour montrer sa supériorité à un autre membre du groupe.
Ils finiront par descendre de leur arbre et quitter les lieux, après que nous ayons pu les observer pendant plus d’une heure.
Sur le retour par le chemin spongieux et glissant, un groupe recensé de sept cents singes des montagnes, dans un vacarme assourdissant s’élancent de partout au dessus de nos têtes.
Des sauts de branches en branches. Plusieurs tombent de très haut, telle une défenestration. Le spectacle offert est stupéfiant.
Quatorze kilométres est 6 h 30 plus tard, nous retrouvons l’entrée d’Uwinka.
Il est possible sur les deux sites du parc de déjeuner. Plusieurs plats sont proposés.
Nous reprenons des forces pendant le déjeuner, alors que la pluie, plutôt un déluge
d’eau s’abat sur le parc.
On va attendre un peu que la situation se calme pour la poursuite de nos activités. Les gouttes se font moins denses.
Nous prenons en compagnie d’un guide du parc, les sentiers qui descendent vers la canopée. Deux heures de marche sous couvert de la végétation, nous faisons la boucle en passant sur les trois ponts suspendus.
De beaux panoramas s’ouvrent à nous et ce malgré un temps couvert, qui finira par revenir au beau un quart d’heure avant notre retour à l’entrée du parc.
Nous reprenons la route vers notre hébergeur et en chemin sur le bord de l’asphalte quelques singes des montagnes et deux chimpanzés seront observés.
On se présente ce matin aux alentours de 09 h 00, à l’entrée du parc Gisakura.
A pieds par la route en compagnie d’un guide, nous bifurquons dans les champs de thé, avant de pénétrer dans la forêt.
Durant la marche, bons nombres d’explications sont apportés sur la flore des lieux. Après plus d’heure de marche, un grondement commence à se faire entendre.
On continue à descendre et au fur et à mesure des bribes blanches, écumantes apparaissent au travers de la végétation.
Nous voilà face à la cascade Ndambarare, qui du haut de la falaise déverse en deux langues ses trombes d’eau écumantes, finissant dans une belle vasque aux couleurs orangées.
Il est maintenant 12 h 30, nous avons prévu une activité pour le début d’après midi. La pluie étant annoncée, nous prenons en accord avec le guide, la décision de poursuivre, plutôt que de revenir vers l’entrée du parc.
C’est en lisière de forêt, jouxtant les champs de thé, ou un bon nombre de personnes travaillent au ramassage des feuilles, que nous les apercevons.
Les singes Angolan Colobus, déjeunant et jouant dans les arbres.
Plusieurs posent pattes à terre, et s’approchent à quelques mètres de nous (vaccinés) mais aussi des cueilleurs de thé en plein travail.
Nous assistons à de belles scènes de vie de ces primates. Une mère présente son bébé rose de quelques jours, à différents membres du groupe, qui le prennent à tour de rôle en le serrant contre eux.
Notre retour au parc se fera vers 14 h 30, ou notre pause déjeuner pourra avoir lieu.
a suivre
christian