Bonjour, ma femme est enseignante certifiée en Technologie, nous avons un petit garçon de 9 ans et je suis de min côté cadre commercial dans le domaine de la vente de l’automobile. Nous souhaitons partir pour travailler et vivre à l’étranger. Cordialement Cyril
Vous êtes un cadre commercial qui a la tête dans les nuages ! Est-ce vraiment le moment en 2021 de songer à s’expatrier ?
C’est, au contraire, l’urgence vitale !
Ne pas vouloir rester dans un Titanic qui fait eau de toute part est une réaction salutaire, non ?
Comme je l’ai fait moi-même il y a 11 ans ! Et si je n’ai fait qu’une bonne chose dans ma vie, c’est bien celle-là !
D’autant que dans le domaine professionnel de ce monsieur, la France a décidé de rendre impossible cet instrument de liberté qu’était (car on peut en parler au passé) l’automobile. Car il est flagrant que la France n’est plus un pays de liberté.
Cela a été les taxes, les rackets radar, maintenant sur le véhicule même, bref la bagnole, en France, ils l’ont tuée.
Donc la décision de ce Monsieur est tout à fait logique et nous change des robinsonnades rousseauistes des bobos de ce forum qui, de toute façon, n’ont jamais de suite car, une fois qu’ils ont tartiné ici leur mal-être, on n’en entend plus parler.
Donc je rassure Cyril-Cuny : en Amérique du Sud les voitures se portent bien, concessionnaires et tallers divers aussi.
Mais parlons un peu chiffres :
Je viens de mettre 2 nouveaux pneux Pirelli Scorpio de 16 pouces sur ma camioneta Isuzu DMax, pas plus tard qu’hier dans un atelier authentiquement pro. Équilibrage et alineación inclus. Coût de l’opération : 1.900.000 PYG (= 233 EUR). Et ici, au Paraguay, le litre de gasoil est à 5.330 PYG (= 0,65 EUR).
Il y a un marché pour des annexes de concessionnaires, mais aussi pour un vendeur sérieux de pièces. Il y a en a plein des autorepuestos, mais ils n’ont jamais l’usuel que je demande. Faire l’équivalent d’un Feu Vert à la française par exemple.
Bien sûr il faut avoir un petit capital pour cela car il n’y a rien à espérer en étant salarié.
Bonjour, après de multiples soucis je peux enfin vous répondre. Oui c’est le moment, car vous ne connaissez rien de mes expériences personnelles mais après de multiples déceptions professionnelles et surtout sans aucun soutien de le justice en France, prud’hommes et autres inspection du travail… nous souhaitons quitter ce pays qui est à mon sens en dérive… Cordialement
Bonjour, merci de votre retour, sachez que si j’avais ce genre de capital je n’hésiterai pas … merci beaucoup
Il est clair que TOUTE expatriation nécessite un minimum de capital ! Capital en 2 parties :
Partie 1 pour faire du tourisme appliqué en connaissant un minimum la langue locale. Voir les créneaux utiles, contacter des autochtones professionnels dont certains pourront être embauchés. Ce qui est très bien vu par les autorités si vous demandez un visa investisseur, lequel demande un dépôt de capital, car il y a une réduction par promesse d’embauche.
Partie 2 pour le capital de l’entreprise proprement dite. Ce n’est pas forcément très important mais cela est nécessaire.
Enfin considérer que se lancer dans l’aventure de l’expatriation nécessite de ne pas être seul. Ou alors être juste un petit rentier retraité comme moi. Il y a longtemps j’ai cherché ici d’autres avenuriers, mais je n’ai rien vu d’autres que des “rêveurs” comme ils se le définissent eux-même.
Et enfin le NOM (Nouvel Ordre Mondial) va rendre l’expatriation de plus en plus difficile en enfermant les gens chez eux sous des prétxtes sanitaires.
De toute façon “à l’étranger” ça ne veut rien dire. Il y a environ 200 pays dans le monde, dont la moitié est inhospitalière et à peu près autant où il n’est pas possible d’immigrer.
Même en Europe, si tu ne parles pas le tchèque ou le hongrois, tu ne peux pas partir n’importe où hein !
Quand on a un projet sérieux d’expatriation, on regarde les pays où on peut obtenir une carte de résident, où on peut trouver du boulot, dont on parle correctement la langue, et qu’on connaît déjà pour être sûr de s’y plaire. Le nombre de retraités qui sont partis au Portugal à cause des avantages fiscaux et du climat, sans savoir qu’on y parlait… portugais ! S’apercevant un peu tard qu’ils n’avaient pas de vie sociale sauf à rester entre Français comme les colons, beaucoup sont rentrés en France.
Cyril-Cuny (pseudo qui me fait mourir de rire, fallait oser !) fera comme les autres, quand il sera parti il s’apercevra que le code du travail français est le plus protecteur au monde pour ses salariés, et qu’en tant qu’immigré il n’aura que le droit de la boucler, le pays d’accueil lui demande ce qu’il va apporter au pays, et pas de quoi il a besoin.
Bonsoir Mr ou Me , sachez dans un premier temps que je n’ai pas besoin de pseudo, donc le "il fallait oser " vous pouvez vous le mettre ou je pense ! Avant de parler comme cela , je vous prierai de bien vouloir dire mettre vous aussi votre vrai nom et prénom ainsi que votre profession. Vous semblez être bien trop arrogant et bien trop stupide pour que je perde plus de temps à vous répondre. Cordialement
Il y a quelques harpies (toujours des femmes) dans ce forum qui se plaisent à éreinter quiconque y vient. Consolation : sur les forums du disparu Voyageforum.com c’était encore pire.
Ici c’est très simple : si tu ne tartines pas d’explications tu n’es qu’un ignorant qui ferait mieux de la boucler, si tu en donnes parce que tu connais bien le sujet cela insupporte les mégères que tu oses “raconter ta vie”.
Donc quoi que tu dises…
vivre à l’étranger c’est un projet très vague.
Ce qui n’est pas indiqué dans les interventions précédentes c’est qu’être confronté aux cultures locales, on ne s’en rend pas compte,ça joue énormément pour travailler à l’étranger.
En général les entreprises dans le monde sont “formattées” entreprises mondialisées mais subsistent tout de même les codes culturels locaux.
C’est que bosser dans une entreprise à Toronto, Paris,Rio ou Tokyo c’est un peu là même chose je mentionne évidemment l’emploi dans le tertiaire( emploi de bureau, commercial…etc)
J’ai passé une période de prospection d’emploi à Montréal( je suis français d’origine), une fois un patron qui m’appelait en entretien croyait que je venais de débarquer à Montréal alors que sur mon CV c’était bien indiqué que j’avais bossé 5 ans dans une entreprise au Québec.
Autre anedocte un recruteur me demande si je connaissais les joueurs du Canadien de Montréal ( l’équipe de hockey locale)…
La conception d’une entreprise en France notamment dans le tertiaire qui est très centrée sur le “capital humain” c’est pas du tout la même dans une entreprise nord-américaine surtout qu’en France dans les grandes entreprises pour avoir un bon poste il faut le diplôme et faire jouer le copinage…
dans une entreprise aux USA si vous êtes cadre supérieur et que vous n’obtenez pas des bons résultats (financiers) vous vous faîtes éjecter dans les heures qui suivent moyennant évidemment un bon package de départ mais vous vous faites éjecter tout de même…
la mentalité nord-américaine et anglo-saxonne là-dessus est sans ambiguïtés.
Dans les entreprises françaises un cadre médiocre (et il y en a des tonnes ) ne risque pas de se faire virer…étant donné qu’il a été recruté sur ses diplômes et en faisant jouer son résau…
Ensuite c’est certain que dans certains pays d’Amérique latine c’est plus relax de bosser et plus “paternaliste”
ça c’est faux d’affirmer cela ou alors vous êtes fonctionnaire…on peut se faire virer aussi en France d’une entreprise française facilement avec une rupture conventionnelle…
Âme nomade rêve ! La France est plein de petits patrons hargneux qui virent leur personnel comme ils le veulent. Juste un cas perso : je faisais des étagères en agglo dans un petit local. C’était l’hiver, il faisait froid, mais le pire était de respirer cette sciure. Donc angine carabinée. Consultation médicale, arrêt de travail. “tant que vous n’êtes pas complètement guéri, ne recommencez pas à scier du bois” a dit le médecin. Je reviens donc au job et j’appris que j’étais viré avec effet rétro actif. On s’est retrouvé donc aux prudhommes. Le délégué ouvrier a levé les bras au ciel, mais le plus en pétard était le délégué patronal. Il l’a fait raquer un max mon petit patron.
Eh puis ?
Qu’est-ce que j’ai écris ? Est-ce que vous lisez ce qu’écrivent les membres de ce forum ?
Bonsoir, chaque cas est bien spécifique, pour être clair sachez vous tous que j’ai été patron et que ma femme est fonctionnaire et surtout que j’ai été délégué syndical d’une entreprise figurant dans les 600 premières de France. Donc je connais assez bien le code du travail et tous ce qui touche la protection du salarié. Si je me suis mis sur ce site ce n’est pas pour connaître le point de vu de chacun n’y pour avoir leurs avis personnels sur notre envie de partir. C’est juste pour être éventuellement aiguillés . A bon entendeur.
bonsoir eh bien je vous félicite pour votre professionnalisme car je suis atteint de phobie administrative;
tout ce qui est réglement sur des pages et des pages, tout ce qui est bureaucratie trop peu pour moi veuillez m’excuser,ne m’en voulez pas ha ha.
Vous l’aurez peut-être remarqué j’ai l’esprit à l’anglo-saxonne lorsqu’on travaille ce qui compte c’est l’efficacité et le business.
En tout cas bonne chance pour votre expatriation.
J’ajoute une nouvelle spécificité française et, bien sûr, pas en bien.
Il est impossible de contacter directement un service qu’il soit public ou privé !
Il faut passer par un formulaire, créer un espace personnel, “poser votre question” à un robot logiciel complètement stupide, mais impossible de contacter quelqu’un directement.
2 tentatives : puisque j’étais jeté de Boursorama Banque je tente de faire valoir le “droit au compte” auprès de la Banque de France. Formulaire en ligne où il faut glisser par copier collé des “pièces justificatives”. Je fais donc ce qu’ils demandent et, miracle, ça fonctionne (avec la caisse de retraite je me ramassais un “Bad Gateway”).
Réponse “vos données sont incomplètes”, je retente la même chose car je ne vois pas en quoi c’est incomplet. Même réponse. Bon cette histoire de “droit au compte” est, dans les faits, bidon.
D’ailleurs j’ai passé en revue les banques en ligne. Même chose : un “espace personnel” et impossible de poser une vraie question à une personne vivante !
En fait ils ne veulent pas d’expatriés, alors que la loi dit bien qu’un expatrié, de nationalité française, peut avoir un compte bancaire en France.
Ben voyons !
J’ai bien une avocate en France, catégorie teigneuse et ceinture noire du référé avec astreinte journalière. La Société Générale l’a senti passée. Mais je ne vais pas mobiliser (et payer) cette dame pour une retraite misérable. La caisse de retraite devra faire un virement international Bic/Swift pour ma misérable pension.
Alors qu’à ma banque paraguayenne, j’ai les cartes de mes conseillers, avec nom, iphone et e-mail professionnel. Et je ne passe pas par un grotesque “espace personnel”.
Bonjour,
Je souhaiterai partir à Dubaï pour travailler et apprendre l’anglais, j’aurai besoin de quelques conseils concernant le visa, le logement ainsi le travail. Si quelqu’un a eu l’expérience, j’aimerai bien avoir vos conseils merci ️