Bonjour les amoureux de l’Afrique Australe (ou les futurs…!),
Allez, je me lance dans mon carnet de voyage, bien que je n’aie pas encore fini d’atterrir…
Mon carnet aurait pu s’intituler aussi : “De Kasane à Maun, en passant par Caprivi”. Mais il fallait aussi rajouter Nxai Pan, et Gweta…
L’Okavango, c’est comme une chanson qui vous trotte dans la tête.
Vous savez? Ça résonne un peu comme “Amarula”, pour ceux qui connaissent la chanson. La mélodie nous a attrapés il y a quelques années, obsédante, répétitive.
L’Okavango, le fleuve, nous l’avions rencontré dans la bande de Caprivi lors de notre voyage de 2016, un One Way de Windhoek à Vic Falls : fascinés par ce grand fleuve, l’un des plus longs d’Afrique (1600km), qui naît en Angola et n’atteint jamais la mer. Il longe un bout de Namibie, et puis brusquement, vers Divundu il décide de bifurquer vers le Sud, où il crée l’un des plus grands deltas intérieurs du monde, entrelacs d’îles, lagons, marécages et bancs de sable, avant de se perdre dans les sables du Kalahari.
Pas le temps de flâner avec lui : il nous fallait revenir.
Ce delta s’est donc imposé comme le coeur de notre nouveau voyage!
Je voulais tourner autour du delta, puis en découvrir l’intérieur …
Voici une idée de notre itinéraire :
Bien sûr, octobre n’était peut-être pas l’idéal, avec une situation de grande sécheresse et de chaleur intense, juste avant l’arrivée des pluies.
Mais les points d’eau sont devenus précieux et la faune s’y concentre.
J’aime beaucoup le site ci-dessous qui explique le delta, son histoire, et le déroulement des saisons dans l’Okavango :
https://africageographic.com/stories/understanding-the-okavango-delta/
Très intéressant!
À suivre…
Patou