Bonjour, je créé cette discussion car, depuis très longtemps, je souhaite partir vivre ailleurs.
Je n’ai pas de destinations précises. J’aimerais partir dans un endroit, m’y installer quelques temps, y travailler puis repartir et recommencer quand j’aurais envie d’autre chose. Je ne sais pas par où commencer, ni si j’aurais un jour le courage de le faire. Mais dans la mesure où cette envie me bouffe un peu plus chaque jour, je pense que je vais pas tarder à réaliser ce rêve.
Est-ce que certains d’entre vous ont fait la même chose ?
Quels conseils pourriez-vous donner ? Et par quoi commencer ? Que retirez-vous de ce genre d’expérience ?
L’herbe est plus verte “ailleurs” , c’est bien connu !
rien que votre message indique que vous ne partirez jamais!
votre projet (ou exposition de mal être) est pourtant ultra simple , et peut se réaliser avec un passeport et une poignée d’euros , un billet d’avion ou de train, ou de car pour n’importe ou, un hébergement routard, une recherche de job, des centaines de jeunes le font , et changent de coin , au feeling, ou quand les conditions administratives s’alourdisssent.
Bonjour,
Je n’ai pas dit que c’était mieux ailleurs, j’ai conscience que dans chaque pays il y a des choses belles et d’autres moins. Ce n’est pas mieux ailleurs, c’est juste différent. Et c’est ce que je recherche, la différence et la nouveauté.
Ensuite je sais qu’en soit c’est assez simple de partir quand on prends en compte qu’un seul aspect du départ, et c’est pour ça que je décide d’accumuler deux boulots pour mettre de l’argent de côté.
Ce qui est moins facile c’est que le jour où je pars, je perds ma famille. Et même si je ne suis pas très proche d’eux, ça reste difficile.
Enfin il me semble que les forums sont un espace d’échanges, c’est pourquoi j’ai publié ce message, pour connaître l’expérience de personnes qui sont parties sans avoir de destinations.
Je sais qu’il est facile de critiquer quand on est derrière un écran, mais cela n’apporte rien.
Ce n’est pas avec un mal etre que l’on part , mais avec un projet !
et on se lance sans faire appel à un forum, ceux qui ont osé et qui en sont contents, ne sont plus là pour vous encourager, ils vivent , eux !
““Ce qui est moins facile c’est que le jour où je pars, je perds ma famille. Et même si je ne suis pas très proche d’eux, ça reste difficile.””
des raisons de ne pas partir, comme celle là , vous en inventerez toutes les semaines.
Mon seul mal-être c’est de ne pas partir !
Mon projet je l’ai puisque je suis en train de mettre de l’argent de côté pour partir ! Je suis décidée donc je vais partir !
Et il n’y a rien de mal à demander des conseils !
Sur ceux merci de votre intervention complètement inutile, je clos cette discussion, elle ne mènera nulle part, et je vous laisse à votre passe-temps pathétique qui est de pourrir les forums !
Bonjour,
Le plus difficile n’est pas forcément de trouver une destination, mais un emploi. Cela est d’autant plus vrai que vous n’avez pas de critères précis sur le choix de la destination.
Du coup, je pense judicieux de miser d’abord sur la recherche d’un emploi, et peut-être pour commencer (puisque votre première destination n’est pas définitive), quelque part en France (métropole ou outre mer). Les difficultés et facilités dans vos recherches d’emploi, vous amèneront petit à petit à affiner votre projet.
“Ce qui est moins facile c’est que le jour où je pars, je perds ma famille. Et même si je ne suis pas très proche d’eux, ça reste difficile”.
Quand on part, on ne perd pas ceux qu’on laisse sur place. On s’en éloigne géographiquement. C’est complètement différent. Ou alors, c’est que vous les avez déjà perdus avant de partir…
Cordialement,
Murielle
Murielle parle de la “recherche d’un emploi” mais là je fais la grimace. Le salariat, ça a marché un temps en France et maintenant ça ne marche plus. Ailleurs ça n’a jamais marché. Ce qu’on trouve c’est vraiment la misère. Voir la situation actuelle en Argentine, par exemple.
Non ! Pour vivre à peu près correctement, le boulot il faut se le créer, une activité de commerce ou de services.
Donc avoir repéré le bon pays, avoir discuté avec les locaux (donc parler la langue) sur les perspectives. Établit un projet avec de bons contacts. Ainsi si vous avez un projet avec des promesses d’embauche de locaux, votre visa de séjour investisseur est acquis.
Pas nécessaire d’avoir un capital très important pour autant, mais il en faut quand même un. Ainsi qu’une qualification professionnelle, bien sûr.
Bien sûr ça serait mieux de réaliser ce type de projet à plusieurs, mais ça fait au moins dix ans que j’ai constaté que pour les français c’est “plutôt crever tout seul que de s’en sortir à plusieurs”.
ho vous ne mangez pas vos mots
… et ça fait combien d’années que tu n’as pas mis les pieds en France ?..
“”… et ça fait combien d’années que tu n’as pas mis les pieds en France ?.…""
il y a ici, des spécialistes du “France bashing” et du “Francais bashing” qui ne semblent pas si heureux dans leur “ailleurs”, et qui en veulent à la terre entière, mais ils se sont coincés !.
Bonjour Lou xC’est normal au temps de la mondialisation, d’aller voir ailleurs, si l’herbe est plus verte, ce qui est vrai quelque fois, j’en parle en connaissance de cause, car je vie dans un ranch.Pour les conseils, c’est bien connu, on n’est pas les payeurs, mais les informations servent toujours.Pour le travail, il y a un secteur qui fonctionne dans tous les pays, celui de la restauration et des bars, il faut parler minimum une autre langue que la sienne.L’Espagne pour commencer est un bon point de départ, à côté de la France, et ou le tourisme fonctionne toute l’année, (restauration, bars).Pour commencer c’est un bon point de départ afin de faire ses classes pour l’expatriation sans prendre trop de risqueCe qui te permettra de savoir si tu es fait pour cette vie d’aventure.Une chose importante dans la vie, c’est de réaliser ses rêvesA plusRichard
Bonjour Lou xC’est normal au temps de la mondialisation, d’aller voir ailleurs, si l’herbe est plus verte, ce qui est vrai quelque fois, j’en parle en connaissance de cause, car je vie dans un ranch.Pour les conseils, c’est bien connu, on n’est pas les payeurs, mais les informations servent toujours.Pour le travail, il y a un secteur qui fonctionne dans tous les pays, celui de la restauration et des bars, il faut parler minimum une autre langue que la sienne.L’Espagne pour commencer est un bon point de départ, à côté de la France, et ou le tourisme fonctionne toute l’année, (restauration, bars).Pour commencer c’est un bon point de départ afin de faire ses classes pour l’expatriation sans prendre trop de risqueCe qui te permettra de savoir si tu es fait pour cette vie d’aventure.Une chose importante dans la vie, c’est de réaliser ses rêvesA plusRichard
10 ans.
Regarde l’historique de ce forum sur 10 ans. Quels véritables projets y a-t-il eu ? Quelles réponses ai-je eu à mes propositions qui, elles, étaient concrètes ?
Pourtant les “conditions objectives” auraient du entrainer les “conditions subjectives”, mais rien ! Juste des états d’âmes de bobos se plaignant de trop consommer.
C’est là que j’ai compris que je devais me barrer tout seul même si, par définition, c’était limité. Au moins je vis correctement et pour pas bien cher (le litre de gasoil a baissé et en France il a augmenté, donc chez moi il est à 4080 PYG soit 0,57 EUR me dit xe.com)
Bonjour à tous,
Je constate une chose dans les différentes réponses, c’est que l’herbe n’est pas plus verte ailleurs, et que ce n’est pas mieux ailleurs.
Alors pourquoi vouloir changer d’endroit si l’on retrouve la même chose, c’est complètement idiot de raisonner comme ça, en effet cela montre l’inexpérience de certain sur le sujet.
Pour exemple je vais prendre un cas concret, c’est-à-dire le mien, et celui d’autres personnes.
N’ayant aucun mal être, mais le désir d’avoir plus d’espace, et moins de gens au m2, qui me pompe mon oxygène, je décide donc à 53 ans d’aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte.
Résultat des courses entre la France, et mon nouveau pays qui est L’Uruguay, de l’espace (200 hectares) de départ, avec une herbe bien verte qui me permet de nourrir mes bêtes, et d’acquérir une certaine autonomie alimentaire, plus de gens pour me prendre mon oxygène, la mer à coté, ce qui donne dans l’ensemble une vie supérieure à la France, et pour tout dire un petit paradis sur terre quand on y regarde bien.
Mon bateau est sur ma propriété ce qui me permet d’en faire et demande une heure pour le mettre à l’eau, contrairement à la France où je devais faire 500 kilomètres aller-retour.
Je pratique le golf, et là aussi l’avantage de l’espace, j’ai donc ce dernier chez moi, ce qui m’évite des déplacements.
Je pratique le tir, et là encore pas besoin d’aller dans un stand de tir, comme en France, j’ai mon propre stand de tir, il me suffit de faire une butte, et de mettre des cibles.
Une piscine pour garder la forme, de monter à cheval tous les jours.
Ceci pour dire qu’il n’y a pas photo entre la France et l’Uruguay, et que n’aurais jamais pu réaliser cela en France.
Et surtout pas besoin d’une colonie de vacance pour avoir fait ces réalisations, et je crèverai tout seul, cela étant une évidence.
Donc souvent ailleurs c’est bien meilleur que chez soi, car son endroit de naissance on ne la pas choisi, et qu’il ne correspond pas spécialement à ses besoins dans le temps.
Si quelqu’un n’est pas d’accord avec moi, qu’il me prouve le contraire.
A vous lire
Richard