Location voiture à Bali

Forum Bali

nous revenons d’un sejour de 15 jours à Bali et nous avions decidé de louer une voiture sans chauffeurs. nous avons loué avant notre depart chez SEWATAMA RENT A CAR situe à Sanur. la réservation par internet fut facile car le repsonsable ANDRE parle le français et il nous a bien conseillé . la voiture était récente et en bon état. la conduite n’a pas toujours était facile mais avec un minimum de vigilence et de prudence on peut conduire à Bali (nous avons fait environ 800km ).

Bonjour,
Nous revenons d’un séjour de 5 semaines à Bali-Java et Hong Kong que nous racontons dans
Les Gauchet en vadrouille… Bali, Java & Hong Kong

A Bali nous sommes restés une vingtaine de jours et nous avons loué à SANUR pour 11 jours une voiture (sans chauffeur). Voiture Susuki : 2 200 000 rp pour 11 jours, soit moins de 14 € par jour. Loueur : CV Bali Setia Motor - Jl Danau Tamblingan n° 44 - SANUR (juste à côté de Yulia Homestay)… Il faut être vigilents, c’est sûr, mais pas plus qu’en scooter… Juste un peu impressionnant au départ. Nous avons fait 700 km… Aucun problème de circulation… Aucun problème au retour avec le loueur…

Nos premières impressions dans le post :
BALI - En route pour Amed ! “sans BALI-sage” !!!
Pour nous cela a été l’idéal : transport des bagages, facilité pour changer de lieu et donc de homestay, à l’abri en cas d’averse…

Bonjour,

J’ai déjà loué une voiture chez Sewatana Rent Car.
J’avais posé la question question à André, sur le comportement que je devais avoir en cas d’accident corporel grave
Il n’avait pas eu la langue de bois.
Il m’avait conseillé de filer directement chez les flics en me précisant que les balinais n’étaient pas toujours gentils et souriants dans certaines circonstances.

J’ai continué à louer des voitures à Sulawesi, Lombok, Sumatra.

Un jour j’ai eu un accident à Bali. Violent pour la personne qui m’a percuté.

Je m’en suis pas trop mal sorti. Mais j’ai vu ce à quoi j’avais échappé.

Louer à Bali où ailleurs, ce n’est pas cher et cela procure un sentiment de liberté. Mais en cas de problème, il n’y a pratiquement aucune assurance ( même l’assurance au tiers ). Le touriste a systématiquement tort.
La police touche un pourcentage sur les indemnités versées aux victimes.
On peut donc lui faire confiance en matière d’objectivité.
Ca peut couter extrêmement cher.

Depuis, c’est bemos, bus, train et marche à pieds.

En Indonésie, comme ailleurs.

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