New York : Souris Grise croque les quartiers de la Grosse Pomme

Forum New York

Triste fut cette journée passée à Manhattan, non pas de mon fait, mais de celui du ciel qui n’a cessé de bouder quand il ne décidait pas de pleurnicher!
Aujourd’hui, semble est du même niveau : temps maussade, crachin et sûrement vent. Je ne vois plus le pont de Queensboro depuis ma fenêtre.
Une journée où se presser n’a pas de sens ce d’autant que j’ai de quoi m’occuper tranquillement, pour la matinée, au moins.
Ensuite, je serai à la rue, mais c’est une autre histoire qui n’a pas commencé.

Pour ce qui est de jeudi 8 mai, J’aurais bien aimé me rendre à Green-Wood Cemetery pour une deuxième visite que j’aurais couplée avec Sunset Park un peu plus bas dans Brooklyn.
Le temps assez lugubre s’y prêtait à condition de n’avoir comme objectif que de se mettre au diapason des gisants. Ce n’était pas mon intention.
Ce qui m’a fait différer la visite suivante, c’est le principe même du Park qui se trouve un peu en hauteur permettant d’avoir une jolie vue, surtout au coucher du soleil, sur Manhattan.

En guise de vue, elle aurait été probablement bouchée par les nuages assez bas, quant au coucher du soleil, puisqu’il a eu lieu, ce fut en toute discrétion derrière les masses nuageuses.
Inutile donc de perdre mon temps en tristes constats.

J’ai donc improvisé avec quelques balises.
En fin de matinée, désirant rapporter du Beef Jerky de qualité, je me suis rendue, au Whole Food Market de Colombus, me donnant l’occasion de passer dans cette partie de l’UWS que je voulais voir pour une mise en place provisoire de sculptures.
Dans cette grande surface de produits alimentaires, point de Jerky.
Tant pis, j’ai songé aller chez Zabar’s mais en chemin, je me suis arrêté chez Trader Joe’s, un magasin d’alimentation assez bon marché compte tenu du quartier et du coût de la vie en général sur Manhattan.
L’idée a été pertinente puisque j’y ai trouvé mon bonheur et bien plus encore.
Ce fut l’occasion de voir comment s’effectuait le passage en caisse, un peu à l’image de ce qui se fait partout dans les magasins de la ville quand ils sont multi caisses.

Une queue impressionnante s’était formée, sur deux colonnes , sillonnant entre les rayons de fruits. A la hauteur où je m’y suis insérée, je n’en voyais pas le bout!
J’ai alors pensé que j’allais poireauter au moins 1 heure avant de sortir.
Quelle ne fut pas ma surprise de constater qu’elle avançait plutôt vite sans que je comprenne encore pourquoi et comment ce miracle.

C’est tout simple.
Il y a dans un espace dédié et resserré, 26 caisses au moins. Chaque caissier est muni d’un drapeau rouge qu’il agite pour annoncer que sa caisse est libre.
Un répartiteur gère les clients des deux files d’attente constituées et les envoie à la caisse numérotée qui s’est libérée. Toute la journée, un employé est payé pour dire allez ici ou là!
C’est ce qu’on appelle de l’organisation et surtout la légitimation de petits boulots de rien qui assurent un revenu, aussi maigre soit-il.
Vous n’avez ainsi pas le sentiment , comme cela a dû vous arriver souvent, de vous être mis dans la mauvaise file, à la mauvaise caisse, celle qui n’avance pas pour “x” raisons.
Tous les clients sont à égalité de chance pour régler leurs achats.
Finalement, c’est assez astucieux et efficace comme stratégie.
Le caissier se charge de tout emballer et vous remet votre sac au paiement.
Rien à voir avec notre système. Comme quoi, il y aurait peut-être de bonnes idées à prendre pour Carrouf ou Aupré…

Mes courses faites, je suis rentrée les déposer à l’hôtel et ai ouvert un sachet de jerky pour vérifier la qualité : rien à redire.
Je pense faire plaisir à certains, au retour.

Ceci étant fait, je suis repartie pour une visite gratuite du FIT sur la 7th Avenue.
L’exposition en cours m’a laissée songeuse. Je n’en ai pas bien compris l’intérêt.
Sans doute ne suis-je pas initiée pour suivre.
Sortie de ce musée dont la visite est rapide, je suis remontée à courte distance sur Penn Station pour une petite actualisation des lieux.
Rien de bien intéressant, en fait…

L’idée m’est alors venue de faire la descente complète de Broadway sachant que c’est assez vite fait depuis la 34th St où je me trouvais.
Quand je dis assez vite fait, c’est avec ma nature et mes intentions, à savoir no shopping, parce qu’arrivés sur Soho, ceux qui le souhaiteraient pourraient y consacrer une demi journée à faire les magasins de toutes sortes.

Si je n’étais absolument pas dans une dynamique d’achats, j’ai tout de même visité deux magasins pour en vérifier l’intérêt, lu par ailleurs.
Fish Eddy, non loin de Union Square est une adresse très intéressante si vous désirez rapporter des accessoires en rapport avec la cuisine ou l’art de la table assortis de graphismes de qualité rappelant les “emblèmes” de New-York.
C’est très loin de la pacotille voyante des boutiques de souvenirs et c’est assez chic.
Dans le lien, j’ai sélectionné un type d’articles, mais passez les différentes catégories en revue pour une idée de la gamme présentée.

Ensuite, je me suis arrêtée dans un magasin de souvenirs qui ne se limitent pas à NY mais prétend couvrir davantage l’identité américaine avec de très bonnes idées, à prix raisonnable.
American Icon Nyc . Une autre de leur boutique se trouve sur la 5th Ave au 277 entre les 29th St et 30th St.

Broadway est vraiment une diagonale qui permet de traverser différents quartiers où les activités économiques diffèrent, les architectures se différencient selon les secteurs et époques historiques de construction, à l’exemple des castirons que j’apprécie plus particulièrement.
Que ce soit dans un sens ou dans l’autre, puisque j’ai fait à pied cette avenue depuis le Nord de Manhattan au sud, ce, en deux voyages bien distincts, il est intéressant de le faire si on dispose de peu de temps pour comprendre un peu l’évolution et certains caractères de Manhattan. Depuis Central Park, en marchant normalement, je pense qu’il n’y en a pas pour plus de deux heures trente.

Rendue à hauteur du City Hall, ayant encore un peu d’avance sur ma visite suivante réservée, j’ai tournicoté dans le coin, bien triste à cause de cette lumière blafarde qui l’écrasait.
Un petit tour au Starbucks pour faire la queue comme tout le monde qui ne s’y rend pas pour les boissons caféinées, et me voici prête à me présenter au Woolworth Building pour sa visite intérieure.

Nous étions un groupe de 9 personnes, 10 avec le guide, un étudiant en architecture.
Je pense que le nombre de visiteurs payants admis doit être limité. Aussi, si vous désirez faire cette visite unique dans son genre et que vous êtes nombreux, réservez bien à l’avance pour obtenir l’heure de votre choix.
J’avais sur moi mon bon de réservation, mais une fois que le guide nous eut comptés, il nous a dit qu’il n’était pas nécessaire de le présenter. Le nombre correspondait à sa liste. Prévoyez tout de même de l’imprimer pour le présenter le cas échéant.

La visite commence par une explication de la construction vue de l’extérieur sur le trottoir d’en face ce qui exige une grande attention pour suivre les explications fournies et passionnantes données par ce jeune homme enthousiaste, qui peinait à couvrir le bruit de la circulation ce d’autant que nous étions à un feu et que le démarrage des véhicules vrombissants n’arrangeait rien. Mais c’est ainsi. A 18 h, le trafic est dense, entre bus, autres véhicules et klaxons, tous savent se faire entendre.
Une fois ces explications données sur l’extérieur, soit environ 10 à 15 minutes, nous sommes rentrés dans le lobby avec toute la discrétion nécessaire puisque des employés dans les lieux les quittaient encore, et qu’il n’était pas question de les gêner.
Le lobby est magnifique, en marbre, sculptures en bronze ou boiseries et surtout, ce qui en fait la flamboyance en sus du caractère gothique, ce sont les céramiques qui parent le plafond et les voûtes sans parler d’autres surprises en mezzanine ou à l’entresol.
Ce sont effectivement plusieurs niveaux qui nous sont accessibles mais dans une section bien délimitée. Nous verrons donc : le lobby,la mezzanine, l’entresol avec sa salle des coffres plus bas, dont la double porte restée ouverte est impressionnante, les plafonds à caissons de bois, les gargouilles représentant différents personnages dont l’architecte, le constructeur et certains inventeurs contemporains de l’édification, ainsi que Mr Woolworth dont on peut dire que la mégalomanie se retrouve jusqu’à son tombeau que j’ai pu voir dans le Bronx à Woodlawn Cemetery.

Les photos sont autorisées sans flash.
La visite dure en tout 60 minutes et commence à l’heure, voire un peu avant puisque nous étions tous présents.
Il m’en a coûté 30 $.

De là, j’avais décidé de finir par un diner que je voulais festif en embrassant une partie de Manhattan en hauteur, et en m’offrant un repas complet pour ponctuer ce séjour pour le moins décalé.
Je suis donc allée chez Gaonnuri que j’avais découvert l’an passé.
J’ai pris une soupe pour me réchauffer tant la bise avait eu raison de ma résistance au froid, surtout à la fin de la visite du Woolworth où nous étions en plein courant d’air.
S’en est suivi un poisson, et pour finir un dessert flambé, le tout arrosé de deux verres de Chardonnay.
Ne me demandez pas en quoi consistaient précisément mes plats, ni leur nom, j’en suis bien incapable, mais c’était à tomber! Je n’ai jamais mangé de tofu aussi soyeux ni de poisson si savamment cuisiné dans un bouillon dont les épices et autres légumes lui ont conféré un assemblage de parfums divins.
Je ne suis pas gastronome, mais fin bec, alors, en l’espèce, j’étais arrivée dans mon paradis.
Je m’en suis sortie pour 110 $, ce qui n’est pas rien, j’en conviens, mais je le voulais ainsi, et c’est sans comparaison une expérience réussie au regard du restaurant brésilien qui fut une erreur.

La vue est très belle. On est à côté de l’ESB que l’on peut admirer en hauteur puisque le restaurant se trouve au 39ème étage.
Devant, le panorama qui révèle une partie des lumières de Times square est magique.
Sur le côté, vers l’Hudson, c’est moins intéressant.
J’avais déjà vanté l’intérêt de cette adresse, et je réitère mon conseil, avec la même réserve.
N’y allez pas avec des enfants. Il n’y en avait aucun, et je ne pense pas que ce soit un restaurant pour eux. Ils ne seraient pas refusés, mais l’addition est tout de même à prendre en compte et, surtout, c’est un restaurant qui ne me semble pas se prêter à leur accueil sauf si ce sont des adolescents et qu’ils se comportent comme des adultes.
Ceci n’engage que moi, mais je ne suis pas sûre que si je pouvais interviewer d’autres personnes présentes, elles ne partageraient pas mon avis.
Il me semble que certains d’entre vous y sont allés aussi. Il serait intéressant qu’ils se positionnent pour un juste conseil.

Ceci étant, je me suis aussi bien amusée à suivre en partie un remake de Sex and The City, tel que j’en ai entendu parler puisque je n’ai pas suivi la série ni vu les films.
Quatre quarantenaires en goguette semblaient bien remontées à propos de la gent masculine et y allaient bon train. Elles étaient installées à côté de moi ce qui me fut facile pour les entendre puis écouter , les voyant pouffer de rire de temps en temps, ceci avec une certaine élégance. Il faut ce qu’il faut…

Ma petite fiesta personnelle aboutie, je suis rentrée pour une ultime nuit à l’hôtel, la prochaine se faisant dans un cadre bien moins confortable, à savoir un boeing 777 d’AF.

Aujourd’hui, je vais faire mes valises, les déposer en garde et faire, je ne sais quoi , peut-être un tour dans le NJ, s’il ne fait pas un temps trop ingérable.

Ce ne sera pas le dernier message de ce voyage.
Quelques autres suivront dans un premier temps pour vous proposer quelques réflexions sur la vie à New-York. Ensuite, je reprendrai, journée après journées les commentaires pour leur apporter l’éclairage des photos.
Ceci se fera dans la continuité de ce récit en direct mais ne sera plus en Une.
Il vous suffira de me suivre directement sur le forum de New-York.
Les commentaires sur les photos que vous voudriez faire seront à déposer sur la même section des commentaires, à savoir ICI.

A très bientôt donc, en espérant vous avoir intéressés dans cette proposition d’un New-York différent qui laisse de belles perspectives de découvertes à ceux qui y reviendront.

Oubli à réparer

16 kms

Trader Joe’s : ***

FIT museum : *
Descente de Broadway : ***

Woolwoth Building : ****

Gaonnuri : ****

La crachin qui semblait s’installer dans la durée ne m’a pas incitée à un départ précoce, ce d’autant que je devais conditionner mes bagages.
Devant libérer la chambre vers midi, c’est à cette heure approximative que j’ai laissé en consigne les valises pour partir, sans prendre de risques de m’éloigner d’une station de métro, au cas où la pluie deviendrait handicapante, vers Manhattan.

Premier objectif : Grand Central .
En quittant cette gare, j’ai emprunté l’accès qui permet de se trouver directement dans le Hall du Chrysler qui est tout de même remarquable et toujours impressionnant à faire.
De là, j’ai remonté quelques rues et avenues pour me trouver au Rockefeller Center que j’avais négligé, l’ayant trop vu et fait en tous sens l’année où mon hôtel s’y trouvait.
L’heure du déjeuner étant passée, le temps plus que chagrin l’expliquant aussi, il n’y avait pas trop de monde dans ce secteur.
Tranquillement, je suis remontée à Central Park pour assister à 14 h à la parade des animaux de l’horloge Delacorte qui s’anime en musique toutes les heures.

Quand l’ambiance lumineuse est terne, je trouve que ce parc perd un peu de sa flamboyance.
Là aussi, peu de promeneurs, mais n’étant pas loin du bassin où se trouve Alice au Pays des Merveilles et la statue d’Andersen, j’ai fait une petite pause pour regarder les enfants manœuvrer les voiliers qui se louent sur place et voguent sur ce plan d’eau.
Une activité à proposer à vos enfants si vous en avez le temps.

Il me restait un dernier petit achat à faire.
Times Square et ses magasins répondait parfaitement à cet impératif
Je n’ai pas cherché plus avant et m’y suis rendue sans autre intention
Pour la première fois de mon séjour, je l’ai remonté dans sa totalité
Des travaux importants en condamnent le centre ce qui contraint les piétons à se resserrer sur les trottoirs latéraux
Voilà qui ne peut qu’aggraver la fluidité de circulation un jour où il y a davantage de monde.
Times square avec ses personnages de films ou de dessins animés devient un peu une place de foire
Je ne trouve pas que ce soit un plus, mais ces personnes le font certainement pour d’impérieuses raisons économiques, alors, cela les légitime un peu.
La concurrence semble rude, parce qu’à mon avis, elles sont trop nombreuses.

Mon achat effectué, je suis restée installée quelques minutes dans le secteur pour me confirmer que, décidément, sa magie n’opérait plus du tout sur moi tout en convenant que cela puisse impressionner lorsqu’on s’y rend pour la première fois.

L’humidité devenant transperçante, il valait mieux que je rentre tranquillement à l’hôtel pour y attendre tranquilement l’heure du véhicule que j’avais commandé : 45 $ la course jusqu’à JFK.

Malgré la pluie, et l’heure de pointe, il ne m’a fallu que 45 minutes pour arriver à l’aéroport me permettant un enregistrement bien avant les 3 h conseillées.
Bien m’en a pris puisque l’attente aux contrôles a été très très longue.
Pour la première fois, j’ai passé avec succès, l’épreuve du scanner.
Le temps de passer au Duty Free de prendre un verre et l’annonce pour embarquer était faite.

Le hasard m’a bien servi, mais en l’espèce, il reste tout à fait justifié de se présenter au moins 3 heures avant l’heure du vol à cause des contrôles très draconiens.

Le vol est parti et arrivé à l’heure.
Un vol sans souci pendant lequel, il me semble avoir pu dormir, suffisamment du moins pour émerger en forme avant l’atterrissage.

J’avais quitté NY sous la bruine, je retrouvais Paris à l’identique, voire encore un peu plus humide.
Sur ce plan là, il y a eu une continuité, même au niveau des températures.

Cette fois-ci, c’en est fini du récit quotidien qui a eu pour vocation de vous faire partager ma découverte de New-York.

Un autre post sera consacré à une vision par touches des constats que j’ai pu faire avec mon regard distant de touriste.

Voici une semaine que cette découverte de quartiers de New-York innovants ou abordés autrement a pris fin.
Le retour en mère patrie s’est fait sans heurt ayant enfin récupéré mes heures de lever, sans souffrir d’aucun décalage horaire.
Il a fallu relancer les activités de la meule, et celle-ci s’est mise à tourner très vite avant de faire une petite pause relative, qui va me permettre de finaliser en images ce que les directs ont essayé de mettre en lumière.

Les commentaires associés à ce topic vont rester actifs alors que la “UNE” va disparaitre pour laisser la place à d’autres actualités.
Je vous invite donc à suivre les mises en ligne associées à toutes le journées, avec les renvois aux dossiers photos via ce lien de commentaires (retours et dossiers photos commentés à partir des pages 7 et 8) .

Dans ce cadre, vous aurez l’occasion de participer à de nouveaux échanges qui concerneront le mode de vie des new-yorkais tel que j’ai pu en faire l’observation, avec la distance nécessaire et la subjectivité d’une touriste.

Pour conclure, je dis “au revoir” à New-York, et pas “Adieu”. Je n’en ai pas fini avec elle.
Je reviendrai lui rendre visite dans quelques mois.

Voici le début de la mise en ligne des photos attachées aux dossiers.Me trouvant confrontée à l’enregistrement de plus de 6.000 clichés, il va me falloir un certain temps, pour ne pas dire un temps certain, pour réaliser des dossiers légendés pour une meilleure lecture.

S’il est un secteur de Manhattan qui fut pour moi une révélation, c’est bien Staten Island.Des secteurs que j’ai parcourus, un sort du lot pour les surprises qu’il m’a procurées et le bonheur de m’y déplacer, bien que les routes sans trottoirs n’y soient pas propices. Commencer par les dossiers de cette journée fut une évidence. Les suivants seront déposés selon mes envies sachant, qu’au final, vous accéderez à tous.

Il s’avère que Todt Hill a une particularité que j’ignorais lorsque je m’y suis rendue n’ayant pas fait de recherches documentaires particulières pour ce secteur dont je n’attendais pas grand chose. En s’y trouvant, on est au point culminant de toute la côte Est qui va de Cap Code à la Floride. Les résidents figurent parmi les plus grosses fortunes de New-York. Cela semble évident quand on est sur place mais cela n’a rien d’ostentatoire. 80% de la population est blanche non hispanique. L’absence de trottoirs est une des caractéristiques de ce secteur.

Un article du Times vous en dit plus.

Ces photos vous présentent ce quartier étonnant.

Dans la continuité de Todt Hill, je suis descendue à Richmond pour retrouver la civilisation. Richmond Road est une longue artère très passante avec une desserte de bus. On retrouve des trottoirs qui manquent sérieusement sur la colline, et des habitations aux dimensions plus modestes mais qui gardent un certain charme “provincial”. L’arrivée dans Old Richmond Town se fait au bout de cette route.
Le site n’est ouvert que du mercredi au dimanche de 13h à 17 h. En remontant sur Lighthouse Hill, on accède au musée Jacques Marchais, un musée privé tibétain. On ne peut prendre aucune photo du musée à l’intérieur sauf au niveau du bureau d’accueil, d’où le peu de photos proposées.
Le retour à la civilisation s’est fait pour récupérer le métro à Oakwood Heights en passant par un quartier résidentiel où les trottoirs sont à géométrie variable ! Les jeux de basket ball se font dans la rue. Sans doute les terrains ne permettent-ils pas l’installation des paniers ailleurs, mais c’est très surprenant, surtout quand on sait la rue en pente ! :slight_smile:

Dossier photos accessible ICI.

Après avoir quitté le zoo du Bronx qui sera présenté plus tard, je suis allée dans Little Italy dans le Bronx. Un secteur authentique qu’un article du Nouvel Obs vous présente alors que je vous donne à voir ce petit dossier.

C’est le lieu idéal aux beaux jours pour fréquenter les restaurants de produits de la mer dans cette île rattachée au bout du Bronx par un pont à l’extrémité de Pelham Bay Park. Dans une ambiance de Nouvelle Angleterre, il est très facile de s’y promener, l’artère principale et les rues adjacentes étant bordées de très jolies maisons et donnant accès à des beaux points de vue.

Dossier photos ICI.

Situé au Sud Est du Bronx, ce petit secteur où se trouvent le Maritime College et deux chemins littoraux Sunset Trail et Indian Trail, permet de faire entre les propriétés privées une jolie promenade.

Dossier photos ICI

Fieldston est un des rares secteurs de New-York qui soit entièrement privé et inscrit dans l’histoire de la ville du fait de l’ancienneté des maisons qui s’y sont construites. Niché en hauteur, dans un secteur très boisé, les rues désertes, au moment de ma visite, sont néanmoins sous la surveillance d’une société privée qui était intervenue pour mettre fin à mes prises de photos. Tout ce qui se rapporte à la voirie et aux aménagements des espaces communs est géré par les seuls propriétaires. Fieldston est un des secteurs où se concentrent des familles très aisées. On le dit un des plus riches de New-York. Dans son écrin de verdure vallonné, je le trouve, avec du recul, moins impressionnant que ne l’est le secteur de Todt Hill à Staten Island.

Le dossier de photos rend compte de la description que j’en faisais en direct.Bonne promenade privée en images.! :slight_smile:

Ce cimetière pour son cadre et son histoire mérite une visite. Il est facilement accessible en métro. N’oubliez pas de vous présenter au bureau d’accueil des touristes si vous désirez prendre des photos comme je l’ai expliqué dans le direct.

Voici un dossier de photos qui vous donne à découvrir ce que vous pourriez voir en faisant une agréable promenade.

Claratise, voici ce “fameux” cimetière que je qualifiais de vertical. Indépendamment du fait que depuis ce site on a un aperçu, au loin, sur Manhattan, l’ambiance est très différente de celle du Bronx.

Dossier photos.

Ce n’est que pour m’approcher de deux objectifs de visite que je me suis rendue à Mott Haven dans le Bronx avant de revenir sur East Harlem présenté plus tard. Je voulais voir le travail de Nick Kuzsyk sur le mur de la boulangerie industrielle Zaro’s, sur Bruckner Boulevard. Il a fallu 6 jours à cet artiste qui a déjà laissé la trace de ses robots, à Williamsburg sur un Bagel Store, et sur d’autres immeubles, pour réaliser cette fresque qui illumine le quartier par ses choix de couleurs vives. On est dans un coin un peu désolé industrieux peu attirant. Un peu plus haut, le Bertine Block, vestige classé au patrimoine historique de la ville de maisons bourgeoises de style Queen Ann construites en 1890. Vous pouvez vous rendre sans crainte dans ce secteur en descendant à la station de métro de Brook Avenue.

Dossier photos.

C’est une très jolie déambulation dans un quartier paisible où les maisons de style Tudor lui confèrent un côté vieille Angleterre. J’avais décrit cette déambulation, en direct, comme largement faisable en un temps raisonnable, même en famille. L’ensemble de ce quartier a un charme versaillais pour le calme et le cadre. Il est d’ailleurs considéré comme le Versailles new-yorkais par les résidents.

Pour s’y rendre, rien de plus simple : le métro Forest Hills - 71 st lignes E/F/M/RLe LIRR y passe aussi.C’est la gare du LIRR qui sert d’écrin d’entrée dans le secteur.

En complément de ce dossier, vous pouvez revoir celui réalisé lors d’un autre voyage ICI.

En regardant ce dossier de photos, pensez-vous vraiment être à New-York ? Ce quartier situé sur la rive Nord se trouve entre Bayside et Little Neck. La section qui vous est présentée est celle de Douglas Manor une des plus chère et prisée de Douglaston, et recherchée par ceux qui en ont les moyens. Le caractère vallonné du terrain et ses rives maritimes lui confèrent un air d’ailleurs, bien loin de la City que l’on rejoint facilement grâce au LIRR.

Situés à Flatbush, au sud de Prospect Park, au Nord, et limité par l’Avenue H, au sud, deux secteurs résidentiels se visitent aisément grâce aux bonnes dessertes du métro. Prospect Park South avait déjà été arpenté comme le montre ce dossier.
Une nouvelle promenade en a amélioré la découverte. La voici présentée en deux dossiers :Prospect Park Sud, Ditmas Park.

Flushing est facilement accessible en métro au terminus de la ligne 7. On peut aussi s’y rendre par le LIRR. Ces deux moyens de transport conduisent dans le cœur animé très commerçant de ce quartier où la présence des communautés asiatiques, dont la chinoise est une des plus importantes hors d’Asie, en font un Chinatown vivant, moderne et dynamique. Flushing est un grand centre d’affaires avec un centre commercial : le Flushing Mall. Vous pourrez trouver des restaurants où la cuisine authentique ne saura que vous réjouir pour des tarifs bien inférieurs à ceux pratiqués sur Manhattan. Mais Flushing n’est pas que cela. C’est aussi le quartier où d’autres communautés se trouvent avec des zones résidentielles qui rappellent celles plus au nord. On y trouve de nombreux édifices religieux.
A travers ce dossier de photos, j’ai essayé de montrer cette diversité qui concerne les cultes, les types d’habitats et l’animation des rues commerçantes. Puissiez-vous être un peu surpris comme je l’ai été.

Voici un dossier de photos qui regroupe trois secteurs de visites faites dans la continuité. Le récit fait en direct tentait de traduire mes impressions. Il semble que les photos les traduisent assez bien. Je vous laisse vous y référer.

Situé à l’Est de Brighton Beach, Manhattan Beach suivi de Sheepshead Bay offre une belle occasion de faire une balade à caractère balnéaire. Les demeures, bien que cossues, ne prennent pas le poids écrasant ressenti plus haut à Mill Basin. Dans l’absolu, la taille des maisons individuelles n’est pas plus importante que dans d’autres secteurs de New-York comme Todt Hill mais leur accumulation sans espaces ou terrains les environnant renvoie une sensation de lourdeur écrasante qui m’avait occasionné un mal-être. Ce n’est que sur place, en tenant compte de l’environnement que la sensation est perceptible.
Les photos segmentent les pâtés de maisons ne restituant pas vraiment ce ressenti. Voyez ce qu’il en est de cette promenade entre terre et océan.
Dossier photos.
Comme pour les autres présentations, le diaporama est la meilleure façon de prendre la dimension de l’enchaînement des déplacements.

Après être descendue à Dyckman St pour voir la ferme historique éponyme, fermée ce matin-là, c’est vers les Cloisters que je me suis rendue. Des Cloisters je ne rajouterai aucun commentaire. Allez-y si vous appréciez l’“incongru”! :slight_smile: Le site en lui-même est plaisant, le reste…!!!
Au bord de la Harlem River se trouve un coin charmant : Swindler Cove.Traverser le Highbridge Park revient à faire une jolie montée qui ramène vers la civilisation de Hudson Heights, puis vers Washington Heights où a été photographié ce joli mural de King Bee, un graffeur renommé du Bronx.

Dossier photos

Central Park a régulièrement droit à mes visites lors de mes passages dans la ville. Découvrir des coins innovants n’est plus de mon ressort, les ayant à peu près tous parcourus si je me réfère à un plan très détaillé. Cette fois-ci, venant du Nord Est, je voulais seulement vérifier les propos absurdes d’un pseudo écrivain qui présente Central Park comme un site similaire à celui d’une de nos forêts de la région parisienne. C’est du moins ce qu’il veut nous faire croire pour “pimenter” une intrigue qui en a bien besoin. J’ai donc fait une traversée latérale de Central Park Nord, dans sa partie dite “sauvage” pour finalement la prolonger jusqu’au sud. Je vous le confirme : ce pisse-copie a un souci avec la topologie des lieux.

Dossier de photos.

Greenpoint est un quartier paisible, dans une ambiance un peu provinciale, où la présence de la communauté polonaise est perceptible. Un secteur historique donne à voir d’anciennes maisons en bois.Le street art n’est pas en reste mais en rien envahissant. Depuis le Transmitter Park un très beau panorama s’offre sur Manhattan.

Voici un dossier photos pour se faire une idée.

Crown Heights est un secteur où les identités culturelles s’opposent et se mêlent plus ou moins si l’on considère qu’au Sud de Nostrand Avenue, c’est essentiellement celle des Loubavitchs qui est visible, alors qu’au Nord ce sont des populations antillaises que l’on croise. Les architectures diffèrent. Ma déambulation se centrait sur des secteurs historiques. Dans le secteur juif de Crown Heights, les maisons sont cossues. Elles le sont bien moins quand on remonte vers le Nord. C’est dans ce quartier que se trouve le Musée des enfants de Brooklyn. Passée Atlantic Avenue, on change d’ambiance : on se trouve à la limite Sud de Bedford Stuyvesant, secteur décrié mais qui n’a pas encore, à cette hauteur, les pires ambiances que l’on est en droit d’imaginer. Dans le cadre d’un autre voyage, je m’y étais rendue plus en avant. C’est un quartier très populaire qui ne parait pas très attractif pour un séjour touristique, même si certaines constructions, qui s’inscrivent dans le patrimoine historique de Brooklyn, méritent qu’on s’y arrête. Ce n’est d’ailleurs pas dans ce secteur qu’elles sont les plus significatives. Il faudrait une autre déambulation pour approfondir le sujet.

Un dossier de photos vous présente ces deux secteurs dans l’ordre du tour.

Voici un quartier résidentiel, où se mêlent différentes cultures entre irlandais, scandinaves, italiens, arabes et d’autres, qui offre de belles vues sur la baie de New York au pied du Verrazano - Narrows Bridge. En face, Staten Island qui sera présenté dans le post suivant. Il est très facile de s’y rendre en métro par la ligne R. La plaisir à y retourner fut intact malgré un vent très vif qui s’est bien manifesté au terme de la visite.

Vous pouvez suivre cette découverte dans ce dossier de photos.

Après avoir débarqué à Saint George par le ferry de Staten Island, ce retour, un an plus tard dans ce secteur, a occasionné une visite qui fut un vrai coup de cœur. Les secteurs historiques ne sont qu’un enchaînement de ravissements. C’est à Saint Marks Place que j’ai fait une belle rencontre avec un journaliste, écrivain, éditeur de livres de voyages, avec en prime la visite impromptue de sa vieille maison musée. Toute cette matinée ne fut qu’une suite d’enchantements tout en progressant dans des quartiers bien différents. Le terme de la promenade s’est fait au pied du pont de Verrazano-Narrows Bridge face à Bay Ridge à Brooklyn (Cf. post précédent)

Serez-vous aussi séduits que moi en regardant ce dossier de photos ?

Broadway Junction est un nœud ferroviaire à Brooklyn qui n’a pas de réel intérêt en dehors des conjonctions de lignes de métro. Pour moi, l’attrait se trouvait à l’extérieur, à proximité de la sortie, puisque quelques murs sont consacrés au street art.

Je vous les laisse découvrir dans ce dossier photos.

Voici une approche très pointue du quartier d’Astoria que je présenterai autrement dans un autre dossier. Il s’agit du secteur de Welling Court et de ses proches environs comme le Socrates Sculpture Park non loin du Nogushi Museum. Welling Court est un spot où les artistes de grande renommée renouvellent leurs oeuvres tous les ans dans le cadre d’une manifestation : le Welling Court Mural Project. D’une année sur l’autre les oeuvres change ce qui justifie d’y passer régulièrement.
Voici un aperçu des oeuvres de cette année qui se renouvelleront en juin.
Pour comparaison, celles de l’année précédente. D’autres vues sont possibles en reprenant mes dossiers photos.

Deux quartiers cools de Brooklyn avec des ambiances bobo chic où se trouvent de très belles vieilles demeures en bois coloré.

Une jolie découverte à faire à travers cet album de photos.

Entre ambiances très bourgeoises et zones industrielles, cette section de Brooklyn est assez dépaysante. Red Hook a beaucoup souffert lors du passage de Sandy mais il n’en reste plus de traces. En cet fin d’après-midi, après la sortie des classes, l’ambiance est assez déserte.

Dossier photos.

La station de métro de E.180 th St est absolument unique et mérite d’être découverte.Entièrement rénovée elle se trouve dans un secteur peu enchanteur mais apporte une flamboyance de villa florentine assez insolite. Plus bas, le secteur de West Farms- E.Tremont , plus populaire et bruyant est un carrefour d’activités où les garages semblent être une des principales activités économiques. Vous ne verrez pas les plus sinistres, étant occupés par les employés : je n’ai pas souhaité les photographier. La cour grillagée, qui apparait avant Boone Avenue, est celle où j’ai été sollicitée par des fillettes qui quêtaient de quoi manger (Cf. le direct).
Boone Avenue est un secteur de street art éphémère puisqu’une partie va être démolie cet été. L’artiste peintre présente fixe sur la toile ce qui ne sera qu’un souvenir. Concrete Plant Park est un havre de paix fort appréciable au bord de la Bronx River.

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Facilement accessible en prenant la ligne 7 et descendant à 74 St - Broadway, Jackson Heights, dans cette partie, vous fait entrer dans une Little India fort sympathique. La dernière fois, j’avais découvert l’autre partie de ce quartier où les péruviens et colombiens sont très présents. Deux mondes aux cultures très différentes séparés par une station de métro.

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Le 22 avril, dans le cadre d’une journée portes ouvertes, le célèbre pavillon des E.U accueillait, sur un créneau de 3 heures, des milliers de visiteurs. Il m’a fallu attendre plus de 3 h pour obtenir mon sésame, à savoir un rutilant casque jaune. Je vous propose de m’accompagner dans cette visite où j’ai passé plus de temps à l’extérieur qu’à l’intérieur. Progressant très lentement, puisque seule une dizaine de personnes était admise en même temps, j’ai pris de multiples photos du lieu. Ne pensez pas qu’elles sont redondantes dans la mesure où ma position changeait à chaque fois l’angle de vue. J’ai hésité à toutes les mettre dans le dossier et ai finalement pensé que, chacune ayant son charme, vous pourrez faire votre choix. Les ambiances lumineuses évoluent aussi. Pour ceux qui ne situent pas les lieux, n’oubliez pas qu’il fut le site du tournage d’un des épisodes de Men in Black. Allez savoir si dans la foule certains extra terrestres n’y étaient pas ! :slight_smile:

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Cette autre promenade dans Astoria, qui complète celles que j’avais déjà réalisées, donne à voir la double identité grecque et arabe avec ses commerces bien spécifiés et ses lieux de culte reconnaissables. Les fresques murales ne sont pas en reste situées bien souvent sous les ponts.

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East Harlem a une identité propre. On le nomme aussi Spanish Harlem ou El Barrio. C’est un secteur qui est marqué par une certaine paupérisation. On ne peut pas dire que s’y promener soit toujours agréable. Ma quête en street art et murals me pousse toujours à avancer dans des secteurs peu engageants. Dans la journée, cela apparaît comme assez calme et populaire. L’intersection de la 125th St et de Lexington est un concentré de personnages en dérive où la drogue circule bien et se sent beaucoup ! Comme en atteste un cliché que j’ai volontairement laissé, parce qu’il pointe une réalité, on peut tomber sous les balles dans le coin. Le jeune avait disparu la veille. Dans cette partie de Harlem certaines architectures sont remarquables. C’est aussi le fief de James de la Vega un artiste qui a fait le pari de redonner des couleurs et de la joie autour de Lexington. Tout ce qu’il a fait n’apparait pas ici dans la mesure où j’avais déjà consigné lors d’autres promenades, ses œuvres. Vous pourrez les découvrir dans mes dossiers sur East Harlem.
Voici un florilège de East Harlem à travers les arts de rue.
Vous pourrez aussi voir l’essentiel d’une exposition au musée de la ville : City as Canvas, où les origines du street art sont mises en avant à travers une collection privée.

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Une promenade au fil de l’eau longue d’environ 10 kms, soit un peu plus de 3 h 30, pendant laquelle vous pourrez découvrir cette section de Manhattan autrement. Cette découverte n’en était pas une pour moi qui avais déjà fractionné les déambulations le long de l’Hudson, mais c’était la première fois que je la faisais dans sa continuité. Ayant déjà beaucoup photographié les sites, je n’ai fait que jalonner le parcours par des clichés “remarquables”. Ainsi, le Nelson Rockefeller Park, pour exemple, a été photographié dans toute sa dimension avec l’intégralité des oeuvres de Tom Otterness (mon sculpteur chouchou) dans d’autres dossiers. Là, ce n’est qu’un aperçu. Tous les autres sites sont à redécouvrir de la même façon si vous le souhaitez.

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Une visite rapide du Van Cortland Park ICI

La visite du Woolworth a été décrite dans le direct. Voici le lien pour la réaliser sur réservations.

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Une jolie promenade dans l’Upper Manhattan le long de l’Hudson River.

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Voici la fameuse église où j’ai été menacée des enfers et le secteur où d’aimables policiers m’ont conseillé de partir pour garantir ma sécurité.

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Par une très fraîche matinée sachant qu’il avait neigé dans la nuit, j’ai arpenté une petite partie de l’Upper East Side dans le but final de visiter Gracie Mansion, la résidence officielle du maire qui se visite. Actuellement les visites sont suspendue pour permettre l’installation de Bill de Blasio et de sa famille. Il n’est pas possible de prendre des clichés à l’intérieur mais j’ai décrit la visite dans le direct. Voici un aperçu de son intérieur sur le site officiel.

Photos ICI.

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