Très déçu par les sites de Balos et Phalassarna. Le premier est évidemment livré aux hordes de touristes (dont je fais partie) mais ça nous étions prévenus. La baie à malheureusement subit une pollution aux galettes de pétrole et une énorme structure plastique de ferme aquacole y a échoué. Le second site est dénaturé par de gigantesques parkings, des plages couvertes de transats et parasols, sans parler des serres plastiques qui ont envahies le paysage. Pour ces deux sites le routard devrait réviser sa notation de (3 routards).
Eh oui, tout fout le camp
Merci à vous jarrive, votre message illustre parfaitement les dérives d’un tourisme jusqu’ici plus ou moins contrôlé (plutôt moins que plus), et ce récemment (début 2020).
Hélas M.Covid est passé par là, et naîvement, j’ai cru que nous allions repartir sur des bases plus raisonnables.
Hélas, que de désillusions, urbi et orbi !
Le terme de tourisme, qu’il soit ceci ou celà, est dépassé, nous pourrons le qualifier désormais de transhumance, terme qui fait écho, et cette fois-ci d’une manière autrement plus dramatique aux damnés de la terre fuyant l’enfer devenu réalité.
Pour autant, même “si tout fout le camp”, ce qui est absolument vrai, la Crète (et ceux qui l’aiment) n’a (n’ont) pas dit son (leur) dernier mot !
Malheureusement pour certaines choses, ce n’est pas nouveau. Pour le pétrole lors de mon deuxième passage en avril 2006 j’en avais eu plein les pieds (à Phalassarna) et les serres étaient déjà là (voir photos sur mon site). Par contre en avril évidemment pas de transats. Sur cette plage le pire c’est le dimanche, quand les grecs débarquent en foule sur les gazebos pour boire toute la journée.
Moralité, y aller en avril, mais la température de l’eau …
Et encore… si tu avais vu la plage il y a 35 ans (de mémoire) , c’était effrayant, noir de pétrole, et l’odeur insupportable. Depuis le site a été nettoyé , même s’il reste toujours des galettes.
Mais je partage totalement l’avis de jarrive. Et les autres aussi !