Partir vivre en communautée sur une île deserte

Forum Tour du monde

Salut etenor.Déjà je précise que je suis à 1000% d’accord avec toi sur tout ce que tu as dis.
Après est-ce que tu peux rejoindre le forum privé que quelquesmots à créé, niveau organisation c’est plus pratique et comme ça on pourra essayer de trouver un endroit où s’installer, ainsi que les détails ensemble. :wink:

PS: Forum privé ==> http://communaute.forumsgratuits.fr/c1-accueil

bonjour, oui je me suis inscrit sur le forum communauté, j’ai pas eu encore de messages , et je doit y aller pour voir un peu comment ça marche ce forum

Coucou à tous, ça fait un moment.

Bon je repasse, je vois que l’utopie tiens toujours pour certain. Moi je suis sur le point de lâcher car je n’ai aucun moyen de bouger, et entre autre, j’ai la flemme d’aller bosser, surtout que je suis sans diplômes, donc j’imagine les boulots que je pourrais me taper. Ensuite pour les formations ce ne sera pas nécessaire (trop de perte de temps). Je n’essaie plus de me faire autodidacte, mais j’y pense encore, donc je n’ai pas encore lâché concrètement. Ce qui est sur c’est que l’on ne pourra jamais faire ce genre de choses en France, car c’est interdit, et la prison, pour des amoureux de la nature, c’est loin d’être des vacances appropriés. Donc j’y pense encore, peut être que je ferais quelques recherches par-ci par-là, mais bon pour “les moyens de partir” en tout cas, je perd espoir, c’est plus fort que moi, je suis habitué à glander chez ma mère. Cela dit si des gens on encore le courage d’agir, je les encourages toujours. C’est une voie, et une bonne, si l’on sait se passer du moindre morceau de technologie, “l’énergie solaire comprise”. Il faut rester réaliste, si l’on vit dans la nature, sachez que c’est pour s’y accommoder et la respecter. Alors gardez toujours en tête, que le moindre bout de plastique, pourra être nocif pour la nature. Si vous partez avec le moindre matériel, assurez vous que rien ne puisse nuire à l’environnement. Je ne suis assez écolo sur les bords, mais bon je ne rejoindrais jamais les écologiste, pas plus que je rejoindrais le parti des droitistes ou gauchistes, car aucun n’as suffisamment de cran pour régler tout les problèmes de la société française. Ils ne font que régler certain problème à minimum, tout en entretenant de la merde d’un autre côté. Donc la politique, c’est pas vraiment pour moi, la nature n’est peut-être pas plus sur, mais en tout cas elle est pure, et pourra d’ici quelques années, nous rendre aussi fort que les hommes de la préhistoire, ou encore, comme les rares tribus existantes encore à notre époque. La bonne voie c’est la nature. La société c’est rien qu’un cercle vicieux inventé par des humain un peu trop avare et matérialiste, qui sont incapable de se soucier de la misère du monde. N’attendez pas non plus, qu’il vous respecte sous prétexte que vous aurez entretenu la nature de la Terre, mais préparez plutôt à vous battre aussi bien verbalement que physiquement. Car nous savons tous, quels étaient le but des collons en Amérique, ou encore le but des Brésiliens face aux peuple des indiens d’Amazonie. Ne suivez jamais la loi. Si vous suivez votre propre voix pour créer votre propre monde, faites en sorte pour l’entretenir, tout comme les indiens d’Amazonie qui eux, se battent encore pour préserver leur terres. Si vous collaborez ne serait-ce qu’une seconde avec les état du monde moderne, votre monde à vous qui vous est propre, sera détruit tôt ou tard. Parfois, mieux vaux être un coincé du cul, qu’un trou de balle enflé.

Peace and love. Je reviendrais plus tard si j’en ai l’occasion.
Je suis à 100% avec vous.

Salut Synthé.

Ecoute c’est pas parce que ta pas les moyens de partir maintenant qu’il faut baisser les bras. Je suis dans le même cas que toi, j’ai pas de tune ni rien, et alors? Tous ce qu’il faut c’est ce préparer convenablement et après on verra. D’ailleurs certains veulent acheter une île, sachant que ça coûte environ 300 000€, te payer le voyage ne se verra pas. Moi je te conseil de pas baisser les bras à cause de l’argent, après tout, ce n’est pas ça qui t’empêche d’avancer dans la vie.

Non ne t’inquiète pas trop. De toutes façon j’ai trouver la réel raison de vivre. C’est la nature. Mais tu crois pas qu’acheter une île c’est se faire arnaquer par l’état une fois de plus ?

Coucou , j’ai eu loccasion de lire tes anciens messages il y a quelques temps et je suis triste de voir que tu te démoralise , rien n’est impossible , nous manquons juste d’informations , l’argent c’est juste du vent.

Comme tu as pu le voir nous avons un forum pour linstant sa bouge pas des masses parcequ’on est un peu dans le flou … Ou s’installer ? Que faut-il prévoir ?
D’autres points sont encore voir.

En bref prenons le temps d’en parler et ne nous démoralisons pas bisou.

Vous êtes certain que ce site à une grande utilité, moi en tout cas je suis sur que oui, seulement je remarque qu’il n’y a pas un grand nombre de participant. On ne risque pas d’aller bien loin.

J’ai aussi posté quelque message sur le site de la communauté. vous me direz quoi si vous y passez.

salut a tous,jaimerai aussi tenter l’expérience
ca fait des années que je reve de partir vivre dans la nature,a la decourte,survivre,réflechir,vraiment se servir de notre corps humain comme il se doit.
le monde d’aujourdhui ne me convient plus du tout,et partir sur une ile deserte avec des personnes similaire a mon cas serait génial.
a bientot

Salut alkaid.Si tu est vraiment près à partir, alors tu peux nous aider en rejoignant le forum.
==> http://communaute.forumsgratuits.fr/c1-accueil

Bonjour tout le monde,

J’ai lu avec attention certains passage du post ainsi que celui pour la création d’une communauté en Amazonie. J’y ai vécu 9 mois (Equateur) c’est vraiment une très belle région.
Je passe juste pour donner des informations aux personnes afin de les aiguiller du peu que je peux leurs apporter.

Il ne faut pas avoir peur : cette pensée ne vous mène qu’a rester sur place, c’est le premier pas qui est difficile, lancez-vous, faites-vous confiance et ayez confiance en la vie. Vous trouverez ce dont vous avez besoin sur la route.

Je voyage sans argent (c’était surtout pour ça que j’écrivais, certains se plaignant de ne pas avoir de budget)
Il existe le bateau stop (eh oui), plus écologique et moins coûteux (voir gratuit) pour voyager, il suffit de se pointer sur les ports et d’aller à la chasse au infos. (j’enverrais des infos en pdf) Il y a CouchSurfing (entre autre) pour trouver un logement arrivais sur place. Des recherches google vous donneront des infos.

Il faut savoir qu’un tel voyage va vous changer, soit il va vous placer sur la route du développement personnel (spiritualité, paix intérieur, …), soit vous abandonnerez l’idée. Quoi qu’il en soit l’expérience vous apportera beaucoup et ça une fois acquis on ne peut plus vous l’enlever.

J’ai récupérer les adresses emails des personnes qui voudraient des informations pour mener a bien ce projet. J’enverrais un email collectif quand je serais en voyage à moins que j’ai le temps avant. Je repars début pour le Qc, puis descendrais l’Amérique Centrale en Août, arriverais en Colombie en décembre pour faire la Ruta Inca, ensuite je me consacrerais au projet).

Je n’ai pas beaucoup de temps (préparatifs, …) mais si vous avez des questions j’essayerais de passer pour y répondre.

Bien à vous.
Réalisez vos rêves c’est ça qui vous fait sentir vivant !
Pierre-Emmanuel.

Il y a environ une cinquantaine de personne qui viennent voir les messages sur le forum, et sur cette cinquantaine, seulement 3-4 personnes sont venu poster ???
Il y a comme un bug là.

Peux-etre que certains se maintiennent informer mais n’ont pas forcement quelques chose a dire et que sa mijote dans leur tete pour le moment :smiley:

Et aussi parfois il y a 40 visites mais c’est peux etre 40 fois la meme personne qui rafraichie la page ^^ voila :stuck_out_tongue:

Salut pebayart.Moi je suis hyper intéressé pour les infos que tu pourrais nous apporter. Je te donne mon adresse : redwolf4@hotmail.fr

A bientôt j’espère.

salut, voilà de bonnes informations et c’est rare, oui voyager c’est très cher, je vais en thailande cet été pour reconnaissance des endroits tranquille, iles inhabitées de jungle profonde , ou en indonesie 11.000 iles inhabitées, je suis preneur de tes informations pour le bateau stop, il faut combien de temps pour faire un tel voyage, bon courage pour tes projets c’est génial.mon adresse email.
etenor@aol.com
merci

a nous la liberté,organisons nous,et partons sur une ile recommencer une nouvelle vie

L’île, franchement, ce n’est pas mon idée, et encore moins mon avis. Trop dangereux. J’ai déjà expliquer pourquoi sur le forum.

Oui je suis d’accord avec synthé, les îles c’est pas la meilleur solution.

Vous avez déjà tenter de passer une nuit dans un abri de fortune ? Moi j’ai essayer (3 fois), je me suis couché à minuit, et de minuit jusqu’à 5 heure du matin, je n’ai pas dormi, et le seul moment ou j’ai décider de me relever (j’étais très faible à ce moment), c’était pour m’empresser de rentrer chez moi, et j’avais archi froid, je tremblait en marchant en pleine nuit à me taper Un peu plus d’une heure de route pour me retrouver au chaud chez moi (ce qui m’étonne beaucoup c’est que je n’ai même pas attraper une quelconque maladie, ni de diarrhée). Sur une île, je sais c’est beau et ça à l’air discret et retirer, mais justement, si vous y allez et que vous souffrez dès la première nuit, il sera trop tard pour faire demi-tour et vous risquerez d’en crever. C’est pour ça que j’essaye de prévenir avant de devoir guérir. Moi je n’arrive toujours pas à dormir dehors dans le froid, et il y a même des moments ou je disait la nuit dehors: Est-ce que si je dors, je vais mourir ?
J’essayais de résister au froid avec le mental le plus costaud possible, mais c’est insupportable, et à l’heure d’aujourd’hui, je n’y ai rien gagné. Mais bon justement, à l’heure d’aujourd’hui je ne lâche pas pour autant ce genre d’expérience, car je me rend bien compte que je n’ai fait que 3 tentatives. Je me rend bien compte que je suis loin de battre l’expérience de survie d’une recrue de l’armée (donc je me dit que pour le moment je ne devrais pas trop me plaindre).
Et puis même, sur une île, vous êtes en plein milieu de la mer ou de l’océan, l’eau est relativement froide par période, surtout la nuit, l’air est froid, les rares forêts s’y trouvant peuvent être humides, et le sable est froid. Non franchement l’île c’est trop dangereux. Je préfère allez en Amazonie ou je pourrais avec un peu de chance, me faire aider par des indigènes ou des fermiers, plutôt que de rester livrer à moi même sur un lieu qui est démuni de civilisation. J’imagine aussi que dans notre petite communauté, nous n’avons, ni secouristes, ni médecins, ni botaniste, ni chasseurs, ni maçons ?..
Moins on a de savoir faire, plus il faut se faire prudent. Alors n’allons pas nous mettre en danger comme ça. Trouvons mieux, et mon avis la dessus, c’est l’Amazonie, ou l’Indonésie (chez les “hommes-fleurs” dans le sumatra), mais le problème au niveau de l’Indonésie, c’est qu’il me semble que les écolo surveillent constamment l’endroit ou ils se trouvent. Après sinon il y a le Pérou… Aidez moi aussi, je ne dois certainement pas être le seul à chercher. Renseignez vous aussi de votre côté, j’insiste. J’ai déjà des idées, si vous êtes contre, tentez de trouver mieux. J’espère que je serais en mesure d’accepter les vôtres. Mais par pitié, pas une île ! Du moins tant qu’elle ne sera pas habité par des indigènes. Oui j’ai bien dit “indigènes”, car je ne partirais certainement pas sur une île, habité par des pollueurs mener par des chefs d’état avares.

Synthétiseur dit des choses très justes car elles sont basées sur son vécu. D’ailleurs je corrige un mot qui est mal employé par lui (et beaucoup d’autres) c’est matérialiste c’est justement le contraire. C’est l’idéologie qui est l’énemie, car le retour au réel, à la nature, à “l’analyse concrête d’une situation concrète” est bien le matérialisme. Ainsi dit-il cette évidence que j’ai proféré tout le long de ce forum (ce qui m’a vallu quelques engueulades, mais “être attaqué est une bonne et non une mauvaise chose”) : une île inhabitée est difficilement habitable ou bien alors ça nécessite de gros moyens financiers. Accordez-moi le crédit de savoir de quoi je parle car je suis un navigateur au long cours doublé d’un écologiste (un vrai, un scientifique).

Le projet de vivre en Amazonie est plus réaliste à ceci près que

  1. Ca se passe essentiellement (il y aussi l’Amazonie péruvienne) au Brésil et il

est pratiquement impossible d’y être résident (il faut pourtant passer par cette case administrative indispensable)

  1. Le milieu amazonien est très dur, c’est le lieu du paludisme zone 3, de la fièvre jaune et autre saloperies. Et n’allez pas croire que c’est un lieu où agriculture et élevage sont faciles, c’est tout à fait le contraire. Certes on peut se faire aider par des indiens sympathiques qui verraient favorablement des gens comme nous venus vivre avec eux (lire Jéromine Pasteur “Chavetta” qui vécu un bon bout de temps avec les Ashanincas du Pérou) mais ça n’en resterait pas moins difficile.

Aussi je reste étonné que mon projet aisément réalisable (puisque je l’ai fait) de s’installer au Paraguay n’ai relevé aucun écho. Tout au moins dans la jeunitude de ce forum (ceux qui se sont sentis concernés ont 40 ans minimum). Pourtant je pouvais les aider à vaincre leur légitime appréhension du saut dans l’inconnu, les héberger, au moins provisoirement, discuter avec eux des choses possibles à faire, viables économiquement. Mais nenni ! Sont-ils dans l’idéologie du jeunisme actuel de la “séparation achevée” (de Guy Debord) pour qui fréquenter quelqu’un qui a plus de 5 ans de différence d’âge est insupportable pour leur idéologie téléchargée. Zate ize ze couéchionne.

J’aurais fait fausse route ?

Dans ce cas, ou faut-il aller pour s’installer sans administration ?
C’est obligatoire que tout soit contrôler sur cette planète ?
L’Amazonie serait un lieu bourré de saloperies ?

Voilà les petites questions à se poser. Ca devient flippant ma fois.

Il faut un endroit sur ou l’on sera pas emmerder facilement.
On ne quitte pas un monde ou l’on a constamment affaire à l’administration, pour retomber dedans dans un lieu qui soit-disant “nous mènerait la vie dure”.

Je crois que je vais essayer de me renseigner sur le Paraguay. C’est peut-être possible, mais bon…
Je ne connais pas du tout cet endroit. Peut être que mon voisin du dessus pourra nous en dire plus.

Ca ne donne pas envie de l’attraper n’est-ce pas ?

Réfléchissez bien.

Concernant l’administration y vraiment pas de quoi s’en faire j’ai vécu un an et demi (alors que légalement javais le droit a 6 mois) en Colombie et 9 mois en Amazonie équatorienne. Sur mon passeport l’Equateur n’y apparaît pas, j’y suis passé en douce par le fleuve qui sert de frontière en demandant a des gens sur les plages pour me faire passer en pirogue (après sans doute qu’après un certain age, ou une certaine mentalité d’esprit on se sent plus pris au piège des formalités et on ne tente plus l’aventure). En Equateur je vivais a Misahualli, une des portes touristiques pour entrer en Amazonie. On (la police douanière qui est peu présente dans ce genre de petit village) m’a bien demandé deux ou trois fois mon passeport et j’ai simplement dis que je l’avais laissé a Quito (la Capitale) pour éviter le vol, bien sur dans les faits j’avais mon passeport sur moi mais je n’ai pas eu de problème. Il ne faut pas oublier que ce n’est pas avec des lois, des règlements que nous vivons mais avec des être humains, donc le rapport dépends beaucoup de comment vous allez vivre l’expérience, bref ça dépend de vous!
Ensuite vu que le projet c’est de créer une communauté dans la jungle, à l’écart de la civilisation (plus ou moins, pi ça dépend ce qu’on appelle civilisation, il y a des marchés et des petites boutiques dans les petits villages), on ne sera pas beaucoup embêté par les autorités, surtout si on vit à la manière indigène, discrètement, avec le respect de la nature et des tribus qui seront éventuellement aux alentours.
Niveau santé, au cours de mes voyages, il y a juste la première fois où j’ai était à Madagascar que j’ai pris des médicaments pour le palu, ensuite ça m’a saoulé puis j’ai arrêté, depuis je ne prends plus de médicaments; en Colombie et en Equateur je n’ai jamais pris de médocs pour non plus. Bien sur ça dépend de la physionomie de chacun. (Et depuis l’avènement de la médecine nouvelle germanique et/ou de la biologie totale, on est en mesure d’avoir un bien meilleur contrôle sur son état de santé, mais ça c’est une autre histoire). J’ai pourtant dormis a l’arrache dans la brousse avec un poncho de pluie replier moitié dessus, moitié dessous et avoir mis plusieurs couches de vêtements, je me suis juste réveillé avec pas mal d’insectes un peu partout dans mon sac, je n’ai jamais était malade. En Equateur j’ai était traducteur et assistant-guide pour l’agence de voyage Teorumi (de Misahualli) et est donc participer a plusieurs séjour dans l’Amazonie, il n’y a pas eu de soucis particulier. De plus je n’est pas d’assurance maladie ni voyage, et tout le tralala.
Pour ce qui est de l’agriculture, les bords du fleuve Napo qui rejoint l’Amazone sont fertiles pour le Manioc, qui est un des aliments, voir l’aliments de base des populations autochtones, il est très nutritifs, sert aussi a faire la chicha une boisson fermenté assez prisé dans ce coin. Il pousse aussi des bananiers, des ananas, (ces trois végétaux se plantent par bouture donc très facilement) il y a aussi du cacao (pour ceux qui pensaient dire adieu au chocolat c’est râpé, en plus il est de bien meilleur qualité nutritive que les cochonneries au gout de noisette qui sont vendus dans les magasins). Ensuite dans la jungle primaire, il y a abondance de fourmis (très bon et nutritif), de larve de coco, de coeur de palme, de champignon. Il faut prendre un temps pour apprendre a reconnaître les bonnes variétés, des bouquins référence se trouve facilement. L’agriculture se fait d’une manière totalement différente de notre manière occidentale.
J’ai eu la chance de participer à une semaine de chasse avec des indigènes, on a donc construit des abris (on changer d’endroit tous les jours), j’ai mangé du singe en masse, de la biche, du sanglier, du perroquet (oups), et évidemment du poisson. Il est facile d’apprendre a faire des pièges qui ne nécessitent que du bois et de la ficelle.
D’ailleurs en France certaine association propose des stages de survie, pour les amateurs.
@ Antlia : Je pense que ton projet n’est pas très en phase avec celui dont on parle ici; On cherche a créer une communauté qui soit en accord avec nos principes, proche de la nature, en restant le plus possible en marge du système économique, une sorte d’autarcie; on ne cherche pas à être viable économiquement, mais simplement viable. Ce qui n’est pas possible en France.
Pour la création de la communauté, je pense qu’il faut s’attacher a s’assurer a répondre aux besoins fondamentaux (voir les 14 besoins fondamentaux de Virginie Henderson
http://fr.wikipedia.org/wiki/Quatorze_besoins_fondamentaux_selon_Virginia_Henderson
)
Parmi ceux-ci il y en a des psychologiques et/ou personnels. J’ai gardé ceux-ci sur lesquels on peut travailler en groupe.

  • Se nourrir : boire et manger.
  • Éliminer les déchets : compost et toilette sèche.
  • Dormir et se reposer : abris, cabane, hamac …
  • Se vêtir : penser au chanvre ou aux plantes a fibres qui poussent sur place, il est possible de fabriquer une machine a laver en bois avec un vélo bidouillé ou simplement laver son linge dans la rivière comme je faisais en Equateur (ça fait les bras ^^) ou avec des cendres.
  • Eviter les dangers : définir une zone de sécurité au alentour du camp.
    Si vous pensez a d’autres besoins sur lesquels nous pouvons réfléchir pour la préparation, merci de les partager.
    Pierre-Emmanuel

Concernant l’administration y vraiment pas de quoi s’en faire j’ai vécu un an et demi (alors que légalement javais le droit a 6 mois) en Colombie et 9 mois en Amazonie équatorienne. Sur mon passeport l’Equateur n’y apparaît pas, j’y suis passé en douce par le fleuve qui sert de frontière en demandant a des gens sur les plages pour me faire passer en pirogue (après sans doute qu’après un certain age, ou une certaine mentalité d’esprit on se sent plus pris au piège des formalités et on ne tente plus l’aventure). En Equateur je vivais a Misahualli, une des portes touristiques pour entrer en Amazonie. On (la police douanière qui est peu présente dans ce genre de petit village) m’a bien demandé deux ou trois fois mon passeport et j’ai simplement dis que je l’avais laissé a Quito (la Capitale) pour éviter le vol, bien sur dans les faits j’avais mon passeport sur moi mais je n’ai pas eu de problème. Il ne faut pas oublier que ce n’est pas avec des lois, des règlements que nous vivons mais avec des être humains, donc le rapport dépends beaucoup de comment vous allez vivre l’expérience, bref ça dépend de vous!

Ensuite vu que le projet c’est de créer une communauté dans la jungle, à l’écart de la civilisation (plus ou moins, pi ça dépend ce qu’on appelle civilisation, il y a des marchés et des petites boutiques dans les petits villages), on ne sera pas beaucoup embêté par les autorités, surtout si on vit à la manière indigène, discrètement, avec le respect de la nature et des tribus qui seront éventuellement aux alentours.
Niveau santé, au cours de mes voyages, il y a juste la première fois où j’ai était à Madagascar que j’ai pris des médicaments pour le palu, ensuite ça m’a saoulé puis j’ai arrêté, depuis je ne prends plus de médicaments; en Colombie et en Equateur je n’ai jamais pris de médocs pour non plus. Bien sur ça dépend de la physionomie de chacun. (Et depuis l’avènement de la médecine nouvelle germanique et/ou de la biologie totale, on est en mesure d’avoir un bien meilleur contrôle sur son état de santé, mais ça c’est une autre histoire). J’ai pourtant dormis a l’arrache dans la brousse avec un poncho de pluie replier moitié dessus, moitié dessous et avoir mis plusieurs couches de vêtements, je me suis juste réveillé avec pas mal d’insectes un peu partout dans mon sac, je n’ai jamais était malade. En Equateur j’ai était traducteur et assistant-guide pour l’agence de voyage Teorumi (de Misahualli, très sympathique) et est donc participer a plusieurs séjour dans l’Amazonie, il n’y a pas eu de soucis particulier. De plus je n’est pas d’assurance maladie ni voyage, et tout le tralala.
Pour ce qui est de l’agriculture, les bords du fleuve Napo qui rejoint l’Amazone sont fertiles pour le Manioc, qui est un des aliments, voir l’aliments de base des populations autochtones, il est très nutritifs, sert aussi a faire la chicha une boisson fermenté assez prisé dans ce coin. Il pousse aussi des bananiers, des ananas, (ces trois végétaux se plantent par bouture donc très facilement) il y a aussi du cacao (pour ceux qui pensaient dire adieu au chocolat c’est râpé, en plus il est de bien meilleur qualité nutritive que les cochonneries au gout de noisette qui sont vendus dans les magasins). Ensuite dans la jungle primaire, il y a abondance de fourmis (très bon et nutritif), de larve de coco, de coeur de palme, de champignon. Il faut prendre un temps pour apprendre a reconnaître les bonnes variétés, des bouquins référence se trouve facilement. L’agriculture se fait d’une manière totalement différente de notre manière occidentale.
J’ai eu la chance de participer à une semaine de chasse avec des indigènes, on a donc construit des abris (on changer d’endroit tous les jours), j’ai mangé du singe en masse, de la biche, du sanglier, du perroquet (oups), et évidemment du poisson. Il est facile d’apprendre a faire des pièges qui ne nécessitent que du bois et de la ficelle.
D’ailleurs en France certaine association propose des stages de survie, pour les amateurs.
@ Antlia : Je pense que ton projet n’est pas très en phase avec celui dont on parle ici; On cherche a créer une communauté qui soit en accord avec nos principes, proche de la nature, en restant le plus possible en marge du système économique, une sorte d’autarcie; on ne cherche pas à être viable économiquement, mais simplement viable. Ce qui n’est pas possible en France.
Pour la création de la communauté, je pense qu’il faut s’attacher a s’assurer a répondre aux besoins fondamentaux (voir les 14 besoins fondamentaux de Virginie Henderson
http://fr.wikipedia.org/wiki/Quatorze_besoins_fondamentaux_selon_Virginia_Henderson
)
Parmi ceux-ci il y en a des psychologiques et/ou personnels. J’ai gardé ceux-ci sur lesquels on peut travailler en groupe.

  • Se nourrir : boire et manger.
  • Éliminer les déchets : compost et toilette sèche.
  • Dormir et se reposer : abris, cabane, hamac …
  • Se vêtir : penser au chanvre ou aux plantes a fibres qui poussent sur place, il est possible de fabriquer une machine a laver en bois avec un vélo bidouillé ou simplement laver son linge dans la rivière comme je faisais en Equateur (ça fait les bras ^^) ou avec des cendres.
  • Eviter les dangers : définir une zone de sécurité au alentour du camp.
    Si vous pensez a d’autres besoins sur lesquels nous pouvons réfléchir pour la préparation, merci de les partager.
    Pierre-Emmanuel

Désolé pour le double post j’ai voulu l’éditer pour remettre la mise en page qui a sautée mais … pas possible apparemment et on ne peut pas les supprimer non plus.

Je te remercie. Je sais que l’on est encore loin de tout savoir, mais au moins ça aidera quelque peut, et entre autre, ça nous aidera un peu plus à prendre notre décision sur le lieu ou opérer.

Bon après je ne sais pas vraiment dans quel but les gens font ça, mais moi j’ai mon but et ça me suffit amplement. J’espère seulement que je ne serais pas seul dans cette optique. Car en général, il n’y en a pas 2 comme moi.

Espérons que la communauté agira un jour…

Dans ce que j’ai lu plus haut, il y a de quoi faire la grimace, tout au moins sur certains points, d’autres étant parfaitement sensés. Et si je (ou d’autres) fais peur aux jeunes français séniles et casaniers, tout au moins dans leurs têtes sinon dans les artères, je ne pense pas qu’on suscittera des vocations de vie alternative en les incitant à becqueter des fourmis (mais c’est plein d’acide !) ou des larves dodues. Ce genre d’activité se pratique dans les “opérations survies” de commandos qui sont des gens déjà au top niveau physique mais…qui ne le sont plus trop au bout de trois mois de ce type d’existence.

Il y a quand même une marge entre tout acheter au supermarché et pratiquer ce type de survie.

Autre point : être clandestin et vivre dans l’illégalité : ne rêvez pas mes biquets ! Il n’y a qu’en France où être un immigré illégal vous donne un statut et même des rentes. Partout ailleurs c’est très mal vu (= amendes, prison). Les flics brésiliens ne sont pas méchants, mais faire le con avec les dates de séjour produit des ennuis salés, si c’est un simple dépassement de temps, a fortiori si c’est un acte délibéré d’être clandestin. Allez voir dans le forum Brésil pour ce genre de problème qu’ont rencontré des touristes hors temps de séjour. Et ce n’est pas parce que vous avez rencontré une fois des flics flemmards ne faisant pas leur boulot que tous sont comme ça.

Et puis une cambrousse, fut-elle amazonienne, est le dernier endroit pour se cacher car tout se sait. Si vous voulez vraiment être clandestins choississez une grande ville comme São Paulo ou Rio. Souvenez vous de ce navigateur qui avait été tué par des bandits sur l’Amazone. En une semaine les flics les avaient retrouvés.

Là aussi cette impossible vie dans l’illégalité ne va pas attirer la jeunitude peureuse de notre beau pays qui coule.

Donc la démarche d’implantation nécessite, une fois un pays repéré comme étant viable pour une vie alternative et la plus auto suffisante, qu’il y soit possible d’y être résident permanent avec le moins de conditions contraigantes possibles.

D’autre part je ne vois pas la subtile différence entre être “viable économiquement”, qui ne serait pas souhaitable, et “viable tout court” qui le serait. Ce n’est pas par une rhétorique qui n’est qu’un tour de passe-passe qu’on échappe à la nécessité de disposer d’un minimum de brouzoufs (appelez le “capital” ou “accumulation primitive” selon votre orientation politique) pour acquérir le minimum nécessaire. Car je doute que l’on puisse trouver des terres totalement gratuites et même, si cela était, grâce à la bienveillance du propriétaire légal qu’il soit privé ou administratif, il serait imprudent d’y construire quoi que ce soit car on pourrait être éjecté du jour au lendemain et tout perdre.

J’ai lu les “quatorze besoins fondamentaux” qui ne sont que des “banalités de bases” comme auraient dit les situs. Il y a le point 11 qui m’a franchement fait rigoler : “agir selon ses valeurs et ses croyances”. Effectivement penser pouvoir plier le réel à quelques idées préconçues est la constance de ce forum de la part de gens, jeunes et inexpérimentés pour la plupart et qui rembarent ceux qui ont vécus et réfléchis depuis pas mal d’années (et qui réalisent des trucs, comme bibi dirais-je en toute immodestie) agrémentés par les propos de certains, plus baroudeurs, mais tout aussi idéologiques et qui profèrent “Ca marche !”, alors que cela a marché une fois et “Ca marche toujours !” alors que cela a marché deux fois.

Faut maintenant tirer les choses au clair:

Si on ne peut pas mener un tel projet, ayons le coeur net de se dire que nous devons nous arrêter là, et reprendre la vie dans son cours normal.

Car pour le moment nous sommes incapable de nous organiser, et il y en a qui parlent trop peu pour que l’on puisse espéré que cette communauté est équipé de gens suffisamment obstiné dans leurs idées. Je pense que la plupart des gens ici, parlent beaucoup, mais se découragent vite, du coup ils finissent par tous se tirer sans prévenir, pendant que les nigauds comme moi, passent leur temps à toujours vérifier si il y a des nouvelles fraîches sur ce site, alors qu’il n’y a jamais rien pour faire avancer le schmilblick.

En fait on est très mal organiser, et tout le monde s’en tape, même ceux qui ont prétendu vouloir participer à ce projet.

Mais non Synthé, il ne faut pas déprimer, seulement il faut voir la réalité en face. Outre que l’esprit communautaire n’est plus du tout dans l’air du temps (le passage du symbolique à l’imaginaire, mais je ne vais pas développer), il se trouve que ceux qui devraient avoir quelque peu l’esprit d’aventure ont une trouille carabinée de mettre le nez dehors. Pourtant la dégradation permanente des perspectives à végéter en France (on vient encore d’annoncer officiellement une aggravation du chômage en mars) devraient agir comme un salutaire coup de pied aux fesses. Mais non !

Et les rares “projets” annoncés ici, encore que c’est un bien grand mot pour peu de chose, sont tellement formulés que, outre qu’ils sont écrits avec 4 fautes par ligne, sont de véritables repoussoirs même pour un vieux baroudeur comme moi.

Ou alors c’est tout au plus vacancier et on imagine que les dits “aventuriers” retourneraient au bout de 3 mois - 6 mois, chez papa-maman, en ayant dépensé leurs sous sans créer quoi que ce soit de viable. Car il n’y a jamais un “manifeste” fondant cette hypothétique communauté sur ce qu’ils veulent vivre et ne plus vivre. Les seuls propos avancés sont un refus de la “consommation”. Auquel cas ils peuvent rester en France, s’installer dans la misère des SDF, sûr que ceux-ci ne sont pas aliénés par la marchandise. Ce voeu de pauvreté n’ayant même pas l’argument de la mystique religieuse.

Ceci dit il vaut mieux foirer un projet, bien câlé derrière son ordi et sans avoir investi un picaillon , que de perdre sa vie et son fric comme j’en vois certains, au Paraguay, qui reviennent penauds alors qu’il y a pourtant plein de choses à faire. Mais leurs limitations psychologiques qui virent au morbide font qui’ils refusent même toute aide ou conseils qu’on peut leur donner. Car ils sont incapables de sortir de leur individualisme.

Salut j’ai actuellement 17ans et je suis au lycée en étude pour faire menuisier mais je me suis bien rendu compte de quelque chose, quand je vois mes parents qui sont déjà bien dans la mouise financièrement et tout le tralala jme dit pourquoi continuer sa vie a payer tout le temps et perdre son temps dans cette sociétéC’est pourquoi j’ai décidé de vivre hors de la société et je vois bien que beaucoup de monde pense la même chose que moi. je vais vous dire cque je compte faire je vais d’abords finir mes études je compte bien m’entraîner physiquement et moralement. chui encore jeune et jespere mûrir un peu. Je compte partir dans 2 ans pour un tour du monde sans argent avec peu de matos, j’espère me débrouiller et après pourquoi pas avoir un projet comme vous tous partir vivre sur une ile déserte et créer une communauté. j’ai lu la plupart des messages de ce forum et je vois que pas mal de personne qui démoralise qui perdent espoir ça me rend fou, même si chui encore jeune je pense avoir bien la tête sur les épaules. Le mieux c que chacun propose sa vision du voyage et de se rencontrer ou d’échanger les numéro mais il faut avoir le cran quoi… moi je suis pas trop internet mail… je préfère rencontrer les personnes intéresses ça motive encore plus que d’échanger des messages tout en attendant derrière son ordi a rien faire. Bon voila même si je m’exprime mal j’espère que vous comprendrez

ciao a bientôt et réaliser vos rêves!

Si, si, c’est bien exprimé ! Et, justement, pour le petit groupe de vieux schnoques décidés à faire quelque chose au Paraguay (dans le lot il y a quand même un quadra) nous avons, entre autres projets, de développer des rûches. Hors ce que j’ai vu en bois local est mal fait (une rûche doit être précise car si on écrase les abeilles en sortant des cadres coincés, on se fait mal voir par la classe ouvrière qui pique), alors qu’au Paraguay il y a un excellent bois, dont le célèbre quebracho qui rend édenté la plus féroce des termites). Du coup nous avons en projet de faire des rûches, ce qui nécessite un atelier de menuiserie qui pourrait aussi faire d’autres choses car ici les marchands de bois ne vendent pratiquement que du bois brut, s’ils ont une scie sur table, une vieille dégauchisseuse et un rabot électrique ça s’arrête là. On ne trouve pas de bêtes tasseaux. Donc un (jeune) menuisier serait le bienvenu.

Bien sûr c’est une activité pour assurer notre viabilité économique, le but n’étant pas de “perdre sa vie à la gagner” (je n’ai pas réédité “le droit à la paresse” de Paul Lafargue pour rien) et je compte bien réaliser le grand périple sur les sommets andins (Bolivie, Chili) en revenant par la côte argentine.

Donc si ça t’intéresse on peut creuser plus avant en courriel.

Salut tout le monde.J’ai toujours dis que la seule chose qui pourrai m’empêcher de partir est que je trouve un jour une place qui me convient dans cette société de cons… euh consommateurs pardon. Aujourd’hui je crois l’avoir trouvé. Je dis bien je crois, car bien que je trouve une telle place, cette société sera toujours aussi pourri et égoïste. C’est pour ça que je vais continuer de participer aux recherches.
Je vous dis ça car je pense qu’il ne faut pas partir loin sans toute foi être sur de ne pas avoir une place la où on est actuellement.

Pour te répondre, si tu cherche bien plus loin que ça, tu comprendra que l’on ne peut pas avoir une vraie place dans cette société, car on vie pour crever, et la société nous arnaque. Tout se résume à la nature de toute façon. Car à ce que je sache, ce n’est pas la technologie qui a créer la nature, mais belle et bien le contraire. Donc voilà, c’est soit on est pour le monde moderne, soit on est pour notre mère la Terre. Le pognon c’est pareil, ça n’as été utilisé qu’en mal, et inventé par l’homme de surcroît. Moi je n’ai pas envie de me faire arnaquer tout en faisant parti de l’arnaque.

Et je pense que même si dans la nature on peut avoir des problèmes, ils sont beaucoup moins néfaste pour la planète, que le monde moderne rempli de pollueurs et d’idiocrates matérialistes.

Tout d’abord merci pour ta réponse. Je vois pas du tout ça sur un aspect vendre des ruches etc… Ce serai plutôt cooljte file mon adresse email: wilyy-83@hotmail.fr ca sera mieux pour parler. Pourrai tu me détailler votre projet( combien de personnes, dans combien de temps vous parter…

Salut a vous, les gas.Je vous ai lu, pas tous les dernier messages, mais le gros, aller ailleur vivre sa vie, guyanne Française, pourquoi pas? j’y vais qui parle d’aller en Guyane Française? s’installer en groupe ou pas? je part, pour octobre12, comme le premier intervenant, j’en ai ma claque de cette siphilis-sation, Il n’y a rien de bon. Je ne trouve pas ma place, puis j’ai quelque années de vie, a la sauvage, je sait que j’étais plus heureux ainsi qu’avec des trucs qui en vraie ne m’apporte rien…
J’espère pour vous, que l’affaire fu faite? Expliquer sinon.
En tous les cas, je suis du voyage a la date dite, Vivre avec des locos, apprendre d’eux la chasse la pêche, j’aurais un peut d’oseille pour aider la communauté qui m’aideras, pas grand chose, histoire de payer le gasoil, une hache du matériel qui leurs manqueraient quoi?, faire une espèce de troc, entre eux et moi. (Vivre la survie au quotidien dans la jungle) sa, sa m’éclate, et le manque de tv, ne me gène pas du tous.

Que c’est-il passer ensuite? Nous sommes le 11 Juin 2012, y éte vous allez?

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