Partir vivre en communautée sur une île deserte

Forum Tour du monde

Oui je suis d’accord avec toi, je peux voir que certains ont répondu qu’une seule fois sans vraiment donner de suite à leur message et peut être comme toi, comme moi attendent-il que “ça bouge” car pour l’instant le sujet apparaît assez amorphe.
Pour ma part j’avais déjà commencé à contacter ceux qui avaient laissé leur mail sur le site. Et j’ai eu des réponses motivées chaque fois donc je pense qu’on peu peut-être déjà créer une petite mail-liste et échanger des idées, faire avancer le schmilblick. Dans ce cas je propose que l’on échange nos mails sur le site et les nouveaux intéressés n’auront qu’à nous contacter pour y figurer.
Alors oui il y a sans doute des interrogation vis à vis des hackers où même le fait de recevoir ensuite des spams…C’est vrai je me suis posé la question au début. Eh bien pour les hésitants pourquoi pas créer une adresse qui ne servirai qu’à ça. Et dans le cas de piratage ou que sais-je vous ne perdez rien. Après il y a toujours le risque de virus ou autre connerie… mais bon, je veux croire en l’honnêteté des gens.

Ou alors on crée un nouveau sujet qui restera ouvert à tout le monde avec un lien sur celui-ci. Car il commence à dater un peu et les discussions ne parlent pas toute du sujet principal donc c’est gênant. D’ailleurs son auteur n’y répond même plus. Peut être est-il quelque part au milieu du pacifique sud entrain d’essayer d’attraper une noix de coco…

Alors au lieu de parlé de sa deux ans ou même trois passons à l’action.
Regarde ça Julien j’espère que sa te plait

on pars à partir de où
où on va (j’ai des sucjection)
quand

On va ou on veut on s’en tape. Déjà il faut que l’on puisse se voir tous ensemble pour organiser tout ça. Rester sur un ordinateur ça ne motive pas. Il faut bouger, rencontrer des gens, aller sur le terrain pour se faire une brève idée. Resté devant l’écran à répondre ça et là, ça ne mène à rien.Laissez un numéro ou l’on pourra s’appeler. Même par message privé si il le faut, mais il faut du concret. Passer son temps à essayé de discuter par message ici, ou encore par mail sur hotmail ou autre, ça n’aidera pas à bouger et à agir selon nos envies.
Je suis d’ailleurs presque certain que pas mal de gens passant sur ce lien doivent se fendre la poire à nous prendre pour des vieux fous. Faut pas qu’on laisse satisfaction à ce genre d’individus.
Tout ce que l’on fait à s’envoyer des messages, c’est juste bon à se donner d’avantage d’espoir mais sans plus.
Je veux bien laisser mon numéro de portable pour ceux qui continue de s’obstiner à ce que cette utopie prenne forme. Après le plus difficile, c’est l’île. Mais il faut obligatoirement habiter sur une île pour profiter de nos actions en pleine nature ? Et si il se passait quelque chose de grave sur cette île, vous réagiriez comment ? (Une commotion cérébrale, des abcès, des plaies ouvertes, une gangrène etc…) Sachez que tout peut arrivé, et si vous n’y connaissez rien ou pas grand chose, vaut mieux ne pas s’aventurer sur une île. Je sais c’est chiant, mais ça vaut mieux que de crevé là bas. Donc il faut trouver un lieu et on le trouvera certainement plus vite en groupe. Mais avant de créer un groupe, il faut que l’on fasse connaissance, sinon personne n’adhérera au projet.
Si des gens sont présent sur ce site et qu’ils souhaitent toujours participer, dites depuis quand vous êtes sur ce site, quel idée avait vous pour ce genre d’aventure (quel endroit ou aller et comment vous imaginez cela), Comment comptez vous faire principalement, jusque où vous irez pour survivre, avec qui, et surtout, précisez si vous avez des notions en agriculture, botanique, survie, chasse, eau ou bien d’autres trucs divers.
Je vous donnerais mon avis pour chacun d’entre vous.

… qui sait si vous les entendez" (L. Aragon)

je l’ai dit : rendre habitable une île inhabitée (donc inhabitable) est possible (tout est possible) mais nécessite des gros moyens techniques (donc financiers).

J’ai émis l’idée qu’il serait plus facile de vivre dans un pays d’Amérique du sud où il est facile d’être résident, où il y a de l’espace, des terrains à bas prix pour construire et faire de l’agriculture/élevage.

Mais

  1. je me suis fait engueuler d’avoir sorti les vérités premières du point 1
    2.mon projet concret (tellement concret que j’y suis) n’intéresse absolument personne (j’ai essayé quelques contacts en privé, mais cela a vite zappé)

Tour simplement parce que dans ce forum il n’y a que des bobos qui se la joue dégouttés de la société de consommation mais qui sont infichus de passer à l’acte ne fut-ce qu’individuellement (communauté est devenue un gros mot et les bobos en question ne désirent pas ce mode de vie, outre qu’ils en seraient incapables psychologiquement).

PS : oui, je sais, je suis un emmerdeur, alors il est inutile de me le rappeler.

Tu es un emmerdeur, Oui ou Non c’est à juger selon les gens qui se trouvent ici. Mais sache que si c’est inintéressant c’est peut-être parce que tu es trop axé technologie non ? Ce que je veux dire en fait c’est: Est-ce que tu as ou tu compte fabriquer des lieux de ciment et de briques ? Parce que si c’est le cas c’est un peu normal que tout le monde s’en tape. C’est pas pour te vexé mais je te dit ce que j’en pense bien que je ne sache pas grand chose de ta situation…
Mais je pense que la plupart des gens ici, veulent changer de l’ordinaire du genre: Cabanes en bois, Huttes et Kerterres, De l’eau pure ou facilement filtrable tout en ayant recours à la nature, la chasse à l’arc ou à la lance ou des trucs comme ça, avec la cueillette, la pêche au saumon, se laver avec des mixtures de plantes, se soigner avec des mixtures de plantes, venin, ou infusions. Si tu as fait tout le contraire c’est normal qu’il n’y ai personne d’intéressé. Du moins pour ce qui est de moi, toutes les descriptions que j’ai faites plus haut dans ce message, correspondent totalement à ce que je souhaiterais faire. Je veux vivre à la primitif, et non comme un paysan écolo et retiré de la société.

Cela dit, je rejette pas mal l’idée de vivre sur une île. C’est trop dangereux. Il peut se passer tout et n’importe quoi, on risque de se retrouver bloqué par notre propre piège. De plus une île, c’est loin d’être les lieux qui devraient être détruites ou occupé par l’homme, car une île ce n’est qu’un rare bout de terre de jungle et de sable, qui pourrait se consommer bien plus vite qu’on ne le pense si l’on passe sont temps à récolter toujours plus de ressources: bois, aliments végétaux, viandes (en chassant les rares bêtes qui pourraient que très peu probablement s’y trouver). Donc mieux vaut s’installer sur la terre ferme. Je pense qu’il y a suffisamment de terrains pour opérer ici.

Pour l’idée de l’île, il est évident que la situation ne serait pas pérenne car trop isolé pour le coup et puis il y a longtemps que toutes les îles du monde sont répertoriées à titre protégé ou privé…
La situation d’Amérique du sud me paraît la meilleure solution cependant il ne faut pas totalement rejeter la situation qui a pu être déjà mise en place par d’autres. A supposer que nous arrivions un petit groupe pour nous installer dans un endroit habitable et aménageable, nous ne pourrons pas tout acquérir du premier jour. Il faut être réaliste nous aurons besoin d’un minimum d’aide il me semble et il serait maladroit de ne pas profiter de l’implantation de certains paraguayens d’adoption^^. Le Paraguay n’a pas l’air mal en effet mais le but recherché est plutôt de vivre de manière plus proche de la nature comme le souligne « synthé. ». Après il ne faut pas être entièrement bloqué à tout ! Démarrer de rien c’est très compliqué.

Antlia : « Je me suis fait engueuler d’avoir sorti les vérités premières du point 1, 2mon projet concret (tellement concret que j’y suis) n’intéresse absolument personne (j’ai essayé quelques contacts en privé, mais cela a vite zappé)»

Engueuler est un bien dur terme, je pense qu’il ne faut pas prêter attention aux apparitions furtives de quelques emmerdeurs qui je suis sur, prisonniers de leur situation nous envient. Malgré cela ta situation en Paraguay reste assez confuse pourrais-tu développer un peu sur ta vie locale ? A commencer par l’idée d’émigrer, les démarches, pourquoi le Paraguay, tes moyens (grosso modo), et le quotidien sur place, les difficultés, les trucs à savoir avant de s’expatrier…Etc.

Après pour les bobos… Eh bien il y a en a pas mal je pense qui doivent atterrir ici par démotivation de la situation des nos pays surbétonnés , surindustrialisés et surcapitalisés et sans doute une légère déprime car la fuite à l’autre bout du monde s’apparente à une fatalité. Il faut comprendre ces gens. Je trouve même cela positif de voir que d’autres que moi refusent ce nouveau mode de vie. Après tout observons la nature, nous sommes le seul animal à vivre pour le travail, le seul à ne plus apprécier tout simplement la vie ! Notre nature même veut que nous soyons joueurs, êtres de compassion et de paix mais la civilisation altère cela en réduisant les libertés et en dissolvant la fraternité. Merde ! Au final la mondialisation aura notre peau car l’avenir apparaît très obscur et les gros nuages avancent vite ! Ma vie je le vois à ma la couler douce, prendre mon temps, manger boire juste ce dont j’ai besoin et dormir autant que je le souhaite. Mais tous ne réfléchissent pas de cette manière et craignent d’abandonner du jour au lendemain famille, amis, fromage, cinéma, matelas et eau chaude. Ce que je comprends parfaitement car ces besoins c’est la société qui nous les impose.

Ce que je voulais dire c’est que même doués de la plus forte volonté de vivre à l’écart du modernisme, vous n’en demeurez pas moins intolérants, du moins c’est l’impression que j’ai. Alors oui certains ne s’impliquent pas plus que ça, oui beaucoup n’ont pas les mêmes idées, mais ce que je vois c’est que même devant un sujet de discussion censé nous amener à une vie plus harmonieuse, il persiste certains attraits néfastes du monde que nombreux sur ce forum cherchent à fuir, ce qui pour moi explique en partie l’abandon du projet initial.
Il faudrait donc commencer par être positifs, réalistes et diplomates afin d’avoir une chance de concrétiser la chose.

pour employer un (gros) mot de la philosophie allemande.

Il y a deux écoles (tripperbird les a assez bien résumé)

  • l’option représentée par synthéthiseur qui est tout en renoncements à la vie moderne et qui s’apparente plus à une opération survie qu’un mode de vie alternatif selon mon coeur (et mon esprit). Mais il faut un physique d’acier inoxydable 316L pour tenir plus de 3 mois dans ses conditions, faute de quoi on se ramassera toutes les vacheries infectieuses et on finira en rapatriement sanitaire gravement dénutri.

  • moi je proposais autre chose, mais il faut se mettre d’accord sur ce qu’on veut vivre (et ne plus vivre) : le travail, par exemple, outre qu’à la pleine époque du plein emploi “on perdait sa vie à la gagner” force est qu’on ne la gagne même plus et qu’on perd encore plus sa vie. Donc le but est d’assurer, par une activité économique rentable à définir, un confort de vie, pas une fortune, et, surtout, d’avoir suffisament de temps pour mener toutes les activités autres que l’on souhaite. D’où l’intérêt de rechercher un pays qui, tout au moins pour nous, a un coût de la vie intéressant. A ce sujet j’ai expliqué que la Guyane française était invivable, je ne reviens pas dessus.

Donc je tiens à niveau de confort minimal et je ne transige pas dessus et je n’échange pas ma mauvaise survie en France contre une mauvaise survie tropicale. Au moins en France j’ai la CMU (même si je n’ai pas grand chose d’autre).

Bon comme je ne suis pas un gourou ou un leader de communauté, je n’avais rien envisagé de préétabli quand j’avais lancé mon projet afin de laisser quiconque étant intéressé de poser ses centres d’intérêts. Comme ça n’a intéressé personne et que j’ai du en rester sur ma petite personne, je ne peux envisager que quelques activités solo, ou bien avec quelques jeunes locaux mais il faudra que je sois plus avancé en espagnol car en ce moment je bosse à l’aménagement de mon logis.

Merci à Antlia d’être toujours présent sur ce forum et de nous faire partager son savoir et sa sagesse.

On est beaucoup à être prêt pour passer à l’acte et cela d’autant plus que le projet de partir est viable car d’autres le font en ce moment. Je pense qu’il est important de démontrer de façon tangible la faisabilité de ce but car beaucoup en ont une ardente envie mais manquent de confiance dans leurs capacités car trop seuls dans cette optique. Partir implique un certain renoncement à ce que nous avons étés conditionnés à prendre pour réalité et besoin ultime, l’homme dans nos contrées occidentales à été perverti pour le maintenir en captivité, l’exploiter et prévenir toutes tentatives de se reconnecter à sa nature, oui l’homme est apprivoisé tel un chien qui attend près de sa gamelle en faisant le beau pour que le maître lui donne une frugale pitance.

Alors je ne reviendrai pas sur la faisabilité d’une telle entreprise car elle est évidente, ce qui est plutot important de prendre en considération c’est de créer une base sur laquelle viendront se greffer d’autres gens motivés et pour l’instant nous n’en conaissons pas. Ensuite il est évident que ce projet coûte de l’argent rien que pour le billet d’avion si cela se passe en Amérique du sud par exemple et sans base solide sur laquelle un migrant pourra compter pour sa subsistance dans une communauté c’est plutôt irréalisable pour la personne motivée de se lancer aveuglément.

En conséquence mon avis est déjà de créer un noyau solide entre les quelques personnes prêtes afin de planter une graine de communauté qui pourra croître et ainsi paraître forte et rassurante pour accueillir les gens qui hésiteraient encore.

je le connais ce sentiment
J"y crois aussi, moi, par moment
Comme l’alouette au miroir"
(j’aime bien Aragon)

Tout ce que vient d’écrire Phildar est très juste mais…

Avant de partir… je n’étais pas parti (hmm!). Donc on pouvait venir me voir, discuter, projeter, subjectiviser, objectiviser. Tout, quoi. Seulement voilà, les très rares que j’ai pu voir ont zappé bien vite. Même en France, avec mon aide au moins psychologique, le pas à franchir était trop dur psychologiquement plus que transatlantiquement. Leur “prenais-je la tête” (expression des d’jeun’z) ? Pourtant j’essayais de solidifier chez eux ce qui pouvait n’être resté qu’à un niveau de ressenti labile qu’un retour de l’idéologique pouvait évaporer.

Réactions pas nouvelles au demeurant. A l’époque où je recherchais un équipier pour petites et grandes vadrouiles sur mon voilier, je me plaignais sur le forum Usenet “bateaux” de cette inconstance des rapports humains. “Mais que leur dis-tu, William, qui les dérange tant ?” m’avait questionné un forumeur.
“Mais rien, justement, pour beaucoup je n’avais rien creusé qui puisse être l’objet d’un désaccord et pour certains je leur avais même dit que leur cursus maritime était très bien. Si avec ça je les dérange…”

Ici j’ai toujours dit que refuser la vie actuelle que nous menons en France, et ce pour une foultitude de raisons, était logique tant sur le plan objectif que subjectif. Donc, à partir de cette négativité, quelle positivité voulons nous construire et vivre ? J’ai grimacé sur l’habitabilité d’une île déserte, trop lourd et coûteux en moyens techniques, j’ai émis des réticences sur certains retours à la vie sauvage qui me semblaient difficiles à assumer pour certains (dont moi, pour d’autres je les envoyais en stage de formation chez les Tapajos du rio du même nom en Amazonie, ces braves gens ayant su être - bien - à cheval sur deux cultures), j’ai suggéré des pays possibles (dont celui que j’ai finalement choisi le Paraguay).

Seulement le résumé en est à ce stade : partir, ça leur fait peur, vivre en communauté, ça leur fait encore plus peur. D’ailleurs beaucoup ne savent pas gérer les rapports humains, discuter, polémiquer sans que cela tourne à l’engueulade psychotique (dans les psychoses, l’Autre, ressenti comme une totalité imagière, ne peut être saucissonné en points d’accords et de désaccords, dès qu’un désaccord, ou supposé tel, apparaît, l’Autre est rejeté en bloc).

Histoire suisse :
3 Suisses sont assis sur le bord d’un chemin campagnard
Jean : “Tiens voila la vache de MIchel qui passe”
15 mn après
Bernard “T’es sûr ? Il me semble que c’est la vache de Robert !”
20 mn après
Jean “Ah non ! Je suis sûr que c’est la vache à Michel”
15 mn après
Albert “Bon, je vous quitte, je n’aime pas les conflits”

Non je déconne^^.

Mais dans une communauté il est vrai que les divergences de point de vue sont inévitables, il faut juste apprendre à faire avec en admettant que le bien d’autrui passe aussi par des concessions personnelles.

Une chose est sure , vivre dans la nature en mode autonomie totale est très très difficile. Pour preuve les militaires (pourtant entraînés pour ce genre de situation) admettent que la vie en pleine nature devient vite instable pour nous occidentaux qui sommes beaucoups plus sensibles aux contraintes climato-sanitaires.
Donc moi non plus je ne m’aventurerai pas en pleine Amazonie pour y vivre.
Il ne faut pas se tirer de balle dans le pied, une communauté nécessite un minimum d’investissement (travail) collectif. Mais j’entends par là du travail d’utilité générale où chacun est son propre chef mais oeuvre pour l’ensemble. Comme par exemple partage des tâches et là je rejoint synthé. sur le fait qu’on profiterait des spécialités de chacun pour être plus efficaces.
Dans cette optique il devient évident de mettre en place des activités durables comme de l’agriculture et pourquoi pas de l’élevage à l’échelle de la communauté biensur. Le tout de manière 100% naturelle! Ensuite un “traitement de l’eau” afin de reccueillir de l’eau potable et pure et la stocker, idem 100% nat.

Ensuite pour ce qui est d’en faire commerce pourquoi pas si cela nous permet de nous procurer un équipement indispensable où de la nourriture…

Enfin il y a plein de solutions simples, mais celles ci ne sont réalisables que dans l’entre-aide et la participation égale de chacun et il importe que cette notion soit d’un naturel évident pour tous car sinon il y aura alors risque de conflit ça c’est clair.

=> Cher un aller simple pour le Pérou !!

En fait le Paraguay pour commencer je ne connais pas du tout ce pays donc je ne jugerais pas à savoir si j’aime ou non car c’est impossible. Mais comme tu l’as résumé, je le voyais comme ça: Chacun à sa ou ses tâches, et de temps en temps, chacun apprend à l’autre un truc pour être sur que chacun d’entre nous gagne de la polyvalence. Ce qui permettra dans les prochains jours d’alterner les tâches, histoire que les gens ne s’emmerdent pas à faire toujours les mêmes trucs.
Après non c’est impossible, si j’ai l’intention de retourner dans la nature, c’est pour faire en sorte de se rapprocher le plus possible de l’être humain dans toute son originalité et entre autre, devenir cet humain si ce n’est pas impossible, donc hors de question que je puisse concevoir de recréer une communauté dépendante d’une moindre technologie. Ce serait quelque part comme garder ce que l’on à toujours voulu fuir. Le maximum que je ferais question technologie, ce serait d’embarquer avec moi de l’argent, des soins, et de l’équipement de survie, mais sa s’arrêterais là. Tout ce que je veux c’est tenter de redevenir l’animal car c’est ce que l’on est au fond. L’animal créatif, ingénieux et courageux, voir malin, mais qui ne dépend pas d’un abus énorme. Donc si je devais me la jouer civiliser, je pense que le mieux à faire serait de se refaire ce que les gaulois et les celtes ont fait. Sinon ben dans le pire des cas, je m’en tiens aux tribus. Si ces deux choses sont impossible, alors il ne me restera plus qu’une vague aventure temporaire. C’est pas le genre de chose qui laisse une grande trace de notre vie. même si cela importe peu, je veux que mes enfants comprennent ce que j’ai compris dans l’espoir que j’aurais pris assez d’avance pour ne pas les mettre mal à l’aise. De plus je suis fumeur donc ce genre d’expérience et toute en mon honneur pour arrêter ça aussi. Je veux pouvoir évoluer comme toutes les créatures terriennes, dans la pureté, dans l’espoir de ne plus jamais toucher à la clope à me bousiller les poumons, à ne plus à avoir peur de la ville et de ces citoyens. Je veux atterrir là où l’entraide est une chose primordial. Après tout ça, mon dernier espoir serait d’avoir la meilleure mort possible.

Je précise entre autre à quoi consisterais les tâches selon moi:
-La récolte des potager
-Le filtrage de l’eau
-La fabrication de matériel (pêche, chasse, habitat, voir d’autres objet divers comme des récipients ou des vêtements, ou encore des torches et des gourdes…)
-La concoction de produit médicinaux (infusions et autres trucs plus utiles comme des produit de soins hygiéniques par exemple ou encore des désinfectant pour tel ou tel partie du corps…)
-La chasse
-La cueillette
-La réserve de matériel (bois, pierres…) ainsi que la conservation de la nourriture.
-Et pour finir, l’exploration pour trouver toujours plus de choses donc dans ce cas il faudra parfois tenté d’aller voir toujours plus loin.

Mais j’aimerais quand même que vous vous posiez cette question:
Pourquoi faut-il se soucier de l’être humain en priorité ? ( après tout nous ne sommes pas seul sur Terre)

Bon je ne cache pas que j’ai peur du danger et de ce qui pourrait m’arriver dans ce genre d’aventure, mais je pense que c’est une bonne question.

Alors ?

Et c’est rationnel, rien à dire. Je dis juste que c’est un peu hard pour moi, mais on a pas le même âge et il faut tenir compte de ses artères.

Mais il va falloir apprendre cette vie sauvage. On ne peut pas l’improviser ce type de vie sans acquérir un savoir indigène de base.

Dans ton cas, et au Paraguay, je crains que tu ne puisses y rencontrer que des indiens dénaturés bien que certaines médecines traditionnelles demeurent (remèdes de sorcières, placebos de première, à voir). C’est pourquoi j’avais parlé des indiens Tapajos qui, eux, mènent une vie traditionnelle riche de savoir et ne demandent pas mieux que d’apprendre tout ça aux voyageurs, plus curieux que les autres, qui viennent les voir. C’est aussi de cela qu’ils vivent.

Autrement au Paraguay il y a des terres cultivables et d’élevage pour pas cher. Dans la plupart des cas on peut faire un forage pour avoir de l’eau de bonne qualité (je déconseille les puits traditionnels qui sont plus des collecteurs de fosses septiques qu’autre chose). L’électricité ne posera pas de problème et elle est la moins chère d’Amérique du sud vu que le Paraguay a un hénaurme barrage à Foz d’Iguazu, près de la frontière brésilienne. Je déconseille les solutions dites “alternatives” (et très chères) comme les éoliennes (très peu de vent au Paraguay) et les panneaux solaires photovoltaïques (trop de nuages). Ces bases étant posées, on peut alors entreprendre tout type de vie que l’on souhaite et même utiliser un char à boeufs au lieu d’un pickup 4x4, car il y en a encore beaucoup.

C’est également comme ça que je vois les différentes choses à faire pour vivre.
Ensuite pour ce qui est d’acheter un terrain, l’idée est tentante mais cela nécessite d’avoir les moyens pour. Après on l’aménage comme on veut.

je serai absent du forum pendant 10 jours (plus accès à l’internet). J’espère qu’il y aura du nouveau d’ici là, en attendant je trouve que ça avance mine de rien, doucement, mais ça avance.

Ciao

Bonjour.

Je m’appel Quentin, mais tout le monde m’appel Danny, et j’ai 17 ans. Cela fait quelques années déjà que mon moral baisse petit à petit, je trouve que les gens ce complique bien trop la vie, il ne savent plus ce qu’elle est réellement. Après avoir vécu une journée qui à amenée la goutte d’eau qui a fait débordé le vase, je me suis décidé à créer un site comme celui-ci, où je décrirai mes idée de voyage… et c’est alors que je suis tombé sur ce forum, qui m’a tout de suite interpellé.
Après avoir lu plusieurs de vos commentaires, j’ai compris que je n’était pas seul. Donc j’aimerai bien rejoindra votre projet, sachez que je ferai tout ce que je pourrai pour réaliser notre rêve.

Cette histoire de communauté me trotte dans la caboche depuis un bon moment. Car étant un ancien soixante-huitard, j’ai connu une époque, même si elle était moins oppressante que celle-ci (on trouvait un job en deux jours, par exemple) n’en était pas moins condamnée à l’échec. La meilleure preuve c’est que cela a abouti au stade actuel. J’avais eu même l’idée d’écrire un “Eloge de la fuite” mais Henri Laborit avait trouvé le titre avant moi avec la riche idée de l’employer dans le sens marin, quand le bateau ne peut plus faire face à la tempête et qu’il part, sous voilure réduite, dans le sens du vent pour limiter la casse.

Toujours par analogies marines (à l’époque je cherchais des équipiers au long cours pour mon voilier de 10m) je me posais la question de ce qui faisait que les équipages des bateaux de nos anciens marins arrivaient à vivre ensemble. En fait tout le contraire de l’idéologie de notre époque où il apparait impossible que deux personnes ayant un écart d’âge de plus de cinq ans puissent cohabiter. Car les moussaillons n’étaient pas les pimpants garçons bien nourris (même un peu trop) de maintenant et les vieux gabiers étaient rongés par l’alcool, les rhumatismes et autres affections mal soignées (dont la syphilis). Malgré ça ils tenaient à cet écart d’âges dans l’équipage, encore plus inconcevable que maintenant. Pour plusieurs raisons : d’une part introduire une ambiance familiale et aussi pour y mettre de la complémentarité et un peu moins de concurrence (alors que dans les “équipes” modernes tout est basé sur le “chalenge”, la compétition, bref des trucs qui ne vont pas bien loin et qui sont de l’énergie perdue en frictions).

Seulement voilà : si certains d’entre vous nous balancent un message de ras le bol du mode de vie actuel, pour rien au monde ils accepteraient cette rupture dans le mode de vie fut-il détestable (et par moment détesté). Aussi ceux qui partent le font toujours individuellement, tout au plus avec une nana qu’ils ont pu embringuer dans une histoire de couple en oubliant cette phrase prophétique de raoul Vaneigem (écrite en 1967) “L’isolement à deux ne résiste pas à l’isolement de tous”.

Donc on ne peut pas le faire ?!
Tant pis faudra resté ici…
Sinon l’Afrique c’est faisable ?

… encore faut-il qu’il y ait une réelle volonté de bouger. Or “l’analyse concrète d’une situation concrète” m’a montré que tous ceux qui geignent ici sur le malheur de vivre dans cette vallée de larmes m’aspergent d’eau bénite et me lancent des crucifix en argent (sont fous ! au prix ou c’est) si j’avance un projet, sinon précis (je suis ouvert aux idées des autres), tout au moins concret.

Or avec mes petites réflexions je ne peux qu’aider d’autres à se construire, mais je ne peux mettre de la volonté là où il n’y en a pas. C’est comme ça que j’ai fini par partir tout seul dans mon projet parce que si j’attendais un effet de groupe je n’aurais jamais décollé de l’amère patrie.

L’Afrique, dis-tu ? Mais quel pays d’Afrique n’est pas un coupe gorge ? Ce continent sombre (ou retourne) à la barbarie. Cetes le zéro danger n’existe pas (même en Suisse) mais il ne faut quand même pas aller au devant des graves risques.

Après avoir lu vos messages, j’ai cru capter un petit manque de motivation. Alors écoutez, si vous n’avez pas la motivation, c’est sûr qu’on ira pas très loin. Je me rend compte que ça sera dure, mais certains d’entre vous ont précisé que c’était un de leur rêve de partir comme ça, alors je ne sais pas vous, mais moi j’aimerai pouvoir tout recommencer à nouveau, en quelque sorte.

Sinon pour ceux qui sont vraiment motivé j’aurai plusieurs propositions à vous faire, que je préciserai une prochaine foie. ^^

je n’attend que sa, se créer son habitat, chasser son repas…

Affaires à prendre pour le départ :

Général :
• 1 ou 2 sacs
• Argent
• Nourriture légère
• Lamps a dynamo
• Gourde remplit d’eau
• Briquet, Allumettes, Pierre à Feu
• Affaires de rechange
• Livre(s)
• Carnet, Crayon, Gomme
• Graines (Fruit, Légume)
• Sac de Couchage

Outils :
• Ficelle
• Couteau
• Marteau, Burin
• Pince
• Scie, Hache
• Outil pour faire des Trous
• Mini-Pelle
• Mini-Pioche
• Outil pour tailler la pierre

Trousse de secoure :
• Bandages
• Pansements
• Coton, Coton tige
• Médicaments

salt je mapelle bruno jai 19 ans moi aussi sa fai un moment que je veu partir je vai aller dans une ile pret de la polynezie sa va etre enorme vien ac moi je par bientot. contacte moi et fai cet aventur ac moi 0625964915

Je viens de tomber sur ce site (et cette conversation) car depuis toujours je suis mal dans cette société de sur(con)sommation ou les valeurs et les morales n’ont plus aucun sens. Je ne sais pas si vivre sur une île déserte va apporter l’ingrédient qui manque à mon bonheur. Je ne suis pas dépressif ne vous inquiéter pas !

Je vais m’arrêter là, je n’ai pas lu tout les commentaires, et je ne sais pas si votre projet et encore d’actualité, je reviendrais des demain sur le forum.

A lire les robinsonades des bobos de ce forum, il y a deux termes qui reviennent principalement surtout le premier : le dégoût de la “société de consommation”. Etes-vous donc si riches pour faire les dégouttés ? En cette période où la dictature des sociétés financières écrasent les revenus de tous les peuples d’Europe, je vous trouve vraiment bourgeois-bohèmes. Perso je suis en pré-retraite (le RMI s’arrête à 60 ans et la vrai retraite commence à 65) à 85 EUR/mois et un camarade qui devait me rejoindre au Paraguay s’est fait dire par l’ASSEDIC qu’ils (l’ASSEDIC, donc) s’étaient trompés dans le calcul de ses indemnités (il en avait pas vraiment l’impression) et lui bloque toute alloc jusqu’au remboursement du trop perçu de 5.000 EUR environ. Ce qui fait qu’il n’a plus un rond qui tombe du jour au lendemain. Plus la routine habituelle des boîtes en liquidation, des gens au chômage croissant et les taxes qui augmentent en permanence.

Aussi si je me suis délocalisé c’est aussi parce que je voulais consommer plus qu’en France.

Quant à vos îles, je vous les laisse, ce sont des fantasmes de milliardaires (demandez à Mme Bettencourt, elle en a une où elle n’y a jamais mis les pieds, peut-être qu’elle voudra en faire une réserve écologique intégrale de bobos, avant qu’ils disparaissent comme les dodos)

je pense que tu ne saisis pas très bien mon point du vu, je ne suis pas du tout “riche”. Je pense simplement que le monde marche sur la tête. Je souhaite simplement vivre dans un environnement sain (si c’est encore possible vu les dégâts que la planète à déjà subi), un monde ou l’être humain cohabite sans regarder la différence comme un défaut mais plutôt comme un avantage. Une société ou je les gens se foutent de savoir si un tel aime Hallah ou un tel aime Jésus. Si tu ne comprend pas mais propos ou que tu trouve ça utopiste, je t’invite a regarder le documentaire de yann arthus bertrand “HOME”, peut être que tu verras un peu plus l’optique de ma pensée.
Dans ton message tu parle de richesse, mais qui te dis qu’il faut être riche pour être heureux ? Est il obligatoire de posséder le tout nouvel appareil à faire des cocktail ? La nouvelle voiture avec des écran télé au dos des siège ?
Le problème dans notre société, c’est que maintenant le peuple crains ses dirigeants, alors que cela devrait être l’inverse…
Je change de sujet car je viens de penser à autre chose. Pourquoi les gens qui touche des centaines de millions d’euros sont considérés comme des dieux ? Je fais particulièrement référence au sport. Etant passionné de football, je trouve honteux que certains joueurs on des salaires avoisinant le million d’euro mensuel ! Donc le problème n’est pas le manque d’argent mais la répartition de celui ci.
Donc ma question est la suivante, pourquoi idolâtrer quelqu’un qui touchent des millions pour taper dans un ballon ? Est ce que Lionel Messi ne vivrait pas bien en touchant ne serais ce que 500 000 euros par mois ? (soit environ la moitié de son salaire)

J’espère que tu comprend pourquoi je suis lasseé de ce monde et des mentalités qui en font parties. Je souhaite bien sur que les choses s’arrange, je pense que c’est encore possible.

nn mai toi aussi ta pa tout compri je par pour vivre sa argen me debrouiller ac la natur sa va me changer la vie. tu voudrai partir ac moi

Pour Zappa Freddy

J’en ai connu qui poussaient le paradoxe loin : transformer le misérabilisme de leur situation en félicité de non consommateur (gagner son ciel est passé de mode). Seulement voilà : pour mener une existence dite “alternative” (au salariat, devenu de plus en plus précaire et mal payé, à l’habitat urbain, moche et hors de prix, aux relations humaines pauvres, etc.), il faut quand même une “accumulation primitive” pour avoir outils, matériaux et moyen de subsistance avant qu’un village communautaire (rêvons :!) puisse assumer son autosubsistance.

Et vivre dans un confort nul ça va bien de quelques semaines (pour les plus vieux) à quelques mois (pour les plus jeunes, et encore). Et puis ça retentit sur le psychisme et sur la somatisation.

Par exemple dans mon patelin, surtout si on choisit de vivre dans des zones un peu excentriques, on gagne certes au niveau coût immobilier et foncier, mais un pickup 4x4 devient absolument indispensable (et neuf un Isuzu double cabine ça coûte 47.000 USD). Sinon on vit dans une zone atroce qui conduit à plus ou moins long terme à un rapatriement quasi sanitaire. Ceci dit on voit tout de suite l’intérêt économique de la communauté car au lieu d’acheter le pickup individuellement on divise le prix par le nombre de membres. Idem pour outils, équipement électroménager, etc.

Autre chimère boboesque (dans mon premier post j’avais parlé de deux points, mais j’avais mis à la trappe le deuxième) : le rousseauisme de la “bonne” Nature. Or elle n’est pas bonne du tout. Si on est dans une zone où ne s’enfile pas des pull overs, on est exposé à toutes sortes de vacheries parasitaires ou infectieuses. Non seulement il faut avoir de quoi se soigner, mais aussi avoir la connaissance qui va avec. Autre fantasme : il n’y a qu’à se baisser pour vivre de cueillette ou pour pêcher. Oui, pendant quelques jours on va pouvoir faire des razzias dans les fruits et légumes sauvages et les poissons, mais au bout de peu de temps il n’y aura ni des uns, ni des autres (les poissons ne sont pas fous, s’ils voient qu’ils sont dans une zone à risque ils se délocalisent, montrant en ceci qu’ils ont un meilleur sens vital que certains d’jeun’z humains). Bon Manson à commencé son opération survie en dévorant son Bescherelle apparemment…

qui vien ac moi en polynesie pour y vivre je veu etre sur une ile deserte et commencer une autre vive bocou mieu
je par dans 3 moi maxxxx

tu c exactemen ou aller ? tu c ski tfo ? moi jsui cho

salt je suis organiser a mort jais mes solution pour vivre très bien et tranquillement tu vera on sera troc bien envoi moi un texto 0638561189 sa sera plus simple

si tai ok alor on par tout les deux et on sera refai

Voila je voulais savoir si un groupe avais été mis en place sur un réseau genre msn ou quoi !
el-benefit@hotmail.com

tenez moi au courant !

j’attends une proposition concrète pour suivre un projet en groupes ! marre de cette France

J’aurais pensé a un forum perso à fin qu’on nous en discutions tranquillement , ce dont jai fait j’espère avoir pris une bonne initiative et que nous nous en servirons …

bonjour à tous donc alors moi j’ai prévu de partir le 6 juin en Polynésie une seule chose à faire acheter le ticket d’avion
une fois là-bas on se débrouille pour trouver une source d’eau naturelle manger etc. etc.

fini de payer l’électricité l’eau le gaz etc. etc.
terminer de vivre dans cette société de merdes

je cherche une personne motivée et sérieux pour venir avec moi

À bientôt 06 38 56 11 89

Voila dans le privé c’est tellement plus facile de s’organiser !
http://communaute.forumsgratuits.fr/t1-preparons-nous#1

J’espère que vous contribuerez à votre libertée !
Inscrivez vous que nous avançons !

Salut tout le monde.

Déjà Manson, c’est pas pour être méchant mais des îles désertes t’en trouvera pas tellement en Polynésie française, je me suis renseigné et je trouve ça hyper touristique donc je pense qu’il y a mieux. Perso avec un ami on y réfléchi depuis quelques temps et on a trouver un coin tranquille en Ontario, au Canada.

Ensuite pour Quelquesmots, je suis totalement d’accord avec toi pour créer un forum perso, je te contacterai sur msn pour en parler.

Et enfin Liberta41, si tu veux qu’on en parle dis moi si tu a skype ou msn, on se contact.

Si vous êtes vraiment motivé rejoignez ce forum :http://communaute.forumsgratuits.fr/c1-accueil

bonjour, je suis de retour après un petit moment, j’ai pu lire pas d’iles en polynesie, ok problemes de toutes sorte, les iles c’est bien car beaucoup ne sont pas visitées et dieu sait c’est ce qu’il faut car on a pas le droit de s’installer comme on veut il faut etre tranquille , en indonesie il ya 11.000 iles inhabitées de jungle profondes, voilà pour le peu…la solution de vie est de construire un mini village avec chacun sa maison en bois, même tout confort si il veux , l’electricité en panneau solaire pour commencer, etre au bord d’une rivière pour boire, se laver, pecher, orientation car chaque cours d’eau arrive automatiquement à un village une ville, donc pour savoir se déplacer, etre situé assez profond pour etre tranquille et assez proche de la civilisation au cas où, accident, achat de ce que l’on désire, approvisionnement en tout cas dans les premiers temps , car ne croyez pas que vous allez vous adapter de suite, pour les achats on peut prévoir une somme d’argent à l’avance par la suite il faudras si besoin est retourner à la ville par période et obtenir un peu d’argent au moyen primaire, chanter dans la rue, gratter la guitare ou autres…ensuite une fois adapter ça peut devenir autre chose…
la survie c’est savoir comment se nourrir
plantations , recoltes en foret, peche,
il ya beaucoup de poissons sous les tropiques, donc c’est difficile de mourrir de faim, on peu faire des plats de legumes avec le poisson avec des plantes cuites sautées au feu, si on est sur une plage avec des cocotiers c’est bien aussi, la noix de coco , quel fruit !! il offre du sucre de l’eau et a sa tige un végétal qui ressemble au pain, bien sur sur une plage vaut mieux qu’il y est une riviere pas loin , donc une montagne pour assurer l’eau douce…
je refléchis un peu tous les jours c’est comme ça qu’on arrive à trouver, par ce qu’en fin de compte c’est bien une solution qu’on cherche et non débattre le pourquoi du comment qui n’amene à rien.
bonsoir à tous

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