Je suis parti de Genève le 17 juillet, pour rejoindre Louxor.
Vol Le caire / Louxor annulé par Egyptair, pas de possibilité de prendre un train.
Donc, j’ai passé la nuit au Caire, pour prendre le vol du 18 juillet.
Arrivé à Louxor le 18 juillet. Toute l’économie touristique est à l’arrêt, à cause du covid19.
Je suis logé en demi-pension et conduit par un chauffeur Mohamed et sa limousine.
Au préalable, J’avais contacté une personne pour établir un budget.
Rensignement http://www.louxoregypte.fr
Pendant une semaine, Je visite la région de Louxor, Aswan, Abu Simbel, conduit par Mohamed (trés sympathique personne)
Pour les repas, j’ai mangé local.
Malheureusement, la moitié des sites sont fermés. En revanche, j’étais pratiquement seul, lors des visites et avec une entrée à tarif réduit.
La circulation routière dans cette région de l’Egypte, ne m’a pas paru à risque. En gros, je n’ai pas eu un sentiment d’insécurité.
Se méfier des gardiens, qui font office de guide, pour réclamer le bachiche. Ne pas hésiter à refuser leurs invitations.
A propose du covid 19. Lors de mon séjour, Louxor et Abou Simbel , aucun cas n’a été recensé.
Ensuite, j’ai pris un train de nuit, pour rejoindre Le Caire, wagon climatisé.
Au préalable, J’ai pu contacter une personne pour établir un budget des visites, avec un chauffeur et un guide.
En revanche, la conduite au Caire est assez Rock N’Roll, voir acrobatique au quotidien.
Du coup, j’ai visité les pyramides, le musée du Caire, avec cette fois-ci un sympathique guide momo_vers_legypte (accessible sur Instagram)
Les autres sites étaient fermés. Je me suis rabattu sur la visite de différents quartiers du Caire, notamment la Citadelle.
Le souk de la vieille ville est à voir, par sécurité, la police touristique nous accompagnait.
A noter au chapitre des visites, le Palais du Baron Empain, fraichement restauré.
J’avais prévu d’aller une journée à Alexandrie, annulée, cause fermeture des principaux sites.
J’ai passé la dernière journée à l’hôtel, à proximité de l’aérorport.
Le vol de retour étant le 1 aout 2020. Là aussi, faire attention aux porteurs, qui se jettent sur vos bagges, pour réclamer un bachiche.
Comme le policier, lors du control de sécurité, qui réclame son “dollar”.