Re,
Je constate devoir faire un effort de relecture car “Au secours les fôôôtes”… Grrrr…
Désolée
Madikéra
Re,
Je constate devoir faire un effort de relecture car “Au secours les fôôôtes”… Grrrr…
Désolée
Madikéra
Vendredi 17 juillet 2015 - Jour 9 - BWL à Ameib
Philipp avait une grotte toute glyphée
Lever à 6h20, sous une température de 13°5 donc vite, vite une douche chaude… Le petit déjeuner buffet ouvre à 7 heures et est varié. L’omelette est tellement méga qu’il m’a été impossible de la finir.
Au moment où monsieur Madikéra commence à installer les sacs à l’arrière de Monstrounette, il remarque qu’un pneu semble à plat. Et voilà, notre première crevaison est à l’ordre du jour !!! Le démontage se fait avec deux aides, les jardiniers du secteur. Leur chef arrive quelques minutes plus tard avec le pick up de l’hôtel pour embarquer le pneu et le réparer. A l’arrivée, il n’est pas crevé mais juste dégonflé. La vanne était ouverte !!! Les mauvais esprits, comme le mien, penseront… 50,50 et 100 qui font une gonflette de pneu à 13 euros.
Du coup, nous avons pris du retard sur l’envisagé (enfin pas trop précis sur les heures de départ l’envisagé) et le départ est effectif à 9h25. La route est bordée de beaux paysages, C35, C36, D2306… Dans ce secteur les routes ont souvent deux noms. Par exemple la C35, c’est aussi la M64. La dénomination en M est ancienne mais en certains endroits elle est toujours conservée. Le rapide pique-nique se prend à l’ombre d’un arbre bien ombrounant, entre 13h et 13h20. Il fait beau et chaud. Les alentours font très Capitol Reef vers Torrey aux Etats-Unis et comme ce fut un des lieux que nous avons préféré en nos voyages… nous admirons avec grand plaisir.
A 13h45 nous passons le portail et pénétrons sur les terres d’Ameib Ranch qui n’est plus vraiment un ranch mais plutôt un hôtel dans la nature…
Nous discutons avec Sigrid, la propriétaire, nous désaltérons de deux cocas sur la maxi terrasse de notre maxi chambre et à 14h45 direction la grotte. Sigrid nous a conseillé d’y aller ce soir et de nous rendre demain matin en d’autres points. Donc, le bullage sera pour demain…
Tout peut se faire à pieds, en partant de la zone camping, mais la paresse nous tient lieu de conseillère et nous invite à n’envisager que 2 heures de marche maxi. Donc, Monstrounette va nous déposer au parking à 15 minutes de la zone hôtelière, ex cœur de ferme…
La suite et les compléments sont
… par là…
Madikéra
Bonjour,
Une série d’infos et avis parvenus en mp m’encourage à réintervenir dans les discussions et à ne pas me laisser intimider par les haros des crieurs…
Donc, je vais me repemettre de prendre position dans les discussions… Les insultes et autres vilainies reçus ne m’arrêteront plus.
Il se dit que nous n’avons fait qu’un voyage et donc que mes avis sont nuls… Avant de partir, j’ai lu, analysé… plus d’une centaine de carnets de voyage et lu des centaines/milliers de commentaires sur les voyages en Namibie en français, anglais, allemand… J’en ai fait la synthèse et quand je réponds cette connaissance m’est aussi appui.
Depuis notre voyage/retour, j’ai accompagné plusieurs personnes dans leur voyage et donc lis en ce moment divers carnets ou retours…
Tout cela fait que je me sens aussi légitime que n’importe qui à partager mes vécus, impressions et commentaires…
Merci à celles et ceux m’ayant encouragée et soutenue
Madikéra
Bonjour,
En attendant la suite, vous pouvez nous suivre sur les routes du jour 9, entre BWL et Ameib…
Trop beau ce cœur en pierre, j’adore! Merci Madikéra.
…Madi
je peux te suivre encore, que du plaisir à te lire.
Message envoyé ce matin.
Je te souhaite un bon w.end.
Biz
…
Turlututu, tu porte un chapeau tout pointu
Jour 10
Samedi 18 juillet 2015
Allez hors du lit, il ne faudrait pas croire que c’est tous les jours vacances… Il est 6h20… Un éléphant et des bulls nous attendent pour sarabander au lever du soleil… Nous attendent, probablement pas, donc en voiture… Un gros babouin se prélasse sur la route et est tout surpris de voir déjà une voiture pénétrer son domaine.
La lumière tarde à éclairer les roches mais quand elle frappe, quel bel effet cela fait… Retour à la ferme pour un déjeuner pantagruélique. Les gros estomacs gourmands peuvent noter cette adresse…
A 9h30, nous filons vers le Spitzkoppe par une belle route. Le chapeau pointu ou Cervin d’Afrique ou… se montre de loin et attire les regards. Il y a d’autres picounets pointus, comme je les aime, dans les environs. Nous franchissons la barrière du parc et réglons les 130 dollarsN d’entrée 40 ppersonne et 50 pour Monstrounette.
Direction le fameux pont à bosses et ses ronds rochers boulletant avoisinants puis arrêt à la piscine naturelle où quelques poissons tentent de survivre dans très peu d’eau probablement trop peu dans les jours suivants… Ce sont des mouvements rocheux intéressants avec une base de déjà vue. L’inconvénient premier, c’est qu’il y a du monde un peu partout, du coup le côté désert se perd…
Il y a des peintures rupestres à voir dans la zone dénommée Small Bushmen Paradise mais où, c’est ??? Car aucune carte précise ne nous a été remise. Nous voyons une voiture arrêtée dans le coin, des gens cherchent et ne trouvent rien, du coup au lieu de chercher nous pique-niquons sous un acacia en faisant bien attention qu’il n’y ait aucune épine venant se loger en nos pneus car ces épines sont très coupantes. C’est un arbre dont nous apprécions l’ombre légère mais suffisamment couvrante. Vu les photos prises par d’autres de cet endroit nous nous étonnons de ne pas avoir vu les panneaux indiquant le mur peint mais bon nous l’avons loupé.
La montagne nous plaisant le plus dans ce massif est le Sugarloaf, nous nous en approchons et répondons aux petits coucous des gens campant dans la zone. C’est un camping en zones organisées autour de toilettes sèches avec un côté très nature.
Le garde de l’entrée nous a conseillé de faire tout le tour du massif et donc à 13h25, le gardien de la porte ouest, nous laisse passer et nous demande de nous signaler en fin de parcours à l’entrée car il va les prévenir qu’une voiture part faire le tour. Nous revoilà seuls dans un superbe paysage et avec une petite route plaisante à parcourir en 4x4. Nous contournons le Spitzkoppe et nous arrêtons au petit pont naturel…
…Par là…
vous découvrirez la suite et autres éléments
Madikéra
Bonjour,
Nous avons bien apprécié notre découverte des roches de Bull’s party au petit matin…
Je vous recommande un stop à Ameib…
Matisa,
Kai aios
à l’auteur du message…
J’espère que tout va bien au milieu des tiens…
Madikéra
Bonsoir
J’ai, presque, tout compris!
Bon, je prends l’avion, demain, pour là bas.
Alors, joyeux Noel à tous!
Et à plus, fin Janvier.
Tanit
Merci, c’est gentil!
Et j’aime bien les oiseaux!
Tanit
Bonjour,
Nous avons fortement apprécié faire le tour du petit massif montagneux du Spitzkoppe…
Pour le faire avec nous, c’est par là…
Madikéra
D’une arche à un pont…
Otaries à gogo et flamands pas gagas
Jour 11
Dimanche 19 juillet 2015
7 heures, allez bout de nez sort de tes couvertures… Grrr, il fait 16°8, l’électricité est déjà partie mais l’eau chaude est encore là, chouette, chouette !
Le dimanche le petit-déjeuner est servi à 8 heures. Quasiment tous les clients sont devant la porte à 7h55 en espérant une tasse de breuvage bien chaud. Bravo, bravo ils se sont organisés pour pouvoir nous servir un pantagruélique petit-déj avec pancakes !
La nuit a été fiévrouneuse pour monsieur Madikéra mais la température en chambre n’invite pas au repos, donc nous allons partir voir les otaries de Cape Cross. La voiture sera sous le soleil et du coup, il devrait y faire moins froid. Cette journée était censée être une journée de repos puisque nous étions censés avoir vu les otaries la veille. Bon, exit repos et en route !!!
Un premier stop au supermarché nous permet de refaire les réserves et c’est route en sel dès (enfin pas si dès que cela) 10 heures.
La route s’étire parfois longuement sans rien à regarder et parfois en étant bordée de beaux paysages. Tiens, c’est jour de pêche… Il y a beau avoir des barrières et des interdictions, c’est comme partout certains s’affranchissent des obligations communes pensant que leurs droits individuels sont plus forts que l’intérêt général. L’humanité peut être décevante dans ses constantes. L’entrée du parc de Cape Cross est franchie à 11h30. Il en coûte 80 dollarsN par personne plus 10 pour la voiture.
Nous sentons que nous avons eu une bonne idée d’être pas mal enrhumés tous les deux car du coup les odeurs sont amoindries ! Monsieur Madikéra est tout de même légèrement incommodé, de plus la fièvre monte…
Les otaries à fourrure ou seal sont au rendez-vous. Elles sont très nombreuses et de nombreux bébés s’ébrouent près de leur mère. Pendant une heure nous les regardons ramper, nager, plonger, téter, crier, hurler, gronder, se retourner, se tordre la tête… J’adooore…
La suite en détails, photos et petits films est par là…
Madikéra
Bonjour Madikéra,
Sympa cette suite, merci pour les détails sur ton site. Pas de chance pour M. Madikéra, de plus, état aggravé par le froid. Très embêtant une coupure d’électricité en hiver, mais il me semble que le proprio de la guesthouse aurait pu faire un effort en allumant la cheminée.
Bonne idée l’utilisation de la laverie. Comment ça se passe. Est-ce que la lessive est fournie ou doit-on en apporter? Combien de temps pour faire une machine?
Par contre, la laverie ferme très tôt, donc un peu embêtant quand on visite toute la journée.
Vivement la suite.
Bonjour Madi,
Tu as fait un bon choix pour ton voyage de fin d’année, et te souhaite, ainsi qu’à Monsieur, de bonnes fêtes.
A l’an prochain pour te lire à nouveau
…
…
Bonjour Ticapi,
La ville s’agrandit et donc d’importants travaux étaient en cours sur le réseau… Le dimanche était choisi comme jour de coupure générale pour impacter au minimum les activités…
Si il y avait eu du courant, nous aurions fait laver au Secret… Nous avions choisi ce lieu car une laverie était annoncée. Mais quand nous sommes arrivés le samedi, il était trop tard et le dimanche pas de courant…
La lessive n’était pas comprise mais il y en avait sur place… D’accord avec toi sur les horaires un peu short de la laverie…
Il est rarissime qu’un de nos voyages au froid se passe sans pb de rhum !!!
Belle suite de prépa à vous
Madikéra
Bonjour Calolu,
Merci
Avant j’espère publier encore au moins une journée de ce carnet, peut-être deux !!!
Belle fin d’année à vous
Madikéra
Bonjour,
Nous avons bien apprécié de pouvoir être en toute toute proximité des otaries à fourrure de Cape Croos.
Elles sont renuantes, criantes, gigotantes… à souhait…
Vous pouvez les voir …par là…
Bonjour,
Après les otaries, la côte vous montre ses flamands…
Walwis bay ne nous a pas donné envie de nous y attarder mais peut présenter l’intérêt d’être au point de départ de certaines excursions…
Madikéra
Bonjour Madikéra
Je viens de lire ton carnet ,tu as drolement avancé, je vais devoir, prendre le temps d’aller sur ton site pour voir ces superbes photos que je viens d’entrevoir!
Mimi ces otaries!!! que c’est bien d’avoir le nez bouché pour éviter les odeurs mais tu le savais déjà!!
Alors ces flamands, un peu pâle peut-être, il en existe différentes espèces en namibie??
A bientôt pour la suite!
Bonjour Marimi,
Tous les flamands vus étaient de ce registre, à Walwis Bay et plus bas à Luderitz. En général le dessous des ailes est bien rouge. J’ignore s’il en est d’autres sortes en namibie.
Je suis en train de terminer la 12ème journée du voyage, soit la journée centrale de nos 23. J’en ai encore pour qqs mois avant de tout finir… En même temps raconter un voyage vécu ce n’est pas comme une prépa, il n’y a pas de dead line…
Belle fin de carnet à toi aussi
Madikéra
Rampe au dessus d’un désert wellvichien
Jour 12
Lundi 20 juillet 2015
Au réveil à 6h30 il fait 16°2 et Monsieur Madikéra est toujours HS, même si cela va un peu mieux. Le petit déjeuner est bien copieux avec divers pains. Avant de partir, je discute avec les propios à partir d’un panneau triangulaire peu fréquent !!! Ils ont une Teddy…
Première étape du jour, direction l’office du NWR pour acheter le permis pour le parc du Namtib, ils ouvrent à 8 heures. C’est ‘à ppersonne plus 10 pour Monstrounette.
Deuxième étape, une pharmacie où nous nous ravitaillons en divers médicaments pour 340 dollarsN. Cela nous apparaît bien cher vu le niveau de vie local. Tiens une boutique de souvenirs où des petits riens un brin sympas nous envoient des signaux positifs. Allez zou, un échantillon complet de dessous de verre et qqs autres babioles et 669 dollarsN changent de main. A posteriori je regrette de ne pas avoir pris plus de choses car c’est un des seuls endroits où il y avait un choix nous donnant envie de babioler.
Bye, bye Swakop à 9h30 et le volant pour madame car monsieur est incapable de garder les yeux ouverts. La première étape du jour est la Welwischia drive, une route dédiée à cette plante et permettant de forts beaux points de vue sur une zone moonante. Notre secteur préféré fut celui allant de 8 à 12, il est fait dans un sens puis dans l’autre car la route est en cul-de-sac (enfin presque…). C’est une plante rampounante de désespoir aqueux. Il est possible qu’il y ait qqs milliers d’années, elle s’élevait fièrement vers les cieux d’une zone nettement moins aride. Bravo à elle d’avoir su si bien s’adapter et survivre malgré la dureté.
Au point 12, il y a la plus ancienne, années, visible par le public facilement. C’est assez troublant de voir des bébés de quelques dizaines d’années et cette pachidermique vieille Mamma. A 11h30, nous repartons de notre rencontre avec cette encagée pour la protégée et en 40 minutes la route principale C… est atteinte. Nous avons croisé qqs voitures au long de cette drive mais rien de bien massif et rien pour vous enlever l’idée que vous êtes en plein désert.
Pendant la prépa, la question des tinkas s’était posée: nous y allons ou pas. Je ne me sens pas l’âme d’aller conduire sur une piste beaucoup plus complexe que celles empruntées depuis le matin, donc la réponse devient ou pas…
Infos détaillées, suite, photos et petits films…
sont par là…
Madikéra
Bonjour,
J’ai beaucoup aimé les welwitschias, plante découverte lors de ce voyage.
Elles vivent dans un terrain particulièrement hostile, fleurissent et continuent à se développer d’année en année pouvant même arriver à dépasser le millénaire…
Chacune a assez d’espace autour d’elle pour se développer sans chercher à détruire les autres.
Elles sont la preuve qu’on peut résister aux attaques, au mauvais climat ambiant, à la vilainie des éléments… En ce sens, elles sont donneuses de courage et porteuses d’espoir…
A toutes et à tous, je souhaite une année 2016 faite de beaux et bons moments de joie, de découvertes, de rencontres, de sérénité…
ps: ce carnet est à l’arrêt le temps que je développe le washingtonien…
Bonjour Madikéra
Ces plantes sont vraiment curieuses, mais si les grands, grands… mères sont peu avenantes si ce n’est leur âge, les presque jeunes sont particulièrement impressionnantes, dans ce désert, on dirait des boutons prêts à éclorent!
Très bonne année et santé surtout pour 2016
Nous avons eu la chance de les voir en fleurs… et donc avec de bien jolis boutons porteurs d’espoir…
C’est assez incroyable de se dire que cette plante arrive à produire de si jolis fleurs avec si peu de moyens de survie.
Pour l’instant, la mise en ligne de photos est bloquée sur les forums… Cela devrait revenir la semaine prochaine d’après le courriel des techniciens du site…
Bonheurisante année à toi et aux tiens
Madikéra
rien ne va plus sur le Routard.
Je te souhaite, ainsi qu’à Monsieur Madikéra, une bonne année et bonne santé, et pleins de bonnes choses.
Mes voeux également à tous les lectrices et lecteurs de ce forum.
…
Bonjour,
En attendant la repirse de ce carnet vous pouvez parcourir nos routes du 12ème jour nous menant de Swakop à Solitaire…
Madikéra
Papillesque journée en mode vino-braaï
Mardi 21 juillet 2015
Le nez hume et se dit “Une douce atmosphère” à 18°6, nous pouvons sortir des lits, même s’il est encore tôt à 6h45. Ce sont des vacances sans trainouilleries… Nous avons coupé le chauffage dans la nuit car il desséchait l’air ambiant.
A 9h30, le tour du Naukluft s’entame et aucune envie de faire un arrêt rando n’émerge, donc ce sera vino… A 10h30 nous prenons la D850 et doublons des tops courageux qui font la route à vélos. Je dis bravo de supporter la poussière ambiante et surtout celle levée par les véhicules. Plus loin, nous croisons tout un groupe à vélos, cela semble être leur activité du jour.
L’entrée de la petite winery du désert, Neuras, est atteinte à 11h40. Nous parcourons le domaine avec la toute nouvelle gérante, en poste depuis le premier juillet. Le couple se partage les activités : lui la vigne, elle l’accueil des visiteurs et la gestion…
Elle nous raconte l’histoire du verger et comment l’ancien propriétaire avait tenté de faire du vin pour lui puis pour le vendre. L’endroit bénéficie de sources abondantes et du coup la végétation est luxuriante. La fondation Naankuse l’a racheté en 2012 et agrandit la partie vigne. Un célèbre œnologue sud africain les aide à améliorer la qualité du vin pour en faire une référence… On peut dormir sur place.
Elle nous parle aussi de leur installation dans le secteur, les interrogations quant à la vie si loin de tout, le problème de l’école pour les enfants (plus d’une heure de route pour y aller)… Elle est sud-africaine et son mari namibien. Son mari nous explique le pourquoi des chiens présents dans la maison. Chaque enfant en a un qui lui est attribué et qui le suit partout surtout lorsqu’il sort. Les chiens surveillent les alentours et en particulier vérifie la non présence de serpent. Il y a plus d’une trentaine de variétés sur le domaine dont au moins un mortel rapidement. Ce sont donc des doggynanny.
Nous terminons la visite avec une dégustation des deux vins de la maison (à base de Petit Verdot) + du Port(o) le tout avec crackers, fromage et raisin puis café. Les serveuses sont également fort souriantes et nous bavardons un peu avec elles. Nous repartons avec du Port (150) et du brandy (200). Le tout nous revient à 980 dollarsN, la maison accepte les CB. La visite avec dégustation est à 280 ppersonne.
C’est une halte qui nous fut vraiment sympa et que nous recommandons. Certes, le vin n’est pas extraordinaire mais correct, voire bon pour le Port. Ce qui nous a plu c’est l’ambiance, le tout petit lac avec sa barque, les citronniers… bref l’atmosphère. Nous avons aussi été très heureux de changer de style d’activité et d’être en mode visite. A 13h40, nous reprenons la route vers les dunes… et les atteignons en un peu plus d’une heure.
Notre bungalow, le 15, est face à la savane vide et permet de regarder vers le point d’eau sans âme qui vive sauf des humains et des statuts leurres…
Nous envisageons d’aller voir le coucher de soleil sur une dune mais le gardien de l’entrée nous dit que ce soir le ciel est couvert, donc qu’il n’y aura rien à voir, que nous devons payer l’entrée comme pour la journée… bref nous renonçons. Le soleil couchant fut, en effet, sans attrait. Cependant, nous aurions tout de même dû aller voir une dune même si la lumière était mochos, ou le canyon de près, un petit regret donc l’explication viendra avec la prochaine journée…
Je me renseigne pour savoir si l’hélico vole demain mais c’est non…
Nous terrassons en buvant des cocas et grignotant les gâteaux achetés à Solitaire ce matin, avant d’aller tester ce fameux top buffet qui a fait que nous dormons dans ce trop luxueux lieu pour nous. Quelques animaux passent dans le lointain. Un bémol, les tables sont attribuées et dressées en extérieur or il fait frisquet. Notre serveuse est bavarde et nous parlons du travail. Le braaï propose une huitaine de sortes de viande, des légumes, du poisson… Il y a un côté, grand buffet de grand hôtel touristique qui nous déplaît mais bon cela permet de déguster des viandes que nous ne verrons que là: blue, zèbre… Est-ce un impératif d’y dîner ??? Disons qu’y loger pour y dîner est d’un coût bien trop élevé mais y dîner en campant, pourquoi pas…
C’est un bel hôtel qui sent un certain niveau de luxe, on vous accueille avec un verre de jus, plein de monde est à votre service… mais c’est à un niveau grand format anonyme ne nous plaisant guère.
Toutefois, la chambre semi-tente vous outafricaïse… C’est chouette… A noter, cependant, le service à thé n’est pas en argent… C’est un peu dommage, tout de même !
Et un tour par la réception où toutes les places assises sont occupées par de multiples porteurs d’ordi et téléphones. Qui a dit qu’il était facile, voire nécessaire, de couper les ponts avec le monde pdt les vacances, pas moi !!!
Aucun animal au point d’eau… Donc, les yeux se ferment dans une chambre bien chauffée et le marchand de sable répand une poignée ocre, rouge, orangée…
La mise en images arrivant progressivement et les détails,
sont par là…
Madikéra
Merci à toi pour cette suite! Je vais aller voir les photos sur ton site.
Bonjour,
Je pense qu’il faut montrer une certaine prudence dans les recommandations qui sont données à propos de la Neuras Winery!
Par honnêteté envers les futurs voyageurs, je me sens obligée de réagir!
Nous avons déjà échangé à propos de la Neuras Winery dans mon carnet 2015 “Nous reviendrons en Namibie”, où j’écrivais ceci :
"La petite Neuras Winery, perdue au milieu des autruches : Bof bof…
A 10h du matin, accueil par une fille mal réveillée, peu motivée, qui sert en «dégustation» 2 vieux fonds de bouteilles d’un vin rouge à moitié piqué (leurs 2 productions : un shiraz, et un mélange shiraz/cabernet/verdot)
Pour nous qui vivons dans une région viticole digne de ce nom (…), amateurs de bons vins et dotés de papilles plutôt exigeantes, il fut impossible de dépasser la 1ère gorgée !
Nous payâmes (malgré tout) et saluâmes poliment, avant de prendre congé sans acheter.
Des goûts et des couleurs…"
Pour résumer :
L’accueil fut déplorable, la responsable restée dans son bureau à l’arrière n’a pas daigné lever ses fesses de sa chaise, et les deux employées derrière le comptoir ne connaissaient strictement rien aux produits de la cave. Aucune proposition de visite, dégustation réduite au strict minimum.
Les deux vins rouges tenaient davantage d’une infâme piquette propre à déclencher des aigreurs d’estomac que d’un vin digne de ce nom. Ils peuvent faire penser à certains breuvages low cost en tetrapack…
Nous n’avons goûté ni Porto ni Brandy, on ne nous les a pas proposés mais finalement nous n’avions pas envie de nous attarder.
Donc, prudence!
On peut s’y arrêter par curiosité… et on peut avoir de la chance ou pas quant à la qualité de l’accueil.
De plus , la piste d’accès n’est pas très sympathique…
Bilan : je doute que le détour soit à recommander pour les amateurs de bon vin!
Pour le vin, il vaut mieux déguster de bons crus Sud Af’!
Cordialement,
Patou
Pour nous, la Neuras Winery n’est pas au programme, mais nous avons des amis qui l’ont également visité et bien aimé cette visite. Je ne pense pas forcément pour la qualité du vin, mais pour changer un peu les visites et pour découvrir autre chose, un peu plus inhabituel en Namibie. Si j’ai bien compris Madikéra, elle non plus n’a pas énormément apprécié les vins, bon mais sans plus, mais aimé la visite dans son ensemble. Nos amis avaient trouvé l’accueil très sympa, tout comm Madikéra, ceci explique certainement les diferentes opinions.
Pour nous, comme déjà écrit, pas de visite de la Neuras Winery au programme, nous préférons faire des randonnees dans la région. Chaqun ces goût.
Bonjour Madikera
Et donc voilà la suitechouette!
Une belle journée ma fois et le site de la Viney semble très agréable! dés qu’il y a de l’eau la végétation ressort et au milieu de ce désert cela doit paraitre rafraichissant. Dommage que le temps ne vous ait pas permis d’aller jusqu’au dunes! Et puisc’est toujours pareil ils profitent d’un lieu touristique pour faire payer lajournée puis le soir en plus!Dommage que l’atmosphère ne soit pas très agréable mais dans ce milieu là!!!
Bon je vais allé sur ton site voir ces belles photos!
A bientôt
Eh oui le ressenti des uns et des autres dépend parfois de peu de chose!
Tout dépend de ce que l’on cherche et Madikéra a bien profité du cadre de ce site et de l’atmosphère! Y goûter un verre de vin ça change de la bierre, et c’est tout! Bonne continuation
Bonjour,
Apparemment on ne peut garantir la qualité de cette visite, trop aléatoire.
Nos 2 employées, scotchées derrière leur guichet, n’ont même pas été capables de nous dire quels étaient les cépages utilisés (nous les avons lus sur les étiquettes). Plus maladroites que désagréables, peu motivées (pas de patron à l’horizon).
Moi qui avais insisté pour faire un crochet ( “tu verras, il paraît que c’est chouette”) avant d’aller randonner dans le Naukluft pour faire le début de la Watertrail.
Erreur!
Carmen ton programme est le bon : IL VAUT MIEUX CHOISIR LA RANDONNEE!
Mon époux a grogné toute la journée… - Nous n’avons pas l’habitude des mauvais vins-.
Il s’est proclamé “Neuras-thénique” et “Neura(s)-llergique”!
Oui, des goûts et des couleurs…
Heureusement que le forum est là pour qu’on puisse exprimer la variété des expériences et des avis.
Cordialement,
Patou
Bonjour,
Il est bien certain que le vécu des activités diffère d’un personne à une autre à la fois par rapport aux paramètres individuels mais aussi par rapport aux circonstances différentes… C’est pour cela qu’un forum où l’esprit d’ouverture règne permet l’expression d’avis différents et donc offre un panel analytique large aux futurs voyageurs…
Bien évidemment, nous ne sommes pas allés à Neuras pour y déguster des grands vins ! Nous savions bien que ce ne serait pas le cas et je n’ai jamais dit que ce fut le cas.
Nous y sommes allés pour découvrir qqchose nous intrigant: un petit vignoble au milieu du désert né des rêves d’un homme. C’était un autre type d’activités que celles faites jusqu’à ce jour en ce voyage. Nous apprécions de faire des activités variées au cours d’un voyage.
L’endroit nous a bcp plu: le petit lac, les bébés vignobles, la mini cave… Nous avons fortement apprécié la visite, beau moment d’échanges et de rires. Des amis allemands y étaient le mois dernier et ont aussi bcp apprécié.
Lorsque nous sommes arrivés, c’est nous qui avons dit que nous souhaitions la visite. Il y a un panneau à l’entrée et on choisit ce qu’on veut faire… Les deux jeunes femmes qui nous avaient acceuillis ne sont pas en charge du vignoble et des vins mais de la cuisine, du ménage… et c’est certain qu’elles n’en sont pas spécialistes. Mais avec elles aussi nous avons bien ri pdt la dégustation.
Le Port ne fait pas initialement parti de la dégustation mais la sympathie relationnelle peut ouvrir bien des portes ou des bouteilles…
Aller là, était aussi notre manière de porter notre obole soutenante à une fondation nous intéressant: N/a’an ku sê - puisque cette fondation est propriétaire du lieu depuis qqs années et voit dans la vente des vins de Neuras une source de financement pour ses autres activités. Nous avons rapporté deux bouteilles et les avons bu avec deux “bons” amateurs de vin dont un oenologue professionnel qui a été très intéressé par le brandy. Ce n’est pas toujours le cas avec ce que nous ramenons de nos voyages. Parfois, il goûte à peine !
La route pour y aller n’est pas dans les pires prises en ce voyage même si elle n’est pas non plus dans les plus tops.
Nous avons toutes et tous des expériences différentes… Après chaque nouveau voyageur fera son tri entre les possibles et vivra les siennes…
Bon apéro à tout le monde
Madikéra