Des infos sur ce projet ou c’est tomber à l’eau ?
non ca n’est pas tombé à l’eau, perso j’essai de réunir du monde et de continuer, pour ceux que ca interesse je recherche une dizaine de personne pour partir, peut-etre pas dans l’immediat, car il faut d’abord que chacun expose sa vision du projet puis nous verrons bien à ce moment là. Pour l’instant j’ai eus quelques réponses assez motivées.
plop plop,
Etant petit j’ai eu la joie de pouvoir vivre 1 an sur un voilier et de traversé l’atlantique et de voir pas mal de île non habiter et depuis ce jour je ne veux que partir sur une île et quiter cette societé.
Pourrais tu me faire pars de tes idée par mail stp
Zamo59 @msn.com
Bye
Salut a tous! Moi aussi je suis interressé par votre projet. J’ai essayé de contacter plusieurs membres pour me tenir au courant…
J’en ai marre de cette société de merde ou on est des marionnete. On nait, on travaille (on souffre) et on meur!
Je suis content qu’il en aai d’autres qui pensent comme moi.
Bonjour je m’appel badra et j’en marre de cette vie je me sent en prison j’ai envie de tous laisser tomber et de changer de vie donc si il ya des gens qui cherche des volontaire je suis prêt a tout pour partir je voulaisse mes cordonnées et n’hésiter pas me contacter pour mon facebook c’est badra belaid et pour mon addresse mail c’est badrabelaid@gmail.com merci a bientôt j’espère !!
je suis d’acord avec toi, fait moi signe quand tu auras trouvé l’iles, je pars avec toi…
J’ignore si les gens postant leurs messages d’adieu a la société les écrivent suite a un coup de blues mais si cela est sérieux, et sans retour, alors je serai des votres, et avec grand plaisir.
Je rajoute mon grain de sel: Pour etre libre, il faut s’évader du système, de cette société dirigée par ces bergers fous. Nous sommes nés moutons, nous vivons moutons… vous voulez mourrir moutons?
Réveillez vous et cassez vous!
Peace, Love, and Freedom.
Ced.
ps: Ya pas que les iles désertes. La montagne et la foret sont belles. Mp moi.
salut à toi, ou à vous plutot! je me rend compte seulement à mes 26 ans, sur un coup de “vas-y essai!”,ne pas étre le seul à me lasser de ce monde si artificiel. ta façon d’exprimer cette lassitude m’a attiré. je croyais juste étre le seul “trou du cul” avoir des idées si étranges, et qu’est-ce que je trouve ce 6 juin 2010 sur ce site,vous! je ne trouve mon bonheur,ni dans la télé,ni la “mode”,ou encore la voiture,l’argent, etc…
alors Wolfisca,étant la première fois où je reponds de cette manière à ce genre de chose,je compterai sur tes réponses pour “m’éclairer” le chemin à parcourrir. (avec ton accord bien évidement)
Merci à tous ceux qui,par leur présence,me donne soudainement cette impression d’étre compris!!!
Salut wadda, je lui ai envoyé un message il y a peu de temps tellement son message montrait sa motivation… mais l’email est mort. Donc si ce n’est pas un fake wolfisca, merci de changer ton adresse pour que les gens puissent te contacter.
Et oui wadda, dur de croire quand on se rend compte que notre vie n’est qu’illusion. L’argent n’est plus monnaie d’échange, elle est devenue notre vie. Et même quand tu le sais, quand tu l’as appris, il est dur de quitter cela tant la peur de perdre ce que tu as déjà est grande. Et cette peur nous dit au fond de nous: “Mais non!! arrete! Tu penses n’importe quoi, tu es bien ici…” Et on capitule, lâches que nous sommes. Et nous mourront aussi tristes qu’une feuille morte.
Je suis en accord total avec une phrase de Tyler Durden dans le film Fight Club: “c’est seulement lorsque tu as tout perdu que tu es libre de faire ce que tu veux”.
Alors le chemin a suivre? Haha! Perdre son confort, perdre ses études, perdre ses ambitions professionnelles, perdre tes besoins futiles, perdre cette illusion de vie dans laquelle tu es né, perdre tes convictions conceptuelles d’homme civilisé, perdre les proches qui ne sont pas prêt a ouvrir les yeux et a te comprendre… Perdre ta vie morose, tout simplement pour une vie pleine d’aventure, de rencontre et de sérénité.
Dur. C’est un chemin qui me semble long et semé d’embuche, mais après etre partis et revenu plusieurs fois, je pars bientot pour une durée indéterminée. Avec mon sac a dos, en stop, je rejoinds des gens en Car qui vont au Maroc. Je m’arrete dans les pyrénées et ensuite, j’improvise. Les cevennes et les pyrénées sont deux des plus beaux endroits d’Europe (du monde?) ou avec de la demmerde, tu peux d’auto-suffire. D’ailleurs, il existe plusieures communautés/groupes qui vivent là depuis des décennies, en marge du système, dans la montagne… en pleine nature. Mon rêve de gosse.
Ca me fait peur, mais… je dois le faire. Vous savez, tu sais amigo, je ne veux pas etre de ceux qui sur leur lit de mort regrettent de ne pas avoir fait les choses qu’ils voulaient faire au moment où ils pouvaient le faire. Peut etre que je reviendrai finalement, mais je dois le faire.
Encore une phrase pour toi: “Tous les hommes meurent un jour, mais peu parmis eux vivent vraiment.”. Méditation oblige!
Si tu veux me contacter, envoie moi un mp. No soucis.
Peace, Love, and Freedom.
Ced.
salut à vous,je crois découvrir ça avec retard et pense avoir besoin d’en savoir beaucoup plus. si certains de ceux qui participent à ça pouvaient me décrire votre projet. cedric si je comprend bien vous partez bientot!!?
Mon projet est simple wadda, la nature, le voyage, les rencontres, l’apprentissage de la vie simple, l’aventure.
Tu habites dans quel coin? Je pars du nord le 16, en stop direction l’ouest, puis le sud, et apres…
Toi, tu voudrais faire quoi? (question simple mais qui a toute son importance)
Bon, pas de réponses. C’était surement un coup de blues qui vous donne envie de partir, dommage que vous ne l’ayez pas fait… vous en aurez encore, c’est certain.
Je pars demain de Lille, en direction Limoges. Apres plusieurs haltes dans les coins de notre pays, je devrai me trouver dans les Pyrénées orientales aux alentours du 1er juillet.
Si des gens ont les couilles de quitter leur train train quotidien, alors contactez moi, peut etre se croiseront nous en route pour rejoindre des groupes de personnes vivant seuls et a l’écart de la société dans les belles montagnes que nous offre Dame Nature. L’aventure…
Peace, Love, and Freedom.
tiens j’habite à Limoges ^^, j’ai 20 ans et je suis pas encore décidé à partir, c’est à dire que je passe des concours début juillet, et si je n’ai pas les écoles qui me permettront de faire ce que j’aime faire comme métier, alors je partirais, mais moi je serais aussi plutôt forêt montagne, mais surtout voyage, mais je voyagerais à pieds, car le cheminement est bien plus important que l’arrivé ^^ mon pari sera alors de faire le tour du monde à pieds (ou vélo peut être), sauf bien sur pour les mers et océans ^^ et peut être dans 10 ans ou 20 ans retrouver les gens que j’ai connu
tiens j’habite à Limoges ^^, j’ai 20 ans et je suis pas encore décidé à partir, c’est à dire que je passe des concours début juillet, et si je n’ai pas les écoles qui me permettront de faire ce que j’aime faire comme métier, alors je partirais, mais moi je serais aussi plutôt forêt montagne, mais surtout voyage, mais je voyagerais à pieds, car le cheminement est bien plus important que l’arrivé ^^ mon pari sera alors de faire le tour du monde à pieds (ou vélo peut être), sauf bien sur pour les mers et océans ^^ et peut être dans 10 ans ou 20 ans retrouver les gens que j’ai connu et voir ce qu’ils sont devenus
Re salut, désolé de répondre si peux que ça.
De 1, parce que mon compte est lié à un email secondaire sur lequel je ne vais pas souvent.
De 2, parce que j’ai un boulot et qu’il m’arrive souvent d’oublier ce que j’ai dit dans mon gros post d’il y a plusieurs mois. Heureusement je me remémore régulièrement mes désirs profonds.
Non ce n’était pas un fake, j’ai toujours l’intention un jour de partir. Cet été je pars en randonnée pédestre en montagne 1 semaine, parce que j’en ai grand besoin pour ma santé psychique.
Pour le projet de longue date, c’est toujours en vue, mais il faut bien tout considérer, ne pas se lancer sans étudier tous les risques et assumer. Je pense qu’il faut faire ça progressivement et de manière régulière.
Je vais voir le groupe facebook ce que ça donne.
Salut Claude!!
J’arpente les forums 'le déserte" en tout genre depuis un bout de temps maintenant. contacte des gens pour tester leur motivation et leur serieux et m’essouffle pour finir.
Les réponses sont “on verra bien la bas”.
J’ai envie de partir à l’aventure mais pas non plus aller me suicider au paradis.
J’ai lu tes messages et tu me parais la personne la plus sensée de ce forum peut être du à ton age et ton expérience.
De plus, ça me remonte le moral de savoir que des gens ont déjà vécu sur des iles désertes même 3 mois et que c’est donc possible.
Pendant tes 7 ans à la reunion de quoi vivais tu?
Voila je te laise ce message sans vraiment encore rentré dans le sujet.
Si tu me reponds je t’expliquerai plus mon projet.
merci et j’espère à bientôt.
La réponse à vos interrogations se trouve peut être ici, ce soir sur arte :
http://www.programme-tv.net/programme/culture-infos/2255826-c-etait-l-ile-de-nos-reves/
Vous verrez ainsi se dérouler en accéléré l’expérience que vous voulez vivre et cela vous donnera certainement de nouvelles idées (ou une envie de renoncer, qui sait !).
Partir vivre sur une île, en forêt, en communauté ou en ermite n’est pas une idée nouvelle ; il est bon d’apprendre, en particulier des réussites et des erreurs des autres passés par là, avant vous. Vous aurez toujours le temps de “peaufiner” ensuite.
Rick
Je te remercie de ta suggestion ricky. cependant, j’arrive trop tard sur ce message nous sommes le 19 juillet.
peut être le site internet arté rediffuse l’émission je vais me renseigner dès ce message terminé.
Je suis bien conscient qu’il faut discuter avec des gens de ce genre d’expérience extrême et c’est bien pour ca que je tente de contacter des gens mais rien ne se passe.
Même claude ne réponds pas mais apparemment il n’est plus actif sur ce forum depuis 2 ans.
Je ne compte pas partir comme un taré et aller me tuer au bout de 2 jours.
C’est pour ca queje recherche des gens serieux mais à mon avis ce forum regroupe que des ados boutonneux qui ont juste un ras le bol passager et qui n’ont pas envie vraiment de s’engager. les gens serieux sont déjà partis à mon avis.
En tout cas, merci de ton message.
A tout hasard mon mail c’est carpentier-laurent@hotmail.fr
A bientôt!!
Voilà le lien direct vers la video, dispo pendant 7 jours : ARTE, the European culture TV channel, free and on demand
Mais c’est pas la grande aventure ! Où qu’elle se passe la vie en communauté repose sans cesse la même
question: comment vivre ensemble ?
J’allais justement poster le lien ARTE à tous les gens soi disant interessés. par ce type de vie.
La question est evidemment comment vivre ensemble?
Mais c’est aussi comment vivre en accord avec soi et de manière saine ?
La dimension écologique se rajoute donc et puis j’ai envie de me confronter à terre mère pour avoir plus de respect envers elle.
Tout le monde devrait faire un an de voyages et de decouverte de notre caillou pour s’emerveiller et changer.
Merci une fois de plus à ricky.
Comme beaucoup, je ne suis également pas satisfait du système actuel, système qui s’est malheureusement mondialisé, donc sans échappatoire. (sauf dans certains coins d’Afrique, mais clairement pas ma culture)
Cela fait désormais quelques temps que j’ai compris que la consommation à outrance n’était clairement pas mon bonheur, que j’aspirais d’avantage à une vie sans soucis qu’à une vie luxueuse.
Je ne suis pas spécialement écologiste, mais je rejette complètement la vie urbaine, trop stressante, de taille inhumaine, sans âme et de plus en plus violente.
On a beau tenter, malgré nos idées, de se mettre à l’écart des mouvements sociétaux, de vivre tranquillement dans son coin, il ne se passe pas quelques jours avant que l’on soit rattraper par la société, d’une manière ou d’une autre.
Je ne me sens pas libre, et je commence doucement à saturer.
Alors oui, abandonner cette société me plairait, j’aimerais faire partie d’une communauté et m’exiler, pour une vie plus simple.
Mais comme beaucoup, j’ai aussi certaines peurs.
Comme tout occidental, j’ai l’habitude d’un certains confort de vie, et j’appréhende le moment où peut être, j’irais sauter le pas.
Mais je suis prolétaire, donc pas grand chose à laisser derrière moi.
J’ai 25 ans, aucune expérience du système D, et ne pense pas pouvoir y arriver seul, d’ailleurs je pense que c’est suicidaire de faire ce genre de projet seul sur le long termes, il faut être quelques personnes je pense.
Je n’ai aucun projet clair en tête, mon but est simplement de m’écarter du système sans forcément couper tout les ponts(travailler de temps à autre dans le système capitaliste, pour m’acheter deux trois trucs utiles, me parait appréciable), de vivre dans un endroit naturel joli
Malheureusement, le fil date de 2006, et ça n’a pas l’air d’avoir bougé d’un poil.
Je suppose que beaucoup parlent mais n’ont de toute façon aucunement l’intention de le faire.
J’ai du mal à lire les intentions des posteurs sérieux, vous souhaitez vivre en totale autarcie(donc revenir à l’âge de pierre) ou garder quelques échanges avec le monde, afin de garder un minimum d’outils modernes?
Dans tout les cas, il ne faut pas se lancer à l’autre bout du monde directement, il existe des coins isolés en France, parfait pour voir si ça passe ou pas.
Un bon message que le tien galalua.
Tu as envie de voir ce qui peut se faire d’autre que le système ultra libéral dans lequel nous vivons et en même temps tu es très lucide sur tes capacités et ta possibilité de détachement à cette société qui t’a vue grandir.
Par dessus tout tu as envie de créer un groupe uni avec qui tu pourrais partir sans crainte et c’est le plus important plus important encore que son couteau suisse. tu es lucide quoi changer de vie oui mais aller se suicider non.
J’ai contacté beaucoup de gens certains ne repondnt pas. ceux la je les classe dans les ados boutonneux qui ont eu un ras le bol passager.
D’autres te répondent et ensuite quand tu rentres dans le sujet ils te disent on verra bien la bas ou alors ne te repondent même plus.
A tout hasard je te passe mon msn carpentier-laurent@hotmail.fr
A bientôt j’espère!!
Salut, je partage aussi ce que dis Galalua.
Je suis parti il y a quelques mois en Amérique du sud seul;, espérant trouver des réponses et peut être y vivre.
Je me suis vite rendu compte en me retrouvant dans un village paume du perou que c’est évidemment faisable de vivre comme cela mais ce n’est pas ma culture, je suis européen et de plus étant habitue a un style de vie occidental, il est assez déroutant de changer du tout au tout. De plus je me suis rendu compte que en tant qu’européens, notre place est en Europe.
Je me suis rendu compte en plus que fuir n’est pas la solution par contre partir en routard pour voyager et découvrir une autre pensée et d’autres cultures est très bon. Le travail est de faire changer les choses ici et surtout de ne pas etre une VICTIME mais de comprendre le système afin de pouvoir en jouer et aussi de pouvoir faire changer les choses, éveiller tout ces gens qui dorment dans cette prison des médias.
Voila mon message, merci.
… mais je lis des choses pertinentes et vraiment ressenties sur l’enfilade qui s’ensuit.
Bon 95 % vont décrocher parce que
- Ce n’était qu’un coup de blues et ils se sont (ré)adaptés à leur vie médiocre.
- l’énormité de la tâche les a vite dépassé.
Parce que, mine de rien, le projet n’est pas fou (et il y a réellement des îles désertes habitables). Ce n’est pas un fantasme d’ado que la puberté travaille (où bien je suis toujours, à 62 ans, un ado, malgré ma vue basse et mes artères, mais que la libido ne travaille plus).
Seulement, autre problème, ce projet ne peut se monter seul. Il faut une démarche communautaire. Oh, très pragmatique, et pas dirigée par un gourou mystique. Seulement voilà : on est dans une époque de “séparation achevée”, d’hyperindividualisme, d’opposition inculquée entre les tranches d’âge (“les jeunes écoutent de la musique de jeune, les vieux, de la musique de vieux”, m’affirmait un jeunot de 17 ans). Donc il y a un GROS travail psychologique à faire. A méditer sur la phrase de Bakounine “la liberté des autres étend la mienne à l’infini”.
Ceci résolu (mais je n’ai jamais rien vu qui atteigne ce stade) il y aura des vissicitudes matérielles : du savoir faire, un minimum de picaillons disponibles.
Et, bien sûr, de grandes discussions pour décider de ce qu’on a envie de faire et vivre en commun.
Autrement dit, mes biquets, pas du tout dans l’air du temps.
Anecdote : je tombe un jour jour une annonce émise par un jouvenceau vingtenaire qui se pose la question (je résume) : “je viens de passer mon bac et puis quoi faire après ? Des petits boulots ? bof ! Des vagues études qui mènent à rien ? re bof ! J’aimerais faire un grand voyage avant pour me permettre d’y voir clair”. Je lui répondis que j’avais un voilier de 10 m et qu’on pourrait, pour commencer, faire un petit tour d’essai aux Baléares et si le bateau et le capitaine lui convenait, on pourrait envisager d’aller plus loin. Bien sûr je n’ai pas eu de réponses. Idem pour des tas d’autres annonces. Pourtant j’avançais prudemment et de façon minimaliste.
Qui a écrit “Il faudra se résoudre à mourir seul” ?
Je ne pensais pas avoir des réponses aussi rapides.
Je vais me créer un compte msn pour prendre contact avec toi.
Pour répondre au dernier commentaire, le voilier est mon rêve à la base, mais clairement pas les moyens de m’en payer un, et partager un espace aussi réduit ne m’enchante pas trop, question de vie privée.
Dommage car c’est la solution idéal entre confort de vie et liberté, qui plus est possibilité d’être autonome, ce qui simplifie méchamment l’organisation du truc.
Tiens!
Phiildar60 est revenu de ses peregrinations.
C’est toi qui m’a fait découvrir le village de saul. je me suis renseigné sur ce lieu et me suis rendu compte que ce n’était pas si rose tout de même.
Les orpailleurs sont de plus en plus nombreux et de ce fait il y règne un climat étrange. De plus, les villageois se mettent à faire du commerce avec eux.
De plus, je pensais qu’on se situait dans un système hippie ou l’argent n’avait pas sa place mais en réalité cela reste un village juste eloigné de tout mais avec un système monétaire.
Phildar, tu es revenu et tu t’es rendu compte donc que la vie à l’autre bout du globe n’atait donc pas possible culturellement parlant.
Je t’ai envoyé des messages msn je crois resté sans réponse mais tu devais être encore en route.
L"idée de l’ile déserte me trotte toujours dans la tête mais elle s’épuise tout de même à force de ne pas trouver des gens avec qui seulement en discuter et ne pas le voir comme une utopie irréalisable. Ne faire qu’en discuter c’est déjà partir un peu mais les gars de 17 ans n"ont pas assez de corrones pour ca.
Ca parlemente ca palabre sur le forum du routard mais dès qu’on essaye de planter le décors y a plus personne ce qui m’ammène à ANTLIA. VAZ Y expose toutes tes idées y’en aura au moins un qui suivra avec attention. j’arrête le message la car je n’ai pas le temps de m’etaler plus ce soir.
A bientôt j’espère!!
Ou plutôt non je desespère…
… mais il faut bien reconnaître que c’est un goufre à fric, surtout maintenant. Et pire que ça : dans des pays où la vie n’est pas chère, tout ce qui concerne les bateaux c’est encore plus cher qu’en Europe, ce qui n’est pas peu dire. J’en parle en connaissance puisque je suis revenu (depuis avril) d’un périple de deux ans en Amérique du sud (vous pouvez voir de zoulies photos sur mon site). Donc je ne cherche pas à rameuter de l’équipage en chantant “Je suis le maître à bord” parce que… je n’ai plus de rafiot. Je l’ai bradé en Martinique mais il fera encore le bonheur d’un jeune couple qui l’a repris.
Donc c’est sur le plancher des vaches que je me situe. Encore que dans une île dite déserte, un bateau c’est quand même pratique (parce que les voitures amphibies, pour traverser le Pacifique, je déconseille).
Le sujet à l’ordre du jour est de se construire une autre vie que celle, misérable à tous les niveaux, que nous menons aujourd’hui. Nous sommes passé de “perdre sa vie à la gagner” à perdre sa vie à ne même plus la gagner. Après les “nouveaux pauvres” (concept concernant la catégorie technicienne dont bibi faisait partie qui s’est retrouvée sur le carreau alors qu’elle n’aurait jamais dû connaître le chômage) on est passé aux “travailleurs pauvres” à savoir des gens qui bossent mais qui sont objectivement pauvres selon les normes économiques. On n’arrête pas le progrès !
Alors “Que faire” (au risque de citer Lénine) ? Devant une porte fermée (allégorie d’un avenir bouché) il y a deux solutions : soit éclater la porte à la hache, ça s’appelle l’action révolutionnaire, ça aurait ma préférence, mais faut pas rêver, z’avez vu le pays de zombies dans lequel on vit ? Soit chercher une ouverture ailleurs, ce qui est envisagé dans la présente enfilade. Cet “éloge de la fuite” d’Henri Laborit nous concerne :
“Quand il ne peut plus lutter contre le vent et la mer pour poursuivre sa route, il y a deux allures que peut encore prendre un voilier : la cape (le foc bordé à contre et la barre dessous) le soumet à la dérive du vent et de la mer, et la fuite devant la tempête en épaulant la lame sur l’arrière avec un minimum de toile. La fuite reste souvent, loin des côtes, la seule façon de sauver le bateau et son équipage. Elle permet aussi de découvrir des rivages inconnus qui surgiront à l’horizon des calmes retrouvés. Rivages inconnus qu’ignoreront toujours ceux qui ont la chance apparente de pouvoir suivre la route des cargos et des tankers, la route sans imprévu imposée par les compagnies de transport maritime.
Vous connaissez sans doute un voilier nommé « Désir ».”
Propos qu’il a écrit à une époque où, pour lui comme pour les autres, cette réflexion n’était pas d’une actualité brûlante et d’une nécessité personnelle.
Parce qu’il y a une singularité psycho-sociologique de notre époque ! Alors que toutes les “conditions objectives” devraient pousser à la révolte ou, tout au moins, à un propos du genre “vos conneries, on vous les laisse, nous on se casse” (et le dernier qui sort ferme la lumière), on n’a jamais tant observé une passivité mortifère, en particulier dans la jeunesse. Tout au plus on observe que, individuellement, certains vont aller se trouver un petit job un peu (ou beaucoup) moins minable qu’en France, mais ça s’arrête là. A la démerde individuelle. Les “stressés” (jamais trop compris ce concept, j’ai toujours dit merde à un chef quand c’était justifié) de France Télécom préfèrent se suicider que de vivre autre chose. Qu’est-ce que ce monde que l’on peut résumer à “je préfère crever tout seul que de m’en sortir à plusieurs” ?
Ceci pour vous dire que, si volonté communautaire il y a, la bonne démarche consiste à fonctionner avec deux forces : l’une répulsive sur ce qu’on quitte, qu’on ne veut (ou ne peut) plus vivre et l’une attractive sur des envies issues du plus profond de son être et non de la manipulation publicitaire.
Ceci est important à considérer car il faut des personnalités solides. Un mode de vie communautaire est un apprentissage permanent. Oubliez les “robinsonades” car ça peut être dur et par moment très dur. Il faut donc avoir l’envie de s’accrocher et de ne pas fuir (dans l’autre sens). Mais tellement enrichissant (à défaut de l’être sur son compte en banque). Car il faut établir sa propre économie, on n’est pas en vacances, on ne va pas reprendre le travail ou l’école. Mais cette nécessité de force de caractère n’a rien de tragique je n’ai pas, comme Churchill, “à ne vous proposer que du sang et des larmes”. En fait je n’ai même rien à vous proposer du tout si ce n’est de participer modestement à un projet où je me reconnaitrais.
Bon j’arrête là cette petite approche des banalités des choses de ce temps.
A suivre (si vous le voulez bien)
ANTLIA
Aul ieu de faire de belles grades phrases à la cantonade
Certes tu as de la bouteille et de la culture mais peux tu répondre aux gens qui t-interpellent sur ce forum.
Ca vaut un peu pour tout le monde.
Chacun y va de son petit commentaire essayant d’être encore plus spirituel que son voisin sans construire réellement le projet en lui même.
OK, y a des gens qui oint envie de se casser tout age confondu alors parlons nous et avancons parce que le point “on en a marre” je pense qu’on a capté.
On peut le dépasser.
Parce qu’il y a des critères dans le concret.
Donc la question est quoi vivre et où ? En fait il faut l’inverser, matérialisme oblige. Décider le où en fonction de critères bien établis et évidents. Le quoi se dégagera de lui-même.
En effet à quoi ça sert de rêver sur un pays où on ne peut séjourner ? Quels sont les pays où on peut être résident facilement ? Certains objecteront qu’on peut aller de pays en pays en passant la frontière tous les trois mois. Effectivement certains pays l’acceptent. Mais dans ce cas on ne peut rien investir au dela d’une location. Pas moyen d’avoir une carte grise locale. Donc pas possible d’avoir une bagnole. Ce qui est très limitant. La France est probablement le seul pays au monde où des immigrés illégaux ont un statut, des rentes, de la protection sociale et envoient leurs enfants aux écoles publiques. Ne comptez pas là-dessus ailleurs. Même les expatriés tout ce qu’il y a de plus légaux n’ont droit à rien hors de France.
Corrolaire de ce point : la possibilité d’y mener une activité économique. Outre qu’on ne nous attend pas spécialement, il faut néanmoins pouvoir faire quelque chose de rentable pour vivre. Certains pays sont impraticables compte-tenu de leurs exigences (Brésil) ou de leur délire bureaucratique (Argentine). Et presque tous demandent de percevoir une rente (prouvée) pour pouvoir être résident. Ce n’est donc pas simple. Chaque pays est chapeauté par un Etat, et chaque Etat possède une administration plus ou moins contraignante.
Et sur la planète Terre il est bien difficile de trouver un pays sans Etat. La péninsule Palmer ? Mais je suis trop frileux pour cela.
Donc des échos et des informations récentes sur des endroits possibles seraient à recevoir et à discuter. Dans mes périgrinations le moins pire serait l’Uruguay qui ne demande qu’une rente de 350 €/mois lequel virement permanent peut être établi par une personne privée (de la famille). Un tas de fric, même confortable, à titre de placement n’est pas accepté. Il faudrait que je puisse recontacter mon équipier (mais il a la bougeotte) qui avait discuté avec deux jeunes français qui s’étaient installés en Uruguay, mais nous avions surtout discuté de la location (pas chère) qu’ils avaient trouvé.
Ceci pour les contigences extérieures. A l’intérieur d’une communauté il faut être en phase autour de quelques idées directrices fortes et d’une Weltanschauung commune (pour employer un gros mot de la philosophie allemande). Ce n’est pas pour rien que les communautés qui ont passé l’épreuve du temps sont les monastères et les communautés religieuses. Ca ne sera pas le cas (Dieu m’en garde !). Outre la motivation il faut des picaillons et du savoir faire technique. On modulera la férocité des exigences en fonction des âges, c’est d’accord, mais ça ne tombera pas à rien. Je tiens d’ailleurs beaucoup au panachage des âges, pas seulement pour aller à contre-courant de l’époque. J’en cause sur mon site sur ce que m’avait inspiré ce panachage recherché sur les voiliers hauturiers de la grand époque de la marine en bois.
Sur ce il est difficile d’aller plus loin tant qu’on ne connait pas un minimum les personnes concernées par des projets communautaires de vies marginales. Je propose que l’on commence par établir une liste des pays possibles.
Personne ne parle du mode de vie en fait.
Vous voulez quoi?
Une communauté autarcique, technologiquement revenue au moyen âge, ou faire entrer des devises en travaillant, se payer notamment la base pour faire marcher quelques appareils électriques, des panneaux solaires.
C’est tout de même un point très important, car la vie n’est plus du tout la même, que ça soit socialement(contacts réguliers avec la civilisation, pour le travail) ou au niveau de la vie quotidienne.
Personnellement, vous l’aurez compris en me lisant, je suis plutôt seconde solution.
Mais vous je l’ignore, c’est très vague.
Si on est d’accord sur le principe, je rentrerais dans le sujet un peu plus en profondeur, même si tout est vague pour moi, faut bien que quelqu’un se lance.
Ce dont je me suis rendu compte en fait c’est que le système est complètement pourrit même si tu vas a l’autre bout du monde car le système est mondial actuellement. Et si tu es blanc, il est plus difficile de te faire accepter par les populations locales car le blancs a une image de riche voir de dollar su pattes.
Le gos travail est en EUROPE, il est la notre devoir, de faire changer les choses ici et aussi de les accepter car tout a une utilite ici! Et surtout accepter et ne pas FUIR!
Deux problématiques soulevées intéressantes :
- L’autarcie : en elle-même et réduite à ce seul concept (désolé, mais on va beaucoup faire de sémantique dans cette enfilade) elle signifie un repli, un isolement. Ce n’est pas bon effectivement car la vieille loi de la thermodynamique : “un système isolé ne peut évoluer que dans un état d’entropie maximul” est tout aussi valable en sociologie. Mais si elle est ouverte et se dénomme autonomie ce n’est plus la même chose. Bien sûr il ne faut pas rêver, on ne peut pas prétendre être autonome complètement. Je me souviens d’un ingénieur agronome devenu communautaire marginal qui avait bien réfléchi sur un cycle cultures/élevage et qui montrait que cela pouvait fonctionner en un cercle où chaque étape était normalement éxédentaire et donc source de profits à la revente.
Note : pour ce qui est de l’énergie, croyez en ma vieille expérience : les panneaux solaires photovoltaïques c’est du pipi de chat et ça coûte la peau des fesses. Pas moyen d’y échapper sur un (petit) bateau, mais sur un grand ou sur le plancher des vaches il y a mieux : le groupe électrogène diesel. Très cher sur un bateau car c’est spécial (cocon insonorisé, refroidissement eau de mer), beaucoup plus abordable en terrestre. J’en ai vu pas mal au Brésil et en Guyane.
Parce que dans la série “Qu’est-ce que nous voulons vivre ?” se pose la question du minimum syndical de confort au dessous duquel on ne transige pas.
- S’accrocher à l’Europe. (le propos de phildar)
Oh là là ! Je sens poindre le “sacrifice militant” des années 70 et critiqué comme tel par mes vieux maîtres les situationnistes. J’ai dit que je préfèrais défoncer la porte à la hache, mais il faut quand même voir la réalité. K. Marx, en son temps, avait prévu cette hypothèse pessimiste quand il affirmait “la classe ouvrière sera la classe de la conscience ou elle ne sera rien”. Il faut reconnaître qu’elle n’est rien et qu’il n’y a aucun secours à attendre de la part de la jeune génération prise comme une catégorie sociologique. Renoncer à la “fuite”, mais pour quoi faire de mieux ? Militer chez Lutte Ouvrière à ressasser les mêmes antiennes ? A défaut de mourir bravement au combat (et d’aller dans le Walhalla) finissons au moins notre vie de la façon la plus agréable possible. Cela n’exclue pas un engagement éventuel. Un regroupement communautaire dans un pays sympathique est l’un des possibles à ce projet.
Malheureusement, c’est effectivement bien mondialisé, d’où l’idée de l’île déserte pour moi, car je ne pense pas qu’il y ai moyen de cohabiter avec d’autres peuples.
Tout est connecté désormais, le reste du monde, c’est juste l’Europe avec quelques décennies de retard, comme l’Europe est les USA avec quelques années de retard.
Surtout que comme tu dis, être blanc attire les convoitises(voir autre chose, avec les ingérences occidentales ici ou là, pas trop appréciées), car c’est signe de richesse.
Hors, penser que ça changera en Europe, suffisamment vite pour que nous en profitions me parait plus qu’utopique, suffit de parler avec les gens pour voir qu’au fond, pas grand monde ne veut changer en profondeur.
De toute façon, personnellement j’ai fais mon choix, ça sera soit un isolement, soit une vie nomade mondiale(probablement en caravane, le voilier c’est trop cher), car je refuse de m’investir ici, le pays change trop vite à tout point de vue, y compris et surtout culturellement, et à mon faible niveau je ne peux strictement rien y faire si les gens choisissent cette voie.
Je pense aussi qu’économiquement, ça va être chaud dans les années futures, et que ça risque d’être un sacré boxon.
Bref, non seulement le système ne me plait pas, mais en plus les choses positives risquent très fortement de disparaitre, je ne veux pas regarder l’avenir avec craintes, et pour ça qu’une solution, ne plus être dépendant de l’Europe.
Dans le domaine pessimisme chronique (dont je suis affublé, mais je préfère me définir comme parrrranoïakkk critikkk) en la personne de Galalua. Meuh non on n’est pas universellement détesté (et puis les petits blancs c’est bon à manger). Déjà parce qu’il y a des pays proches de nous ethniquement parlant. J’ai parlé de l’Uruguay, les locaux qui ont une base d’origine française importante, ont vite fait de voir qu’on appartient pas à la catégorie “gringo” (= USA).
Je vous assure aussi que dans un pays comme le Maroc, j’ai eu des contacts à la fois sympathiques et poussés avec des gens sur la vie quotidienne, les problèmes réciproques, ce qu’il y aurait à faire (et beaucoup étaient très critiques sur l’islamisation de leur société autant que sur l’immigration, d’ailleurs). Mais comme je l’ai dit, il faut tenir compte des états. Se délocaliser au Maroc n’est pas envisageable.
Ce qui est à fuir c’est le vrai tiers-monde. Car c’est une mentalité plus qu’une économie. Il n’y a pas d’échange. Nous ne sommes à leur yeux de sangsues que des proies à saigner. La recherche de pays possibles n’est pas évident, mais je veux croire qu’elle n’est pas impossible. Mais bon je vois que chacun est reparti dans ses bidouilles individuelles et je ne vous embêterais plus avec mes propos oiseux.
Je n’ai pas dit que les blancs étaient détestés partout, mais dans certains endroits, oui, faut le savoir.
Par exemple, j’éviterais d’aller chez les noirs personnellement.
C’est un peu le duo racisme violent + vision d’un euro sur patte, le tout avec des fonctionnaires complètement corrompus qui n’inspirent pas confiance.
Le Maroc est un cas un peu différent, il me semble qu’une grosse partie de la jeune population est assez occidentalisée, d’ailleurs parait il que ça commence à chauffer entre islamistes et pro occidentaux au sein de leur population.
De plus, leur économie marche pas trop mal, avec un chômage limité et un système de santé qui se met en place.
J’ai d’ailleurs plus d’une fois pensé à voir de plus près ce que ce pays valait(la Tunisie aussi), en plus les Marocaines sont jolies. ^^
Si j’opte pour la caravane, sûr que j’irais voir à un moment.
Qu’entends tu par “(et beaucoup étaient très critiques sur l’islamisation de leur société autant que sur l’immigration, d’ailleurs).”
Vu que chez eux, la principale voir seule immigration sont les retraités européen… à moindre que tu parlais de l’émigration.
Enfin on est un peu hors sujet, mais bon y’a rien de concret.
J’ai plus que l’impression que vous polluez cet espace alors??
Serieusement le sujet c’est quoi ? hein ?
Partir sur ile deserte, aprés c’est tout simple, les personnes interessées se contactent, hein??
Les récits philosophiques ou expliquatif du vie gachée, c’est pas le sujet, allez voir un psy, là on parle d’île deserte, alors???
Expliqué vos theories d’ado qui a jamais travaillé ou jamais compris une nuance, ou agisé, organisez vous, montrez se que vous etes, et montrez votre enthousiasme dans un future plaisant, qui se complaint dans l’organisation d’un projet “extraordinaire”, si on veut.
Donc voila je cherche des personnes interessées par le fait de vivre sur une ile deserte, pour echanger des informations, et plus que sais-je hein ? hein ?Alors?
Tcho!
Merci caumatt de ton intervention certes un peu violente
mais qui a le mérite de recadrer le sujet…
Bonjour,
Je viens de lire vos derniers messages et je suis d’accord avec vous, le plus important dans tout ca est de comprendre le monde dans lequel on vit car j’ai l’impression que peu de gens savent ce qui se trame vraiment ce sera deja un bon debut.
Ensuite ceux qui veulent partir… Partent tout simplement, quand au fond de ton cœur tu sais avec confiance ce qu’il y a a faire, il n’y a pas a douter une seule seconde. Car ici je vois beaucoup de gens qui finalement ne font qu’exprimer leur mal être et ne sont pas pour la majorité prêts a larguer les amarres et au mois c’est déjà un debut de prise de conscience ce qui est bien!
Le systeme mondial dans lequel on vit veux que nous soyons dépendants et des moyens colossaux y sont mis pour parvenir a cet objectif.
La première grande liberté, c’est de prendre conscience de cela et de ne plus être victime inconsciemment de cette propagande.
Salut Julien,
J’ai on va dire, la même vision des choses que toi, on se dit libre mais c’est faux on est presque tous dépendant de ce système (“être diplômé”, travailler pour gagner de l’argent afin de pouvoir vivre) il y a une expression que j’ai même du mal à comprendre, quand on dit “il faut bien gagner sa vie”… La je me dis “Quoi? La vie je pense que je l’ai eu le jour de ma naissance non? Je dois encore la gagner?”.
Bref, moi en fait je pense commencer par de petits voyages, de quelques jours, ensuite quelques semaines, quelques mois, etc… pour un jour prendre mon sac et partir pour de bons avec une possible destination ou je pourrais VIVRE. Sinon ton projet m’intéresse beaucoup! Alors on part quand?
Bonjour à tous, depuis longtemps j’ai ce même rêve que vous, partir vivre sur une ile deserte. Après avoir rencontré des gens sur le net et tenté de réaliser concrètement ce projet mes illusions se sont vites envolées. En effet la première étape obligatoire serait d’acheter un bateau ( minimum 15 000 euros ) mais dès qu’il faut apporter une contribution financière les derniers grands rêveurs du projet s’évaporent instantanément, ce qui est compréhensible puisqu’on est confronté à des personnes inconnues.
Ensuite il faut se rencontrer en vrai là encore une fois c’est pas gagné !
C’est pourquoi je m’efforce de trouver des solutions à ce problème, nous avons ce même rêve de vivre de ce que la nature nous offre. Alors je me suis dit pourquoi un ile deserte? pourquoi si loin? pourquoi faut il autant d’argent?
Il serait tout aussi possible de vivre en france dans une forêt. La Lozère est un département presque inhabité, le Var est celui qui a le plus de zones boisées… le seul risque puisque c’est interdit serait de se voire inviter à lever le camp pour devoir s’installer un peu plus loin (pas grand chose selon moi ). En restant en france en cas de problème il est possible pour tous de faire machine arrière ou de trouver des soins en cas de blessure par exemple. Je compte vraiment réaliser ce projet même seul mais mon rêve serait de faire partie d’un petit groupe “d’aventuriers”. Alors si quelqu’un est interressé par mon projet envoyez un petit message bonne continuation à tous pour tenter de réaliser vos rêves !